Execution d'un Gardien de la Foret de la cité des Voiles.

Le Patriarche de Mortevallée ,
Son Vassal et bras droit , le Grand Inquisiteur Klosk ,
L'Horreur Casquée , Erkenbrand WinterStorm.
Le Lieutenant Enguerand le Ballafré,
Le Sombre Oblat Lomion,
Ainsi qu'un soldat de la main Noire.

Ce sont ces six sombres figures qui arriverent lentement vers la cité des voiles...

Etablissant leur camps dans le croisement du nord pendant un temps...ils se préparerent et entrerent dans les bois...

Déja en luskan la rumeur de leur presence avais retentis et malgres les provocations , ils ne vinrent pas...tétaniser par la peur ou la lachetée...

Alors le cortége viola une loi depuis longtemps inviolée....
Il entra armé dans la foret des voiles...
Ils arriverent face au gardien Elenbrethil...et le combat s'engagea...
Les coups fuserent , chaque bras maniant une arme avait son utilité et son importance.
Mais le Patrairche se reserva le coups de grace , l'horreur casquée et les autres cesserent d'attaqué , laissant le maitre couper la tete du golem affaiblis.
Le Patriarche souleva la tete et éclatat d'un rire rauque...
Puis ils mirent le feux au corps, au bois au feuilles...
Malgres des tentatives des bois pour se venger , les 6 bainites sortirent des bois précédant un nuage de fumée et des flammes...

Ils remonterent vers Targos , et peu apres leur départ , les luskanais arriverent , pour admirer un carnage qui aurais pu etre évité si ils avaient eu le cran de les defier...

Mais comme il est dis dans les dogme du livre noir...

"Defie moi , et tu mourras , et par la mort je t'apprendrais a m'obéir."

Ainsi , la raison et les dogmes semblaient enfin etre connue de la plebe...

Giroflet avait assisté impuissant à la scène...L'horreur de ce crime le boulversait profondément et il s'en voulut terriblement de ne rien pouvoir y faire.
Lorsque les monstres furent partis, il utilisa son souffle de froid pour éteindre les flammes, en commencant par la dépouille d'Elenbrethil...Celui ci disparut englouti dans le sol quelques minutes plus tard, après que des curieux arrivèrent....trop tard.
Plus tard, il nomma celui qui se faisait appeler Winterstorm à la Haute Louve qui avait tenté de les poursuivre dans le nord.
Il fallait que les druides réagissent rapidement...Giroflet mettrait un temps sa mission de coté pour apporter son aide, si petite soit elle.

La tour apportera son aide a la nature et a à ses serviteurs. Eilis ayant participé à la creation d'Elenbrethil .... pourrait recréer un golem protecteur.

Ainorë apprend la nouvelle, alors qu'elle revient d'une mission en forêt de Mirabar.
Elle se rend directement en forêt de Luskan mesurer les dégats causés à la nature par les Bainites... Un lointain passé semble remonter à la surface... Hélàs il n'y a plus de Bosquet, juste des défenseurs de la nature éparpillés... Aussi, après avoir envoyé des messagers sylvestres pour essayer de rassembler les druides et rôdeurs pas trop éloignés, se rend-telle à la communauté elfique, espérant une réunion exceptionnelle du conseil.

Le Patriarche de Mortevallée recevait les échos de sa campagne millitaire en foret...

"Vous nous avez lancer un ouragan , alors que dites vous maintenant , bande d'idiot ? "

Il regarda la tete d'elenbrethil face a lui posée sur son bureau.
Son alcool favoris se trouvais dans une cavité creusée dans le crane de la créature.
Il féttait sa victoire a la maniere des nordistes , dans le crane des enemis vaincus au combat...
Et le liquide rougeatre coulais lentement le long de son menton lorsqu'il regarda ce qui allais une fois de plus remuer la région...

L'acteur de son prochain plan...

Marchand doucement dans la forêt, quelques bruits attirent l’attention de la rôdeuse.
Un groupe d’homme vêtu de sombre se tenaient devant ce qu’il restait du gardien de la nature… mort à leurs pieds.
Elle approcha silencieusement et se cacha non loin mais l’un d’entre eux s’avança vers elle, Geriel su qu’elle était déjà découverte.
L’ordre fut rapidement donner de la neutraliser, les prêtres incantèrent la vision totale et elle sue qu’il lui restait peu de chance à ce moment là.
Un homme qu’elle savait puissant et rapide se tenait devant elle, avançant pour obéir à l’ordre donné, deux autres se mirent en position pour l’encercler, il fallait agir … et vite.
Les ténèbres lui offrirent l’espace d’un instant une protection, puis profitant de la confusion, elle s’enfuit à toute jambe plus en profondeur de la forêt.

