[Fan Fiction] Chroniques de Terres Lointaines

Avant Propos:

Voila c'est partit, je m'apprette à poster le Prologue d'un livre, ou plutot d'une très longue histoire, que je suis en train d'ecrire. Biensur cette histoire se passe sur Faerun, Toutefois, amis puristes, je vous conseil de passer votre chemin, car ici j'ai laissé vagabonder mon esprit, et vous n'y retrouverer, pour l'instant , que peux d'élément de notre monde préférer.
Je ne sais si tout ceci vous plairas, je ne sait même pas si une telle histoire à sa place ici, et j'ai d'ailleur longtemps réfléchis avant de décider de la poster. Alors je vous prie de m'escuser si ces lignes vous semble blasphématoire par rapport aux grandes oeuvres des grands auteurs que sont Geenwood, Salvator,Cunningham,... Mais c'est mon oeuvre et il me plait de la partagé avec vous.

Sur ce je ne me laisserais pas prendre, ici, dans d'interminables éxplications, je laisse place à l'aventure.

Bonne Lecture, M.Burgunter (alias Zidem69)

Prélude:

Tout n’était qu’ombre et vide dans cet univers à la fois si proche et si différent de celui que l’ont connaît. Dans ce monde évoluant selon les vices et les perversités des habitants Toril, vivaient bon nombre de créatures aux aspects aussi singuliers que repoussants. Des démons, des dizaines de milliers de démons, qui envahissait de leur présence infâme ce plan, le Monde des Ténèbres Eternels, véritable enfer oublier des dieux, même des plus vils. Au milieu de tout ce chaos et cette souffrance vivait un démon humanoïde au grand corps musclé et à la chevelure d’or et d’argent. Son visage était taillé de traits si fins et harmonieux qu’il aurait fait pâlir d’envie les plus beaux prêtres de Sunie. Seul ses grands yeux d’un Rouge plus flamboyant qu’un rubis trahissaient sa nature démoniaque. Son apparente fragilité voilait en faite un pouvoir immense, en fait aucune créature en ce monde n'aurait pût rivaliser avec la force et la rapidité de ce guerrier exceptionnel, tout cela ne l’empêchant pas d’être aussi rusé qu’un renard et d’avoir l’esprit aussi vif qu’il puisse être. En réalité, son pouvoir était si grand qu’il ne parvenait pas à le contenir, si bien que tout être doué de quelque réceptivité que ce soit pouvait ressentir l'aura démoniaque qui entourait en permanence cet être, de sentir vagabonder son énergie diabolique aux quatre coins de ce monde. Debout en face d’une sphère mesurant bien deux, voir deux pieds et demi, de diamètre, le démon regardait défiler des images à la vitesse de l’éclair, il parcourait de ses yeux tous les plans qui accompagnaient Toril. Il cherchait quelque chose depuis des années, depuis que des projets ayant mûris durant des siècles dans son esprit étaient arrivés à maturités, prêt à sortir, prêt à sonner l’avènement de sa souveraineté sur le monde des humains…et sur tous les autres plans de Toril. Soudain le déferlement d’image se stoppa. Elle renvoyait une lumière intense à présent…si violente que le démon dut tout d’abord plisser les yeux afin de s’habituer à une telle clarté. Cela faisait plus d’un millénaire qu’il n’avait pas sentit les rayons agressifs du soleil qui inondent la surface de Toril. Mais ce n’était pas ça qui intéressait le seigneur des ténèbres. Au centre de l’image, une silhouette était allongé dans l’ombre d’un vieux chêne. Enveloppé dans une tunique noire, il aurait pu la confondre avec l’obscurité environnante si le démon n’avait pas vu dans le noir aussi clairement qu’un elfe de lune sous la clarté des étoiles. L’être était de petite taille, ne devant pas excédé les cinq pieds et demi, et sa peau était aussi pale que celle des nordiques, alors qu’il semblait vivre sous des climats bien plus tropicaux.
Dans le monde des Ténèbres, un petit diable s’approcha de l’imposant humanoïde démoniaque. Timide il jeta un regard dans la sphère…et ouvrit de grand yeux incrédules.

« Puissant Merinzen…c’est impossible, un simple humain ne peux pas posséder la puissance requise…seul un démon ou un demi-dieu le pourrait…même Anored n’avait pas une puissance suffisante. Alors un enfant…
-Gorda, Pauvre petit diable, ton ignorance est-elle complète ou ais-je encore une raison de te garder comme conseiller… Ne sait tu donc pas que la Sphère des Ténèbres ne se trompe jamais… sil elle à choisis cet humain…c’est qu’il répond à mes attentes…ou qu’il y répondras bientôt. Quoi qu’il en soit, la sphère nous diras bientôt comment utilisé ce garçon dans mes plans…elle n’agit jamais au hasard. »
Il marqua un bref arrêt, et ajouta d’un air pensif :
« Envoie les adeptes, et qu’il me le ramènent en un seul morceau !
-Bien maître. »
Gorda s’inclina avec respect et partit. A nouveau seul devant l’image du jeune garçon, Les Roi démon Merinzen replongea son regard de feu sur la silhouette sombre, murmurant :
« Nous allons enfin pouvoir commencer… »

