Déluge à Port Llast, le Retour.

La forêt a été dévastée par une montagne d'eau tourbillonnante en mouvement, animée par seulement deux yeux d'un rouge brillant.
La gigantesque lame de fond qui a précédé sa création a détruit la plupart de la flore et faune sous-marine, des poissons, des coraux, et même une sirène aurait été retrouvés échoués sur toute la zone du carnage.
Les arbres ont été couchés par l'extraordinaire force de l'onde, la terre pourtant entretenue par des druides auparavant asséchée par l'eau salée s'y déversant avec fracas. Quelques animaux ont eu la chance de pouvoir fuir, mais la plupart ont péri dans l'évènement, dont quelques lycantropes ayant migré vers cette partie du Bois nouvellement étendu.
Les restes de leur campement sommaire, pâles reflets de leur misérable vie en journée, alors que leurs instincts sanguinaires ne les emportent pas et que leur forme humaine est revenue, gisent un peu partout.

On a vu également trois dames tourbillonnant dans l'onde en mouvement, puis s'écraser à terre lorsque la masse se dissipa en une multitude de gouttelettes lâchées sur les bois couchés, dans des flaques gigantesques.
Elles seraient restées longtemps à terre, incapables de se relever, la souffrance physique sûrement moins forte que la morale.
Elles ont été ramenées plus tard par des Elfes du Bois de Padhiver, près de la Forêt de Luskan, grâce à leurs pouvoirs druidiques de voyage par les arbres.
Nulle parole ne leur aura été accordé, et les seuls regards qu'elles auront pu croiser auront été des échanges brefs et sévères. Une fois arrivés à destination, laissées à proximité de leur bois, les Elfes seraient repartis aussitôt, ne se retournant point vers les prêtresses, regagnant le Bois de Padhiver aussi vite.

Des Louves sont aperçues. Certaines surveillent les alentours, d'autres aident à déblayer le secteur.

Elles parlent peu et semblent éviter tout ce qui porte les couleurs de Padhiver

Les yeux du Bosquet sombre observent sereinement la travail effectué. Aucun Lycan n'est aperçu aux abords de la nouvelle forêt qui a commencé à grignotter Port Llast.
Tout semble aller dans le bon sens.

A la demande du Neuf Wellan, une petite troupe arrive de Padhiver pour aider à la sécurisation.

Il semble que les nains auraient été informés de la reprise de l'activité et qu'un projet commun nains-Padhiveriens serait sur le point de voir le jour dans le but de rebâtir à Port Llast.

Cela n'a néanmoins pas encore été confirmé.

Un elfe tout de vert vêtu parcourt la foret avoisinante prélevant avec soin et avec leurs racines, de jeunes pousses de nombreuses espèces offrant un fruit comestible ou médicinal ... pour les déposer à l'entrée de Port Llast avant de repartir furtivement en forêt

d'autres elfes seraient arrivés récemment sur les lieux, se mettant rapidement à la tache, intégrant des groupes déja organisé pour venir les aider.

Des arbres mort sont retiré des chemins, leur bois consciencieusement coupé. Les arbres bléssé sont taillé avec beaucoup d'attention, afin de leur redonner vigueur sans les abimer plus que nécessaire.

Les derniers cadavres d'animaux sont inumés avec respect.

La terre est nettoyé consciencieusement, avant de venir y replanter de jeunes pousses.

Les jeunes plantations se voeint créditée d'une attention particulière, des personnes venant les arroser régulièrement et s'assurer qu'aucune maladie ne vienne les mettre à mal.

Si aucune maladie ne vient contrer leur développement, la Nature, elle, a souffert de ses cycles brisés, de sa terre aride, de son écosystème mis à mal par les vagues dévastatrices et magiques successives.

Les pousses sont timides et le restent, et l'on se rendra compte que la terre balafrée ne pourra donner de résultat satisfaisant que lorsque la Nature aura recouvré son intégrité, seule, avec le temps. Ce qui prendra sûrement beaucoup de temps encore.

Le sol, même lavé des impuretés salines, reste instable, boueux en endroits, des poches s'étant formées sous terre par les racines arrachées, ou pourrissant hors de vue de ceux qui le foulent. Là aussi, le temps saura redonner aux sols leur solidité d'antan.

La Nature toujours revit, seule.

La nuit etait sombre, dechirée par les eclaires. Le vent soufflait sur la region dévasté de Port last. La pluie ne semblait plus vouloir s'arreter, comme les larmes de la seldarine devant ce qui s'etait passé.

