[RP]Disparition du Commandeur des Lions d'or

Un homme hurlait "les lions d'or, les lions d'or" au milieu de la pace de Luskan.
Gabriel s'approcha en courant, se demanadant probablement ce qu'il étit arrivé à ses alliés.
"C'est horrible suivez-moi !"

Gabriel s'exécuta, sommant l'homme de dire ce qu'il se passait, mais toujours l'homme reste dans le vague.

Puis poche des falaises, on entendit une incantation de dispersion, un mage en noir apparu, et une quinzaine d'archers sortant des ombres, probablement masqué par un cercle d'invisibilité.

"Ne faisons pas d'acte stupide, ou nous mourrons"

La dernière fois qu'on entendit parler de Gabriel, il était catapulté plus mort que vif dans la forêt de Padhiver, un sombre symbole sur la poitrine, et des doutes pleins la tête.

Quelques heures plus tard, Jannella, Valerie et Gemli partirent pour le camp des louves avec l'intention de demander à Laet si elle avait des nouvelles de Gabriel qui etait porté disparu.

Laet les conduisit sans explication auprés du corps de Gabriel. Jannella découvrit le corps de son mari sans vie, elle se mit à pleurer, et la tristesse s'insinua dans le coeur des personnes observant la scène. La troupe ramena le corps de Gabriel dans le temple de Torm ou il fut déposé sur l'autel et recouvert d'un linge blanc.

Aprés les pleures et les prieres, Jannella et ses amis retournerent chacun dans leur demeure.

Jannella restas dans le temple de Torm a veiller sur le corp de son defunt epoux la nuit de sa mort et le rendas presentable. Elle prias une bonne parties de la nuit et pleuras toutes les larmes de son corp maudisant les cyriciens et jurant de rendre justice face a ces chiens galeux qui se croient tout permis. Plus de pitié plus de remords et de regrets les cyriciens venait de declarer la guerre a la haute pretresse de padhiver.

Dans son temple, Sombre parmis les ombres de son laboratoire, le Fils de N'asr souriait...

Le plan qu'il avait soufflé à l'oreille de La Volonté Noire portait ses fruits. Bientôt un autre atout tomberait... Bientôt le mal se mettrait en mouvement... Toujours plus sombre, toujours plus chaotique, toujours plus fort pour la Gloire de l'Unique.

Prenant un os décharné posé sur son bureau, le Fils de N'asr prononca des paroles étranges et de consonnances lugubres. L'os se fixa à un squelette momifié... Ensuite le cadavre se leva...

"Va me cherchez Aldahir..."

Assise dans son fauteuil Coralys reflechissait. Elle venait de revenir de son voyage et avait appris la nouvelle.

Ces imbéciles me surprennent. Pourquoi lui et pas les chefs des factions principales ?
Hum ils sont imprevisibles mais ils ne savent pas tout, et cela va leur couter cher... très cher...

Allongée sur le dos, dans la grotte des Louves, Alia regardait la paroi circulaire qui s'élevait au dessus de sa tête, songeuse. Dans sa main, deux lettres qu'elle avait reçu quelques jours plus tôt. Des lettres qui auraient dû l'avertir, qu'elle aurait dû comprendre et qui lui aurait peut-être permis de sauver le Barde Aldahir...

A défaut de pouvoir ramener les morts à la vie, elle ferait ce qu'elle savait faire de mieux; envoyer les meurtriers rejoindre leur victime...

Elle soupira. Trop de précipitation ammeneraient sa perte, elle le savait sans en avoir vraiment conscience.
Une larme s'écoula doucement le long de sa joue et s'échoua sur le sol caillouteux, qu'elle sécha d'un revers de la main. Puis elle se leva d'un bond.

Un jour pour la vangeance et la haine, et un autre pour la douleur et le silence.

*Lorsque la Matriarche exhorta ses troupes elle s'adressa également aux membres des chevaliers du Lion d'Or, en spécifiant que l'agression sur le commandeur Quintus avait définitivement relancé la reprise des hostilités envers les cyriquistes et que cet acte odieux ne resterait pas impuni*