Lorgol .. terre de conflits permanent ?

Le haut prêtre de tempus respectait sa parole et créait en continu la nourriture et l eau que ses maigres pouvoirs lui permettaient. Il continuera ainsi jusqu a la fin de la famine.

(441 rations 1 jour sur deux le second etant passé en conva.)

Lorgol, le port. Sous haute surveillance, les pêcheurs du jour prenaient la relève de ceux de la nuit, la vente de poisson bat son plein. Mais déjà durant la nuit de nouveaux navires avaient apparu. D’après leurs pavillons, il s’agissait de la noblesse. Celle-ci venant de Luskan et de Padhiver. Il n’y a pas de doute, de la petite noblesse pour ces villes, mais pour Lorgol en faillite, de nouveaux nobles. Durant toute la journée, les nouveaux nobles arrivent en Lorgol, achetant toute les résidence du port a prix d’or pour Lorgol, mais toujours pour presque rien vis-à-vis des villes du sud. Les aménagements commencent dans le quartier, sans attendre. Les dames des nobles donnent des ordres et des bateaux accompagnant ces nobles, on débarque tous les biens nécessaires à faire des maisons des maisons de luxe.
Les milices privée de toutes taille se mêlent a la garde pour assurer la protection de ces nouveaux noble. Désormais, presque tout le port est habité de ces personnes, soit dans les maisons, soit dans les navires privés, mais certains s’essayent aux hauts quartiers du centre.
En quelques jours, les maisons du port deviennent plus luxueuse que les maisons des grandes familles de Lorgol, aujourd’hui a la limite de l’asphyxie financière.
Selon la rumeur, tout les « nouveaux nobles » seraient en négociation, ils désireraient d’abord créer un conglomérat qui leur permettrait de protéger leurs intérêts face à la ligue et aux nobles locaux. Nul n’est accepté dans ces négociations, sauf les dirigeants des nouveaux nobles.
Quelques jours suffisent à voir arriver des nobles de toutes les villes de la région. Il ne s’agit pas de la haute noblesse des villes, mais de relativement petits nobles venu essayer de se faire un maximum de revenu sur Lorgol. La grande noblesse ne voulant pas prendre de risque.

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Les autorités n’ont pas le choix, pour offrir la nourriture produite par les prêtres, il faut entrer dans les bas quartiers en force avec beaucoup d’homme, déposer la nourriture puis se retirer laissant la population se débrouiller. C’est le système mis en place depuis le début des conflits, et le seul qui n’a jamais posé problème vis-à-vis des interventions de la garde.
Ces jours ci encore, le peuple se bat parfois jusqu'à la mort pour obtenir en premier les biens mis a disposition. Le nombre d’enfant dans les bas quartiers a chuté de façon phénoménale depuis le début des problèmes. Nul ne sait ou ils ont disparu, et il vaut mieux ne pas le savoir.

Pendant ce temps, a Luskan, 2 navire portant pavillons de Lorgol prennent le départ pour Lorgol, chargé de nourriture de toute sorte. A Lorgol, les autorités tentent de trouver un moyen efficace de gérer cet important arrivage de nourriture. Mais la rumeur se repend en Lorgol, le peuple attend devant le port, ne bougeant que lorsque la garde passe en force pour escorter un convoi entre le port et le quartier haut de la ville.

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En fin de journée, dans le faubourg ouest, un mage est découvert dans une maison non loin de la maison dorée. Très vite les gros bras du coin arrivent pour faire de ce mage un exemple. Le mage se défend des quelques sorts qu’il connaît… finissant par une boule de feu en pleine maison. Cela fonctionne, les gros bras recule, deux d’entre eux nappés de feu sautant par les fenêtres, pour mourir en contre bas. Mais plus grave, le feu se rependait dans la maison. Le chaume et le bois fournissant tout le combustible nécessaire.
La fumée noir est visible depuis toute la ville, et même au delà. Elle s’épaissi, le feu passant de maison en maison. Tout le monde craint que la ville ne parte en fumée. Et la garde refusant d’aller le bas sauf en grand nombre, n’aide a rien.
Durant la nuit, de toute la ville, on peut voir une grande lueur rouge jaunâtre, surplombée d’une masse noire. Les flammes se déclarant sur plusieurs maisons, mais par chance isolée du reste de la ville. Le peuple danse et boit, comme épris de folie. Le groupe nouveau dirigeant des lieux, installé dans la maison dorée, rit en voyant le spectacle. Au petit matin, le feu fini par s’étouffer par manque de combustible, la fumée disparaît petit à petit.
Désormais, seuls les petits panaches de fumée surplombe Lorgol. Ceux-ci provenant des différentes émeutes partout dans la ville basse.

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Le peuple demande toujours la tête du mage auteur des morts lors des premières nourritures arrivées de Bryn et de Bremen. Toutes personnes traversant la ville, se fait agressée. Si elle est sous escorte, quelques carreaux d’arbalète ou des pierres accompagnent des cris demandant sa mort. Parfois les mages sont touché, mais jamais mourrant.