Seule, au milieux d'une parcelle devasté, encore couverte de decombre, une silhouette féminine, enveloppé dans une longue cape chaude aux teintes verte, etait immobile.

Assise entre les racines d'un chêne deraciné, elle semblait abatu dans une position prostrée. Ses yeux se posaient sur tout ce qui l'entourait. Cela lui faisait penser a la tache d'un colose, Car seul un Colose pourrait s'aquiter de cette tache aisement.
Mais elle... Elle n'etait pas aussi forte que ce hero qui avait berçé son enfance, dont la legendaire épopé que lui contait sa mere le soir, relatait les travaux qu'il dut s'acquiter pour prouver sa valeur...

Elle n'avait pas la force, certe, mais avec la reflexion... Elle sortit sa harpe de dessous sa cape. L'examinant longuement, reflechissant.
Elle avait decouvert les capacité de cette harpe il y avait longtemps. Mais jamais elle n'avait oser user de sa decouverte.

Un eclaire zebra le ciel, éclairant un bref instant les lieux. La harpe blanche semblat se Nymber d'un eclat plus claire, puis tout s'estompa.

Les doigts de la jeune femme se mirent a courire sur les cordes de l'instrument. Tirant une mélodie crystaline et harmonieuse. Le vent couvrait le son, mais cela n'avait pas d'importance.
La mélodie se fit plus rythmée, plus aérienne, et par instant il semblait que le vent lui meme s'accordait avec l'instrument, jouant le meme air.

Les notes faisaient vibrer l'air, brissant les goutelettes, de petites bourasque se formerent devant la musicienne. Ces dernieres se regroupaient doucement, sifflant, comme en accord avec la mélodie.

Doucement, elles formerent une vague forme humanoïde. Un noble élémentaire de l'air se materialisa devant la musicienne qui l'avait invoquée. De ses onzes metres de haut, ils la toisait, semblant attendre des ordres.

La musicienne regarda la vaste etendu devasté qui n'était pas encore nétoyé. Elle avait volontairement choisi ce lieu éloigné des autres endroits pour eviter toute catastrophe supplementaire. Meme si son idée principal ne fonctionnait pas, la taille de l'élémentaire permettrait tout de meme de deblayer plus facilement et plus rapidement la zone des plus gros debris.


Elle s'écarta, lui demandant de ne pas bouger et lui ordonna de prendre son autre forme. Se dernier s'executa et l'instant d'apres un tourbillon de vingt metres de haut se tenait devant elle. Elle examina ce qui se passait a la base.
Un nuage de debris se souleva et se mirent a tourbillonner. Elle ne lui ordonna de ne garder que les debris et le sel, mais de rejeter la terre a sa base. Ainsi la terre soulever, etait aérée et redepossée au sol, comme si elle venait d'etre fraichement labourée. le reste etait gardé par le tourbillon. Elle commança par lui demander de netoyer une zone asser restreinte, pour voir ce qui se passait vraiment.
Elle lui designa un endroit bien precis pour qu'il y depose les debris avant qu'il ne repprenne sa forme humanoide.
Ainsi pendant toutes la nuit, l'élémentaire passait de sa forme de base, a celle d'un tourbillon de vingt metres de haut.

Au petit matin la zone etait degagéede ses debris. Les arbres soignesement entreposer dans un coin, les roches dans un autre.
Sur les tronc, une inscription a la dague "Charpente et menuiserie" sur les roches " Murs et fondation"

La musicienne et l'elementaire avaient disparu. il revinrent la nuit suivante sur une autre parcelle. Ceux qui auraient eu la folie d'approcher auront pu voir une femme, probablement une Ado vu sa taille et sa morphologie, couverte d'une Chaude cape et le visage couvert par une large capuche.

Un nain est passé, une journée, et fait des choses étranges comme seuls les nains peuvent faire, avec des bouts de batons, des ficelles et son carnet de note .

Il semblait satisfait en partant, mais qui peut dire quand un nain est satisfait, non ?

Au milieu du village maudit des dieux , on a pu voir un nain aux deux fesses en grandes parties dévorées et le ventre percé de dizaines de petits trous purulants, quelques asticots morts à ses côtés.
Sur son torse agraffé un message dont nul ne connait la teneur.
Le nain aurait disparu quelques heures après.

