[PRC][Validé][Prêtre/LDRU][N]Diela ForgeÂme Dankheim

Citation :

om du compte joueur: aurelienlaniece

Nom du perso: Diela ForgeÂme Dankheim

Race: Nain d'Ecu

Age: 154 ans

Alignement: Loyale Bonne

Religion: Moradin


Fille de : Terk Forgelûne Danhkeim et de Tela Forgecendres Dienek


Domaine : Protection, Bien

Classe(s): 15 clerc / 10 Lançeur de runes

Arme de prédilection: Marteau à une main

Trait de Caractère: Polie, souriante, perfectionniste

Description physique: Naine aux cheveux noirs, et aux yeux bleu. De bonne consistance, elle possède un certain charme.
Langues : Commun, Nain, Gnome

FOR : 14
DEX : 10
CON : 12
INT : 14
SAG : 16
CHA : 10

Dans la citée naine, située dans les terres de la côte des Epées par une chaude nuit d'été un prêtre s'activait rapidement à l'arrivée de sa déscendance. Terk Forgelûne Danhkeim venait à peine de terminer le berceau forgé de ses mains, qu'un nain arriva, haletant :

Votre... femme vous attends dans ses appartements!

Jamais Terk n'eut courût aussi vite de sa vie. Son pas se faisait entendre, il était anxieux. Quelques minutes après, il arriva dans les appartements de sa chère femme. La fatigue se lisait dans ses yeux, ses draps étaient couverts de sang, et elle tenait un petit être dans ses bras. Terk se rapprocha, les larmes aux yeux, chose rare qui ne lui arrivait quasiment pas. Une fille. Cela sonna comme une révélation, une explosion intense dans son coeur : Comme si Moradin lui même lui avait rendu visite.

Les premières années de sa vie ne furent pas de tout repos, la cadence devait être respecter, les horaires tels des runes tracées, intemporelles devait être elles aussi respectées. La rareté au sein d'un clan de la naissance d'une femme faisait poser déjà de lourdes conséquences sur celui - ci. L'insouscience de l'enfance fût briser tôt, remplaçée par le rêver réalisable de forger un avenir digne de celui qui selon elle avait forger son âme comme cella de son père jadis : Moradin. Il fallait déjà trouver a qui elle pourrait être marié. Cela été raison de conflits au sein du Clan, d'un coté l'on disait qu'il fallait la marier au sein d'un clan de la cité, de l'autre il fallait la marier dans une citée de jeune nains. Chef du clan, le père décida que le moment n'était pas venu, et qu'il était indigne qu'elle soit promise à quelqu'un sans avoir son avis à donner. En bon patriache du clan, l'avenir de sa fille lui appartenait. C'est tout naturellement qu'elle rejoigna dès son plus jeune âge l'église de Moradin par ses voeux :

La défense de la race, de l'honneur et de la justice, l'avancement de la race naine dans tous les aspects de la vie, la fondation de nouveaux royaumes et clans, de l'éducation des jeunes, spécialement de leur apprentissage de l'histoire, sont pour moi partie intégrantes de mon âme.

Moi, Diela ForgeÂme Dankheim, Fille de Terk Forgelûne Danhkeim et de Tela Forgecendres Dienek


Récite le dogme de notre dieu, et fait voeux de servir le peuple Nain toute ma vie, et par delà la mort :


Par ce serment, j'affiche mon appartenance au Culte, moi Diela ForgeÂme Dankheim, jure de faire honneur aux Patriciens et aux Prêtres Artisans qui composent ma famille.


Elle touche la pierre du temple, et voit pour la première fois la salle où est officié la messe. Elle est seule, seule et contemple l'enclume chargée d'histoire, magnifique, géante, illuminée d'une grâce sans fin, une oeuvre digne de la race Naine, qui lui étreins le coeur au premier regard. Un sentiment flou l'envahie, une larme perle sur son visage doux et juvénile, elle n'a que 30 ans et comtemple l'éternité devant elle.