Quand aux prêtres, même sous escorte, des groupes tentent d’attaquer. Cela se finissant toujours par des morts dans le peuple, mais parfois aussi dans la garde. Si bien que la garde menace de ne plus escorter de prêtre entre le haut quartier et le port.

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La rumeur se repend en Lorgol, de plus en plus de gens dans les favels, seul quartier relativement calme dans la ville basse, voudraient quitter Lorgol. On peut d’ailleurs entre voir derrière les murs des favels que des chariots sont prêt, si départ il y a, ça ne tardera pas.

Des annonces sont faites à la population, par des hérauts encadrés de gardes qui ne se risquent pas à entrer dans les quartiers mais déclament depuis les portes.

Il semblerait que la ville recherche des bucherons, et les chasseurs nécessaire pour assurer la survie du camp, prêt à quitter la ville en échange d'un travail certe modestement payé, mais qui leur permettra non seulement d'éviter les émeutes, mais aussi de profiter de la réserve de nourriture que constituent les forêts du nord.
Les annonces sont claires malgré tout, toute personne travaillant dans les chantiers pourra ramener une fois par dizaine un animal abattu à sa famille en ville.
Toute personne prise en train de vendre au marché noir le produit de sa chasse sera dépecée en place publique, puis roulée dans du sel.

Dans le même temps, d'autres crieurs publiques demandent aux charpentiers, et charpentiers de navire de se manifester au plus vite auprès de la garde.

Peu après, les hérauts reviennent, toujours sur escorte, une nouvelle annonce est faite.
Toute file d'attente pour espérer trouver un emploi devra se faire dans le calme. Toute bagarre, ou trouble sera sévèrement châtié ôtant par la même tout espoir aux demandeurs de trouver le travail qu'ils recherchent.
Les habitants sont invités fermement à s'autodiscipliner, et promesse est faite à ceux qui feront régner la discipline dans les files d'attente de bénéficier d'un poste de contremaitre - présentant des avantages alimentaires et des droits d'actions sur les ouvriers - sur le chantier.

Le marché noir va bon train partout dans la ville basse. La garde n’y peut rien… Il en sera ainsi tant que le contrôle ne sera pas revenu.

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Le corps d’un homme sans vie est retrouvé devant les favels. Armand Mender est retrouvé totalement nu. Il n’a été sauvé que grâce a un des convois armés de la garde entre le port et le centre.
[2 jours de conval pour Armand, je verrai avec lui pour ses items.
Tout RP qu’il a eut après cette attaque est annulé.
Si vous prévoyez d’attaquer les pauvres ou les favels de Lorgol, appelé un MD s’il vous plait.]

En fin de journée, deux navires arrivent a Lorgol, provenant directement de Luskan chargé comme rarement de nourriture. Tout c’était bien passé, la garde venait prendre position évitant les vols sur les bateaux. La marchandise commençant à être évacuée pour être transportée vers le centre.
Dans la journée, les favels avait envoyé des message partout en Lorgol, mais personne ne sait a qui. Toujours est il qu’avant la tombée de la nuit, les milices privées du conglomérat sont retourné au port prenant position dans les maisons de ceux-ci. Les nobles quand a eux ont embarqué a bord de leurs navires, préférant être en sécurité la bas plutôt que dans les maisons, si proche du danger.

Il faisait étrangement calme sur le port, le dernier convoi quittait le port pour le centre ville, signe de la relève de la garde dans le port. Juste après le passage du convoi, les portes des favels s’ouvrent. Mais les habitants attendent derrière celle-ci.
Cela faisait des jours qu’on avait remarqué des agissements étrange dans les favels, les habitants se préparant a quelque chose mais rien ne pouvait laisser penser a cela.

Pendant ce temps sur le port, une compagnie de 50 gardes se présente. Elle prend position, alors que les gardes en faction partout dans le port finissent au sol. Sans un bruit, apparaissant seulement après les agressions sur els gardes, les agents de favels traînent les corps a l’abris des regards. En silence les favels prennent le contrôle du port, plus que bien aidé par les gardes qui proviennent des familles des favels mais aussi et surtout par la magie mise a disposition par un mage prétendu inconnu.
En effet, après chaque agression, un coup de baguette magique et les agents des favels redevenaient invisibles.
Personne ne pouvait penser que les favels arriveraient a cela. Mais des que la porte d’accès au port fut sous contrôle des favels, l’ordre fut donné aux habitants de quitter le quartier pour se rendre au port. Les favels se déversaient dans le port.
Enfin alerté, un dirigeant arriva sur les lieu, incapable de retenir le peuple, il suivi et decida de parlementer.

Les favels étaient prêt, surveillant aussi bien que les gardes les accès au port. Durant 2 nuits et une journée le port était bloqué, sans que personne ne puisse rien faire.
Les entrepôts de la ligue et des privés, d’habitude sous surveillance, finirent par être vidé du peu qu’il restait et qui pourrait être utile.
En 36heures, les entrepôts furent vidés, et près de mille âmes prirent la mer.
Apres quelques heures, la garde de Lorgol avait pris position devant le port mais qui oserait attaquer des gardes en place forte et plus nombreux ? Personne, il fallait laisser faire…

Dix bateaux furent volés au port, qu’ils appartiennent a la ligue a Lorgol ou autres, cela importait peu, chaque bateau fut chargé de nourriture, et de bien, le stricte minimum mais assez pour partir.
Des deux navires provenant de Luskan, la moitié d’un d’eux fut ponctionné pour le bien être des favels.

