Un convoi pour Luskan

Les mendiants avaient parlé. Luskan attendait un convoi de vvre en provenance de Padhiver. L'occasion était trop belle pour passer à côté.
Sa Volonté Noire dépêcha des juges, la Chancelière et des Epéistes au nord de Port Last pour tenter de stopper ce convoi.

Des pièges furent installés sur la route pour détruire les roues des convois, et les vrais-croyants attendirent avec impatience les infidèles.

Les éclaireurs arrivaient. Ils annonçaient la présence de la Haute-Louve et de Dignitaires Templiers.
Que faire. Sa Volonté ne pouvait reculer.. pas devant ses hommes.
Mais lorsque la Haute-Louve arriva, fit disparaitre les pièges, et lorsque l'escorte du convoi apparut, le repli était la seule solution énvisageable.
L'Unique ne voulait pas qu'on le servent en ourrant, contrairement à ce que pensaient les plus idiots des fidèles.

La troupes de vrais croyants parti vers le nord, jusqu'à l'ancien avant post de la Coalition, celui là même détruit par les vrais croyant, 1 an plus tôt.
Le pont était toujours présent.
Aussi, le rand Séraphin du Mensonge proposa à Sa Volonté de détruire le pont. Quelle glorieuse idée, si bonne que si on l'eut demander à qui elle appartenait, Lucass aurait répondu qu'il s'agissait de la sienne.

La colère de Cyric s'abbatit sur le pont qui prit feu, et s'écroula. Le convoi était bloqué.
Peut-être jugerait-n qu'il s'agissait ici d'un échec.
Celui qui tuera Sa Volonté, approtera la volonté de Cyric !

Rentrés au port, face à lui, son frère.
"L"heure est venu mon frère. Nous allons régler nos différents, suite à ton échec."
"- Chien putride ! tu ne peux rien contre moi !"

Aussi, Lucass eut raison de son frère, qui gisait à terre.
Mais alors qu'il ordonnait à tous les fidèles, effarés et effrayé par l'action à laquelle ils avaient tous assistés, un épéiste se jetta sur Lucass et le pourfendit.
Misérable chien, il sera maudit pour son acte hautement blasphématoire.

Lucass se réveilla sur l'autel, à côté de son frère, lui aussi en vie. Pour la Gloire de Cyric !
Il regarda son frère.
"Demain, La Volonté sera choisi.. mais pas de la manière ou tous le pense. Nous ne pouvons diviser le clergé. L'heure est donc venu de prendre notre indépendance sur Noirdessein Akhlemere, mon frère."

Gloire à l'Unique !

La vermine cyriciste avait encore frappée. La destruction du pont avait coupé toute possibilité de rejoindre Luskan par la route.

Il ne restait qu'une solution. Retourner à Padhiver afin de charger la marchandise dans un navire et rejoindre Luskan par la mer. Il y avait un avantage finalement à ce que le pont soit détruit, la vermine ne pourrait attaquer le convoi par l'arrière.

Arrivés dans la cité des artisans, les femmes et les hommes de bonnes volontés s'affairèrent à charger les vivres dans les soutes de l'Espérance. Lorsque cette tâche fut terminée, le navire appareilla sous la pluie.

La Haute Louve se tenait à la proue, fixant l'horizon devant elle...

Malgré quelques problèmes mineures et contrairement à ce que je pensais, la Vermine Cyriquiste ne fit pas son apparition directement, n'attaquant pas de face comme à leur habitude. Les traitres !
Ils détruisirent seulement le pont nous coupant toute avancée vers la cité des voiles.
De plus une des roues du chariot était endommagé il fallait la changée. Ne pouvant soulever la charrette, le nain qui nous accompagnait s'en chargea.
De quelques coups de marteaux comme mon père me l'avais appris je changit la roue évitant un trop gros efforts au nain qui brillait par sa force prodigieuse.
Alors que nous revenions vers Padhivers une êtrange femme fit son apparition, une certaine Lady Aria. Une femme êtrange vétu de noir, dans un carrosse noir, attelés de chevaux noirs et entourés de deux gardes du corps.
La femme voulait-elle espionner ce convoi ? ou simplement faire son chemin indépendamment de celui du convoi...Bonne question...

[hrp]

Citation :: Malgré quelques problèmes mineures et contrairement à ce que je pensais, la Vermine Cyriquiste ne fit pas son apparition directement, n'attaquant pas de face comme à leur habitude. Les traitres

Ben c'est jamais notre habitude d'attaquer de front..[/hrp]

Dans les bas Quartier et le Port de Luskan, les oeils de Cyric étendaaient la gloire de Cyric.

"Un navire rempli de nourriture va arriver ! Mais savez vous pour qui est cette nourriture ? pour les nobles, et les marchands !
Dites non à cela ! Prenons possessions des cargaisons dès leur arrivée !
N'écoutez pas les mensonges des Templiers, tous au port ! et prenons cette nourriture par la force !"

Luskan est une ville portuaire, et en tant que tel, les navires qui y entrent où en sortent sont nombreux.
Ce matin, un malheureux navire en provenance d'Atkhatla fut litérallement dépouillé par une horde de brigands et de mendiants à son arrivée au port. Ceux-ci en furent pour leur frais, le bateau ne contenait que du bois. Et ce n'est pas avec du bois qu'on se rempli l'estomac.

Nul doute qu'après cet accident, la garde de Luskan ne va pas rester sans réagir...

Une petite elfe blonde, passant beaucoup de temps avec les pauvres de la ville, observe de loin le pillage.

Elle se mit à la recherche de Sire Joseph ... Elle devait avoir le soutien des nobles de la ville si elle voulait faire quelque chose.
Elle posa des questions aux gardes du port, gardant avec elle la precieuse clé de la calle du Galion.

» Message pour les citoyens de Luskan
» Arrivée à Luskan pour le conseil.
» Réunion pour la suite de Luskan
» Lettre de Cyric pour Luskan, Padhiver et Cie
» Oeuvre de Charité pour l'hopital de Luskan.