Ces murs, ce sol, sont chargés d'histoires. Comment être certaine .. Entre montagne, et et rocher, à un âge aussi peu élevé je ne peux savoir. Suis - je digne de ma famille, des espoirs que l'on pose sur moi? . Je pense que oui, Père ne se trompe jamais.


Son père rentre dans la salle : Ma fille que fais tu là? Déjà pressée d'épouser encore une fois la vrai Foi? Celle qui anime ton coeur? Tu n'imagines pas la fierté que de te voir à l'avance à ta première prière. Je me doutes à ton teint, que tu l'a déjà bien prié avant de venir ici, mais ici c'est officiel. Ton apprentissage va commencer, Et comme toute prêtresse, tu auras besoin de ton marteau. C'est l'arme qui guidera le peuple Nain. Nous allons évoquer en second lieu la deuxième partie de ton apprentissage.


Sa première prière fût un moment de joie indescriptible, durant lequel elle dût avec son père, forger le marteau qui allait guider le peuple par sa main et par son âme. Il était midi, la forge était chaude. La sueur perler sur son front. de sa main gauche elle saisit le burin, et fit le premier trou dans le bloc de métal dont elle ignorait tout. Elle rencontra une résistance vive, c'était de l'acier ! Elle regarda son père, il avait le regard sévère. Elle respira un grand coup, et donna un autre coup avec le burin creusant du deuxième coup la place necessaire pour inclure le manche. Le bloc était petit, fondu dans un moule de 45 centimètres de large, et de 75 cm de long, et de 45 cm d'épaisseur. L'enclume chargée d'histoire, en est le support, l'âtre derrière est brûlant : il fait chaud et pourtant elle doit le faire. Et elle le fait. Peu à peu, elle réuni les ingrédiants nécessaires : La poignée, de quoi souder et faire la jonction entre le marteau et la poignée.. et sa Foi. Le temps passe, le bloc chauffe, la poignée s'encastre. Mais cela n'est pas fini, le plus dure arrive, la base est là.. et c'est 20 années qu'il lui faudra pour y inscrire la vérité de sa foi.

Maintenant, il fallait grâvé : Plus que le décorer, cela relevait d'un art particulier. Cet art, qui se transmettait dans la famille depuis des générations, c'était les Runes. En retraçant l'histoire de leur clan, ils remontent au temps de Karag Dron dans la Montagne Tonnerre. La preuve étant que l'enclume du destin, appartenant à la communauté, est marqué du nom Dankheim.

Mais pour graver, il faut connaitre, et pour connaitre il faut écouter. En cela, elle reçu un double apprentissage de son père chargé de deux missions : La conduire sur son chemin de Foi, et la former à la maitrise de l'art ancestrâle de la famille : Les Runes.

De l'évolution de la Foi, liée à la découverte des Runes

Regarde ma fille, voila un " alphabet " que j'ai gravé à même la roche de ta chambre. IL n'y a pu de lit, pu de commode, elle est vide et tu pourras le voir quand tu rentreras ce soir. En cela, Je te pousse à créer ton propre mobilier, à façonner Pierre et Féraille. Lui dit son père.

Elle resta concerné, son propre père l'avait dépossédé de ce qui avait fait son enfance. Elle ravala sa colère, et hôcha la tête. Elle ne se permettrait pas de s'opposer à sa décision. Mais tout de même, elle fût emplise d'une déception sans nom. Après sa prière, elle rentra voir tout de même le carnage. Une chambre désespérément vide. Mise à part des torches au niveau des runes gravées, rien n'éclairer la pièce. Elle était vide. Il ne lui restait que ses habits de cérémonies, et son marteau encore vierge. Réprimant sa colère, elle commença à étudier les runes.


Au fur et à mesure que la nuit avançait, elle commençait à comprendre. La fatigue, la faim, le manque de bière dans son sang se faisait ressentir. Des lettres. Mais que signifiaient t'elles? Quels étaient leur sens? Ses questions allait s'en remettre à demain, après la prière, et sûrement après le travail sur le mobilier. Demain, elle aurait besoin d'un bloc de roche, pour son lit, elle aurait besoin de fer, et elle devrait travailler et fournir un travail qui pourrait être échanger contre des draps, et du superflu.