La seconde nuit d’occupation du port se terminait sur les rayons de soleil. Tous les neuf bateau était au large, ils attendaient le dernier qui prenait la mer, laissant 35 gardes sur place chargé de retarder la garde de Lorgol.
Ce fut ce qui se passa, la charge fut donné par la garde de Lorgol et le combat commença. Dix gardes des favels furent arrêtés, les autres tués. Du coté de la garde, 15 gardes furets tués.
Dans le même temps, deux élémentaires de l’air apparurent. Tout deux partant au plus vite vers les navires, arrentant l’un d’eux maîtrisant les vents. Mais le bateau était trop chargé et le capitaine pas assez expérimenté… le mat s’effondra et le bateau se perdu dans les eaux. Aucun survivant, le température de l’eau finissant d’ouvrir les protes des fugues pour eux.

Si tôt le port de nouveau sous contrôle, la garde le nettoya afin qu’il soit prêt pour la pêche car la faim était toujours présente en Lorgol.
Il ne fallut qu’une journée pour que lorgol revive comme si le port n’avait jamais connu d’autres maîtres temporaires.

[il y aura une suite donnée au quartier des favels, ça dépend des actions des joueurs]

Durant 4 heures, après que le bateau des favels ait coulé, un prêtre tente de ramener le maximum de nourriture grâce a l’aide d’un élémentaire de l’eau. La nourriture est pourrie par l’eau salée, mais qu’importe d’autres prêtres derrière lui purifient ce qui en ressort. Voila encore de quoi nourrir le peuple.

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Profitant de l’absence de peuple dans les favels, la garde du centre ville étend sa zone d’influence. Prenant position dans les anciens favels bloquant le faubourg ouest, sécurisant la zone des favels afin de pouvoir transférer les denrées alimentaires du port vers le centre.

En réalité, les combats font rage dans les anciens favels, mais la garde réussi a maîtrisé les personnes désirant prendre du pouvoir sur place. Mais pas sans perte… les favels sont sécurisé.

Le port fini d’être nettoyé et prêt a son usage premier, la pêche intensive reprend.
Les corps des gardes sont tous mené dans le cimetière, laissé sur place soit au culte de Vlesharoon ou a ceux désirant s’en occuper, car la garde n’a pas le temps de faire cela.

Le lendemain, l’appelle au déboisage reprend.

Des hérauts et messagers répètent le discours prononcé par l'Empereur en place publique.
Il vont aussi le répéter dans les villes où les réfugiés sont les plus nombreux.


Citoyens !
Peuple de Lorgol et du nord !
Relevez la tête !
Voyez vous le ciel se dégager ?
Voyez vous le soleil qui brille enfin ?!
Moi je le vois !
Je le vois car Lorgol sort enfin de la crise !
Car Lorgol redresse la tête !
Je vois une Lorgol exsangue ! Vidée de nombre de ses enfants !
Mais je vois une Lorgol vivante ! Encore une fois victorieuse !
Affaiblie mais toujours vaillante ! de même qu’après les assauts de la Coalition !
Mais je vois la nourriture affluer !
Je vois les traîtres favels qui ont quitté la ville ! Ceux là même qui vous incitaient à se dresser contre le gouvernement vous ont abandonné à votre sort ! Volant même la nourriture qui devait arriver ! Et pourtant… pourtant d’autres navires arrivent ! Et l’espoir renaît !

Je vois des maisons ! Des demeures qui libérées ! Des familles qui n’auront plus besoin de s’entasser dans des réduits exigus !
Lorgol qui peut enfin tendre de nouveau les bras aux enfants qui l’ont quitté !

Je vois un Chantier florissant qui s’ouvre ! du travail pour son peuple !
Voila ce que je vois en regardant l’avenir !

Un temple de Kelemvor sera bâti sous peu, ainsi qu’un dispensaire aux mains de la même église ! Cette église qui a libéré nos morts de leurs tourments. Une église qui sera à l’écoute du peuple et proche de lui.
Je vois l’église de Tempus oeuvrant à son côté, garantissant que jamais la traîtrise favel ne pourra se répandre de nouveau dans nos murs.

Revenez dans vos foyers Lorgoliens ! Revenez et rebatissez ! Vous qui n’avez jamais courbé la tête ! Jamais cédés face au destin ! Ne commencez pas maintenant !

Le Sénateur de Drakemort était parfaitement heureux de ces derniers événements... Il avait pu sauvé les deux bateaux de vivres qui venaient de Luskan et quelques vivres dans le bâteau qu'il avait fait sombré à l'aide du Haut-Prêtre de Tempus... Le peuple allait enfin pouvoir se nourrir comme il le faut, et en plus, la garde et le Sénateur avait reprit le contrôle des Bas-Quartiers et des portes que les Favels gardaient... Les gens pouvaient enfin avoir un peu d'espoir que Lorgol se relève de sa crise.

