[Rumeurs du coin]

Entendant la rumeur, Claire sourit; non seulement elle n'a pas gaspillé son or pour une fausse carte, mais en plus l'homme l'avait prévenu de l'assassin qui la filait. Vraiment sympa cet Half.

Dans une auberge a padhiver, un marin raconte son histoire :

*entre deux verres*
Si vous saviez mes amis, pauvre de nous, nous avons été attaqués par des brigands, sur cette fichu route au sud de padhiver et au nord de leilon. Hélas !!!
*fond en larme*
Nous avons tout perdu, notre recette, nos amis et notre précieux bateau... Nous sommes deux survivants..seulement...
*recommande un verre et s'exclame d'un aire mêlant tristesse et colère*
Comment allons nous vivre maintenant, nourrir nos familles, élever nos enfants. Et toutes ces veuves et certains orphelins où vont ils allaient?

La moral dans tout cela, Il vaut mieux être mal honnête pour survivre. Et ne pas amarrer n'importe ou.

*fini son verre et part tout en sanglotant*

*Pendant se temps loin du rivage un groupe de brigand fête la capture du bateau et se moquant des abrutis qui accoste en plein milieu de nul part.*

Une baleine à bosse se serait échouée sur la côte. Les raisons demeurent un mystère pour la populace, mais certains ont pu voir le dispositif mis en place pour évacuer la dépouille de la plage et l'état de la bête. On parle de requins, on parle de braconniers des mers, on parle du Kraken, on parle on parle on parle...

Le seigneur Alderan neuf de pasdhiver a été massacré par la furie il y'a quelques lunes. Les haut dignitaires de la cité sont invité a se receuillir une derniere fois a ses cotés.
Le seigneur nasher offre une recompense de 500 000 PO a qui voudra bien lui ramener la preuve de la destruction de la furie.

Alors que le Seigneur Nasher fait courir une invitation pour rencontrer et recompenser individuellement
-Erkenbrand Winterstrom
-Jai
-Phayza
-Darrken


Le Seigneur Aldrogast annonce une nouvelle compagne millitaire , si il compte sur la presence des quatres mercenaires il annonce que de nouveaux bras armés seront pas de trop dans la mission qui s'augure.


Le Général des forces Amnienes a été jugés par le tribunal de pasdhiver , du fait de sa non affiliation directe a des forces enemies de pasdhiver et de son respect scrupuleux des codes de la guerre et de la diplomatie. Il est gardé en la cité avec les égard d'un seigneur en échange de la formation des soldats du Seigneur Aldrogast. Une unité d'élite sera bientot formé pour le compte des actions millitaires du Seigneur.

Jaï aura répondu qu'elle répondrait présente... se demandant ce qu'il en est des accusations de trahison à son égard émises par Erkenbrand.

Le tempusien a fait savoir qu'il se présenterait à son invitation aussitot qu'il serait en son pouvoir de le faire.

Les troupes subissent un entrainement nouveau.
Le rythme de vie est désormais plus soutenu au sein des compagnies de Padhiver, lever plus tôt, avant l'aube pour des exercices d'échauffement sur les remparts. Couchés plus tard, les soldats sont priés de se rendre à la Chapelle de la caserne pour méditer sur les apports et les fautes de la journée.

Ils sont formés au maniement de quelques autres armes, afin de parer à toute éventualité. Les armures sont examinées avec soin, et on leur explique comment en prendre soin dans des cours théoriques quelquefois dans la dizaine. Certains auront même eu la chance de se voir remettre leur étui à rivets et attaches en cuir bouilli, par le Seigneur Aldrogast lui-même, leur offrant regard chaleureux et fier.

Visiblement l'idée que le danger peut se présenter à quelques pas de la Cité des Artisans, a décidé les troupes à ne pas se laisser aller. Hier les Amniens... seuls les Dieux savent ce que demain leur réserve.