Durant quelques jours, elle vécue dans la misère, et ne connu presque pas le repos. Sa chambre fût finie plus tôt qu'elle ne l'espérait : L'idée que son père avait eu fût claire dans son Esprit : Moradin ainsi que lui même décidèrent que pour construire une prêtresse, il fallait partir d'un bloc pure, loin de toute habitudes.

Ainsi Diela forge sa Foi, en apprenant les runes transmises par son père, ainsi se prépare t'elle en se construisant sa base, en oubliant le passé, en visualisant l'avenir à devenir Prêtresse et Lançeuse de Runes.

Premier Mois d'étude : Fehu : le bétail, l'argent, la richesse : c'est la Fertilité. Elle symbolise aussi le feu primordial, et est à l'origine de toute chose. (Lettre F). Le feu est la base de toute forge, sans cette base le peuple Nain ne pourra avançer. Elle se trouvera sur mon marteau en première rune de mon marteau.


Deuxième mois d'étude : Uruz : le bison, le bœuf, la force vitale première. (Lettre U). La force est necessaire à la vie, pour construire ma vie je décide d'être forte.



Troisième mois d'étude : Thurisaz : les géants, le supplice des femmes. (Lettre TH ) Cette rune infâme, est celle de l'injustice, je ne l'utiliserai que pour contrer sa signification.


Quatrième mois d'étude : Ansuz : Moradin, poutre sacrée ou pieu des ancêtres. Elle symbolise surtout l'inspiration, la conscience. (Lettre A)
Elle sera la seconde rune de mon marteau.

Cinquième mois d'étude : Raido : la chevauchée, le chemin, le voyage dans les ténèbres. (Lettre R). Le chemin de la Foi est parsemé d'ombre, je me servirais de cette rune pour y trouver mon chemin.


Sixième mois d'étude : Kaunan : la torche, le canot, le bateau. (Lettre K)
Cette Rune est celle qui me guidera à travers Raido. Cette rune est partie intégrante de ma Foi.

Septième mois d'étude : Gebo : les dons et cadeaux, le Sacrifice et les offrandes. (Lettre G). La vie, est un cadeau fait de Moradin aux nains : Cette rune est la preuve que Ansuz ne tombera jamais dans l'oubli, car elle est gravé dans le coeur de tout Nain.

Huitième mois d'étude : Wunjo : le délice, la magnificence, le confort. (Lettre W). Cette rune n'est pas un vice, tout travail mérite salaire, elle est là pour consolider nos Gebo.


Neuvième mois d'étude : Hagalaz : la grêle, l'orage, la Magie néfaste du Temps. (Lettre H ou CH). C'est une rune d'avertissement, tout peuple traverse sa tempête, celle ci est celle que les nains traverses : Hagalaz l'injuste, la réunificatrice.


Dixième mois d'étude : Naudiz : la servitude, la détresse, la contrainte, le tourment, la nécessité. (Lettre N). Le rappel que tout Nain peut la connaitre, elle doit être évitée au possible. Sauf pour les avards, qui en seront marqués. L'avarice mène à la necessité. Et elle est signe de Abbathor.

Onzième mois d'étude : Isaz : la glace, le froid et le malheur. (Lettre I)
Le malheur peut surgir à chaque instant, cette rûne doit être évité, mais elle tombe toujours comme une pique acérée malgrès tout ce que nous méttons en oeuvre pour l'éviter.

Douzième mois d'étude : Jeran : les années, les saisons fertiles, les récoltes et la bénédiction du champ. (Lettre J)
A interprêté avec sagesse : La fertilité naine ? celle de nos idées? Être mère d'un enfant issu de mon sang, pour moi est pour l'instant ma plus grande peur. Elle représente aussi la déesse Berronar Purargent, que nous prions tout au long de notre vie, nous les femmes!

