[Elvanshalee De Naerth: Dictatrice Des Malédictions]

Fille unique d’une famille aisée où un protocole pompeux régnait, Elvanshalee de Naerth n’était pourtant pas une enfant précieuse aux manières égoïstes propres aux jeunes gens de son statut. Ses parents la chérissaient et son enfance fut heureuse. Aspirant à une autre vie que celle qui l’attendait, cette adolescente réalisait ses rêves par le biais de livre sur une divinité que priait sa famille il y a fort longtemps, beshaba la pucelle de l’infortune.

Le temps passait et la jeune Elvanshalee devenait une belle femme, sa malignité et son air charmeuse faisait d’elle une cible rêvée pour tous riches courtisans dignes de ce nom. Mais elle ne s’intéressait guère aux futilités de ses soupirants. La vie lui souriait et lorsqu’elle eut seize ans, elle décida de quitter sa famille afin de concrétiser ses rêves.

Elvanshalee fut conduite au temple de beshaba de sa région, pour y être mise a l’essaie. Elle apprit alors que La famille De naerth comptait nombre de prêtre et de prêtresse de beshaba autrefois, leur nom comptait permis les prêtres prestigieux du temple. Sa famille ne lui avait jamais parlé de cette partie de sa généalogie.

Au temple, un entraînement militaire rigoureux fut la première étape par laquelle Elvanshalee de Naerth du se plier. De l’age de ses 16 ans jusque ses 21 ans ont lui apprit le maniement du fouet et de l'épée batarde, armes fortement apprécié des prêtres et prêtresse de beshaba.

Les dogmes de la pucelle lui furent enseignés pendant de longues années.
Son fanatisme accru, pendant de long rituel où elel fut entierement conditionée par les dogmes des pretres de la pucelle. Si bien qu’elle pu sans mal réciter pendant de longue heures des prières a la pucelle de toute sorte. Elvanshalee s’impliqua donc dans la vie quotidienne de son église pendant toutes ses années. Ou envoyé en mission pour propager la parole de beshaba ou en provoquant des accidents dasn les villages. Espérant qu’un jour le porte poisse de son temple ne la nome prêtresse de beshaba attitrée.

Quand cela arriva a l’age de ses 25 ans, après tout ce temps passé à l’étude et à l’entraînement. Un sourire s’afficha sur le visage d’Elvanshalee, armé de son fouet et de son épée batarde, de son armure lourde et de sa foi inconditionnée dans la pucelle, elle se dirigea vers le val de bise, où a ce qu’on lui en apprit, le culte de la pucelle était en perdition…


*Extrait du journal de Elvanshalee de Naerth*


J'ai froid...
Au lieu des ténèbres, c'est à présent un halo blanc que je vois...
Froid...
Les formes se précisent, le halo devient lumière...
Où suis-je ? Suis-je morte ? Non, je ne crois pas... J'ai mal partout. Et j'ai froid.
Ouvrir les yeux, bouger. Il le faut.
J'arrive à rouler sur le dos. Qu'est-ce que ? Ces choses blanches... Lointaines... Des étoiles ? Oui, je crois...
Douleur, froid, nausées...

Combien de temps... depuis combien de temps suis-je là ? Où suis-je ?
Il a dû me falloir plusieurs minutes pour m'asseoir... Si la douleur reflue un peu, le froid est bien la, lui.
Mais que... ? Qu'elle est cette chose dans ma main ? Je la contemple un moment avant de comprendre. C’est mon fouet favoris que je tient ferment serré dans ma main, le gel l’a bloqué dans ma main et je ne parvient pas a l’en retiré. Je glisse un peu. Je m'appuie au sol de mon autre main pour arrêter de glisser... Je me suis calée contre... Je regarde l'objet... une pierre. Une pierre peinte en rouge... Non, pas peinte, c'est du sang ! J'ai dû avoir un réflexe, porter une main à ma trempe. Et l'écarter en ressentant la douleur... C'est mon sang, sur cette pierre. Comment est ce arrivé? Serais-je tombé sur cette pierre ?

