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MALARLe seigneur bestial, le traqueur au sang noir Statut : Dieu mineur
Symbole : Patte de fauve à la fourrure brune, dont les griffes crochues sont ensanglantées
Plan natif : Colothys/Les Terres de Chasse
Supérieur : Talos
Alliés : Aurile, Baine, Loviatar, Talos, Umberlie
Ennemis : Chauntéa, Déneïr, Eldath, Ilmater, Lurue, Nobanion, Shiallia, Sunie, Silvanus, Uthgar
Alignement : Chaotique mauvais.
Attributions: Chasseurs, traquer, soif de sang, lycanthropes malveillants, bêtes et monstres errants.
Adorateurs : Chasseurs, lycanthropes d’alignement mauvais, carnivores intelligents, rôdeurs, druides
Alignement des fidèles : CM, CN, NM
Domaines : Chaos, Faune, Force, Lune, Mal.
Domaines NWN : Faune, Force, Mal
Arme de prédilection : Une griffe de monstre (bracelet à griffes)
Malar (Mâl-arr) est un dieu archaïque et sauvage qui se repaît des sensations de la chasse et de la mise à mort. Il a l’apparence d’un fauve svelte et souple, dont la fourrure noire comme l’ébène est constellée de sang. Malar se réjouit de la peur qu’il provoque chez ses victimes, car il est capable de littéralement sentir et goûter le parfum de leur terreur. Le seigneur bestial est connu sous des noms différents selon l’endroit, par exemple, le Tourmenteur le long des côtes de Bief de Vilhon, l’Eventreur sur la Glace sans fin et le Grand glacier, l’ours bleu parmi les Uthgards et Herne pour les orques de la Haute forêt.
Dans les régions civilisées, l’église de Malar est universellement méprisée, car ses membres – souvent de maléfiques lycanthropes – font partie des plus grandes menaces à l’encontre des habitants. Cependant, sur les frontières et dans les régions plus sauvages, ceux qui doivent chasser pour obtenir leur nourriture rendent à contrecoeur hommage au Seigneur Bestial, par crainte de sa cruauté. Les étrangers font parfois une différence entre « Les Meutes », c’est-à-dire les groupes d’adorateurs de Malar qui agissent ouvertement, et ceux qui profitent du couvert de la nuit. Certains royaumes, comme le Cormyr, reconnaissent officiellement à la première toute autorité sur les affaires de chasse, mais considèrent les seconds comme des prédateurs nuisibles qu’il faut chasser ou abattre.
Les prêtres de Malar prient la nuit pour obtenir leurs sorts, de préférence lors d’une pleine lune. Ils adressent aussi une prière au Seigneur Bestial avant d’entamer une poursuite, pendant celle-ci et en buvant un verre sur le corps de leur proie (parfois rempli du sang de cette dernière). Le long et sourd Chant du sang est entonnée sur les dépouilles de toutes les créatures abattues lors d’une chasse, et des prières et hymnes rituels spécifiques accompagnent le festin que procure n’importe quelle proie. Les deux grands rituels sont la fête des Cerfs et la Grande chasse. Pendant la première, les prêtres et les adorateurs de Malar chassent abondamment avant les Grandes moissons et invitent tout le monde (et particulièrement les étrangers à leur croyance) à se joindre à eux pour un banquet, où ils font vœux de chasser lors de l’hiver approchant pour nourrir les nécessiteux (c’est l’une des rares choses que fait l’église qui plaît aux gens du peuple). Pendant la Grande chasse, qui a lieu une fois par saison, les fidèles se parent de trophées de chasse et poursuivent un humanoïde, qui peut sauver sa vie et obtenir une récompense s’il parvient à s’échapper ou à survivre pendant un jour et une nuit. Les prêtres de Malar se multiclassent souvent en Barbares, Rôdeurs ou en Druide. Beaucoup d’entre eux sont aussi des lycanthropes maléfiques, comme des loups-garous.
La structure du clergé est tout sauf stricte et ne repose sur aucune hiérarchie centrale. Cela la rend d'autant plus difficile à détruire, car il suffit d'éradiquer un culte pour qu'un autre prenne sa place ailleurs. L'organisation bâtie autour du concept de la chasse et regroupe plusieurs cultes indépendants, ou "Meutes". Le dirigeant de chacun de ces groupes porte le nom de Chef de la Meute.