Treizième mois Eihwaz d'étude : l'if, la mort, la proscription de la Magie et autres dangers. (Lettre E). De connivence avec Isaz, elle doit être évité au possible.

Quatorzième mois d'étude : Pertho : divination, hasard. (Lettre P)
Elle est partie intégrante de la vie.

Quinzième mois d'étude : Elhaz : l'homme, la fourchette, l'ambivalence. (Lettre R) Les Umgis ont aussi leur plaçe, ils sont cependant pris avec méfiance : leur atouts sont aussi leurs défauts!


Seizième mois d'étude : Sowilo : le soleil, la lumière, la chaleur et la fertilité. (Lettre S). Chose que nous ne connaissons que peu, mais qui a tout de même son importance.. à découvrir si un jour je voyages.

Dix-septième mois d'étude : Tiwaz : la flèche, la fidélité, le dieu de la Guerre Clangeddin . (Lettre T) Les autres membres du panthéon sont à ne pas oublier, et ils ont leur place aussi dans les runes.

Dix-huitième mois d'étude : Berkanan : la branche de bouleau, le mariage et la déesse..

Dix-neuvième mois d'étude : Ehwaz : le cheval, l'accompagnateur du char du soleil. (Lettre E). Par quoi sont tirés les âstres ? la réponse est peut être cette rune.


Vingtième mois d'étude : Mannaz : l'Umgis, l'humanité. (Lettre M). A concidéré, bien n'étant pas nain, pour ses idées.


Vingt-et-unième mois d'étude : Laguz : l'eau, la mer, les lacs et les sources. (Lettre L). L'eau, necessaire pour refroidir les ardeurs, doit pas être oubliée.

Vingt-et- deuxième mois d'étude : Ingwaz : Cette rune symbolise Ingwi : L'évolution d'un nain ou d'une naine qui deviens un héro. (Lettre NG)
Elle sera ma troisième rune.


Vingt-troisième mois d'étude : Dagaz : le jour et la luminosité, à l'origine du feu sacré. (Lettre D). Pour moi, elle peut être associée à Moradin.

Vingt-quatrième mois d'étude: Othalaz : la propriété foncière. Le contraire de Fehu. (Lettre O) La dernière, elle est difficile à devinée, et dûre à accepter.

De son passage à l'âge Adulte, par l'inscription de ses premières runes.

Il est midi, la forge est à sa chaleur maximum, l'heure est à la prière, et elle prends la parole :

J'ai trouvé Père, j'ai trouvé ma FOI ! Ecoutez moi, frères et soeurs :Ansuz, Ingwaz, Fehu ! Voila les trois RUNES que je vais inscrire sur mon marteau, Voila le sens que je veux donner à ma vie ! Père, mon maitre, Prenez votre marteau et méttons en pratique : L'attente est trop longue, et le moment est venu : Moradin me frappe le coeur comme je frappe de ma voie chaque lettre qui sort de ma bouche !

Le père réponds

Tu m'amuse ma fille, mais qu'il en soit ainsi : Si Moradin le dicte, alors il en est ainsi ! Vous autres, je vous demandes de faire votre prière dans votre chambre : Ce-ci vous ne pourrez le voir ni l'entendre!

Les autres nains sortent, et ils se retrouvent seuls : La symphonie débute, l'air est chargé de magie :

Un premier coup : Elle se sens faiblir, la sueur perle sur son front, son père est anxieux, il la regarde.

Le deuxième coup : Son âme se bat, elle s'inscrit sur le marteau, elle commençe a se sentir vide. Son âme doûte, mais une lumière lui apparait, son marteau brille ! Se reprenant dans un cri au nom du Père, elle frappe pour la deuxième fois !

Troisième coup : La transe débute, l'énergie afflûx dans ses veines, son père est effrayé, il a peur, il a peur de perdre sa fille. Mais elle résiste, et son corps déverse la troisième rune sur le marteau. Si tôt la rune inscrite, elle s'éffondre : Son père la rattrape, inquiet, et alors qu'elle sombre, elle murmurre un nom :

Un rêve, ou une réalité?

