Chapitre 3
Oublis ton âme et sauve ta vie.
Il appartenait à présent à Orcus, tout comme tous ce qui etait à l'intérieur de ce temple... Les journée passaient et les souffrances, les mutilations, les punitions en tous genre succédaient aux veines tentative d endoctrinement...
Chaque jours qui se levait il se demandait pourquoi il vivait encore et chaque jour recommencait le meme programme. On le sortait de sa cellule on lui donnait une arme, on le jettait dans l arène, il tuait ce qui lui était opposé et on le sortait de l arène.
Les fois où il sortait sans être à l agonie on l emmenait dans une piece noire, les pierres étrange de cette salle semblaient se nourrirent de la lumières ambiante si bien que les chandelles dispersées dans la salle suffisaient à peine a voir le bout de son nez.
Là une voix répétait sans cesse les memes phrases, sans cesse les memes mot ...
Oublis ton âme et sauve ta vie. Obéïs moi et tu resteras en vie. Fait allégeance à notre maître à tous !
Et à chaque fois son silence était punis.
Un matin les choses furent différentes, ho biensur pas meilleur juste différent.
On commençat par le ligoter, pieds et point puis il fut menait yeux bandés devant le pretre régisseur de ce domaine. Il entendit des mots étranges et une sensation des plus désagréable emplis son être. Une vive douleur lui vrilla le dos comme si un bete remontait le long de sa colonne vertébrale. Puis il eut des sortes d'immages qui eclataient devant ses yeux... Des morts par dizaines, et lui une épée à la main couvert de sang ... Il comprit a cet instant qu'on lui otait sa libertée d'expretion un sortilège venait de l affecter meme si il en ignorait le sens profond.
Des lors il avait une mission tuer pour le pretre, tuer pour orcus, mais surtout tuer pour rester en vie.
Une heure aprés on revins le chercher, on lui donnat une armure noire et verte, une épée longue et un casque. Il fut conduit sous bonne garde dans une chapelle où il revit pour la première fois depuis presque sept mois son hôte.
- Tu es miens a présent fils de forgeron. Tu te bas bien, bien mieux que la plupart de mes servant. Mais tu n es pas encore sauvé! Tu rejoins les rangs de mon armée cette nuit. Essais de t enfuir et tu mourras, essais de me trahïr et tu mourras, refuse d'obeïr et tu mourras.
A la fin de ces paroles il fut conduit dans une immense salle où s'apprétaient une trentaine de guerriers dans des armures simillaires a la sienne... On le conduisit devant un gaillard d au moins deux metres de haut et a peine plus de la moitiée de large. C'était son chef de compagnie à ce qu on lui en dit...
Quelques heures plus tard il se retrouvait pour la première fois sous la lune et ses étoiles, mais il n eut meme pas le coeur a les regarder tant il était amer de sa situation. L'armée était en marche... Un avant poste était leurs cible...
L'avant poste en question appartenait a l empire du calimsham, il regroupait une centaine de miliciens et de combattants aguerris. Les familles de ces défenseurs plus une partie bourgeoise dont la mission était la négociation de marchandise avec les terres voisines.
L'armée arrivat au zénith de la nuit. Quand le fils du forgeron regardat l armée il s 'étonnant du peu de membre et ne compris pas comment ils pouvaient esperer vaincre un avant poste avec à peine une poignée de guerriers...
C'est alors que le pretre revelat ses vrai pouvoirs, lévitant au dessus de l armée, il psalmodiat rapidement et une lueur blachatre apparut a certains endroits de la plaine, des dizaines puis des centaines de lueurs.
Le prêtre commençat alors un long sortilège qui durat une éternitée tant la méloppée en était macabre... Au fur et à mesure qu il égrénait les paroles du sortilèges les lueurs blanchatre semblaient s'animer.. C'était en fait les corps oubliés qu'avaient révélaient les lueurs qui s animaient...
A la fin du sortilège pres de cent cinquantes morts s'étaient relevés de leurs tombes ... Rejoignant les rangs de l armée "régulière" du prêtre.
L'assaut fut finalement lancé sur l avant poste, fort de ce renfort des plus maccabre l'armée avançat sur l avant poste.
Mais miliciens et guerriers n'étaient pas des fermiers et ils ne bronchèrent pas devant le spectacle pourtant morbide.
Les cors d alerte résonnèrent dans la nuit et la clarté emplits la ville a mesure que les maisonées s'évaillées et allumées leurs chandelles.
Prenant place a une centaine de metre des portes de l avant poste l armée stoppa. Le pretre entrat a nouveaux en action et un immence vortex apparut sous la porte la vrillant sur ses gonds avant de l engloutir dans le néant... Une telle brèche était malédiction pour l avant poste qui ne s y était visiblement pas préparé...
Les flots de mort et de vivant se ruèrent sur la porte disparut... Les quelques gardes deja en faction encaissèrent assez mal le choc et ils furent assez vite débordé...
Des baraquements sortait de plus en plus de gardes pour venir renforcer le front et repousser l assaut. Les morts bien que nombreux n étaient pas des plus puissants et bien vite les gardes s apperçurent qu ils n étaient que des leurres, de la chair a canon... Les vivant eux par contre étaient redoutable dans leurs ensemble...
Le fils du forgeron lui ne forcait pas les lignes ennemis se contentant d'abbattre ceux qui avait la sotise de l attaquer... Il ne voulait visiblement pas prendre part au conflit, mais ce fut le conflit qui s imposa a lui...
A force d esquiver les combat et de refuser les mise à mort il se retrouvat sans le vouloir dans le dos des lignes de l avant poste. C'est là que fut son erreur les défenseur le prenant pour un assaillant trop zélé l attaquèrent de plus belle... Mais lui qu on avait entrainé pendant six mois a tuer ou être tué avait devellopé un sens du combat redoutable esquivant les lames avant meme de les voir il frapait net et sans réfléchir.
La main qui tenait le glaive tombait, le bras soutenant le bouclier etait séparé du tronc, des jambes cisaillées ne soutenaient plus leurs malheureux propriétaires... Et même si peut furent tués directement de sa mains nombreux perdirent la vie soit de ces blessures soit achevés par les autres.
Ce fut ca première bataille... Elle le laissa sans voix, il n'avait pas eut l impression de se battre juste celle de se défendre mais tous ceux qu il détestaient pour leur vilénie et les atrocités qu ils commétaient le célébrés en héros... Comment ces gens pouvaient ils l'acclamer? N'avaient ils rien vu de ces gestes?
De retour au sombre repaire il fut appelé dans l antichambre du temple... Là il comprit alors que le prêtre lui n avait pas été dupe.... les sortilèges les plus douloureux lui furent infligés puis on le soigné par magie avant de le torturer à nouveau...
Le prètre lui fit une révélation, le sortillège qu il avait reçut avant la bataille avait déformé ca vision et là où il pensait blesser il avait tué, quand il cherchait le bras il trouvait le coeur, quand il évitait le cou il tranchait la tête...
D'un geste le prêtre dissipat son sortillège et le pauvre fils de forgeron sentit son esprit se distordre pour se reformer lui dévoilant l horrible véritée de ses actes....
Il avait perdu son coeur, perdu son âme, perdut sa vie... Mais il vivait s en vie, un mort vivant pas comme les autres, vivant de corps mais mort de vie...