La Folie des Impurs

L'Inquisition de Fer se présenta sur la place de Luskan, alors bondé de badauds sans le sous, et d'aventurier sans cervelle.
La Légion entre autre avait fait peuve de sa grande stupidité et de son anque d'esprit pour quelques insultes. Les voilà qu'ils voulaient me corrger et me couper la langue ?

En voilà d'autres qui arrivent, d'autres barbares, Naltyss ne les connaissait pas. Ils portaient une armure richement ornés, l'un d'eux brandissait une torche, et on pouvait distingués le symbole de Heaume sur eux deux.
Quoi d'étonnant de voir ainsi des chevaliers du gardien se présenter à Luskan, rien de moins surprenant que les réactions des roturiers.
Un silence de mort, de regardes haineux, un elfe qui crache sur le sol.
Qu'est-ce que cela pouvait bien signifier ?

L'Inquisition de Fer mrite de bruler comme leur victime, etlles étaient les paroles des couards alors que les Inquisiteurs entraient dans l'auberge.
Le Transmutateur suivit les inqiuisteurs pour aller converser avec eux.

La discussion fut intéressante, quoique souvent incompréhensible. Ils étaient obséder par la pureté de choses qu'ils ne connaissaient même pas en invoquant un Très Haut.
Naltyss regarda parfois ers le plafond en imaginant que ce Très-Haut se situaient à l'étage de l'auberge, mais visiblement, les paladins parlaient de quelqu'un d'autre.

c'est alors que la femme lui proposa de servir Heaume. VOilà donc une question fort étrange, qu'est ce qu'un mage qui reste pla plupart du temps cloitré dans son laboratoire ferait chez les Inquisiteurs ?
répandre la pureté et la loi à travers le monde.

Mais il n'eut pas le temps de répondre, car etrèrent dans l'auberge des hommes armés, suivit ensuite par quelques charognards venus se repètrent du spectacle tel des vautours de la viande avariée.

Après une joute philosophique sur la nécromancie, les Inquisiteurs quittèrent la ville, après une halte de plusieurs heures au tribunal, à converser avec le juge à l'armure horrible.
Ils étaient toujours suivi par les barbares, et la joute verbale repris dans la les bois au nord de la ville.
Rejoints par la haute-Louve, les insultes fusèrent et dans un hurlement, le combat s'engagea.
Quelques minutes plus tard, les Inquisiteurs gisaient à terre plus mort que vifs.

Des rôdeurs sommèrent les gurriers de quitter les bois sur le champos en laissant les corps, et alors que tous disparurent vers la ville, en laissant les corps, Naltyss réapparut aux eux des rôdeurs et d'un paladin de Torm.
Ce dernier somma le mage de veiller sur les Inquisiteurs, alors qu'ils allaient chercher de l'aide.

Après de longues minutes, un convoi de Veilleurs arriva;et prie en charge les blessés, remerciant à juste ttre le mag qui avait bravé grêle et tempête pour protéger les blessés contre de sanguinaires sangliers assoffés de chair fraiches.

Après de longues bénédictions, les Veilleurs prirent la direction de Luskan, puis de l'hopital, laissant le mage à ses réflexions, un sourire sur les lèvres, serrant son sac d'ingrédient comme si il possédait un trésor.

Coralys discutait avec la marchande de soie Manon et son ami Nourkène (un des rares hommes qu'elle apprécie vraiment) lorsqu’Amélia et un autre inquisiteur arrivèrent et partirent à l’auberge. Elle se contenta de les regarder, n’ayant pour l’instant que faire de ce qu’elle considère comme des suppôts du mal.

Ils finirent par sortir, suivi par plusieurs personnes. Nourkène et Cora les suivirent pour les voir se réfugier au tribunal. Le Nain et son amie sourire. De leur point de vu les inquisiteurs attaquaient en force mais dès qu’ils étaient en sous effectifs ils courraient se réfugier dans les jupes de la 1ère institution venue (les mots sont de Cora). En clair ce n’étaient que des lâches.

Ils finirent par sortir de la ville sous le regard amusé de la Haute Louve. Avec Nourkène elle suivi le groupe. Elle ne voulait à la base qu’observer, ne voulant pas aider des Légionnaires et des membres de la Ligue qu’elle méprisait.
Le destin fût tout autre.

En pleine forêt elle vit l’inquisiteur (trou de mémoire sur ton nom) avec une torche et le somma de l’éteindre.
Il refusa, la prenant de haut malgré les explications concernant les risques d’incendies. Cora fût outré du comportement de l’inquisiteur et lui somma une dernière fois d’éteindre sa torche, ignorant Amélia au passage.
Devant le refus, elle sortie lentement son épée. Le combat devenait inévitable… Alors tout alla très vite, Cora chargea avec la délicatesse d’un rhinocéros, vite rejoint par Armand et Zach (ce qui fit d’autant plus enragé Cora).
Le combat tourna vite court et les 2 inquisiteurs tombèrent, très grièvement blessés.
Un petit groupe de rôdeurs arriva et somma tout le monde de partir. Saluant les serviteurs de la nature, Cora quitta le secteur.
Pour elle son devoir était terminé pour l’instant.
Elle fût par la suite interrogée par Siegfried. La conversation fût courtoise même si les 2 ne purent qu’admettre que malgré le respect mutuel, aucun des 2 ne pourraient être entièrement d’accord avec l’autre concernant les méthodes à utiliser.