Il fait noir. Tout est noir. Elle se tiens là debout dans l'obscurité. Elle appelle des noms, ses parents, Moradin, personne ne réponds. Soudain, elle aperçoit un nain. Il irradie la lumière, et est désarmé. Son front est marqué des trois runes, qui sont allignées dans l'ordre suivant : Ansuz, Ingwaz, Fehu. Il lui sourit, soudain, ils sont transporter dans un endroit qu'elle ne connait pas. Une montagne différente de celle où elle vit.

Aifunder? Où sommes nous? - demanda t'elle timidement.

Là où ton avenir t'appelle. - répondit t'il



Puis le vide, le néant, elle se sens attirée vers la réalité. Elle ouvre les yeux, et voit son père à son chevet. Il a le regard anxieux. S'éveillant, Diela porte les mains sur son torse, et trouve Aifunder.

Son père sourit ,et dit :


Voila trois jours que tu délires, peut être est ce le fait d'avoir travailler pour la première fois les runes? Raconte moi ton rêve ma Fille

J'ai vu un nain oréolé de lumière, j'ai vu mon arme qui m'a montré des montagnes enneigées que je n'avais jamais vu au part avant, il semble ue mon avenir s'y trouve mais j'ignore le nom de ces montagnes.

Le père et la fille se regarde, mais après quelques minutes, soupir tous deux. Aucune idée ne leur parviens quand à l'origine de cette vision, et Aifunder reste muet ne répondant pas aux appels de sa créatrice.

Une naine, plateau en main apporte un repas pentagruélique au père et à sa fille.

Que se passe t'il, mon ours? - Dit la naine au père.

Nous sommes incapable de trouver la signification de son rêve.. - répondit Terk.

Alors, Diela conte encore une fois le rêve qu'elle a subit.

Et si c'était l'emplacement d'une nouvelle citée naine? Comme un nouveau départ.. Pour une fois Diela, je t'enjoins à ne pas suivre la logique de ton père : Ecoute ton coeur et il te guidera vers cette contrée sans nom. - Déposant le plateau, la naine fît un bisou sur la joue de Terk avant de repartir.

Sa mère avait raison. Son coeur lui disait d'attendre une manifestation Divine, elle attendrait celle-ci.




Les années s'écoulèrent, et Diela découvrit l'envers du décor, forger l'arme de sa Foi était une chose, argumenter auprès de la guilde pour la création d'autres artefacts en était une autre. Durant de longues années, elle dût prouver sa valeur à maintes reprises pour son père. Faire des discours percutants, bénir les bons nains, n'était pas une mince affaire car le culte était exigeant. Comme son père, malgrès son faciès souriant, elle reussit à se tailler une réputation au sein du clan. Ce qui soit dit en passant, ne gêna pas le moins du monde .

Puis vins La bénédiction du Tonnerre

A la surfaçe, le Tonnerre Grondra; il était midi, l'heure de la prière, Terk officiait avec Diela... quand soudain, un éclair frappa l'enclume. Sidérer, l'assemblée regarda l'image d'un nain lumineux leur parler..

Je bénis mon peuple, moi Père des Nains, que mon peuple soit fertile, car tel est ma volonté.

Puis l'image disparait. Une minute de silence, la foule incrédule scande ensemble : Loué soit le peuple Nain, loué soit Moradin !



Les prêtres se questionnaient pourtant.. Et n'obtenaient que peu de réponses. Ainsi c'est au cours des années qui suivèrent, que les prêtres constatèrent l'explosion démographique ... ainsi que les bardes, qui comptaient l'histoire de frères nains qui devenaient des héros..


