Dans la nuit de Lorgol
Il pleuvait et l'odeur etait nauséabonde, l'ambiance était des plus sombres dans les quatiers de Lorgol
comme a son habitude vous me diriez.
Mais quelque chose se passer, et les rares badauds purent voir une calèche trainer de 8 chevaux entourer
par 6 cavaliers parait de blanc ... la calèche portait un emblème qui n'avait plus été vu depuis fort longtemps
en ces murs.
Dans un fracas de bruit de fer et de sabot martellant le sol, la troupe s'enfonca dans Lorgol, s'arrêtant au divers
passages gardés. Aucun soldat n'empêcha la calèche d'avancait ... ainsi elle put arrêter sa course devant ce temple
majestueux.
Aussitôt un cavalier descendit de son cheval et ouvrir la porte de la calèche, on vit une silhouette de blanc vêtue y descendre
Aider du cavalier elle monta les escaliers pour se planter devant les grandes portes du temple, la silhouette contempla
un instant cette batisse, la découvrant pour la première fois ... un léger sourire déforma son visage quand elle vit l'immense
l'emblème du Clergé à cheval sur les deux portes.
Le cavalier attrapa l'immence anse et l'actionna provoquant un énorme résonnement dans la place ce qui provaqua l'ouverture des portes
un serviteur de temple sortir et à la vue de la silhouette se coucha implorant la miséricorde et demanda la bénédiction de la silhouette
chose qu'il recut et s'empressa d'accueillir ce haut personnage de son Clergé. Beaucoup de badaux été venus voir ce manège, d'autre
avait osés montaient les marches et commencait a former une masse gardait par les 5 cavaliers et quelques serviteurs du temple venus suite
au bruit de la foule, des mumures se firent et des cris a la gloire du Clergé se firent attendre. La silhouette disparut dans le temple a l'ouverture
des portes.
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Le lendemain a l'auberge de la plume noir.
Client1:
-Pour sur de mes propres yeux une armée ils etaient ... ils se sont arretes devant le temps *rot et boire encore une gorgée d'hydromel* j'ai meme vu
le seigneur vetu de blanc ... oui messire comme je te voit.
Client2:
-Mais que dit tu ... sale menteur ... tu ment comme tu bois toi, on a rien vu, juste une silhouette dans un habit blanc meme les cavaliers etait casqués
et vetus de blanc.
-Allez ... ! *cri* AUBERGISTE ... ON A SOIF !!!
Client1:
-En tout c'a va bouger lasbas ... *rire se tourne vers un soldat bainite qui buvait un verre* et toi le garde ...
-Peut-tu nous dire qui c'est qui est arrivé lasbas ?
Le garde:
*le toise d'un sale regard*
-Ferme la espèce de gueux ... sinon je te coupe la tête ... compris !
*un silence glacial de queqlues secondes suit ce moment ... puis l'ambiance général reprend le dessus, et nos deux compères préfèrent se taire et boire dans un silence savalteur pour eux.