Lovi Adepte du Val (floodeur en devenir)
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| Sujet: *a proximité de l'hopital* Jeu 1 Juin - 23:07 | |
| Le Soleil commencait à chasser la Nuit, Luskan... tout est calme... vêtue de sa robe blanche de Cérémonie, elle attend... une petite fille passe, elle sourit... oh non ma belle, ce ne sera pas toi aujourd'hui... pas encore... un homme passa quelques minutes aprèsTon paysan de frère par contre... Un doux parfum attira rapidement l'attention de l'homme, il hésita... puis poussé par son instinct... il se dirigea rapidement vers sa source. La jeune femme était là, vêtue de sa légère tunique blanche, un masque de velours de la même pureté posé sur son doux visage. Il n'esquissa aucun mouvement de recul quand elle s'approcha de lui, son sourire... radieux et engageant... Elle l'embrassa langoureusement.. Il sentit qu'elle avait déposé quelque chose dans sa bouche... Il avala... son tête se mit a tourné... le haut ...le bas... la gauche et la droite... tout semblait confondu... le sol avait a présent la même couleur qu'un nuage de souffre... alors que le ciel brillait de sa pourpre lumière... il sentit qu'elle l'entrainait... vers où ? Seul sa guide le savait... Il sentit qu'elle l'allongait sur une pierre plate... commencant a déboutoner sa chemise...
- Public avertit seulement a écrit:
Doucement elle le regardait, il était jeune et vif... S'approchant... lentement elle lui entrava les mains...reliants ses poignets a ses chevilles de paysan. L'hallucinogène commencant à faiblir... la cérémonie allait commencer. D'un geste précis et vif, elle tailla la commisure des lèvres, la lame remontant jusqu'a la moitié de ses joues Si tu cries... les plaies se déchirerons, lentement ta machoire se détachera et tombera... tu commencera alors a te vifé lentement de ton sang.. sa voix était aussi froide que la pierre sur laquelle sa victime était attachée, regardant sa victime elle ajouta : Tu as bien compris j'espère. le pauvre être acquiesca de peur de trop ouvrir la bouche,serrant les dents le plus fort qu'il pouvait. Elle sorti son atamé rituel, la courte lame torturée suinté d'une lueur macabre Par le Feu et le Froid, compagnons de Douleurs, investissez cette Lame Sacrée, par La Volonté de ma Déesse, obéissez. Elle pouvait sentir la température de la Lame se modifier... une aura de feu l'entourant, alors que le métal lui se faisait de plus en plus Froid. Le visage de l'homme se décomposa... gigottant pour tenter de se défaire des liens... il sentit alors, plusieurs pointes d'acier s'enfoncer dans ses chairs... réprimant un cri, et fermant ses yeux devenu humide... Elle sentait sa douleur... et c'est avec un sourire en coin qu'elle lui enfonça sa lame dans le flanc... il cria... mais aucun son ne sorti de sa pauvre gorge... il avait l'impression que sa machoire pesait de plus en plus lourde.... la lame de Froid lui brullait les entrailles... il ferma les yeux... Elle étaient aux anges... s'attelant a découper proprement les paupières, elle ne voulait point qu'il puisse louper un tel spectacle... Malgrès le sang qui coulait de tempq en temps sur ses yeux dépouvu de protection...il la voyait.. elle était completement Nue ... une beautée sublime... quelques traces rouge sur sa divine peau attirairent son attention... il pouvait voir de multiples aiguilles qui traversaient le nacre de la peau de sa tourmentatrice. Tu aimes le spectacle... tu ne dis rien ?... Quel dommage... Elle saisit le pommeau de son Knout... et observa le martinets aux lanières de fer barbelets, elle était a présent au dessus de lui. Elle posa doucement les lanieres sur le visage du jeune homme... puis d'un geste vif et assuré se flagella, les barbelets pénétrant dans la chair délicate de son dos,gémissant de plaisirs, elle extraya l'instrument... le balancant avec force sur le visage du bougre... arrachant chairs et oeil... Il criait... son oeil valide expulsant autant d'eau qu'il pouvait.. mais toujours aucun son ne sorti.... Quelle impuissance... Elle passa longuement ses ongles sur ses lèvres, avant de les planter dans l'oeil restant... Le voile Noir tomba ... il ne voyait plus... il n'y avait plus que sa douleur.. et ce corps si chaud au dessus de lui... et cette douleurs... il se sentait partir... quelque chose semblait vouloir sortir de son propre corps... il pleurait sans ses yeux... il hurlait sans voix... et cette douleur...
Des gardes a proximité alerté par le cri d'une petite fille arrivèrent, les braves gardes virent la petite évanouit a proximité d'un corps posé sur une pierre plate... le sang avait coulé... Sur sa poitrine, un Fouet à 9 Lanières marqué au fer rouge. un des gardes alla bravement vidé le contenu de son estomac a proximité... le corps bouga légèrement, le garde approcha... Alphonse ! il est Vivant ! va chercher les guériseurs !!! Peut être est ce cela... la Miséricorde de Loviatar...Hrp : si ce post est jugé trop "trash" merci de le censuré, je sais qu'il y a des mineurs sur le val, merci | |
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Tandark Gourou du flood
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| Sujet: Re: *a proximité de l'hopital* Jeu 1 Juin - 23:40 | |
| Le docteur Wong accourut aussi vite qu'il put depuis le campement des Veilleurs, de l'autre côté de la Mirar. La préparation de son expédition attendrait... Ce qu'il vit en arrivant failli lui soulever le coeur: non pas la l'état de l'homme qu'il allongé devant lui sur une table, mais l'idée que quelqu'un ait pu lui infliger de telles atrocités. Même les victimes de la peste qu'il avait soigné à Pondarchen semblaient belles à coté de lui: ce n'était plus qu'une plaie béante. Le docteur Wong, assisté de deux autres guérisseurs, commença à prodiguer des soins au malheureux, quand quelque chose l'intrigua: la plus grosse plaie, sur le flanc, a déjà été recousue. Mais quelque chose semblait bougé en dessous... Le docteur Wong prit une profonde inspiration, et entreprit de rouvrir la plaie. Les Guérisseurs reculèrent tous horrifiés: il y avait rat, bien vivant, qui dévorait les entrailles du malheureux. Le docteur Wong lui-même faillit avoir un haut le coeur: ce qu'avait subit cet homme dépassait tout ce qu'il avait pu voir comme horreur et comme immondice jusqu'à présent... Il resta auprès de l'homme toute la nuit, à recoudre les chairs, à nettoyer les plaies et à les bander. Aucune n'était très profonde, mais c'était leur nombre qui effrayait le docteur Wong: le pauvre homme avait du souffir mille morts...Il ne put rien faire pour les yeux arrachés, ni pour les cordes vocales sectionnées, mais on conserverait l'unique oeil qu'on avait pu retrouver dans la chambre froide de l'Hopital, un prêtre puissant pourrait surement faire quelque chose... L'homme se reposait à présent, il semblait en état de choc, et ne remettrait probablement jamais des sévices qu'il avait subit. Le docteur Wong en vint à se demander s'il n'aurait pas été préférable qu'il fusse trouvé mort. Il balaya cette idée d'un revers de la main, et envoya un Guérisseur faire un rapport à la Garde de Luskan... | |
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