La conduite sur un chemin de foi, n'est pas des plus facile, la foi ne s'apprends pas : chez Diela, elle née du désir de servir son peuple de toute son âme, il faut donc qu'elle cultive son âme. Elle décida donc d'elle même dans le but de faire preuve de sa foi de suivre les cours d'histoire dispenser par les anciens du clan. Après la journée de labeur au temple, elle consacre donc une soirée sur deux à l'étude de l'histoire du peuple nain et à aider les archivistes à trier leurs dossiers. Le mauvais coté lier au travail de prêtre c'est le peu de temps qu'elle accorde à sa vie sociale. Sa vie sociale est quasi inexistante, et l'ampleur de sa tâche aussi grande que la montagne. La vie de prêtresse est donc pour elle un bon moyen de ne pas penser à elle. Le temps libre pour elle est une torture, car Diela avant tout cherche au final à échapper au droit de Mariage de son père. Chaque fois qu'il tente d'aborder le sujet, Diela l'esquive en allant prier. Lors de la prière, elle oublit son père et se concentre sur l'avenir de son peuple et de son clan. Son enclume a été fabriquer dans un moule travailler a partir d'un bloc pure, frappé du symbol de Moradin.

Une soirée sur deux, chaque mois, elle doit rendre visite à son père. Durant les trois premiers mois, chacun de ces soirs, elle dût s'occuper des tâches les plus ingrâtes. Malgrès toute la volonté du monde, la pression que le père exercait quand à l'éxécution de celle ci.. dépasser l'entendement. Re faire inlassablement chaque tâche toujours plus vite était un moyen pour tester sa résistance mentale, plus tôt elle péterait un cable, moins elle apprendrais. C'est donc tout naturellement que pour la première fois de sa vie, causé par son père et par le surmenage intensif, que la colère de Diela se manifesta. Par des pleurs en silence, son père compris qu'il était temps qu'elle passe à autre chose. Son coeur n'était plus souillé par la colère, il pu donc les mois qui suivirent repartir comme pour sa vie sur des bases seines. Ce moment humiliant que Diela subit n'était donc qu'une excuse pour épurer son âme de la colère qui y grondait. Chaque soir, son père démontra ( lire exemples) l'utilité de chaque rune en la forgeant dans un objet temporaire.. chaque objet temporaire étant soumis à la guilde des Forgrons des runes, mais passant relativement bien compte tenu de la raison à savoir : la formation d'une maitresse des runes.

Les règles du commencement, de la création du plan avant la rune.

1. Règle de Trois
Aucun objet ne peut recevoir plus de trois runes quand il est forgé. Il est virtuellement impossible de façonner un objet capable de survivre à semblable afflux de pouvoir. Pour cela, Diela doit réaliser un plan interne de l'arme, en system de chasse. Situer dans l'armature de l'arme, chaque chasse permet d'inscrire une rune temporaire. L'objet donc quand il est forgé par Diela, possède trois " chasses " encrée en elles, qui peuvent être utiliser pour inscrire des runes. Ses chasses sont parcemer de micro trou, créer par l'energie divine qui aide à la fabrication de l'arme. L'arme est à voir comme une extension par exemple du corps du moine, avec ces Chakkra. (( note HRP : pour éviter que les joueurs nains le reconnaissent, j'utiliserai le tableau qu'il y a sur mon background pour les runes)

2. Règle de Forme
Les runes d'armes ne peuvent être inscrites que sur des armes, les runes d'armure que sur des armures, les runes de technologie que sur les machines de guerre, les runes d'artefacts sur les artefacts, ect.. Cette règle est à préciser, pour Diela le matériel utilisé pour créer l'arme, armure, ou autre, est la base de la règle de forme. Pour créer les chasses, il faut adapter le produit utilisé au support voulu pour forger les runes.Entendons par là, ne pas travailler avec les même gemmes, même métaux, polir d'une façon différente selon chaque objet.