Le temps de s’assurer qu’elle n’était pas suivie, elle alla plus en amont et piégeât de quelques mécanismes le chemin de retraite de ses meurtriers. Elle eu à peine le temps de vérifier qu’ils arrivèrent qu’elle voulu s’enfuir pour tenter de les suivre à bonne distance, mais se fut trop tard…
Leur moine éclaireur la rattrapa en quelques pas, ses pièges ne le retardèrent que trop peu et il la sonna d’un premier coup. Elle n’était plus en position de se défendre.
Ecroulée au sol, ruée de coups et inconsciente le reste des hommes s’avancèrent calmement et imprudemment vers les deux derniers pièges qui n’avaient pas été déclanchés.
Cela leur fit quelques blessures mais trop peu, puis la laissant là même au sol presque morte ils reprirent leur route vers le Nord après avoir laissé une fleur de jasmin prés d’elle.

Se ne fut que plus tard qu’on vint prés d’elle lui porter aide et soin, elle était affaiblit, le corps très douloureux elle ne reprit entièrement ses esprits que plus tard puis conta ce à quoi elle avait assistée, impuissante.

L'armure s'avance pesamment à travers les bois, la tâche qui lui a été confiée dans les environs de Luskan devient secondaire, alors qu'elle sent la proximité de son maître non loin. Elle s'enfonce à travers la route jusqu'au croisement qui donne accès au grand nord.

Les bainites s'y trouvent, plusieurs soldats et chevaliers, et le Patriarche lui même. L'un d'eux prêt à s'élancer demande au Patriarche quelle est l'allégeance de l'armure animée, celui ci répond qu'elle est dans leur camp.

L'être qui fut un homme, mais qui n'est désormais plus qu'un esprit hanté laisse échapper ce qui pourrait passer pour un soupire, si son armure n'était pas vide et creuse.

Tuer, tuer ne serait-ce que l'un d'eux lui apporterait une joie infinie, mais il est lié par magie et seuls certains actes précis restent encore à sa portée, bien que sans cesse il lutte.

Rapidement, la situation devient claire, évidente, les bainites ont jeté un défi aux peuples de la forêt, et à la ville de Luskan, mais ceux-ci ne mordent pas à l'hameçon. Aussi... l'ordre est donné, la forêt doit être attaquée en son coeur, la créature gardienne doit être abattue.
Les hommes s'avancent à travers les fourrés, les tailladant sans pitié.
Ce saccage intolérable attire finalement l'attention d'Elenbrethil qui vient à leur rencontre, les hommes s'arrêtent, en un demi-cercle d'acier noir face au golem.

Le Patriarche sourit, puis lève son gantelet, sa voix retentit : "Sir.. Winter's Storm, tuez le".

L'armure grogne, ou laisse échapper un son qui pourrait passer pour tel, l'ordre est clair, précis, ne peut être contourné.

Le sombre spectre s'élance, bouclier fulmigineux levé devant lui, lame tournoyante. Celle-ci frappe l'écorce avec force, le halo sombre et rougeoyant l'entoure un instant, quand la lame se fraye un passage assez profond pour faire jaillir la sève.
Mais Elenbrethil est un adversaire formidable, il s'arrache à la lame qui aurait sans peine tué un ours, et frappe le pavois qu'il plie.
Pendant un instant, bois et acier s'oppose, la sève gicle alors que des pièces d'armures torturées jonchent le sol.
Lentement, l'armure s'affaisse, laissant un adversaire affaibli aux bainites qui bondissent en hurlant à la gloire de leur dieu.
Elenbrethil trouve encore la force de jeter à bas deux adversaires, puis fléchit, son corps jadis si fière n'évoque plus qu'un amas déchardes, et de petits copeaux de bois déchiqueté. Le Patriarche se dresse devant lui, arrogant, et maniant sa lame à deux mains l'abat sur le semblant de cou du gardien, sectionnant la tête dont les yeux s'éteignent enfin.
Les combattants les plus gravements blessés gémissent au sol, brisés et tordus, mais déjà l'armure se relève, l'acier qui la compose se reforme, le dweomer tissé solidement ne laissant nul loisir à l'âme damnée d'échapper à sa prison.

Les serviteurs du tyran se rassemblent, et s'apprêtent à repartir vers le nord quand l'un d'eux apperçoit une femme dans les bois, et la signal à son maitre.
Dans le heaume de celui qui naguère se nommait Erkenbrand, la lueur verte palpite, depuis bien longtemps il l'a vu, mais il espérait pouvoir l'épargner. Hélas, les ordres sont donnés, elle doit être rattrapée, et rossée.
Une première fois, la femme s'échappe, mais le moine finit par la retrouver plus au nord, ses poings frappent, et frappent encore, ravageant son corps et sa beauté puis le moine s'écarte, souriant, satisfait.