Plus tard, après des jours de travail, il regardait à l'ouest, dans les faubourgs.. Dernier bastion de traîtres, une idée prennait forme à voir son sourire, il se frotta les mains puis alla se reposer afin d'être au mieux de sa forme.

Quatre heures durant il etait resté concentré pour maintenir l elementaire sous son emprise et l empecher de retourner dans son plan d'origine.
Quatre heure durant il avait combattut la fatigue et la douleur pour que l elementaire ramene un maximum de nourriture.

Il savait que d avoir reinvoquer une telle créature si rapidement aurait des conséquences, mais peu lui importait... Apres ces quattre heures il tomba dans l inconscience, l'élémentaire ne perdis pas une seconde pour rejoindre son plan d existance.

Le pretre saignait de la comissures des lêvres ses cordres vocales en sang apres le passage des syllabes arcanique et sous la force de l energie divine qui y répondait. Ses yeux gogé de sang sous l'effort de concentration laisserent perler des larmes rouge.

Quatre gardes l emmenerent a l auberge de la plume noir. Il y fut allongé pour se reposer. Quelques minutes plus tard la haute pretresse de kelemvor se porta a son chevet pour l aider dans sa convalescensce.

A présent il allait mieux mais restait aphone incapable de parler et de surcrois d incanter....

Etat passager ou définitif? Seul le temps serait en mesure de le dire.

Je précise un oubli de ma part :

Depuis la réouverture du port de Lorgol, et les nombreux bateaux entre Lorgol et le sud, les actes de pirateries ont repris de plus bel. Les navires devant être escorté le sont, les autres ben il se débrouille. Mais c’est noyé dans la masse de navire circulent entre Lorgol et le reste du sud.
[Je précise car pour moi c’était implicite et ça ne donne aucune obligation de changement aux joueurs de Lorgol, tout ceci étant géré par les pnj en charge de la logistique.]

Lorgol, quartier du centre, une patrouille de garde se dirigeant vers les commerces.
- Re-qui-si-tion, déchifre tant bien que mal un commerçant sur le pli scellé que lui tend le chef de patrouille.

Quelque minutes plus tard, les gardes ressortent et commencent a charger armes et armures sur des chariots ( 50 armures casques pavoi épées 30 arc equipement de la garde) avant de repartir, laissant l'ordre de réquisition au commerçant.
( anim marmelade )

Perdu dans les nombreuses attaquent des pirates, l'une des offenssives de pirates attirent l'attention, mais seulement de ceux qui finissent mort sous l'assaut:

De fines nefs se tenaient aux aguets dans la pénombre. Chacune anonyme, elles n’abhorraient aucun pavillon, aucun symbole qui puissent trahir leur origine. A leur bord, des petits équipages d’hommes expérimentés s’activaient à exécuter les tâches de leur capitaine, tous, sauf un. Vêtu d’un harnois noir, il se tenait à la proue du navire.

Attendant les ténèbres totales, les navires quittèrent leurs criques, toutes torches éteintes en quête d’une proie. Quelques heures de recherche et la patience furent finalement récompensées, enfin, ils avaient trouvé un navire de ravitaillement.

Les nefs s’approchèrent discrètement du navire par l’arrière, à quelques dizaines de mètres. L’homme en harnois leva les bras au ciel et murmura plusieurs paroles dans un dialecte inconnu. Une colonne de flamme s’abattit subitement sur le navire, suivit immédiatement d’une seconde. Quelques hommes de l’équipage bandèrent des arcs tirant une volée de flèches mortelles sur le navire en flamme à plusieurs reprises.

Harcelant le navire, empêchant les hommes d’éteindre les incendies par des volées de flèches, les fines nefs attendirent patiemment que le navire coule avec tout son chargement. Méticuleusement, ils inspectèrent ensuite les débris à la recherche de marchandise récupérable ou de survivants pour les achever.

Une fois le massacre finit, ils repartirent en quête de nouvelles proies…

L'ambiance a Lorgol est le suivant: Les favels sont plein a craquer, les gens s'y presentant etant trié et geré a la fois par la garde et par une milice locale. Ils sont plein a craquer.
Des barages ont ete palcé au murs nord des favels, de maniere a ce que le calme reste partout du port au centre ville, en passant par les 3 dames. Ces quartier sont sous haute protection. On parle de 150gardes par quartier. Dans le port et dans le centre, on ne peut faire un pas sans voir un garde, tous faisant des patrouilles ou factions par binomes.

Dans les faubourg et le bas quartier, c'est toujuours la loi du plus fort et donc des gangs locaux. Y passer c'est comme affronter un coupe gorge. Cependant, la population a le regard tourné vers les favels, et doucement le peuple se leve contre les gangs qui commencent deja a avoir du mal a gerer la population. La population a oublié sa rencoeur envers le gouvernement, car il ne voit le resultat de leurs yeux: nourriture et changement dans les favels. Cependant, la motivation n'a pas encore touché tout le monde et les gangs font toujours la loi.