3. Règle d’Orgueil
Deux objets portant la même combinaison de runes ne peuvent coexister à moins de 100 mètres l'un de l'autre. Tout objet rune qui viole cette règle devient inerte tant que dure cette situation. Pour eviter ce problème, Diela prévoit de faire deux exemplaires du même objet : En cas de soucis, il suffit de s'approcher de l'objet avec l'autre. Avec la règle d'Orgueil et la Règle de Jalousie, Diela créer un moyen sûre de contrôler ses créations, pour éviter qu'elles ne tombent même temporérement dans de mauvaises mains. C'est avant tout un moyen comme un autre pour éviter les copies et garantir le fait que l'objet runique est unique






4. Règle de Jalousie
Il est impossible d'inscrire plus d'une Maître Rune sur un même objet. De plus, deux objets portant la même Maître Rune (peu importent les combinaisons) ne peuvent coexister à moins de 100 mètres l'un de l'autre. Tout objet rune qui viole cette règle devient inerte tant que dure cette situation. C'est un moyen comme un autre pour éviter les copies et garantir le fait que l'objet runique est unique


5. Règle de Combinaison
A l'exception des Maîtres Runes, toutes les runes peuvent être combinées pour produire des effets différents ou cumulatifs. Le soucis est d'établir un shéma de pensée assez intuitif pour la personne détentrice de l'objet : il faut que la rune se déclenche au moment le plus crucial pour le nain / la naine. Diela passe donc un entretiens psycologique avec chaque personne détentrice du futur objet, dans le but de déterminer l'ordre de combinaison de runes le plus éfficace possible.

6. Règle d’Incompatibilité
II est impossible d'inscrire une rune, même temporaire, sur un objet magique enchanté par sorcellerie. Diela ne supporte pas de toute façon de lier un art aussi noble à un art aussi commun que la sorcellerie.

7. Règle de Désaccord
Les non-nains ne s'accordent qu'assez mal à la magie runique. De fait, quel que soit le nombre d'objets runes portés par un non-nain, seules les trois runes les moins
puissantes sont fonctionnelles; les autres sont inertes. Pour Diela, le fait qu'un non nain possède une de ces créations est inconcevable, l'art des runes est établi pour servir la race Naine.

À la création d'un objet, toute tentative d'infraction aux sept règles de la magie runique est vouée à l'échec; aucun forgeron des runes n'est actuellement capable de canaliser plus de pouvoir magique dans un même objet. C'est un des objectif de Diela, peut être un moyen d'atteindre le grade de Hierophante.


Après le plan, le travail réel commençe donc. Décrites dans les 7 règles, les étapes sont scrupuleusement réglées, et Diela ne s'arrête pas de forger et de graver tant que l'objet n'est pas fini. Quitte à se passer de manger. Son état lors de son travail, est comparable à celui d'une transe, ou elle semble déliré, c'est dans cet instant ou elle ne fait qu'un avec ce qu'elle travaille, avec son enclume, Aifunder, Et son âtre, qu'elle exprime le plus sa foi. Le fait de réaliser une oeuvre est à son sens la plus belle prière à Moradin.

Sa notoriété au sein de sa cité est dû au fait qu'elle c'est illustrée au sein de celle ci lors d'une attaque menée par des Duergars. La bataille faisait rage, et les nains commençaient à perdre du terrain. Le capitaine de la garde en première ligne quand à lui était assailli par un duegar monté sur une araignée, en faisant un pas en arrière pour bloquer une patte de l'araignée, il trébucha : Le duegar et sa monture fondant sur lui, il cru sa dernière heure arrivée... quand une voie sonore et féminine se fit entendre, sacrifiant sa propre protection elle posa son pavois pour tenir la ligne. Taillader par quelques coups, protégeant du mieux qu'elle pût le capitaine de son propre corps, elle reussit à abattre celle ci d'un coup de Aifunder bien placé, le duergar tombant à la reverse, désarçonner. Un chant lui vint en bouche, et c'est en coeur que les nains reprirent la chançon à la gloire du Père Moradin... et que l'envahisseur fût repoussé.


Par une soirée D'automne, Diela était à la taverne. La journée avait été rude, et à la taverne un barde venu de Luskan comptait ses histoires. Oreille mi attentive, elle entendit un mot " Drim", comme un coup de marteau sur son coeur elle sentit qu'elle devait en savoir plus.

Après que le barde eût fini, elle alla discuter avec lui. Elle découvrit donc l'existence de la jeune citée Naine qu'il avait appeler Drim. Le barde ne connaissant pas son emplacement, elle devait aller à Luskan dans un comptoir nain pour en savoir une.