Allez, debout ! Plus facile à dire qu'a faire... Mes jambes sont en coton, le froid insupportable, tout mon corps crie de douleur et appel au repos. Mais il ne faut pas que je reste là.
Enfin je suis debout. Devant moi s'étend une plaine qui disparaît dans le léger brouillard. Et derrière moi, il y a... ahhhhh !

Le sursaut m'a fait glisser, et me revoilà assise dans l'herbe. Je fixe le regard vide d'un immense grizzly. Cette énorme bête est couchée à moins de 3 mètres de moi. Sainte pucelle !! Je me rapproche doucement, mais je vois vite qu'il est bien mort. Au niveau de son cou, une grosse branche est tombée... L'arbre sous lequel nous sommes tous deux est très grand, les branches sont épaisses... Qu'est-ce donc comme arbre ? Il faudra que je me renseigne.

Comme pour répondre à cette pensée, un coup de vent bien froid me rappelle ma situation. Il y a quelque chose là-bas, une sorte de panneau. Je m'y dirige, doucement et en titubant.. Je n'ai vraiment pas la forme.
Lorgol. Enfin !! Après tout ce chemins.. Je me demande vraiment comment je me suis retrouvé face à ce grizzly..

J’ai perdu toute notion du temps. S'il fait encore jour, je ne sais combien de temps j'ai passé dans la neige, et le trajet jusqu'à Lorgol me paraît une éternité.

Un spasme, une quinte de toux... Je pose un instant un genoux à terre. Et pendant cet instant, une pensée me traverse l'esprit. Je me tourne dans la direction de ma venue. Voilà ce qui n'allait pas ! La branche tombée sur le grizzly... elle n'était pas cassée, mais bien coupée net ! Une branche de cette épaisseur... rien n'aurait pu la trancher aussi net ! Un coup d'oeil sur ma propre épée dans mon fourreau.. Et la lame ébréchée m'apprend que ce n'est certainement pas cette arme non plus... mais alors, qui ? Des compagnons de voyage ? Non, avec une telle arme, ils auraient affronté le grizzly directement...

Non loin, je vois les portes de la ville. J'arrive enfin aux portes de la ville, qui s'ouvrent lentement. Je suis accueillie par deux gardes bien armés.
Bienvenue à Lorgol *ricane* veuillez respecter les loi et ranger vos armes
*désigne le fouet accroché a ma main et mon épée dans mon fourreaux*
S'il vous plaît, fait le second, rangez votre arme. J’accroche mon fouet à ma ceinture et cache mes armes sous ma cape. Les gardes se détendent, puis l'un s'inquiète de mon état (enfin). Il me conseille une auberge tout près, près des marchands, précise-t-il…

Arrivé a l’auberge, je retire ma cape et commande quelque chose de chauds, je jette des regard méfiant autour de moi quand plusieurs client de l’auberge me regarde, et plus précisément le symbole de beshaba sur mon épaule…

Je finit vite ma consommation et loue une chambre pour la nuit. Demain je me mettrait en quête de ce qui reste du culte de beshaba dans cette ville si accueillante…


*Placardé a luskan et lorgol*

Citation :

Moi,
Elvanshalee De Naerth haute prétresse de la pucelle, j'ai été envoyer dans le valbise par la tres infortuné église de beshaba en Amn, pour relever le culte de la pucelle de l'infortune dans la région de ses cendres encore fumantes.

N'ayant plus aucun prétre ni plus aucune personnalité influente présente au sein du culte je prend en charge le commandement avec le titre de dictatrice des malédictions, ce qui est a peu de choses pres l'équivalent féminins du porte poisse. Dictatrice donc, comme l'était la premiére prétresse de la pucelle arrivé a luskan il y de ca une année.

