[Mort RP][Prêtre]Trent

Personnage OneShot(déja mort )
En relisant je me suis aperçu que ca faisait un peu formation Jedi

Citation :

BANDEAU DE CORRECTION D'ORTHOGRAPHE ET DE SYNTAXE EN COURS

Citation :

Nom du compte joueur: Délivrance
Nom du perso: Trent
Race: Humain
Age: 21 ans
Alignement : Loyal Neutre
Religion: Tyr
classe(s):(nombre de level prévu aussi si possible) : Prêtre, nombre de level 1
Arme de prédilection/domaines/école de magie: épée longue/Mal-Bien
Trait de Caractère: Dévoué corps et âme à sa divinité. Essaie d’être aussi impartial que possible, se laisser guider par son cœur peut conduire à l’erreur de jugement. Incorruptible Dépourvu de tout sens de l’humour, la justice est une affaire trop sérieuse pour cela.
Description physique: Physique relativement musclé, de bonne constitution. Pas nécessairement beau, mais a une présence plus que de l’ordinaire. Le regard tranchant comme le fil de son épée.

Citation :

Registre de formation, par le seigneur abbé scribe du Juste Thomas du temple de Thétyr.

Afin de pouvoir réparer toute erreur de jugement par le futur, voici inscrit pour les temps à venir l’énoncé de la vie de l’acolyte de la loi Trent.

Trent nous a été laissé aux marches de la forteresse Fidèle le jour de célébration de la Vision de Justice du mois de la griffe des soleils couchant. Ce sont le très Haut Gardien de la Balance suivi des Chevaliers commandant de l’Epée Miséricordieuse et des Chevaliers du Saint Jugement sortant de la célébration qui le trouvèrent emmitouflés dans un drap pleurant. Le premier paladin de l’Epée Miséricordieuse appela et envoya une cohorte pour rechercher la fautive dans les alentours de la citadelle. Les destriers lourds en armure rutilante partirent partir aux quatre points cardinaux. Il devait mener au jugement cette mauvaise mère et la forcer à l’élever comme il se doit, même si elle devait être hébergée dans la citadelle jusqu\'à sa majorité de l’enfant. Le Haut Gardien lui somma de se calmer et que peut-être qu’il n’y avait aucun acte de méchanceté pour que cet enfant soit laisser ainsi. La colère et la bonté de l’épée miséricordieuse altéraient son jugement, qu’il n’y avait aucune preuve pour le moment et surtout que tout ce bruit effrayait inutilement l’enfant. Le premier paladin se calma et se rangea du coté de l’archiprêtre. Le haut prêtre ne contredit pas néanmoins l’ordre d’envoyer des troupes. La mère de l’enfant devait absolument être retrouvée. Le prêtre pris l’enfant dans ses mains. L’enfant cessa de pleurer. Alors que ce décidait avec impartialité le devenir de cet enfant en attendant la mère, l’enfant fut prit d’émerveillement et d’attention envers le symbole du Grand Prêtre. L’enfant joua pas moins de trente fois avec avant de s’endormir paisiblement. Si on lui enlevait le symbole il se mettait à pleurer. Etait-ce un symbole de l’attrait de l’enfant envers le Juste ? Le futur le révélera, à moins que nous n’ayons altéré son destin. Le nom du bébé fut trouvé, il se nommerait Trent au sein de la citée forteresse.
Les jours passèrent, les jours devinrent des mois, les mois devinrent des années. La cohorte partie à la recherche de la mère de l’enfant revint faire leur rapport, un triste rapport pour le clergé de Tyr. Il s’agissait d’une fille de mauvaise vie. Elle était recherchée pour vol fréquent et a répétition dans la même boutique. De plus elle était sous l’égide de la tradition de Tyr « la clémence dans l’Ignorance » et inscrite dans les registres du clergé. Hélas pour elle la loi de l’épée parla et elle fut mise au pilori. La maladie dont elle était atteinte et non détectée avant l’arrestation l’emporta. Les paladins envoyés prétendent avoir eut la nuit suivant la mort de l’enfant la vision de « l’Epée » le symbole même de la trahison envers Tyr. Le témoignage d’une faute très grave. L’enquête entreprise sur la vie de la jeune femme mena à la conclusion suivante.
Le mal dont était victime cette enfant était dut à la cruauté et la brutalité de son enfance, la cruauté de ses pairs et l’indifférence de ses parents et les sordides conditions de son éducation. Elle volait le même marchand de provision depuis des années et donnait le fruit des larcins au plus miséreux qu’elle. Le marchand volé était un marchand malhonnête qui détourna la dîme du clergé de Tyr à son profit et faisait venir des marchandises proscrites par l’édit en vigueur. Une femme de petite vertu confia même que la défunte avait été violée par le dit marchand crapuleux et qu’elle avait du abandonner son enfant aux mains de ceux qui savait ce qui était juste car elle était incapable de le faire vivre et de lui donner la moindre éducation. Elle a attrapé la maladie durant le voyage ou elle abandonna son enfant. Elle y voyait la pénitence des dieux suite à l’abandon de son enfant et l’a vécut comme tel sans jamais se plaindre, de toute façon elle n’avait pas les moyens de se faire soigner.
Les paladins se rendirent compte que la justice avait été appliquée par le destin lui-même, et que le mauvais coupable avait été châtié par erreur. Le dogme et les vertus des paladins avaient été enfreints. La cohorte une fois de retour et le rapport auprès des autorités de la citadelle, ils furent tous envoyés en quête pour se faire pardonner de leur geste. La règle était simple, cette quête devait être accomplie même au prix de leur vie. Ils n’avaient de toute façon pas le choix. Le conseil des trois plus hauts dirigeants fut convoqué pour savoir ce qu’il allait devenir de l’enfant. Le jugement le plus sage fut d’en faire un pupille de l’abbaye citadelle.