Il est probable que des barrages de gardes soit placé a chaque limite de quartier, renforcé dans les limites des quartiers dit clefs (le centre et le port). Etant donné le nombre de gardes dans ces 2 quartier, et du nombre de garde au metre carré, le moindre conflit attirera une enorme quantité de gardes. C'est ce qu'on appelle la haute securité.

Le calme était revenu depuis peu sur Lorgol, la plupart des honnêtes gens dormaient depuis longtemps, écrasés par la masse de travail nécessaire pour remettre la cité qui avait tant soufferte d'aplomb.

Certains, parmis les plus fortunés, s'étaient donnés rendez-vous à la plume noire, auberge réservée à l'élite de la cité.

Ils discutaient tranquillement, appréciant le vin fin qui venait d'être livré avec les navires chargés de provisions. Soudain, la porte de la réserve s'ouvrit, laissant une dizaine de personnages costumés d'étrange manière se ruer dans l'auberge aggressant gardes et clients. Des lames furent tirées en réponse et les cris des aggressés se mêlèrent vite aux râles des mourrants.

La garde réagit admirablement, élite de l'élite, elle fit face et neutralisa l'assault combinée de concert avec un un troupeau de haut-responsables Lorgolites qui venaient de mettre les pieds a l'auberge pour profiter de la douceur de la nuit et du goût du vin sur leur palais.

Peu à peu les assaillants furent maîtrisés, laissant place à un sol vermeil et poisseux entrecoupés de corps en tout sens. Soudain les badaus qui s'étaient amassés à l'extérieur purent voir une lueur écarlate sortir depuis les fenêtres. Accompagnée du bruit des gravats et des poutres qui cédaient. Dans la minute la plupart des gardes évacuèrent l'auberge, qui transportait un allié blessé, qui transportait un ennemi mort. Quelques secondes après la porte s'effondra pour de bon, menacant d'emmurer vivants ceux qui avaient hésité devant une arme chatoyante ou le corps d'une connaissance. Peu après l'auberge s'effondra en partie sur elle-même, donnant lieux a des travaux de déblaiement qui prendraient plusieurs jours.

Lorgol vient à nouveau d'être le théâtre d'une lutte sanglante. L'auberge de la plume noire est dévastée.
L'empereur a été pris pour cible par des ennemis qui ont débarqués dans l'auberge via les égouts.
Ceux ci étaient visiblement préparés. Des guerriers et des jeteurs de sorts tous bardés de magie défensive et offensive.
Oui, tout ceci respirait la préparation minutieuse des évènements qui allaient se dérouler.

Nous étions un groupe de 5 personnes.
Une bainite de la nouvelle église et son tempusien de garde du corps, l'empereur et deux aspirants chevaliers ainsi qu'un autre tempusien.
Nous répondions à l'offre qu'avait la bainite pour prendre un verre.

Mais à peine rentré, la salle fut transformée en véritable champ de bataille.
Fort heureusement, les évènements actuels avaient permis la mise en place en de nombreux lieux de sentinelles en factions. Trois soldats de la garde étaient donc présents dans l'auberge. Tout le monde frappait sur tout le monde.
Une vraie boucherie. La dextérité dans le maniement des armes de nos ennemis, combiné au soutien de leurs lanceurs de sort me fit rapidement prendre ma décision quand à la stratégie à adopter. Laissant soin aux autres de sacrifier leur vie, je retournais directement à la porte afin de faire donner à la garde.
Le mage noir au service de l'empereur ainsi qu'un autre beaucoup plus petit arrivèrent de suite pendant que les gardes aux alentours prenaient leurs ordres.

A l'intérieur les bruits de combat ne cessaient point. L'impact des sortilèges faisait vibrer les fenêtres de l'auberge.
Les deux magiciens entrèrent alors qu'un groupe de soldat encerclait l'auberge pendant qu'un autre prenait en charge la surveillance des autres sorties d'égouts de la cité.

Les gradés de la garde et de la chevalerie furent appelés en renfort, alors que dans l'auberge, les affrontements commençaient à cesser faute de combattant.
Aucun ennemi n'avait cherché à sortir. Cela voulait il dire que les hommes avaient contenu l'assaut ?

Quand je pénétrais à nouveau le lieu l'arme au clair, des corps étaient jonchés partout. A l'entrée, 5 d'entre eux étaient empilés alors que le 6ème un assaillant gisait à quelques pas. Celui la avait du faire bien des dégâts avant de tomber.
L'aspirante qui m'accompagnait gisait au milieu de la pièce. Aucune trace de l'empereur. Les tempusiens et la bainite semblaient eux aussi avoir eu leur compte ... de toute façon des prêtres devraient bientôt arriver et relever ceux qui valaient le coup d'être sauvé.

