Le vent de la forêt apportait le murmure d'un rassemblement.
Elfes, humains s'étaient réunis autour d'un lien ...
Solen était la voix qui les avait rassemblés autour du Cercle.
Les échanges de pensée et de ce qu'il devait être furent étalé sur plusieurs jours et parlementassions que Geriel et d'autres trouvaient Inutile.
Les doutes et visions différentes de ce que le Cercle sera firent tout s'écrouler.
Peu d'enfant de la nature était présent, le manque de paroles sages de druide manquaient malgré la présence d'Aggartha.
Les uns refusèrent de rester en présence d'autres et peu à peu tous s'éloignèrent.
Il était trop tôt encore ...
Geriel prit tout en marchant un parchemin verdâtre dans sa besace et s'arrêta aux bas des marches de la Cîme du Bosquet des Cyprés.
Elle relue les mots écrits ... les mots sages et juste de ce qu'était la nature et son équilibre, les mots de la Sylvea Horrearie ... clan de protecteurs où elle apprit tout son savoir et mit durant des années son cœur à la défense et préservation de l'équilibre naturel.
Il n'y avait pas de doute à avoir ! Elle présenta ce parchemin à Ainorë et le l'homme mystérieux et ils accordèrent tous deux que leur ressentiment était également en ses mots.
La Nature est elle même, nous n'avons pas de lois à prononcer sur elle ni sur ses terres, ses enfants ont pour devoir d'accompagner son action et aide, à la transmission et prospérité des traditions et anciens cultes druidiques, mais rien de cela n'a réunis les volontaires qui s'étaient réunis.
Geriel vit l'évidence qu'il n'y avait que trop peu d'esprit en harmonie, et que le temps où un cercle renaitrait n'était pas encore venu.
Une déception se fit en elle, car chaque matin qui se lève marque d'avantage sa peau et son corps que les elfes et sang mélés...
Les années passaient, lui rappelant que la patience était une qualitée, mais qu'il ne fallait se contenter de regarder...
Elle sentit en elle renaitre de nouvelles pousses de son désire de protection...
Elle fit alors chemin vers le champ des Louves.
La rodeuse savait Coralys voulant le cercle liés aux Louves, alors qu'il lui faut au contraire une totale liberté et neutralité, Solen elle tempérait et parlait de discuter de cela...
Le chemin de Geriel était autre ... Elle écrivit en quelques mots son choix et son départ, puis son respect et son amitié forte pour celles qui fut ses sœurs...
Geriel déposa l'arc des Louves Blanche au pied de l'arbre, laissa le mot, puis partie le cœur serein en saluant les Louves du champ.
Elle se battrait pour l'équilibre seul ou accompagné de ceux qui auront les mêmes conceptions de l'Equilibre de la Nature.