[Rp] le coin des bardes

*Cara la sombre barde se produit un peu partous dans les tavernes de lorgol a luskan*

Shot at 2007-07-08
Des larmes aux lames

Innocence et insouciance d’une jeunesse passée
Aile de naïveté d’un destin saigné
Du blanc plus pur au gris le plus morose
Le ciel de ma vie a fanée t’elle une rose

C’était il y a longtemps
Si longtemps que pour moi cela ressemble a une légende de printemps
Je l’aimais mais la tornade de la guerre c’est mise entre nous
Je les trahis mon épée a rejoint le camps des fou

La guerre a chassé les monstres
Et toi à jamais tu reposes sous les astres
Est-ce que tu m’attends encore ?
Moi qui maintenant les champs de bataille explore

Je n’espère pas la mort
Je fait partit d’une force naturel qui se moque de l’or
Mais parfois tu me manques
Et comme à chaque fois je fais couler de l’encre
Peut être un jours je redéploierait mes ailes
Et ce jour la ce jours je serait vieille

//hrp un petit coin pour exposer nos poésie Very Happy

//

Siffle ma lame

Siffle ma lame coupe le fil de vie
Un jour tous on paye le prix
De ce qui nous fut offert ici
Le sang de la mort sur vos visages est inscrit

La guerre emportera tous
Sur un champ de bataille le cœur reste flou
Le bonheur et la joie n’existent pas pour nous
Car le chant de la lame et l’appelle du loup..

Siffle ma lame emporte la vie
Frappe mon cœur honore celui que je prie
Dans la bataille mon chant résonne
Je n’est de pitié pour personne

Que tous plie le genou fasse aux chants de l’épée
Que tous s’arme pour lutter

Tristesse

Dans le secret de mon âme
Mon cœur s’agite percée par la lame
Cette lame s’appelle doute et chagrin
Ce monstre m’inspire et vieille au grain

La fatigue de la vie
Le bonheur que je nie..
Je suis la sombre barde
Et mon innonce réduit en lambeaux n’est plus que hardes

Que resteras t’il de moi a la fin
Qu’elle intérêt de lutter pour demain ?
Douleur et tristesse sont mes visions
Je suis une sirène de sombres réputations

Un jours peut être verrait je l’abîmes
Mais la nuit et dans mes rimes
Je chercher la créature mythique
Cette chose qu’on appelle amours idylliques

A padhivers et luskan Solen se produit, elle répète souvent ce conte chanté un de ces favoris.

Tolérances
Il y a longtemps les races étaient éloignées par un fossé
Des elfes des humain et autres races nul ne se mélangée
Dans un petit village au nom oublier une enfant aveugle un jour est née
Grandissant dans la haine elle écoutât les gens sans comprendre ni pouvoir nié

L’enfant grandit dans l’ignorance
Mes si ces yeux était aveugle sont cœur était comme une lance
Une lance de joie, on ne voit bien qu’avec le cœur même si celui-ci est en errance
Guider par ces sentiments l’enfant s épanouie seul et sans louange

Un jours funeste la guerre naquit
Elle sentait la fumet et le bruit
Armée de leurs folies de leurs croyances
Les races se lancèrent dans une guerre de démences

Les années et les saisons passèrent
Le sang et les larmes coulèrent
Des vies gâchées et des destins brisés
Des cris d’agonie a l’odeur du sang rosé

Quand il ne restât que plus que quelque combattant
Quand l’espoir les avait tous quitté en riant
L’enfant s’avança doucement
Aux milieux du chant de bataille elle se dressât lentement

« Je sens la fumée la mort et la tristesse dit l’enfant
Mais je ne sens nulle différence dans le sang
Votre apparences et différente mais vous vivez riez et couvrez vos enfant d’un regard aimant »

Les combattants se regardèrent
Couvert de sang de boue et de poussière
Et un instant ils ne virent plus la différence qu’il voyait hier
Vers l’enfant ils adressèrent leurs larmes leurs prières