On murmure qu'il se prépare quelque chose à Padhiver ce soir, mais pas encore d'annonce officielle. Quelque chose de grave, selon certains.

Il se dit... que l'Ecuyère de Wellan en pincerait pour le bel Alexandre, on l'a vue s'accrocher à son bras. Au Masque de Pierrelune, les filles d'Ophala racontent également qu'elle serait juste après dans les bras d'un autre Paladin... ! Voilà encore une jeune fille qui ne sait pas ce qu'elle veut, qui a pourtant beaucoup de choses à portée.
Elle finira mal, c'est sûr, se dit-on entre deux clients.

Il parait qu'un Bourgeois du Centre-ville se serait fait voler des tableaux. Toute une collection aurait disparu de chez lui.
Un garde privé serait d'ailleurs particulièrement surveillé en raison de son lourd passé.

La compagne du Haut-Prêtre de Torm mort dans l'arêne aurait conservé la maison qu'il lui avait offerte. C'est une petite maison, mais c'est certain, cela fait jaser ses anciennes amies, qui la tiennent pour traitresse.
C'est facile d'aguicher un Haut-Prêtre pour le faire tuer ensuite !
Il se murmure même qu'elle serait à l'origine de l'information divulguée au Général Aldrogast quant à la négligence de son mari pour le Culte.

Il parait qu'au Palais, de grandes décisions ont été prises par ceux qui sont en haut. La reconstruction avance, et des axes ont été donnés.
Les paysans attendent malgré tout le nouvel impôt, espérant qu'il ne soit pas trop lourd avec tous les troubles passés.

L'écuyère de Wellan dément avec véhémence ses sois disant sentiments pour le neuf Alexandre, qui lui aurait proposé son bras par pure courtoisie.
En y regardant bien... son comportement face au neuf est respectueux, sans cette affection déplacée que les ragots décrivent.

D'ailleurs on la voit de plus en plus en compagnie du paladin dans les bras duquel on l'aurait vue... et ne démentirait rien par rapport à lui, curieusement.
Elle semble très proche de lui... et son affection pour le paladin se lit dans ses gestes, son attitude, et sa façon de s'adresser à lui, pour qui y regarde...

Il se dit qu'un gars aime à se faire appeler "le dragon rouge" dans les rues de Padhiver. Heureusement la garde garde et les veilleurs veillent, parce que ce genre de bonshommes maléfiques... faut s'en méfier.

La rumeur d'un don se fait entendre, un Don fabuleux de la Guilde des Joailliers qui aurait retrouvé une marchandise il y a peu grâce à des personnes de bon coeur. Pantharion le maître de la guilde souhaiterait être reçu par le Seigneur Wellan pour en discuter.

C'est plus calme dans le Quartier Nord, là où le bourgeois barricadé sévissait. Les fioles de liquide nauséabond ne fusent plus depuis qu'il a pu de nouveau embrasser ses tableaux, signés Batista Di Angelo, ses chefs d'oeuvre.

Une silhouette fantomatique hante les rues de Padhiver disent quelques ivrognes. Elle vole à la vitesse du vent, et d'un contact elle vous soigne de tous vos maux. Comme c'te femme qui est arrivée en sang et qui s'est trouvée mieux après.

On dit que le Haut-Prêtre de Torm a un favori maintenant, de dix ans à tout casser... après la courtisane du défunt prêtre, le nouveau s'attaque aux enfants ? Affaire à suivre... Certaines mauvaises langues s'attendent déjà à un duel entre Jean de Neufcastel et ce Haut-Prêtre.

Non loin du Temple de Torm, on a retrouvé le corps d'un homme balaffré, poignardé de dos. Il reposait contre le muret de celui-ci, lorsqu'un apprenti le ramena à l'église.
La garde est renforcée, et le Haut-Prêtre demande à la famille qui y est hébergée de rester en lieu sûr. Elle a peur, le petit Henry aurait pleuré la nuit suivante, consolé par sa mère, Suzette.