Doucement, l'elfe deposa la jeune pousse dans le trou que venait de pratiquer le blaireau.
Elle murmurait presque en permanence de douces melodies ou des prieres a la seldarine, comme une bénédiction pour chaque plants.

Dans le trou suivant, elle y deposa un maron, a peine germé, adressant une nouvelle priere. Puis une nouveau chant pendant que le petit baireau invoqué grace a un vieux parchemin qu'elle avait trouvé au fond de ses affaires se chargeait de pratiquer avec une dexterité surprenante, les trous pour planter les jeunes pousses, les glans, les marons, noisettes et toutes autres essences d'arbre trouvé dans la region.

Entre chaque trou, elle eparpillait les graines recolté sur les plantes de la region, les recouvrant soigneusement de terre, sans pour autant les etouffer.

L'elfe semblait comme porté par un volonté, comme si rien ne pouvais la decouragé. Posant le moindre plants, la moindre graine, comme une relique plus precieuse que tout. Avec la delicatesse, l'attention et tout l'amour que l'ont porte a l'enfant cherie...

Les gens n’arrivent pas a croire qu’elle est toujours là, sans cesse et sans relâche travaillant pour la terre et la nature. Voilà plusieurs semaine qu’elle n’a pas quitté une seul fois Port Last et ont peu la voir souvent s’assoire dans un coin et prier.

Depuis quelques jours, deux petites autels a été aménager au environ de Port Last.
L’une d’elle se trouve au Nord Ouest à un endroit ou un petit arbre semble avoir survécu au désastre ou il a été aménagé des lierre grimpant autour du petite arbres. Le fait le plus surprenant et le plus reconnaissable c’est que de nombreux oiseaux semble avoir élu domicile faisant leurs nids dans cet arbre. À son pieds ont peu voir une pierre de forme plate ou une inscription fut gravé : (l’inscription est transcrit en commun, Espurar et Dethek)

Au de là des montagne, au de là des cimes et des nuages, la nature résiste et renaît cherchant sans relâche a touché le ciel.


Un deuxième petit autel fut installé au Sud Ouest, pour les cartographes, ils remarqueront qu’elle semble être situation en ligne droit de la première. Quelque débris de la catastrophe fut ramener et placé de manière a formé un triangle. De nombreuse plante et flore diverse commence a poussé et a recouvrir les débris. Toutefois le fait particulier, de jolie gloire du matin de couleur bleu blanc dévoile leur fleur seulement le matin, lorsque les première lueur du soleil fait son apparition. Cela donne l’impression d’une myriade de petites étoiles. Au centre du triangle une pierre forme plat y est posé dont un peu lire une inscription gravé : (l’inscription est transcrit en commun, Espurar et Dethek.)

L’espoir n’est jamais perdu, il suffit de regarder vers les étoiles pour que les rêves se poursuivent. Les années défilent et la vie reprend toujours ses droits.

Au nord ouest de Port Last, le petit arbre n'est plus qu'une forme torturé, norcie par la foudre et carbonisé par le feu.
Au pied de cette arbre, git une pierre brisée noircie et rongée.

La bénédiction à Port Last

Tous les trois nous nous sommes retrouvé là bas. Au centre des trois autels, nous nous sentions prête a honoré cette nature que nous avions détruite. La cérémonie débutât avec nos esprits et nos corps qui s’imprègne de la terre. Nous nous sommes macule les mains et le visage de la terre de Port Last.



Ceci à été fait avec des prières dédier à la seldarine. « Terre, nature, je suis a présent tiennent, par cette terre je m’imprègne de ton essence. »


Suite à cela, les trois prêtresses ont fait une offrande à al terre. Luce offrit de l’eau en guise de renaissance. Eralia offrit un vent favorable a la foret et Tinmirielle offrit quelque goût de son sang. Fait de manière solennel et dans la prière, nos offrandes s’unissent dans une paix intérieur et une sérénité.




Chacun des prêtresse ont fait appel a leur dieux, leur demandant de porter un regard sur Port last et de permet en leur nom de bénir cette endroit. Angharrad, Aerdrië et Corellon par le biais de leur prêtresse tendis une oreille attentive à leur demande.





Puis les trois prêtresse se prirent la mains et par le fait même soudant par la seldarine les trois autel. Elles remercièrent celle-ci des avoirs entendu et répondu à leur prière. Elle remercie de leur avoir donné le courage d’avoir sauver la nature. Avec l’esprit elle ont a présent le cœur léger. Alors qu’a présent, la terre de port Last foulé sous nos pied est une terre bénite.