« Nous avons était aveugle et perdu,
Nous regrettons ce que nous n’avons pas vu
Qui est tu toi qui sans les yeux voix qua jamais les races retiennent ton nom »

L’enfant sourit doucement et dit

« je m’appelle tolérance .. »

De rire a larme
De la soie aux armes
En un soupir mon âme divague
Mon cœur et un arbre que j’élague

Je cherche une légende.
Un mythe une créature des landes
Cette créature étrange s’appelle espoir
Et parfois je l’aperçois dans le noir

J’ai était de blanc vêtu
Mais quelque chose en moi c’est tue
J’ai était amoureuse
Mais maintenant même dans mes rêves je n’ose

J’ai prié sharesse et sunie
Mais a moi plus rien ne l’est unie
Je ne dirais même pas que je suis malheureuse
De la mort je suis une image pieuse

Cara la chantre

le calice

La première fois que tu ma vue tu ma sourit
Et depuis que je te connaît je revit
Pour tous ce que tu est merci
Je t’aime larmes d’hivers
Je vie près de toi
Doucement
Larme
Et
Qu’elle que sois l’avenir mon aimée
Sache que ma vie et a toi dédié
Et que mon cœur et a jamais ton calice

solen elgh'in fauchevie

A haut refuge existe une dame
Poil et croc, rire et farce qu’elle est sont âme ?
Tous l’apprécie et l’adore
Faite un pas parler lui elle a un cœur en or

Une jeune fille qui assume sont passé
Cabriole d’erevan et surprise rythmer
Pour toi ce poème lea la farceuse
Erevan ta bénie moi je te sourit et oui j’ose

ISolia

Val de bise, terre d’aventure extraordinaire
Ici il y a de tous pour plaire
Monde étrange et créature exotique
Terre superbe mais attention au pique

Au nord demeure lorgol et les dix citée
Terre glacial au mystère inexpliqué
Ton cœur de glace recèlerait quelque vérité ?
Ou bien quelque horreur cacher

Au centre demeure luskan et sont port
Ici meme la vie a le prix de l’or
Ville de pirate et d’intrigue
Vers qu’elle destiné ton navire vogue

Au sud padhivers
Joyaux par la triade aimer
Rue de marbre par les templiers protéger
Et sur ces terre le seigneur nasher na pas finit de régner

Val de bise monde étrange
Jusque ou pourront nous chanter tes louanges ?

Isiola

Un conte chantée par une elfe habillée de blanc

C’était dans un lieu reculé oublié de tous
Ici le plus grand danger était les loups
La vie y était douce et sans soucis
Mais parfois la solitude et le pire amant d’une vie
La bas vivez un humain au trait défiguré
Ca laideur n’avait d’égale que la beauté de sont cœur en paix
Cacher du monde et des siens il fuyait le chagrin
Mais la vie est triste quand on se leve seul chaque matin

Rôdeur dans la foret
Régulièrement dans les bois sont âme il perdez
Un matin de solitude pas comme les autres
Des cris de détresse étrange note
Le rôdeur se précipite court..
Une charmente elfe au prise avec un ours

Réflexe folie ? il dégaine et tire
Avec peur il s’approche de l’elfe au teint d’or
Surprise espoir ?
Aucun dégoût sur les fins traits tournés a jamais dans le noir
L’elfe perdu frêle jeune fille au yeux aveugle tourner vers sont sauveur

La vie reprends mais pas seul
L’elfe perdu l’attend désormais au seuil
Battement de cœur amour naissant
Le rôdeur défiguré renie l’espoir pourtant
Mais dans cette il n’est pas seul
Le cœur aimant l’attend sur le seuil

Un soir d’orage il lui avoue ça folie
Et elle l’écoute et rie
D’un doux baiser elle scelle leur union
Et de quelque mot lui expose ça vision