Un désir bref prend l'armure, tirer sa lame du néant et frapper, frapper et frapper encore, arracher cette tête au sourire confiant des épaules du Sombre Oblat, mais.. sans acte de celui ci contre l'armure, elle ne peut réagir.

Alors, à défaut de mieux, l'ancien tempusien s'approche du corps de la femme, l'observe, notant sa respiration faible, ses chairs déchiquetés à certains endroits, la plaie plus importante qui pourrait lui être fatale sous peu. L'horreur casquée s'agenouille pesamment, un de ses gantelets rougeoyant vient se plaquer à la plaie la plus grave, douloureuse brulure certes, mais qui pourra sauver la vie de cette inconnue. L'armure a tout juste le temps de se relever avant que le Patriarche et ses suivants ne reviennent sur les lieux.

Le puissant prêtre exige que la femme soit transportée jusqu'à Targos pour y être questionnée.
La lueur palpite sous le casque, et l'armure prend la parole : "Nous.. avons.. trop de blessés avec.. nous.. Patri.. arche.. elle.. nous.. rendrait.. vuln.. érables".
Le dirigeant de l'église de Baine se détourne, irrité, abandonnant là son projet.

L'ancien servant des batailles sourit, lié, il l'est, certe, mais sa volonté n'est pas brisé, et il lutte de toute son âme contre la magie qui le lie.
Il se penche, sur la femme près de qui le Patriarche a laissé tombé une fleur, et sa voix sonne et siffle, spectrale mais pareille à une supplique : "dites leur... dites leur que je ne suis pas.. vaincu.. que.. je lutte toujours.. dites leur.. ".
Puis, l'armure se détourne, et part vers le nord, avec la satisfaction de laisser derrière elle une femme qui va vivre.

//Extrait du journal de Coralys//

Que je suis stupide !!! Hoar pardonne moi j'ai été aveugle. Je n'ai rien compris. Armand, ce porc infecte a pourtant voulu me prévenir. Mais je n'ai vu en lui qu'un fourbe corrompu qui, par une quelconque magie était dominé par les grosses têtes (ndlr les Bainites^^) et qu'il tentait de nous recruter...

Pourtant il voulait attaquer l'ennemi.
Après un ènieme accrochage avec lui j'ai voulu partir au nord, invitant ceux qui le désiraient à me suivre. Alors nous avons vu l'incendie...
Nous nous sommes vite rendu sur les lieux pour y voir le carnage...

Ivre de rage nous avons voulu les poursuivre. En vain ils avaient trop d'avance.
Nous approchions dangereusement d'Hundelstone et mon anneau de protection contre les attaques du froid ne m'offrait qu'un protection limité. De plus j'étais partis en catastrophe et je n'avais pas mon armure spécialement crée pour les froids (hrp elle n'offre aucun bonus spécial au nord, c'est juste une armure plus "complète^^"). Je ressentais donc le froid.

Nous reculâmes et partir à la recherche de Gériel.
Drystan nous mena à elle. Elle émergeait lentement et Aube était penchée sur elle. Je m'agenouillais, mortifiée, Haine se reveillant et commençant à bouillonner (Cora concidère que sa haine et sa compassion sont comme 2 parties d'elles et donc les nommes comme des personnes). Aube me confirma qu'elle l'avait soigné et je l'en remerciais.

Mais Haine débordait et je du évacuer le trop plein. Me contrôlant je parvins à la faire exploser en une décharge d'énergie que je lançais dans les air pour ne blesser personne, contrairement au souhait de Drystan. Mais je n'allais certainement pas le blesser, il n'y était pour rien.

Gériel nous apprit que l'armure qu'était devenu ce crétin de Erk l'avait soigné et parlé.
L'âme du Sharessien Tempusien luttait pour se libérer. Hoar tout puissant quelle horreur... Je ne l'aime pas mais c'est trop ignoble, et je sais de quoi je parle pour l'avoir vécu.

Nous devons le sauver, c'est un abruti de mâle mais je ne puis accepter cela...

Quand aux Bainites... Esclavagiste, destucteur du milieu naturel, ET ILS ONT ATTAQUE UNE LOUVE DONC MOI MÊME !!!
J'ai soif de Vengeance, et bientôt je me baignerai dans leur sang...

Le sol de la foret , aujourd'hui...

Une odeur de charbon , de bois brulé flotte encore dans les airs...

Alors que les sombres bottes de métal d'obscure personnage , vétue d'armure noire comme l'obsidienne, foule a nouveau le sol de la foret de la cité des voiles. Avancant a allure lente , et un calme malsain , celui des futurs meurtriers , de ceux qui seront couvert du sang des faibles...