Chapitre I: Entre Ombres et Morts

Au même moment, sur le plan de Toril, le jeune homme tentait de goûter à un repos bien mérité. L’éclat du soleil de fin d’après midi venant illuminé avec douceur l’ombre pourtant bien présente d’un vieux chêne, le chasseur s’était adossé au tronc massif de l’arbre qui s’élevait en bordure d’une clairière d’herbe fraîche. Vêtu d’une tunique de tissu noir, et d’une cape de même couleur surmontée d’un capuchon qui tombait largement par-dessus son visage, le cachant dans une ombre impénétrable. Muré dans un silence surnaturel, Iey n’entendait rien, se laissant bercer par le seul rythme de sa respiration.
Pourtant, une présence étrange vint troubler sa quiétude. Invisible, quelque chose…ou quelqu’un, était soudainement apparu, et dégageait une odeur malsaine. Après avoir rapidement vérifié que son arc était toujours posé à ses cotés, le jeune humain se mit à l’affût, ses yeux perçants la pénombre du capuchon de leur éclat émeraude. Reprenant peu à peu conscience de son environnement, le chasseur qu’il était capta presque aussitôt les bruits familiers de la forêt. Une brise légère faisant bruisser les feuillages, le chant timide d’un oisillon dans un hêtre non loin, ou les griffes d’une multitude de petits rongeurs venant racler contre le bois et le battement rythmé des ailes d’un faucon en train de chassé, tout ceci formant une symphonie à la douceur inégalable. Mais, mis à part cette musique habituelle, rien ne trahissait la présence d’un observateur. Et pourtant la sensation persistait, se faisant de plus en plus pressante de seconde en seconde. Mal à l’aise, il décida donc de reprendre sa route. Il se leva en saisissant son arc de frêne et rabattit son capuchon afin de laisser les rayons du soleil baigner son visage pâle. Il avait le visage fin, presque elfique , et un petit nez aux allures infantiles. Les courbes de son corps étaient voilées par sa tunique trop large, et il était petit, même pour un humain, de dépassant pas les six pieds, ses cheveux coupé à hauteur des épaules avaient la teinte de l’ébène ponctué d’éclats bleuté. Sa tunique, qui était en réalité une seul et même pièce de tissus plutôt rustique était serré au niveau de la taille par une ceinture de cuir usé par les années à la quelle pendait, d’un coté une courte épée d’une qualité plus que médiocre, et de l’autre un carquois de cuir bouillis contenant de sublimes flèches de bois blanc, que Iey avait façonné de sa propre main. Après un dernier regard vers la parcelle de paradis qui aurait pu accueillir une longue sieste, il partit vers l’Ouest.

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Dans une grande et riche demeure, un homme d’age mûr et une jeune femme d’une vingtaine d’années se préparaient pour un long voyage. L’homme était plutôt grand, mesurant près de sept pieds, et pouvait s’enorgueillir d’une musculature plus que remarquable pour un être de sa taille. Ses cheveux marrons noisette étaient coupés court, et sa barbe taillée avec soin. Il portait des vêtements de soie d’un bleu sombre de toute beauté avec ‘élégance d’un prince, et à sa ceinture pendait une fine épée au tranchant luisant, qui demeurait hors de tout fourreau. Il aurait de toute façon été idiot de tenter d’en fabriquer un pour une lame capable de fendre sans difficulté l’acier le plus résistant. La femme quant à elle portait une tunique de cuir noir recouvrant ses cinq pieds et demi de formes à la féminité et à l’harmonie presque divine. Son visage était celui d’une adolescente aux portes de la maturité, bien qu’elle ait depuis longtemps dépasser sa deuxième décennie en ce monde. Sa chevelure était d’un blond doré magnifique qui s’associait avec son teint légèrement halé, le tout formant un sublime tableau auquel venait s’ajouter des yeux d’un bleu transcendant. Deux épées longues battaient ses flancs et un arc long d’une grande qualité attendait aussi son bon vouloir. Tout deux semblait totalement absorbé par leurs préparatifs, laissant planer un silence pesant, qui fût soudainement rompus lorsque la jeune femme lança dans un murmure:
"Maître... êtes-vous certain de...
-Oui, je suis sur de ne pas m'être tromper, coupât celui-ci. Mais comme je te l'ai dit tu n'est pas obliger de m'accompagner, ceci n'entre en rien dans ton apprentissage.
-Et je manquerais l'occasion de vous rendre pour la sixième fois redevable envers moi, répondit-elle avec un sourire ravi."
Grognon, l'homme refusa de se laissé prendre au jeu de son élève. Il ne souhaitait pas qu'elle l'accompagne, et la jeune femme le savait...n'y mettant que plus d'ardeur à s'attacher à lui. Elle jouait donc avec l'affection que le Vétéran lui portait pour l'obliger à céder...et bien sur il ne pouvais rien lui refuser.
"Quoi qu'il en soit, reprit-il, il faudra se montrer très prudent, la moindre erreur pourrait s'avérer fatale,et..."
Il fût interompu par l'irruption d'un jeune homme d'une quinzaine d'années bien passées. C'était Zîm, le fils du maréchal Ferrand d'Erthelin, le village voisin.
"Seigneur Marcus! Mon père à terminer, commençât-il à crier à une vitesse affolante. Votre cheval est prêt à prendre la route. Mais j'voulais aussi vous prévenir qu'il y'a des hommes étranges qui vous cherchent en ville. J'sais pas qui c'est, mais ils ont pas l'air...Enorel, vous partez aussi? Demandât-il avec une lenteur soudaine.
-Oui, répondit-elle avec un grand sourire ravi. Je ne vais pas rester ici à me tourner les pouces.
-Oh, je vois, répondit Zîm, une pointe de tristesse pointant au fond de sa voix, avant de se retourner vers le maître des lieus. En tout cas tout est prêt, et votre cheval vous attend à l'écurie.
Puis il tourna les talons et parti en courrant. Marcus et Enorel finirent de se préparer et le suivirent quelques minutes plus tard.

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