[RP] Chroniques de la Communauté du Val Bise

*Au lendemain de la prise de pouvoir pacifique du Légat de Bryn Shander en Lorgol, le nouveau Chancelier, Héros du Nord, informa Bryn Shander que cette dernière rejoignait la toute nouvelle Communauté du Val Bise.*

*Quelques jours plus tard, ce fut au tour du Duc Jean de Naksul d'informer le brave peuple de Termalaine que la Cité de Termalaine se joignait à cette noble entreprise !*


*Quelques jours plus tard, encore, Dame Violaine put informer ses concitoyens des Havres du Levant que leur Cité avait rejoint la Communauté du Val Bise, accentuant ainsi le mouvement d'unification que Dame Violaine avait contribué à mettre en place quelques temps auparavant.*


L'unification du Nord est en marche. Une nouvelle puissance est en train de naître dans le Nord, puissance dont les frontières s'étendent semaine après semaine de façon totalement pacifique. Le Comte Ricko de Mirna est à son tour invité à contacter le Légat de Bryn Shander à propos de la Communauté du Val Bise...Une nouvelle page de l'histoire du Nord commence, espèrons que cette aventure soit durable et qu'aucun être perfide ne vienne briser cet élan ! Disait un homme, casqué, portant un harnois noir et cuivré, dans l'auberge de Bryn Shander, juste avant d'offrir une tournée générale et de retourner au siège des Dix-Cités.

*Deux ou trois jours à peine après le ralliement de Havre du Levant, la nouvelle est tombée : Bremen, à son tour, désirait se joindre à ce formidable projet, apportant ainsi sa pierre à l'édifice ! La sagesse des dirigeants des Dix-Cités a été loué par le Législateur, après les petits soucis liés aux portes de l'Octane.*

*Une réunion devrait être organisé sous peu, afin de définir les contours de la Communauté, les actions communes et concrètes et discuter de son proche avenir.*

*Une missive est envoyée à chaque Cité, demandant de refuser tout Velsharoonite ou voyageurs de Lorgol jusqu'à nouvel ordre, sur ordre du Chancelier. Il est précisé qu'il ne faut même pas daigner fournir de nourriture, sous peine de voir l'épidémie se propager.*