RésuméMalar (mahl-arr) est un dieu sauvage et bestial qui se délecte de la peur des êtres qu'il traque. Jaloux des pouvoirs des autres divinités, il cherche constamment de nouveaux moyens de leur voler leurs attributions et leurs fidèles, mais il lui manque l'intelligence nécessaire à l'accomplissement de ses objectifs. Il excelle à la chasse, à la traque et aux massacres bestiaux.
Le clergé de Malar est dépourvu s'une autorité centrale. Il ne s'agit que d'un ensemble de petits groupes de fidèles éparpillés dans
les régions sauvages. Les adeptes de Malar vénèrent la gloire de la chasse, et ils entreprennent des traques rituelles d'animaux sauvages, de créatures étranges et même d'humanoïdes capturés. Ils aiment faire en sorte que leur proie s'aventure sur des chemins particulièrement dangereux pour elle comme pour eux, cela ne rend sa mort que plus agréable. Ils s'arrangent généralement pour que la mise à mort ait lieu le plus près possible de zones habités afin que tous puissent voir et entendre le massacre. C'est ainsi qu'ils perpétuent la crainte de Malar. Les adeptes de ce culte agissent pour gêner le développement de fermes et de la civilisation. Ils attaquent aussi les druides qui cherchent à entretenir le côté bienveillant de la nature, les considérant comme faibles et inutiles.
Les prêtres de Malar prient la nuit, de préférence sous une pleine lune. Deux rituels célébrés par ce culte sont la fête des cerfs et la grande
chasse. La fête des cerfs est une cérémonie au cours de laquelle les prêtres et les adeptes de Malar chassent de nombreux gibiers avant le festival des Grandes moissons, puis ils invitent tous les profanes à venir festoyer avec eux. Enfin, ils implorent Malar de fournir suffisamment de gibier pour nourrir le peuple lors de l'hiver à venir (c'est un des rares aspects appréciés dans ce culte). Lors de la grande chasse pratiquée chaque saison, les adeptes, parés de trophées de chasse, traquent un humanoïde qui gagne la vie sauve et une récompense s'il parvient à s'échapper ou à survivre un jour et une nuit.
Les prêtres de Malar se multiclassent généralement en barbares, rôdeurs ou druides (mauvais).Histoire/RelationsMalar était une divinité avant même l'ascension de Baine et, depuis des siècles, il tente sans succès de s'approprier les attributions des autres dieux et déesses. Il fait partie des dieux de la fureur aux côtés de Talos (son supérieur), Aurile et Umberlie. Il est aussi allié à Baine et à Loviatar. Il combat les divinités de la paix, de la civilisation et de la nature.
DogmesLa survie des plus forts par l’éradication des plus faibles est le don de Malar aux mortels. Une mort ou un meurtre brutal et sanglant a une grande signification. Le point culminant de la vie est la confrontation entre le chasseur et sa proie, le moment précieux où l’on détermine qui vit et qui meurt. Considérez toute chose importante comme une chasse. Restez toujours alerte et vif. Progressez dans la nature sauvage sans précipitation et ne montrez aucune peur au cours de la chasse. La sauvagerie et les émotions fortes provoquent la perte de toute raison et de toute prudence. Goûtez le sang de ceux que vous avez tué et n’abattez jamais une proie à distance. Œuvrez contre ceux qui s’en prennent à la forêt et qui tuent les animaux uniquement parce qu’ils sont dangereux. Ne tuez pas les jeunes, les femelles enceintes et les petits, de manière à ce que les proies restent nombreuses.
Activités quotidiennes Les prêtres de Malar chassent aussi souvent que possible, en faisant en sorte que le péril de la traque aille crescendo et que le final (la mise à mort) se déroule dans une zone civilisé. Les gens qui n’apprécient pas de voir des leucrottas, loups, bêtes éclipsantes et autres monstres terrifiés poursuivis jusque dans leur ville détestent bien souvent les Malarites, mais c’est exactement ce que ces derniers recherchent. En effet, ceux qui ne vénèrent pas le Seigneur des Bêtes doivent le respecter, même si ce respect naît de la peur.