Que tout les adeptes encore présent me rejoignent a lorgol, où une chapelle de la dame destinée sera offerte au culte par le nouveau chancelier de la cités des mille tours, le seigneur Abel de montargent.

Elvanshalee de naerth Dictatrice des malédictions.

Nuit De Fête Tribal

Un jour que je mendiais dans la rue je rencontrai une sorcière de beshaba. Elle me dit de me rendre cette même nuit de pleine lune près d'un chêne à la sortie de luskan à l'est. Elle me présenterait une femme riche qui subviendrait à mes besoins et ainsi je n’aurais plus besoin de mendier.

Toutes ces paroles réussirent à me convaincre, et j'allais au rendez-vous.

La sorcière adepte de la pucelle m'obligea en ce lieu éloigné de la ville à piétiner des effigies de divinité tel que tymora Tyr ou encore sunie. Et m'obligea à renier ces divinités pour ne plus obéir qu’à la volonté de beshaba. Puis, elle mit ses doigts dans ma bouche, jusqu'à me faire vomir sur les effigies divine.

Elle m'amena plus loin, où un chaudron était préparé. Elle sortit un horrible crapaud qui se tenait caché au pied du chaudron dans une jarre. Puis elle le frappa avec une baguette jusqu'à en faire couler un pestilentielle liquide.

Avec ce liquide, de la belladone, des racines de mandragores, l'oeil d'un enfant handicapé et le sperme d'un pendu, elle prépara un répugnant onguent.

Qu'elle m'obligea a avalé...

Quelques minutes après avoir ingurgiter ce liquide, une immense peur s'insinua en moi, ma perception de mon entourage changea du tout au tout. J’avait l'impression de devoir lever très haut mes jambes pour marcher, tout me semblait emplit de vibration extrêmement menaçante.
La sorcière qui me parlait est devenue comme un monstre, sa peau fondait presque. Les lumières d'un s'agrandirent tellement vite que je cru défaillirent, tout était agrandi, comme une boule de feu qui explose.
J’eu l'impression de voler et de me poser dans une clairière ou d'autres gens attendait.

Un grand feu avait été allumé entre la forêt de luskan et les bois de trügar, bien à l'écart des passages fréquent d'aventurier et d'elfes des bois. Une vingtaine de personne était rassemblé ainsi, en tenue de cuir noir rouge et blanche ou même en robe noir ou simplement nu.

Un frisson parcourut mon corps, lorsque je découvrit au centre de la clairière un trône de pierre sur lequel était assis une prêtresse au visage marqué au fer rouge du symbole maudit de beshaba.

J’étais très excitée, je dansais sans cesse et regardais vers le haut. Je regardais les autres qui dansaient aussi et ils avaient l'air bizarroïde et leurs visages devenaient horribles, se déformaient, la peau fondait, tout était mou autour de moi.

Je fus présenté à la haute prêtresse du culte. Elle aussi avait l'air aussi sous influence, Elle me présenta son arrière train et m'obligea a l'embrasser, j'eu un moment l'impression qu'une queue de démon poussait au dessus de ses fesses blanche immaculé.

Elle posa ensuite sa main sur mon épaule et me marqua en enfonçant un a un tout ses ongles dans ma peau. Puis elle me donna un crapaud et une bourse contenant quatre pièces d'or. Elle m'ordonna ensuite d'aller rejoindre un groupe de garçon prés d'un étang et de surveiller le banc de crapaud.

De ma place, j’observais les adeptes du culte s'approcher de la prêtresse de l'infortune et lui conter les mauvaises actions qu'ils avaient commises.
La prêtresse ensuite entonna une messe bientôt suivit par des bardes tieffelins difformes selon mon souvenir...

La messe terminée la prêtresse s'approcha d'un des males adeptes du culte et se laissa confondre dans sa chair. C'est alors que tout les males du culte approchèrent et firent l'amour à la prêtresse de la pucelle. Lorsque les orgies prirent fin, les adeptes se mirent à danser autour du bûcher et se faire des scarifications tribales au fer rouge. Les percussions s’entendaient de très loin dans la forêt mais aucun intrus ne parvint jusque la fête...