Aveugle ces yeux le sont mais sont cœur lui observe le monde
Et pour sont cœur le rôdeur respire beauté a la ronde
Au cœur de l’être aimant le rôdeur défiguré devint rôdeur fambloyant
Et sur sont visage un sourire longtemps oublier se risquer

On dit que de cette amour naquit le premier demi elfe .. l’apparence et parfois trompeuse le regards des gens n’est pas le même que ceux que porte les autres.
Tolérance et ouverture doive être commune mesure pour un avenir d’égalité et un horizons bien plus pur

Solen elgh'in fauchevie

Ode au menteur

Il y en surface un être étrange
Aux bon sens il prend la folie drôle d’échange
Il se prend pour divinité
Mais ça dogme fait pitié

Il a comme fidèle
Des gens habile comme des pelles
Se cachant dans l’ombre pour agir
Se voilant la face pour éviter les rires

Semer le chaos et leur rôle
Leur ridicule ne séduirait pas une folle
Méchant, galeux en fait des rats
De leur vie peut de chose l’histoire garderas

Leur chef fut je l’avoue un cas
Le ridicule ne tue pas regarder lucass
Une vie dédier à l’inutile
Une existence aussi utile qu’une tuile

Il court, il court le rat lucass
Il finiras bien par faire quelque chose d’utile
Disciple est dieu inutile

solen

*vieux poeme trouver dans les sacoches de cara par isolia, une copie et envoyer a ca destinataire d'origine aube de boisbrume isolia reprends ces chants dans les tavernes en l'honneur de cara*

Nuit d’hivers

Délicieux souffle de la nuit chasse mes peurs
Vent doux sur les blessures de mon cœur
La neige tombe doucement comme mille enfant joyeux
Le froid caresse mon corps de ces doigts doux

Morsure du givre sur ma peau
Manteaux d’étoiles, reflet de l’eau
Qu’il est tentant de s’allonger dans la neige
Contempler le ciel étoiler, se laisser prendre au piège

Le chant du vent de l’hiver m’appelle
Le gel souffle et étends ces ailes
L'engourdissement et tentant
Le baiser de la dame du froid aimant

Miroir du monde
Ciel d’ébène, lune ronde
Sol blanc comme un manteaux d’hermine
Dans le froid et la nuit je m’endors sur une rime

Ciel d’hivers

Le vent souffle dehors
C’est dans la neige que je m’endors
Le visage tournée vers les étoiles
Les doux flocons de neiges sous mes yeux comme un voiles

L’hivers et la
Mon esprit est las
Allongée dans mon doux manteaux de neiges
Je rêve d’autre age

Je sent mon sang se glacée
Et pourtant mon âme n’est pas apeurée
La fille du froid étends sont bras
Et doucement je me blottis dans ces draps

Le froid m’apporte l’oublie
Et doucement au ciel d’hivers je souris
Un instant je voit sont visages
Celui d’une mère au regards sage..

le monde ou on vie

Etrange monde
Rire et pleure a la ronde
Vie rêver des anges
Démon qui ricane et dérange

Pourquoi somme nous la ?
Je l’ignore et pourtant je vie lasse
A quoi serrent t’il d’avancer
La ou tous le monde ce plait a vous ignorer

Espoirs désir rime avec cruauté
Pourtant je suis sur quelque part réside la beauté
Notre vie se résume t’elle a l’argent
A la course au matériel nous somme toujours perdant

Sombre vision de l’univers
Je persiste et pourtant je n’est rien de pervers
Perle noir de malchance rubis de malheur
Tous cela n’est rien face au diamant du bonheur

Isolia sianodin

*isolia doucement dans ca cellulle compose evitant de chanter quand les gardes se presente*

Aire de sang
Le jugement de la haine n’est pas lent
Les murs et les rues murmures
La voix de la colère dure

Bientôt ce sera l’heure du combat
Sur le front de la muse racisme une veine bat
Qu’elle différence y’a-t-il entre nous
La race est ce vraiment tous ?

