La femme en question, une beshabite selon certains bruits, serait jugée sous peu au tribunal de la ville, la peine encourue étant pour le moment inconnue. Après son arrestation et les soins prodigués, aucune violence ne lui fut faite tandis que sa cellule demeure on ne peut plus décente: paillasse rembourrée, bassine d'eau et linge pour une toilette sommaire mais efficace, pain, soupe et fruits aux repas auxquelles elle ne touchait pas... ce qui, couplé au comportement et au mutisme de la prisonnière, ne finissait pas de rendre perplexe un certain chevalier de platine...