- Citation :
- Nom du compte joueur:
Curufinwe Faelivrin
Nom du perso:
Curufinwë Faelivrin
Race:
Elfe
Age:
320 ans
Alignement:
Neutre Bon
Religion:
A déterminé
classe(s):(nbre de lvl prévu aussi si possible)
-Rodeur
-Combattant a deux mains
-Archer
-Guerrier
Arme de prédilection/domaines/école de magie:
-Epée batarde / épée courte
-Arc long
Trait de Caractère:
Timide, agréable, généreux
Description physique:
Jeune nêr aux traits,à la carrure enfantine,de petite taille.Il ne souris pas et a la bouche lègerement entre-ouverte et le regard vague.Lorsqu'il vous croise il éfface cet air penaud de son visage,redresse les épaules,un rictus aimable au coin des lèvres.
Toutes les dates données ci-dessous sont fonction du Calendrier des Vaux. Les noms des années sont précisés le cas échéant. Le Calendrier Présent, qui a vu le jour récemment, utilise le Temps des Troubles (1358 CV.) comme An 0 CP."1038" L'année du Printemps Envahissant. Réchauffement général. Les royaumes de Narfell, Vaasie et Damarie sont entièrement délivrés des glaces. Ils commencent à recevoir d'énormes flux d'immigrants. Aencar commence à unifier les Vaux, et prend le titre de "Roi à la Pelisse".Chapitre 1 :Préambule: La naissanceC'est tôt le matin, avant l'aube, le troisiéme cycle de l an 1038 , que nacquit dans la douleur et les cris, en dambrath non loin du coeur de la Forêt d'Amtar, Curufinwë Faelivrin.
La douleur et les cris, ce furent ceux de sa mère, Idril Elanessë, jeune nis d'à peine plus d'une centaines de cycles d'existance, qui, de part son anatomie d'adolescente et ses hanches trop fines, eut grand mal à metre au monde ce minuscule bout d'elfe apprehendant tellement les difficultés du monde exterieur qu'il s'agripait fermement à sa matrice si plaisante, le ventre de sa mère. "Bien trop jeune" ont dit certains, "ils ne sauront pas l'elever comme il se doit!" . Sur le premier point il n'avaient pas tord.
Idril et Turgon Faelivrin, le père vous l'aurez compris, vivaient leur passion tel deux adolescents, à cette époque, voyageant dans la Taure, copulant à tout va, fougueux et inconscient comme seul deux amoureux de moins de 150 années savent l'etre, attirant sur eux les regards reprobateur de leur paires.
Curufinwë n'était pas réellement prévu au programme, l'amour d'Idril et Turgon ne posait pas de question, cet amour ne se souciait guère des jours à venir ou des fureurs qu'il pouvait provoquer, c'était un amour passion ne se conjugant qu'au présent.
La nouvelle ne les effraya pas pour autant, leur relation n'en fut d'ailleur que plus intence, comme protée par un soufle nouveau, celui d'imaginer un futur ensemble, heureux, amoureux, et parent.
Mais durant les derniers jours de grossesse, les douleurs que surportait sans dire mot Idril jusqu'alors, s'amplifières au point d'en devenir anormales, comme un mauvais présage... l'accouchement se présentait mal... Alors à Orodeth, ville natale d'Idril et petite province du dambrath , le couple fit chemin vers le coeur d'Amtar, pour y trouver l'aide nécessaire à l'accouchement, l'aide des guerrisseurs. Erreur que cette décision précipitée. A quelques lieux du coeur, les contractions étaient trop fortes, l'enfant allait naitre d'un moment à l'autre et ce serait sans l'aide des guerisseurs. Au bord du sentier enneigé fut donc amenagée la couche, les vagabonds, quelques druides , ainsi qu'une pincé de rodeurs vinrent assiter au spectacle, proposant tous aimablement leur assistance.
Les cris, dit-on a l'époque, s'entendirent jusqu'à 5 lieux a la ronde. Mais après 6 longues heures de travail, dans la nuit et le froid, Curufinwë faelivrin vit le jour, et sa mère, bien que tres affaiblie, était en vie, et heureuse.