Quelques pièces données plus tard, elle courra voir son père. Après une longue discussion, elle exprima son désir de rejoindre cette nouvelle citée. Son père ayant compris comme elle que cette citée serait la destination que son rêve avait montré, il décida qu'elle avait le droit de quitter leur cité pour en rejoindre une autre. Il omis juste de lui livrer toute les conditions :
Le mariage avec un nain de cette citée, serait une des conséquences de ce départ et il choisirait le nain qui conviendrait..

Et le départ fût effectif quelques mois après.


Fin


Notes HRP :

Précision par rapport au temps : vague dans les dates pour adapter selon les critiques du background.

Objectif au sein du Drim : trouver une enclume du destin. Favoriser l'expansion de la citée.

Demandes d'objet : Aifunder : arme magique +2, 1d4 positif. 1 fois par jour, lumière brulante.

Anim pouvant découler du BG : anime naine pour choix du mari par le père.

Bonsoir,

Après lecture et étude du BG de Diela, que j'ai trouvé bien documenté et renseigné, il reste néanmoins certains points que j'aimerais que tu développes.

- Premier point à développer : le charme et l'influence de Diela au sein de la communauté naine. Peux-tu expliquer ce qui justifierait cette réputation qu'elle a et que tu évoques dans son BG ? (étant donné son charisme, cela ne vient pas de là)

Citation :

Description physique: Naine aux cheveux noirs, et aux yeux bleu. De bonne consistance, elle possède un certain charme.

Citation :

Les années s'écoulèrent, et Diela découvrit l'envers du décor, forger l'arme de sa Foi était une chose, argumenter auprès de la guilde pour la création d'autres artefacts en était une autre. Durant de longues années, elle dût prouver sa valeur à maintes reprises pour son père. Faire des discours percutants, bénir les bons nains, n'était pas une mince affaire car le culte était exigeant. Comme son père, malgrès son faciès souriant, elle reussit à se tailler une réputation au sein du clan. Ce qui soit dit en passant, ne gêna pas le moins du monde .

- Second point à développer : la classe de prêtre. Peux-tu développer davantage l'apprentissage de prêtre artisan de Diela et son interprétation du dogme de Moradin? Ton BG ne mentionne que le début de cette formation, puis sur la fin, on voit clairement que ton personnage a des dons divins et le statut de prêtre. Que s'est-il passé entre temps pour qu'elle en arrive là?

- Troisième point à développer : la classe de lanceur de runes.
Il manque la forge de l'enclume, indispensable au lanceur de runes. Un paragraphe concernant cette étape essentielle est donc nécessaire.
Ensuite, l'Enclume du Destin est un artefact suffisamment rare et puissant pour qu'en croiser une dans sa vie de nains soit finalement une chance monstrueuse. Je préfèrerais que tu l'évites (Elle peut être remplacée par l'enclume du père de Diela par exemple, qui n'aura pas la puissance d'un tel artefact).
Pour finir j'aimerais que tu développes certains aspects de cette classe et notamment la formation qu'a suivie ton personnage avec son père (le codes des runes, la création de celles-ci, etc.)

--> Je t'invite à parcourir ce post (vers les dernières réponses) concernant les forgerons de runes et les prêtres artisans nains.

- Interlude (ou liaison des points 3 et 4) : Peux-tu expliquer l'évolution du personnage de prêtre à lanceur de runes, et l'intérêt de cette dernière classe pour lui?

- Quatrième point, pour pinailler un peu : pourrais-tu modifier la fin de ton BG? Les raisons de la venue de Diela dans le Val sont un peu simplistes et décevantes quand on lit le reste du BG qui montre un effort certain de recherches et de documentation sur le sujet. Le fait de croiser comme par hasard un barde de Luskan est un peu tiré par les cheveux.

Concernant les points HRP que tu soulèves, il faudra en faire la demande par requêtes, ce n'est pas à nous scribes d'en décider

Bon courage !

Mise à jour et repondu en privé.