Devront nous payer de la vie du martyr
Est-ce des âmes qui devront périr
Notre cœur n’est pas du genre à subir
Et nos voix ne veulent pas gémir

Sacrifice énorme d’une voix insignifiante
Fierté délirante a l’intelligence déviante
Guerre nourrit par les langues de vipère
Dans ce combat nous avons tous a perdre

Un chant triste resonne .. appeller Geriel

Une sœur nous a quitté
Et nos âmes ne peuvent que pleurer
Geriel était sont nom et la foret sa maison
Dans la voix des loups ces actions a jamais raisonnerons

Elle était enfant des forets
Et de dardan aimer
Le cycle pour elle c’est achever
Et nos yeux ne cessent de pleurer

Fille louves sœur en notre cœur à jamais
Repose en paix
Tes rires tes sourires sont avec nous
Nous t’entendons dans le chant des loups

Elfe et humains dans la tristesse lié
Elfe et humains vers l’avenir tourner
Dans le cœur des amis tu existes
Dans notre vie ta présence persiste

C’est un chant une larme un au revoir
Car un jours je suis sur nous viendront te voir
Que les dieux de la nature te guide
Car notre amour pour toi jamais ne prendras une ride

Solen Elghin fauchevie

Spleen *isolia*

Je ne suis que colère
Haine pourrait être mon père
Je ne suis que chagrin
La mort pourrait être mon parrain

Je n’est pas de courage
L’ange de la déception est sans age
Je n’est pas d’avenir
Qu’elle douleur dans ce cœur en devenir

Nous finirons tous par pourrir
Et un jour les vers nourrir
Je ne suis qu’une ombre
Racine pourris d’un arbre

Déception tristesse et mort
Ma vie offerte aux porcs
Colère et haine
Ca n’en vaut pas la peine

J’attends je souffre
Au sentiment noir je m’ouvre

elfe chanter un peut partous par Isolia elghin qui se fait appeller desormer Diva

A un peuple mort
A un une race qui avait le sang d’or
Seldar n’existe plus malheureusement
Leurs souffles s’éteint doucement

Oreille pointue
Cœur sanglant mis a nue
Cruauté déguisée
Vers la mort les elfes dirigée

Image d’un père sénile
D’une existences vile
Dans le secret de la foret
Des âmes a jamais oublié

Reflet d’une race ancienne
Une langue couleur terre de sienne

*Isolia "diva" sianodin*

les larmes

La vie ne ma pas épargnée
Mon me égratignée
Est-ce le destin de tous de saignée
Ce monde est t’il sans pitié

Je chante pour oublier
Mon cœur n’arrive pas a ce lier
Dans ma tristesse je suis sans age
Ma vie a deux visages

Où est celle qui riait
Où est celle qui vivait ?
Ne reste t’il d’elle que des larmes
Bruit de verre cassé d’une âme

Je suis d’un peuple ancien
Mélancolie ou joie ou est le lien
Solitaire bien malgré moi
Qui a amener la pluie sous mon toit ?

Quelques mots

Une phrase, un mot maladroitement poser
Une plaie dans mon cœur réveiller
Négligence du passé lourdement payer
Faiblesse que je devrais toujours porter

Une lettre forger en arme
Sur une vie coule une larme
Une vie dédiée à s’assumer
En quelques mots un poids nouveaux a porté

Horizon de doute par d’autre soufflé
Méchanceté gratuite sans aucun sens créé
Epoque étrange ou nous vivons
Où apparence et être nous lions

Je continue acceptant la plaie
Bougie de volonté par les mots souffler
Excuse poser peut être sincère
Mais dans ma bouche un goût amère

Avancer droit ne pas plier
Continuer mais la blessure ne pas oublier
Trouver en moi la force de me dépasser
Et la main vers l’autre tendre sans jamais trembler