Le combat avait semble t il fait autant de mort dans les deux camps.
Alors que les blessés et agonisants commençaient à recevoir les premiers soins, l'auberge commença à trembler.
En quelques minutes tout le monde fut sorti, certains voulant emporter avec eux une connaissance ou un prisonnier.
Le chevalier Lanael fut parmi les derniers à sortir avant que tout ne s'effondre.

Il allait falloir compter les morts, les blessés et ... j'espère ... punir ceux qui venaient nous défier sur notre propre terrain.

Bilan dressé par la garde :

-Cinq gardes tués, dont un sergent
-Le tavernier mort
-Les quatre serveurs en service tués
-Le cuisinier mort
-Deux enfants nobles morts
-6 nobles tués
-4 haut fonctionnaires de la Cité Noire mort
-5 marchands morts
-2 banquiers amniens, venus s'enrichir en profitant de la reconstruction de Lorgol, morts.

A cela s'ajoute trois corps non identifiés, sans doute ceux de nobles défigurés. Les familles nobles refusent qu'ils soient incinérés, comme de vulgaires cadavres de roturiers. Les rumeurs du massacre enflent dans les hautes sphères de la noblesse et de la riche bourgeoisie marchande.

Emmitouflé dans sa bure rouge, l’Impercepteur se retourna, examinant chaque visage. Voici l’élite de la magie profane et divine à ses côtés, et les meilleurs guerriers de tout le Val de Bise. Non, la victoire ne pouvait pas nous échapper !
Chacun se prépara avant de monter à l’auberge, sorts de protections, sorts offensif, la magie divine et profane était à l’œuvre, manipuler par l’élite, du moins, tel était les pensées du Bainite. Tous allaient en découdre.
L’éclaireur malarite fit signe à la petite troupe de monter le rejoindre, l’Impercepteur ouvra la marche. Collés les uns à côtés des autres dans la réserve, la porte s’ouvrit sur l’aubergiste et un soldat parlant de bibine. Ni une ni deux, ils passèrent au fil de l’épée, l’Impercepteur se dirigea vers la salle principale : quel magnifique spectacle, les dirigeants de Lorgol étaient présent.


Ni une, ni deux, le prêtre leva les mains au ciel tout en implorant Baine … il avait souvent lancé des sorts d’attaques mais jamais il avait prit autant de temps à incanter, peut être l’excitation du combat avait prit le dessus. Enfin, après un long moment, Baine daigna accorder son sort au prêtre. Une seule victime d’imploser, une inconnue en plus … pfffff. Hop, un second sort d’aveuglement va nous aider mais par le comble du malheur, l’Impercepteur se coinça le dos et dû faire un repli stratégique.

Le prêtre se retourna et vit l’archimage se faire dérouiller par un soldat, il était pas mort celui là ? Un peu plus loin, une toge blanche en train de vociféré en secouant les bras, un soldat lorgolien tarda pas à le mettre par terre … « C’est quoi ce bordel … ils m’ont bluffé pendant toutes ces semaines ? Archimage et Archidruide ? Même ma grand-mère peut faire mieux ».

L’Impercepteur n’eut pas le loisir de se poser beaucoup de questions, un soldat lui avait asséné plusieurs coups ravageurs durant son repli et l’empereur était sur ses talons. Un combat s’engagea entre ces ennemis jurés mais l’avantage des armes revenait à l’empereur jusqu’au moment où celui-ci grimaça de douleur. « Il se passe quoi encore ? » Le Bainite jeta un coup d’œil derrière l’empereur mais rien, quelle est cette nouvelle diablerie ? Ne perdant pas un instant, il profita de l’avantage pour achever l’empereur par un bon coup de Morgenstern à la tête : « Crève, charogne ».

Grièvement blessé, l’Impercepteur reprit son souffle et regarda ces compagnons, l’archimage et l’archidruide étalé au sol, la prêtresse du fouet également, il reste que les guerriers. Avec dix soldats Lorgoliens de cet acabit, il pouvait prendre Padhiver.

Tout à coup, un soldat apparu devant l’Impercepteur, tournant autour de lui d’un air nonchalant « Il me veut quoi celui-là ? » Profitant de ce répit, le bainite pria le Seigneur Noir pour panser ces blessures : Mais Baine est parfois blagueur et resta sourd aux appels du prêtre. Une seconde et vaine tentative, le ténébreux devait être occupé.
Le soldat se jeta tout à coup sur l’Impercepteur « Ah ah ! Je t’ai eu ! ». Le combat n’a pas duré cinq secondes, l’impercepteur se prit une volée de coup d’épées et sombra dans l’inconscience.

Le Chevalier du Gantelet Noir Raethys était venue refouler les pavés de la Perle Noir après plusieurs années passées à Chateau Zenthil aux côtés du Haut Prêtre Khervaral. Ce dernier lui ayant assigné une mission d'observation concernant son ancien territoire, le Chevalier commençea par questionner les gens sur les récentes activitées Bainites.