Le lendemain tout avait disparu même la bourse contenant les pièce d'or que m'avait donné la prêtresse... les effet hallucinogène de l'onguent de la sorcière s'était dissipé, je couru en ville, pleurant a chaude larme pour dénoncer ce culte barbare...

*Extrait du Journal D'Elvanshalee De Naerth*

Notre ascension dans la citée des milles tours se fait lentement. Le culte n'avait pas tres bonnes réputations ici suite au dépard du porte poisse Vikthor. J'ai du subir de nombreux sarcasmes depuis que je suis arrivée ici mais je n'en ai cure, Le chancelier a été heureux de m'acceuillir en lorgol et le législateur milite activement pour notre implantation. Le culte de loviatar maintenant mourrant et presque inexistant sera dors et déja remplacé a lorgol par le culte de la pucelle au prochain conseil des lames.

La chapelle de loviatar, vide d'adepte sera bénie pas mes soins en une sanctification maléfique en l'honneur de la pucelle. La chapelle nous appartient déja il nous suffit d'en prendre possession de maniére divine.

Un ancien archimage de l'ordo arcanum de luskan, Aaron sombretoge, nous a rejoins. Suite a son implication je lui donne le grade et titre honorifique de Délateur de Malédictions, Haut conseiller et Négociateur du culte. Il commandera au pourvoyeur de malédictions.

Drek Harnaa un banit du culte de la pucelle recherché par les anciens adepte a été retrouvé dans les montagnes. Il a accepté de rejoindre a nouveau le culte de la pucelle de l'infortune avec le grade de haute main du différend. Il commandera donc la horde de l'infortune.

La horde de l'infortune, les pourvoyeurs et le cercle des Dictatrices constituera les tois sections du culte. La horde de l'infortune constituera les roublards, les assassins et combattant du culte. Les pourvoyeurs de malédictions comporte les sorciers, les mages bardes et négociateur du culte. Et enfin le cercle des Dictatrices comportera les prétresses et les chevaliers noires,"ongles de la dames" que compose le clergé et sous les ordres de la haute dictatrice des malédictions, autrement dit moi.

Ce systéme a déja porté ses fruit ailleurs,
le culte sera puissant ou ne sera pas...

*Extrait du journal D'Elvanshalle De Naerth*

La chapelle De Lorgol est enfin sanctifié, J'ai accomplit le rituel de sanctification maléfique avec l'aide de trois prétresse du culte de la pucelle. Nous avons donné ce rituel publique, ainsi les habitant de lorgol auront pu constater la puissance de nos prétresse. Cela nous a donné l'occasion d'en terroriser certain, de nombreuse offrandes ont été offerte a la la dame destinée.

Beshaba peut être fiére de ces adeptes.

*Rapport de Samuel, organisateur des messes beshabarites*

Haute Dictatrice,

Il a été fait comme vous avez souhaitez, des fêtes et messes noires sont organisé dans les forêt de luskan et de mirabar et jusque dans les bois de trügar, dans la discretion la plus totale. Comme vous l'avez prédit la vente de drogue et d'alcool attire a nous tout les rebus de la société. Apprendre le dogme de la fatalité propre a la pucelle a ces personnes est ridiculement facile et le nombre de croyant augmente sensiblement.

De nombreuses personnes se sacrifie délibérement a la pucelle dans un exes de ferveur ou de consomation de champignon hallucinogéne mais c'est une moindre perte comparé a la terreur qui se propagent parmis les adeptes qui restes et en qui la foi commence a faire son chemins dans leur esprits.

Si Les elfes et rodeurs découvrent nos activités j'ai peur qu'ils nous obligent a plié boutique par la force, je demande donc a votre tres infortuné haute prétresse de la pucelle de nous envoyé des combattant pour protéger nos activités.

Samuel