Chapitre 2 :La Mort et l'AmourIdril avait , suite à cet accouchement douloureux, connu de nombreux problemes de santé, et aucun des guerrisseurs ne sut dire d'ou cela venait, mais ce qui etait sur disaient ils, c'est qu'avoir un deuxieme enfant lui couterai certainement la vie...
Idril et Turgon s'installèrent definitivement dans une petite communauté non loin du coeur d'Amtar, et ils y élevèrent Curufinwë, avec amour et à leur manière, tout fier qu'ils etaient d'avoir leur bambin et leur maison malgrès leur jeune age.
Curufinwë était un enfant agréable à vivre, pas contrariant , vénérant sa mère comme un devot, admirant son père comme un fanatique. Il ne serait pas haut sur pattes,cela se vit assez vite. Il dut faire face aux railleries de ses camarades, pas bien méchantes, simplement quelques surnoms dévalorisant, car malgrès leur moqueris, tout le monde l'aimait bien , il etait gaffeur et timide, attendrissant en somme, et pas bien dangereux!
"Curu le Court" s'imposa rapidement comme le totem officiel de Curufinwë. Il ne l'apreciait guère ce surnom là, mais il fit avec.
A sa 72eme année il eut la joie d'apprendre qu'une petite soeur était en cours, pour lui c'était le rêve, enfin il ne serait plus LE plus petit des faelivrin!
Idril et Turgon avait outrepassé les recommandations des guerrisseurs. Leur amour à cette époque avait dépasser la passion de jeunesse, c'était maintenant un amour solide, éternel et sans questions. L'état de santé d'Idril n'avait que très peu evolué, elle avait du mal à faire de longues marches, et sa souplesse, son talent inné pour les acrobaties, n'etait plus qu'un souvenir. Mais les deux amants, mariés, voulaient un autre enfant. Les raisons étaient multiple, et puis, un tel désir nécessite t'il ses raisons? Turgon savait sa femme forte, et l'imaginer mourir ne lui traversait meme pas l'esprit, il ne prettait d'ailleur que tres rarement interet aux dire des guerisseur.
Leur deuxieme enfant allait naitre, et là aussi, qu'importe ce que les guerrisseurs ou autre en diront, les Faelivrin etaient tétu.
Sérémela vit le jour en l année 1110. Les conditions de l'accouchement étaient bien meilleure que pour Curu le Court, des guerrisseurs étaient present, leur mixtures d'herbes et de plantes soigneusement étalées dans le salon des Faelivrin, aménagé pour l'heure en salle d'accouchement.
Idril était confiante, les douleurs cette fois n'étaient pas insuportables.
Sérémela Faelivrin nacquis sans probleme, ses pleurs furent aclamés et aplaudit par la famille et les guerisseurs.
Deux jours après l'accouchement, Idril se mis à perdre du sang par le bas. Beaucoup de sang... Les guerrisseurs present en Amtar furent conviés, mais là encore, ils ne surent pourquoi celà arriva, ni comment soigner cet etrange mal...
Idril mouru dans son sommeil et ses drap ensanglantés 3 jours plustard.
Turgon passa deux semaines enfermé, délessant curu et sa soeur de quelques jour à peine. Une amie d'Idril gardait les enfants, laissant Turgon à son deuil.
Turgon sorti de sa dépression et noya alors son chagrin dans un amour sans retenus pour ses enfants. Il éleva seul Curu et Sérémela, leur accordant toute son attention, tout son temps, les amenant partout ou il allait, sur les sentiers de l'Amtar et bien plus loin encore en dambrath.Turgon donna, et donne encore aujourd'hui, le maximum à ses enfants; depuis la mort de sa femme, il ne vit plus pour lui, ni mem pour les Dieux... Il vit pour son petit nêr et sa jeune nis.
Curufinwë pleura beaucoup sa mère, durant de nombreux cycles. Mais son père sut combler l'abscence maternelle, et l'enfance de Curufinwë et Sérémela fut, malgres celà, douce et heureuse...
[a suivre...
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