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| Sujet: Magie : L'Art et le Pouvoir Jeu 18 Oct - 9:10 | |
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Sur simple demande de Wizards Of The Coast, nous retirons ces posts. Petites définitions tirées du livre Supplément - La Magie de Faerun (D&D 3) L'Art Toute magie ne trouvant pas son origine dans le pouvoir d'une divinité relève de la magie profane. Bien que l'intégralité de la magie soit issue de la Toile, maintenue en état de fonctionnement par une divinité, toute magie n'est pas d'origine divine pour autant. L'usage de la magie profane est dénommé l'Art et les bardes, les ensorceleurs, les magiciens, les assassins, les ménestrels et les autres spécialistes faisant appel à la magie profane en sont les praticiens, qu'ils reconnaissent ou non leur parenté mutuelle. Ceux qui font usage de l'Art possèdent des compétences acquises ou innées pour entrer en contact avec la Toile et en tirer parti afin d'obtenir le résultat escompté. Même s'ils ne comprennent pas consciemment la relation existant entre leurs mots, leurs objets, leurs gestes et la Toile, ils savent qu'elle existe et il est possible de sentir sa réaction à leur manipulation. En fonction des lanceurs de sorts, l'expérience du rapport à la Toile varie - certains disent qu'ils ont eu l'impression de tisser une tapisserie, d'autres de tirer sur des cordes et d'autres encore de s'ébattre dans les remous d'une chute d'eau. Ces sensations sont purement subjectives et n'affectent pas la manière dont leurs sorts fonctionnent. Le Pouvoir La magie qui trouve son origine dans le pouvoir d'une divinité, généralement par le biais de la prière, est une magie divine. L'usage de celle-ci s'appelle le Pouvoir. C'est le nom que les mentors des prêtres, des druides, des paladins, des rôdeurs, des chevaliers noirs et d'autres adeptes de la magie divine ont donné à leurs pratiques. Contrairement aux maîtres de l'Art, ceux qui font usage du Pouvoir ne montrent aucune compétence pour faire appel à la Toile. Leur connaissance en lancer de sorts a été directement implantée dans leur esprit par les divinités en réponse à leurs ferventes prières. Pour un usager du Pouvoir, lancer un sort est une profession de foi et s'accompagne généralement d'une sensation spécifique au protecteur du lanceur de sort individuel. Par exemple, le dos des prêtres de Lathandre va se laisser gagner par une douce chaleur, la bouche des rôdeurs de Malar goûter le sang chaud d'une victime toute fraîche et les oreilles des paladins de Kelemvor s'emplir du léger craquement que feraient des ossements sous leurs bottes. Comme pour les sorts profanes, ces sensations ne modifient pas les effets des sorts lancés. | |
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