Par contre la conversation suivante, avec Landric, se passa (un peu comme prévu) mal et les 2 se quittèrent en mauvais terme.

Désormais le sang avait coulé, les Louves montraient ouvertement leur hostilité fasse à l’inquisition…

//HRP// Point de vu rp de Cora, tout idée que je manque hrp de respect aux pj de l’inquisition serait une regrettable erreur. Merci aux inquisiteurs de l’avoir joué (et visiblement comprit^^), à Bast pour avoir bien géré la fin de la scène et à Nourkène pour son fair play : Il n’a pas eut le temps de mettre les inquisiteurs en hostile et n’a donc pas attaqué. Bravo Wink

Nous venions de nous retrouver avec Sir Antaras, Magistère de l'ordre de l'Inquisition de Fer, et mage de guerre de son enseignement.

C'etait une journée de plus ou nous allions nous rendre aux abords de Luskan, cette ville corrompue et baigné dans un destin noirci, dans le seul but de purifié quelques âmes pour leur permettre la redemption, et pour eviter a la ville quelques démons de plus.
Aprés notre ronde quotidienne, nous rentrions au sein de cette fournaise démoniaque dans le seul but de reprendre des forces dans l'endroit de débauche et de luxure a la mode.

Nous souffrions chaque pas dans ce lieu de perdition, mais jamais la lumiere du trés haut ne s'eteindra, et c'est celle ci que Sir Antaras portait en tant que symbole, pour eloigner le démon et la tentatrice de notre chaste entourage.

Alors que nous profitions du repos du juste, un mage vint nous accoster.
Il venait de subir les railleries et autres mesquineries des gueux et roturiers de cette ville a notre encontre et il voulait savoir simplement "pourquoi".
Je tachais d'etre claire, et simple, j'espere encore que le message fut passé, cet homme n'avait l'air aucunement mauvais, et cela me touchat de voir qu'il y avait encore des brebis parmis ces loups corrompues.

Trés vite un groupe de charognard vint nous provoquer, a l'interieur meme de la taverne.
Il n'y avait aucun doute qu'ils n'attendaient qu'une chose... Nous chatier.
Au nom de quoi? dans quel but chatier des servants de la lumiere qui ont deja sauvé cette ville de nombreux démons tel que le demi dragon noir et le chevalier du culte du dragon?
Je crains que mon esprit ne trouve de réponse, a part celle qu'ils sont corrompu par les illusions des félons qui ont choisit Luskan comme antre.

A mesure que le groupe de provocateur grandit, nous avions terminé de discuter avec un sorcier qui se faisait passer pour un mage et qui venait nous faire l'apologie de la necromancie... Encore un autre impi a n'en point douter et Sir Antaras devenait difficile a calmer devant de tel provocations qui ne visait qu'a rabaisser notre ordre et notre croisade sainte.
Nous avions donc decider de quitter les lieux, les laissant a leurs railleries pour ne pas nous montrer plus bete qu'eux, et pour ne pas violer la loi.

Nous prenions le chemin habituel pour sortir de Luskan vers le nord, et ainsi reprendre notre barrage divin alors que je m'arreta devant le tribunal.
Nous n'avions pas vu que le groupe nous suivait, si nous l'avions su, nous aurions surement mandé des explications.
Sir Antaras me permit de me recueillir au sein meme du tribunal alors qu'il ne ferait que attendre pres de moi pour me proteger, comme ses dogmes l'y invitent.
Un juge fut présent, mais celui ci me laissa prier, il semblait comprendre l'hommage que je rendais au seul lieu de Justice encore debout en cette antichambre de Lorgol.
Nous avons discuté avec ce juge, essayant de reveiller son esprit face a certaines injustices, mais rien n'y fait. il fut aveugle.

Nous nous appretions a quitter le tribunal lorsque le meme groupe de charognard ayant gagné Coralys en tant que reine charognarde obstruait la sortie.
Ils nous avaient suivit, et tous semblaient etre de meche, Le mage que nous avions rencontré dans l'auberge etait la aussi.
Le juge leur somma de quitter le lieu, les gueux ne resisterent pas longtemps a la crainte de tenir tete a un representant de la justice et ils sortirent.
Nous sortions aprés eux, puis nous reprenions le chemin vers la foret de Luskan, torche en main et maintenant reposé.

Nous n'etions pas vraiment sur, mais un cortege d'agitateur public nous suivait de loin, pourvu des memes charognard que dans le tribunal.
Nous marchions a la vitesse que nos harnois nous offrait, et Coralys couruent evidement plus vite que nous et nous rattrapat au milieu de la foret.

La nuit s'appretait a tomber alors que les charognards rejoignerent Coralys.
Nous avions face a nous, une veritable troupe armé et paré a en decoudre, mais la raison d'un tel regroupement ne pouvait etre que notre fin.