*Diva*

Plier le monde a ça volonté
Le désir des autres l’oublier, l’écrasé
Reflet hideux de notre société
Vivre la vie comme un jeu sans laisser le cœur empiéter

Vivre avec les autres
Nous ne sommes pas parfait, nous ne sommes pas des apôtres
Mais nous ne sommes pas seul en ce monde
Et nos regards devraient quitter le cercle étroit de notre univers et ce porter a la ronde

Enfant d’un même sang
Notre ambition nous ment
Tous contrôlé
Et un jour mourir oublier

C’est dans l’entente que l’on avance
Dans l’amitié qu’on oublie l’errance
Nous vivons dans une cage
Il est temps de la brisée de traverser les ages

Univers d’apparence
Habit a l’odeur rance..
Du livre que sonne nous ?
La couverture ou le contenue ?

solen elghin fauchevie

Dans un monde éprouvé
Un petit groupe d’aventuriers
Que l’amitié a réunis sans tromperie masquer

Nain à la mine sombre mais au cœur d’or lustré
Sœur des ombres qui chercher la lumière mais qui sont visage doit cacher
Sœur louves, ma famille devant l’éternité
Bien plus de nom que je ne peux citer

Par un secret nous somme lier
Pas de mensonge sincère affection et franche affinité
A ceux qui nous jugent je dis qu’il faut mieux nous oublier
Je préfère être que paraître il ne faut pas le nier

D’autre entité je ne veux oublier
Des noms qui erre mais m’on beaucoup aider
Point de dragon dans cette histoire
Juste un sentiment dans mon cœur qui m’aide dans le noir

A vous tous qui vous reconnaîtrons merci
Quelque soit votre nom celia , denis, dagar ou autre..
Les noms ne sont pas mon fort ce n’est pas de ma faute

Tristesse infinie
Doute qui dans l’ombre nous lie
Est cela la vie
Une faux semblant qu’on prie

Je ferme les yeux au soleil
Dans mon âme un sentiment veille
Je suis l’écho d’une larme
Devrait je baisser mes armes

Je ne veux pas
Je ne peux pas
Et pourtant a quoi bon lutter
Quand ton âme est désespérée

J’ai peur de l’or sur les armures astiqué
Du bien cachant quelque noir trait ensanglanté
Que faire quand justice rime avec cruauté
Derrière quel masque au noble atour se cache la vérité

J’ai pourtant essayé de discuter
Peut être a ce monde ne suis-je pas destiner
Padhivers , de ton blanc manteau que doit je faire
Tes mots sont doux mais ton glaive sanglant na rien pour plaire

solen

Les contes et légendes naissent parfois de rumeurs ne voila une que l’on me contât il y a bien longtemps.

C’était dans une citée assez prospère au demeurant a l’image de padhivers ou tous autres de cette taille, a la périphérie de cette ville vivait un marchant prospère ce dernier n’était pas un malhonnête homme mais il avait consacré la majeur partie de sa vie a ces affaire et il se vit fort contrarié avec le temps de ce retrouvé seul ayant toujours préférer se concentré sur sont commerce que sur ça vie priver.

L’homme dont le nom c’est perdu avec le temps avait finit par ce faire une raison et en désespoir de cause ne s’attendait plus a l’amour mais ce genre de sentiment vous tombe dessus sans qu’on ne le demande.
Un soir d’hiver ou il allait fermer ça boutique après avoir finit une fructueuse journée il fut surpris par un poids brutal porter sur ça porte alors qu’il allait le refermer, surpris il reculât pour voir tomber face a lui une jeune fille en haillons a ces pieds.

La jeune fille malgré sa saleté était d’une beauté touchante, la peau d’ivoire les cheveux dorée.
Sont regard pailletée d’or le touchât a-t-elle point que sans un mot il verrouillât la porte derrière sont étrange inviter, peut de temps après le bruit de la garde résonnât dans les allée de la citée et l’homme quand on vint frapper a ça porte affirmât qu’il n’avait vu personne..