Les prêtres prêchent également les joies et les récompenses de la chasse. Ils œuvrent constamment pour empêcher l’expansion des fermes et des communautés humaines, ce, afin que les Royaumes restent aussi sauvages que possible. Ils s’opposent aux clergés de Chauntéa, Déneir, Eldath, Ilmater et Sylvanus, se livrant contre eux à des actes de vandalisme semblables à ceux que pourraient commettre des hors-la-loi ou de jeunes nobles désœuvrés.
Ils cherchent à tuer tous les druides qu’ils rencontrent car, pour eux, l’équilibre qu’ils prêchent est le véritable ennemi des amoureux de la chasse. Ils sont persuadés que cette théorie interfère avec la juste triomphe du fort sur le faible. En conséquence, les druides, leurs amis et les organisations qui sont, au moins en partie, liées aux divinités de la nature (comme les Ménestrels) éliminent également les Malarites chaque fois qu’ils en ont l’occasion.
Festivités et cérémonies Le culte de Malar tourne autour de la chasse. Les prières dédiées au Seigneur des Bêtes le sont donc généralement avant que la poursuite s’engage, lorsqu’elle bat son plein et une fois qu’elle est achevée et que l’on boit le sang au succès à coté de la dépouille de la proie.
Le Chant du Sang, mélopée extrêmement répétitive, est ainsi entonné prés de la dépouille de toutes les créatures tuées au cours de la classe et, de la même manière, il convient de prier Malar chaque fois que l’on se nourrit de sa proie.
Les seules cérémonies importantes du culte sont le Festin des Cerfs et les Grandes Chasses.
Le Festin des Cerfs se déroule le jour de l’équinoxe messale et voit les Malarites parader dans de proches communautés en arborant la tête de toutes les créatures qu’ils ont abattues au cours de la précédente décade ; par la suite, ils invitent qui le souhaite à prendre part au festin. Ce dernier dure deux jours entiers et les animaux abattus en constituent le plat principal. Tout le monde peut participer, même les druides (protège en cette occasion, par la « Paix de la Table »). Lors du repas, les prêtres annoncent en public qu’ils chasseront lors de l’hiver à venir pour les veuves, les personnes âgées, les infirmes et les orphelins. Dans la plupart des communautés, le culte de Malar n’est jamais aussi bien vu que ce jour-là.
Le Seigneur des Bêtes oblige toutes ses Meutes à célébrer au moins une
Grande Chasse par saison. Il s’agit là d’un événement auquel prennent part tous les Malarites capables de marcher. Ils portent des bottes et une coiffure qui n’est autre que le crâne de la plus puissante créature dont ils sont personnellement venu à bout, ne sont armés que d’un couteau ou de leurs griffes de Malar. Leur proie (un humanoïde doué de raison, qui est bien souvent un humain masculin) est lâchée dans un bois entouré par les prêtres. Elle est armée et revêtue d’une armure, et on lui fournit même tous les objets non magiques qu’elle souhaite. Une fois lâchée, elle est traquée jusqu’à ce que mort s’ensuive. Si jamais elle parvient à s’échapper du territoire de chasse en moins d’un jour et une nuit, ou si elle survit jusqu’à l’aube suivant le début du rituel, elle est libre de partir. De plus, elle ne pourra plus jamais être chassée par les Malarites et est libre de demander ce qu’elle souhaite au Chef de Meute. (ce dernier ne pouvant bien sur accorder que ce qui est en son pouvoir et refusant catégoriquement de tuer un Malarite). La proie est bien souvent un druide, et jamais un fidèle de Malar. Une fois abattue, elle est incinérée pour que Malar se repaisse de ces cendres.
Ordres affiliés
- Maitres des bêtes sont des prêtres ou des druides solitaires qui vivent parmi les bêtes seuls.
- Les Seigneurs des bêtes sont des jeteurs de sorts profanes qui crée des monstres surnaturels.
Le clergé de Malar sur le Val de BiseLe clergé de Malar est ancien dans le Val de Bise, il est essentiellement représenté à Lorgol et ses environs et il agit officiellement … du moins loin au nord. Un autel officiel est érigé aux abords du cimetière, on raconte que le titre de Maître Veneur a été récemment brigué par un Rôdeur ambitieux en l’absence de guide.
Le Premier Maitre Veneur du val de bise fut le Maitre Leonor del Cortes Membre du Symposium.La rumeur colporte l’existence d’un autel officieux plus au sud …