Quelle fut sa surprise lorsqu'on lui évoqua assassinats, enlèvement et complotages! Le Seigneur Noir prônant la Loyauté et l'Ordre de la Tyrannie, ces agissements étaient dignes des chiens du Fou, elle ne pouvait pas cautionner de tels agissements.
Soucieuse pour sa vie, elle se présenta alors à l'Empereur Erkenbrand comme non attachée à l'actuel Culte Bainite du Nord, revendiquant avec fierté son appartenance à la Nouvelle Eglise et l'allégence à son Maître, l'ancien Impercepteur du Seigneur Noir des Terres du Nord, le seul avec le Ténébreux qui possède son allégence.

C'est donc aux côtés de l'Empereur ainsi que de sa garde qu'elle se rendit à l'Auberge où rapidement une brillante lumière vint la terraser.
Ce n'est que quelques heures plus tard que la douleur fulgurante la réveilla, puis elle croisa son regard avec le méprisable Exarque qui lui sauvait la vie.
Délaissant son armure, elle se tira dehors alors que l'Auberge menaçait de s'effondrer, son regard se posant sur une epée à l'aura malsaine qui ne lui était pas inconnue..
Epuisée par la douleur, cette dernière s'éffondra contre la tour Octane, sombrant de nouveau dans une semi-inconscience.

A son réveil, on l'annonça que l'Impercepteur de Baine actuel avait fait part de cet attentat.
Envahie par la Haine, cette dernière se jura d'ôter la vie à ce simulacre de représentant du Seigneur Noir, n'arrivant même pas à porter avec Honneur les dogmes de son Seigneur.

[HRP: Je rappelle, point de vue de mon PJ et non du miens ]

La noblesse et la riche bourgeoisie marchande a trouvé un terrain d'entente, semble-t-il : ils ne peuvent tolérer qu'on assassine leurs fils, frères ou amis et qu'on leur impose ainsi lois martiales sur lois martiales, ce qui ne peut que nuire à leurs affaires.

Les tractations continuent, secrètement. De riches et prestigieuses familles nobles s'associent à de riches et prestigieuses familles marchandes. Leurs interêts hors de Lorgol doivent rester sauf : la désignation d'un représentant qui ira faire part à l'Empereur des exigences du Consortium est en cours.

[Post à venir, en résumé de l'attaque de l'auberge]

*Pendant ce temps-là, dans les faubourgs est et les faubourgs pauvre est*

La nuit enveloppait la Cité des Milles Tours de son linceuil. Un hurlement. Puis le silence. La criminalité dans certains quartiers de la Cité Noire ne faisait que croître. Une guerre violente, impitoyable, se déroulait dans cet endroit abandonné de tous. La Garde luttait contre les ennemis extérieurs de Lorgol, ailleurs, mais d'autres conflits, internes, rongent la Perle Noire du Nord.

Gangs contre gangs, rues après rues, certaines personnes totalement immorales essaient de se tailler à la force du poignet un empire urbain. Les meilleurs réussissent à réunir autour d'eux les hommes et femmes les plus sanguinaires du quartier ; les gangs plus faibles sont balayés ; leurs chefs assassinés ; leurs membres obligés de se soumettre au diktat du vainqueur. Les bandes armées, qui étaient petites, très nombreuses et éparpillées, voient leur nombre se réduire de jour en jour...Et leur puissance s'accroître dans les mêmes proportions. L'Empereur, l'Empire, les bainites, les complots, ils n'en ont que faire ; leur unique objectif : l'or. L'équipement de ces bandes n'a rien à envier à celui du milicien moyen des Dix-Cités, les "gradés" de ces organisations ayant même un équipement dont la valeur égale, voire surpasse parfois, celui des gardes de Lorgol.

Quelques vagues rumeurs s'échappent de ces quartiers...Mais bien peu. La dernière patrouille de gardes qui s'y serait aventuré aurait disparu. Certains prétendent qu'ils auraient rejoint un gang ; d'autres qu'ils seraient tombés dans une embuscade ; d'autres disent encore qu'aucun garde ne serait assez fou pour s'y aventurer, et que ces disparitions sont fictives.

Ils comptent bien devenir une force avec laquelle il va falloir compter...



*Dans les quartiers nobles*

Lettre ouverte au Gouvernement,

Nous, Léonid Varkalhak Zhan De Castelazur, représentant de la noblesse et de la bourgeoisie marchande, nous nous exprimons au nom de ceux qui nous ont fait confiance.
Nous avons le souci de la gloire de l'Empire. Et nous craignons que l'Astre de l'Empereur ne pâlisse, et ne soit menacée par la plus honteuse, par la plus ineffaçable de toutes les taches.
Vous êtes sortis sain et sauf des calomnies, des tentatives de meurtres ; vous désirez apparaître rayonnant dans l'apothéose d'un Empire qui passerait du stade de l'utopie, du songe d'un doux rêveur à une réalité tangible et palpable. C'est dans le souci constant d'oeuvrer pour le bien de Lorgol que je vais vous dire la vérité, la Vérité toute entière.