L’homme était honnête et bien connut des gardes qui n’insistèrent pas ne se doutant pas que l’objet de leur course était a présent chez l’honnête marchand, l’homme s’occupât de la jeune fille avec une tendresse remarquable et cette dernière ne tardât a retrouver conscience..
Elle lui expliquât qu’elle avait commis quelque larcin pour ce nourrir et que cela lui avait valut cette course poursuite, elle craignait qu’on lui coupe les mains.
Le marchands tous a l’écoute de ce sentiment qu’il ne connaissait pas lui offrit l’asile bien entendu, la jeune fille sembler fragile mais sous les bons soins du marchand la souillon se transformât en princesse charmante.

Fragile a l’extrême la jeune fille fit ces appartement dans la plus haute pièce de la maison du marchant ne sortant qu’a l’aube tomber, dans les premiers temps l’homme fut inquiet puis s’habituât a sont teint de porcelaine et ça voix douce comme une caresse …
Le temps passât et une vague de meurtre étrange commença a secouer la ville, dans les ruelles sombres ont retrouvé régulièrement cadavres saignée a blanc et autre horreur.

L’homme prit d’abord la rumeur a la légère jusqu’aux jours ou il font confronté a une de ces victimes et inquiète pour ça protéger lui interdit de sortir, la jeune fille eut beau supplier et pleuré rien ni fit le marchant était trop inquiet pour elle et il l’enfermât..
Les jours passèrent de vrais supplice, la jeune fille dépérissait et pleurée la nourriture qui lui ramener restait sur le pas de la porte et le marchand inquiet se résolut a la laisser sortir.

A peine eut t’il déverrouillé la porte que ça princesse t’elle une bête sauvage lui sautât au coup et le mordit.. il vas de sois qu’il comprit a ce moments la que le sinistre tueur et ça belle protéger ne faisait qu’un.
L’homme aurait pus bien entendu ce protéger mais il aimait sincèrement la jeune fille ce fut même les deux seul mots qu’il réussit a articuler avant de pousser sont dernier soupir..

La garde le retrouvât la le lendemain matin allonger dans sont lit et déjà raide.. un sourire étrange sur les lèvres.

Quand a la jeune fille on ne sait ce qu’elle devint , les meurtres cessèrent le même jours mais ont dit que souvent une forme blanche apparaît dans les environs rependant dans l’atmosphère une plainte charger de regret et de tristesse…

Une elfe se produit, racontant à qui veut l'entendre cette petite histoire, dans les différentes auberges et tavernes de la région.

Laissez moi vous conter une légende sur le Destin, une parmi tant d'autres ... .

Une légende qui dit qu'à la naissance de chaque nouvel être, Beshaba et Tymora se livrent à un jeu que d'aucun trouveraient cruel. Un jeu qui détérminera le destin de cette personne.
On raconte que ces deux déesses jouent à pîle-ou-face.
A ces mots, l'elfe sort une pièce de sa besace et se met à jouer avec, la faisant rouler sur ses doigts sous les regards de l'auditoir.
Et il est dit que si la pièce retombe sur pîle, le nouveau né sera sous la bénédiction de Tymora.
Et il est dit que si la pièce retombe sur face, le nouveau né sera sous la bénédiction de Beshaba.
Et il est également dit que parfois ...
L'elfe jette alors la pièce en l'air d'un mouvement de ses doigts. Arrivée au maximum de sa hauteur, la pièce semble disparaitre dans le néant.
parfois, la pièce ne retombe pas.
Sur ces derniers mots, l'elfe sourit, se lève et salut son public avant de s'assoire à nouveau et de se remettre à sirotter son hydromel. Ne révélant bien sûr pas son tour malgrés les différentes demandes.

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