Ils voulaient tuer les servants de la lumiere. Car ils avaient trop a se reprocher et craignait d'etre les suivants tot ou tard.
C'etait clair comme de l'eau de roche, mais mes pensées furent arrété par la voix de Coralys qui sommait mon frere de foi sir Antaras d'eteindre sa torche car il etait en foret.

Cette flamme est le symbole du feu du trés Juste, qui nous garde des démons nocturne, et qui nous guide dans la penombre des profondeurs de la foret.
Mais Coralys ne voulait rien savoir, c'etait un pretexte pour en finir une bonne fois pour toutes... pourquoi? Je ne sais pas. Un caprice peut etre. ou la peur d'etre la prochaine.
Des fleches sortirent de nul part et eteignerent la torche que tenait sir Antaras, ainsi les attaques de Coralys n'avait plus lieux d'etres. Mais pourtant elle continua et s'enerva toute seule comme si une voix la poussait a gagner en rage.

Lames au fourreaux, et droit devant l'adversité nous restions en face d'eux puis Coralys lacha un "et tachez de mourir avec honneur ça vous changera "puis elle chargea pour nous tuer.
Nous n'avons meme pas eu le temps de sortir notre arme que nous etions battu, attaqué par deux autres charognards qui profitaient de la situation pour apporter leur petite contribution.
Coralys recula, cria vengeance... Une vengeance que je n'ai pas su comprendre alors que je sombrais dans l'inconscience. Que pouvait elle venger alors que nous avions rien fait... ?

Mon esprit se perdit et nous etions maintenant a la merci de cette cohorte de roturier.
L'un d'eux inscrivit "Pour S'Zionn" sur mon armure du bout de sa lame alors que Coralys partait n'ayant cure du reste.
A notre reveil, nous ne souviendront plus de rien, a part de notre sortie de la ville et de notre arrivé en foret, tout etait si flou... tout etait si... douloureux dans ma tete... Mais la marque sur mon armure etait le debut de notre enquete, et le marteau de la justice s'abbatra sur qui ose s'attaquer au representant de la lumiere...
Autant les corrompues que ceux qui n'avait rien a faire ici, qu'aux etres qui se disent bon et qui disent se battre pour une cause Juste.

Car cette nuit la, le soi disant bien a profité de la présence du mal pour abbatre des représentants de la lumiere...
Tous corrompu... tous impi... tous egaux ils seront devant la Sainte Justice car desormais il n'y aura plus aucune pitié ni aucun quartier qui sera offert, c'est ce que vient de nous apprendre cette etape que nous envoi le seigneur.

Siegfried venait de terminer la seconde opération, sur l'homme, serviteur de Heaum dont il ignorait le nom. Il plongea ses mains ensanglantées dans la bassine d'eau afin de les lavers. Dans son reflet déformé par les remoux, il songea...

La violence était, visiblement, la seule issue possible dans le coeur des hommes. Malgrès tous ses efforts, malgrès tout son travail, toutes ses études, tout... Sa vie entière voué à une idéologie particulière, sur la nature humaine, sur ses forces, ses faiblesses... Tout était-il qu'un rêve ? On lui avait souvent reproché ses méthodes trop souples, presque au point de lui reprocher sa bonté.

Il sorti de ses pensées au bout d'un moment,s ecoua ses mains pour les débarrasser de l'excès d'eau et les essuya sur un torchon blanc. Il sorti au bout d'un moment, remonta sur Céleste, sa monture, ou plutôt son fidèle compagnon, comme il aime à la dire. Il prit la direction de Luskan tranquilement, les questions le tourmentaient pourtant. La pluie tombait à son habitude sur la ville.

Lui qui souhaitait la voir, pour lui parler des inquisiteurs. Elle les avait attaqué, avec l'aide de la Legion, d'après les dires du magicien qui gardait le corps des deux inquisiteurs. L'amazone fixa le paladin quelques secondes, sur sa monture. Afin de ne pas paraître hautain, il la salua d'abord poliement, puis descedit de son cheval, afin d'entamer la discution en pleine rue.

Toujours les mêmes questions qui reviennent sans cesse... Toujours des pourquoi, des pour qui, des comment. Cette femme que la vie avait rendue amer, triste et qui l'avait tant fait désespérer. Elle n'était pas devenue mauvaise, non. Simplement diffèrente. Pourtant, il en était de même pour l'inquisition. Après la discution sans fin, un autre chevalier arriva. Impoli, pressé, futile, et superflux, il souhaitait parler à la haute louve en priorité. Siegfried d'eclipsa, ne souhaitant rien partager avec cette inquisition qu'il trouvait indigne de l'attention des Dieux pour leurs méthodes trop expéditives, sans coeur, et surtout sans passion.

Non, je ne désespèrerai pas. Il n'est pas question que j'abandonne ma vie par de simples échecs. Je me dois de montrer l'exemple. Certains disent que je suis un rêveur, mais heureusement, je ne suis pas le seul à penser qu'en chacun de nous, il y a du bon, et du mauvais... A nous de choisir quel côté nous souhaitons servir.

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