La vérité d'abord sur les gouvernements successifs, parfois animés de vertueuses intentions, parfois rongés par les plus bas instincts qui soient. L'incompétence a succédé aux luttes internes ; la Déception à l'Espoir ; bientôt, la Frustration et la Colère succèderont à la Déception. Nous demandons donc deux choses :

-Que nous, Léonid Varkalhak Zhan De Castelazur, puissions siéger au sein du Sénat que vous avez institué, ô Empereur.
-Qu'un effort législatif visible, cohérent et conséquent soit entrepris au plus vite ; mais sans pour autant confondre rapidité d'execution et hâte brouillonne.

La vérité ensuite sur Lorgol. Lorgol était la Perle Noire du Nord. Oui, était : Lorgol n'est plus à présent qu'une ruine noire dans le nord, une parmi tant d'autres. Une ruine où les charognards se disputent quelques rares morceaux de viandes ; une ruine où la Discipline et la Stabilité ont laissé la place au Chaos le plus infâme qui soit. Un lieu désolé, sale, puant et dangereux.

La vérité, enfin, sur la Ligue Marchande du Nord, l'Eglise de Velsharoon et l'Eglise de Baine : ils sont tout autant responsable de la situation que nous connaissons que les précédents gouvernements, et le vôtre, Empereur. La Ligue Marchande du Nord s'est reposé sur ses lauriers ; elle a oublié que le commerce était synonyme d'investissement constants ; de prises de risques toujours renouvellées ; c'est en investissant qu'on s'enrichit, et qu'on permet à tous de s'enrichir : l'investissement est le socle qui élargit le sillon du bien-être des hommes. L'Eglise de Velsharoon a fait de nos vies un enfer, durant des mois et des mois, en laissant un petit différent religieux qui ne regardait que leur Eglise nuire à Lorgol toute entière : le refus systématique, borné, de toute aide kelemvorite a conduit à la tourmente des âmes de nos parents, de nos frères, de nos soeurs, de nos enfants, de nos amis, de nos voisins. Enfin, l'Eglise de Baine par ses manigances, ses complots, ses rêves de détention d'un pouvoir absolu et entier ont forcé chaque ministre, Lames d'hier, ou Sénateurs d'aujourd'hui à regarder ailleurs qu'en Lorgol ; à avoir un objectif tout autre que le bien-être des lorgolites ; que la grandeur du Nord : cet objectif : l'anihilation de l'ennemi.

En conséquence, nous autres, nobles et marchands, nous demandons en outre les choses suivantes :

-La fin du monopôle de la Ligue Marchande du Nord, monopôle qui l'a sclérosé, qui l'a conforté, qui l'a empêché d'innover, d'investir, qui l'a conduit à l'inactivité, qui lui a fait oublier qu'en matière commerciale, rien n'est dû, tout se mérite, monopôle qui a fait une chose pire encore ! Ce monopôle écoeurant a empêché des hommes et des femmes à l'imagination fertile, au coeur solide, au regard tourné vers l'avenir de créer leurs projets, d'entrer dans la danse, d'enrichir Lorgol par leur savoir-faire et leur ingéniosité. C'est pourquoi ce monopôle doit cesser ; c'est pourquoi nous voulons négocier avec un représentant de la Ligue Marchande la fin de ce monopôle.
-Nous demandons ensuite la modification des dispositions relatives à la Loi Martiale : nous demandons à ce que, pour que la Loi Martiale puisse être décidé, il faille une unanimité du Sénat et l'accord de l'Empereur. Une Loi Martiale est une chose gravissime, pire encore que le monopôle : elle plonge Lorgol en un état de léthargie qui, si elle était prolongée, conduirait à la mort pure et simple. Ce n'est donc pas une chose à adopter à la légère.
-Enfin, nous demandons à ce que l'Empereur daigne répondre rapidement à ces différentes demandes. S'il devait répondre par la négative, la noblesse, les marchands et autres personnes qui maintiennent Lorgol en vie se verrait contraint de partir ailleurs pour survivre. Nous ne vous menacerons pas d'arrêter tout versement d'or, tout investissement : nous avons été forcé d'arrêter il y a déjà trop longtemps pour toutes les raisons que j'ai déjà cité.

Respectueusement,

Léonid Varkalhak Zhan De Castelazur.

*affiches posées dans les quartiers nobles et marchands ; avec l'accord des familles nobles et des maisons marchandes. Une missive a également été envoyé à chaque sénateur, et à l'Empereur.*

*pendant ce temps là, sur le port, des marins et tous les gardes en faction racontent avoir vu un énorme monstre couvert de plaques...qui aurait été neutralisé par un mage de la Tour d'Obsidieinne. Ce monstre serait arrivé sur le port avec les eaux des égoûts.

On raconte aussi avoir vu trois personnes, dont le Sénateur de Drakemort, sortir des eaux du port, couverts de déchets et puant la .... enfin les égoûts.

Cinq gardes auraient également trouvé la mort dans cette "vidange", on explique que ce serait dû à une conjonction des planètes ; d'autres prétendent que c'est un attentat des mêmes personnes qui ont commis le massacre à l'auberge de la Plume Noire ; d'autres enfin affirment que tout ça n'est dû qu'à une mauvaise coordination des agents impériaux.*