Un marchand a fermé sa boutique pour une durée indéterminée, on dit qu'il s'est fait arrêter par un paladin, après avoir presque pleuré sur la Place des Temples.

La maison barricadée est bien calme ces temps-ci, quelques gardes privés patrouillent en bas, mais il semble que les bruits que l'on y entendait la nuit se soient tus.

Une prostituée qui semble-t-il avait gagné le jackpot grâce à un paladin l'ayant payée, se serait faite aggressée sur le port. Mais elle aurait survécu grâce à de mystérieux personnages qui ont mis en déroute ses aggresseurs. Elle leur en est très reconnaissante pour le coup, et raconte son histoire dans les auberges, vantant ces justiciers qui lui ont permis de garder son dû, et ainsi pouvoir vivre dignement.

Les arrivages de navires en provenance du sud commencent à se raréfier. Certains commerces sont menacés de fermer boutique si le réapprovisionnement des denrées étrangères n'est pas assuré d'une quelconque façon.

Les pêcheurs sont également mis à mal : en effet, il semblerait qu'il leur soit de plus en plus difficile de trouver des bancs de poisson. La pêche au filet n'est plus ce qu'elle était...

Rares sont les navires prenant la haute mer qui désormais arrivent à quai...

Depuis quelques temps, on peut voir un guerrier de Kara tur collé aux basques du neuf Jai en permanence. Il a l'air tout jeune...

Une rumeur circule, on parle de porte vers l'au-delà, on parle de lien avec les Enfers démoniaques, ou les Abysses diaboliques, ou peu importe en fait, un truc pas net.
La femme d'un garde parle avec sa voisine au marché, affirmant que le Neuf Wellan a failli perdre la vie sur un piège mortel et magique, mais qu'une magicienne du nom de Lysandre aurait dissipé la menace avant qu'il ne mette le pied dedans.
On raconte aussi qu'une monastique austère mais gentille, enquêterait sur des prostituées sur les quais, suivie par un paladin doré qui les effraierait pour ne plus qu'elles exercent leur activité.

En attendant, on n'entend plus parler de la Société du Ponant, certains disent qu'elle a été dissoute, d'autres que ses membres sont partis. Peut-être sont-ils partis dans un endroit plus discret, peut-être ont-ils même un lien avec la fuite de Syriane du poste de Neuf.
En tout cas, les aubergistes ont bien leur idée sur Wellan et ses histoires.

Des Padhiveriens seraient rentrés de Lorgol à bord d'un navire, bien amochés, les vêtements roussis et déchirés, les mines fatiguées, mais avec un butin conséquent. Des mauvaises langues parlent de pillage de tombes, mais il est plus plausible qu'ils aient mené une opération à Lorgol.
Le Neuf Wellan sera revenu en pantalon seulement, avec juste une amulette dorée autour du cou, la peau couverte de cicatrices et de plaques de brûlures. Lesseuls ayant à peu près l'air normal, en oubliant les plastrons défoncés et les capes déchirées ou brûlées, sont Tristan et Jean. Même cette moine ilmateri, Sylmen, aurait souffert de leur expédition, punitive sûrement.
On parle de représailles pour Port-Llast, ou d'une confiscation d'un butin mal acquis par des Lorgolites.

Une magicienne aurait également débarqué avec les autres, sa robe passablement amochée, une main pas mal noircie, des cheveux ayant subit le feu également... Enfin dans un sale était, avec une sale mine. Elle aurait traversé la ville silencieusement et en boitant de si de la, avec un bâton qui ne semblait pas celui qu'elle arborait généralement pour l'aider dans sa marche.

Les marchands fréquentent davantage le Port de Padhiver, comme escale vers Luskan puis Lorgol, ou simplement pour acheter des denrées de la Cité des Artisans.
On complimente la sécurité regagnée sur les eaux de la Côte, les marchands sont moins anxieux depuis que les pirates ont subi quelques pertes de navires !