Quelques lieus devant , les animaux sont encore paisibles...mais au loin...
Une voie rauque déclame lentement des paroles. Avec rage, conviction et gravité...
"Acclame et tue !

Frères je vous appelle depuis la vallée du sang et des larmes...
Avec rien pour pardonner
Un sombre marécage gît devant ; ensemble nous allons chevaucher comme Le tonnerre dans le ciel.
Puisse ton épée rester humide comme une petite fille en son enfance.
Brandissez haut vos marteaux

Le sang et la mort sont dans le ciel, attendant comme des corbeaux
Je suis né pour mourir ,
Entend moi tant que je suis en vie ,
Tout comme je regarde dans tes yeux ,
Personne ne va entendre de mensonges ,
Le pouvoir et la domination se font prendre par la volonté ,
Par la justice divine acclame et tue

*repris par les hommes du Patriarches*
Acclame, acclame, acclame et tue, acclame et tue
Acclame, acclame, acclame et tue, acclame et tue

*puis le patriarche a nouveau*
Mon père était un loup
Je suis camarade des morts
J'ai juré de me relever de nouveau
Je vais apporter la délivrance, la punition et la douleur
Le marteau de la haine est notre foi
Le pouvoir et la domination se font prendre par la volonté
Par la justice divine acclame et tue

*repris par les hommes*
Acclame, acclame, acclame et tue, acclame et tue
Acclame, acclame, acclame et tue, acclame et tue

*puis le patriarche*
Déchire leurs chairs
Brûle leusr coeurs
Poignarde les dans les yeux
Viol leur femmes en même temps qu'elles pleurent
Tue leurs serviteurs
Brûle leurs maisons
Jusqu'a ce qu'il n'y ai plus de sang a répandre
Acclame et tue
Le pouvoir et la domination se font prendre par la volonté
Par la justice divine acclame et tue

*repris en coeur*
Acclame, acclame, acclame et tue, acclame et tue

*puis le Patriarche* ALORS BANDE DE CHIEN ! QU'IL NE RESTE RIEN DE CETTE FORET ! QUE TOUT ETRE VIVANT SOIT TERRASSE ! QUE LES OREILLES SOIENT PRIS EN TROPHEE ! ET SI IL SE TERRE ! ALORS NOUS BRULERONS TOUS POUR QU'ILS NE TROUVENT JAMAIS DE CACHETTE ! LEVER HAUT VOS TORCHES ! ET METTEZ MOI LE FEU A TOUT CELA !

Déclamat il avec une haine et une fougue qu'il ne lui était pas habituelle , comme si il avais été pris par une furie sanguinaire . Pour ceux qui avais connus le patriarche , c'était la un guerrier assoifé de sang , implorant la guerre ! Un messager de la mort , pret a tout détruire ce qui se dressais devant lui.

Alors les 6 silouhettes mirent le feux , mais personne ne vint....jusqu'a ce qu'on entende de lourd tremblement.

Les gardiens de la foret.

NUL OPOSANT NE SERAS EPARGNES !

Un des golems assena un coups de poing au patriarche qui contra le coups avec son bouclier , une étincelle se fit voir , avant que le patriarche sous la puissance ne glisse de quelques mettres.
Il repliqua en blessant la créature a la jambe qui s'écroula....
Comme un tout les bainites leverent leur armes , et transpercerent la créature , de la seve éclaboussan les allentours...
Mais l'autre golem en profita pour assener un coups dans le visage du patriarche , une gerbe de sang noireatre et visqueuse aspergeat les arbres aux allentours.
Pendant ce temps la foret brulais , et les arbres s'écrasaient dans des crépitements infernaux.

Dans ce paysage enflamée , les 5 bainites et le talossien qui s'était joint a eux livraient batailles aux deux golems , remonté par la mort recente de leur frere , les coups fusaient , le sang coulait a flot , peu a peu les bainites furent repoussés.

Puis , alors hors de la foret , bléssés , les membres endoloris , les os cassés.
Les protecteurs de la foret cachés jusque la , entamerent leur travail de charognard. Achevés les bléssés .
Mais les bainites entamerent un replis stratégique , contournant hundelstone , ils attenderent en haut de l'épine dorsale , mais les protecteurs cesserent leur chasses.

Au loin les colones de fumées s'elevant au dessus de la foret de la cités des voiles firent sourire le patriarche. Il portat la bouche a une de ses blessures au bras et lecha son propre sang...
La guerre reprenait forme , et bientot seul les fort subsisterons , et peut etre trouveras t'il un adversaire humain a sa mesure...

(Chant inspiré de Manowar "Hail and Kill" , suggéré par erk)