L’enfant fut élevé selon la tradition, aussi sévère soit elle, de l’Eglise du Juste. Il côtoya à la fois l’Ordre du Saint Jugement dont la primauté était à la loyauté et l’Ordre de l’Epée Miséricordieuse dont la primauté était à la bonté. L’enfant devait être à la foi baigné dans la loi et dans la bonté car ce qui est juste est bon. A l’âge de cinq ans il prit sa première lame. Une épée longue d’entraînement pour les jeunes recrues. Il mit près de deux ans à maîtriser son arme et a porter les coups, gagnant peu a peu en précision et en puissance. Durant ces deux années il fut mit à l’école du Dogme. La compréhension et l’acceptation du dogme ne lui prirent que deux mois. Il fut élevé au rang de novice à l’âge de dix ans, dans cinq années il devrait choisir sa voie et la confirmer, serait-ce le paladinat ou serait-ce la prêtrise. Il avait choisi de lui-même de devenir écuyer de l’Epée Miséricordieuse. Les pronostiques semblaient être de mise vers le paladinat. Les vertus lui furent enseignées mais il ne serait pas admis dans l’Ordre des Paladins avant qu’il n’eut la vision du Juste, il n’était pas encore prêt, ou tout simplement trop jeune. Un paladin âgé de dix années n’avait encore jamais été vu dans l’histoire du clergé, et l’innocence de la jeunesse devait être préservée.

Les années passèrent l’enseignement se poursuivit, le jeune Trent participa a différent procès et observa a déceler le mal, reconnaître le mensonge et apprendre les divers lois et les jugements en vigueur et de les appliquer. Il apprit le rôle de Juge, puis de jury et de bourreau et enfin les trois à la fois. A l’âge de ses quinze années il reçut sa tenue sacerdotale. Une robe bleue et violette, agrémenté de l’écharpe blanche. Puis il commença à côtoyer et a connaître le clergé de la loyal Fureur et du Dieu Brisé afin d’en apprendre leur dogme, de les respecté et de faire partie intégrante de la Triade. L’art de la guerre et du travail en équipe lui fut enseignée cela prit deux années bien que ce ne fut qu’un enseignement théorique.
A l’âge de sa majorité le très Haut Gardien de la Balance le convoqua dans son office. L’Heure de lui dire la vérité sur son passé était venue.
La réaction de l’enfant fut les larmes et il commençait à douter sur le Noir et le Blanc de la vie et la prétendue bonté des paladins. Le très Haut ne permis pas cet élargissement de l’esprit. Il fallait trancher entre mal et bien, le gris n’était pas envisageable. Le très Haut prit l’apprentissage vers la prêtrise de Trent en main. La voix du paladinat lui fut fermée à partir de ce jour. Il fallait à tout prix l’empêcher de devenir un paladin puis paladin déchu et de se tromper sur le concept de vengeance et d’injustice après tant d’effort.

L’enseignement commença par revoir les bases de tout le dogme et l’apprentissage du bien. Il fallait faire évacuer toutes les tristesses, rancœur et autre doute tout cela pouvait altérer le jugement et l’impartialité. Les sorts de ce domaine le lui seraient promis par le futur s’il savait prononcer les prières, qu’il avait l’expérience suffisante et que le Juste accorde la prière en l’exhaussant. Apres une année de lecture intensive et de participation au fêtes en l’occasion du Juste les efforts était très significatif et la peine semblait avoir quitté le cœur de Trent. Mais Trent ne pensait pas voir les progrès, la vision n’était pas encore venue, et les prières n’étaient pas encore exaucées. Le très haut lors de la cérémonie de La vision du Juste lui confia le gant de la main valide, le gant Blanc symbole du domaine de la bonté et de la loi.
L’enseignement suivant serait plus dur encore, car un domaine dangereux allait être abordé, mais pour pouvoir distinguer le Bien du Mal il faut aussi connaître le Mal. Le Très Haut lui présenta donc ce domaine et les prières qui allaient avec. Bien qu’il fût en compagnie des paladins durant toute son enfance, cela ne lui avait pas appris à ne pas avoir peur. Ce domaine le terrifia à sa confession, il avait appris là une leçon marquant la fin de son innocence. L’épreuve fut rude, mais ce qui ne tue pas rend plus fort, tel fut la parole des paladins qui l’avait éduqué. Une année s’écoula et cette année nous mena à la cérémonie de l’Amputation. Le très Haut lui remit le gant Noir, symbolisant la perte de la main du Juste.
A force de lire et apprendre ses prières et à monter la piété nécessaire la Vision se réalisa. Trent avait vu le très saint Marteau il était comme changé enfin comme les adeptes le sont après la grâce de Tyr. Le Haut prêtre lui demanda quels étaient les changements qu’il avait perçu en lui. Il sentait en lui une force nouvelle et naissante. La cérémonie de l’Aveuglement eu lieu et Trent fut ordonné prêtre du Juste, et reçu enfin la nomination au rend d’acolyte. On lui remit le Bandeau cérémoniel pour couvrir ses yeux pour symboliser la cécité du Juste. Il prêta serment de respecter le dogme sur la Relique sacrée garder dans l’abbaye. Celle-ci n’a pas réagit signifiant que le serment était sincère, juste et droit.
A la demande du Très Haut Trent fit éclaté l’énergie qui était en lui, une fluctuation de magie divine s’échappa tout autour de lui, mais aucun effet ne fut visible autour de lui. Le Gardien de la Balance lui appris que ce dégagement d’énergie était capable de repousser les morts-vivants. Voir même à les détruire après un certain niveau de maîtrise mais que cela demandait un énorme travail et de temps. Le très haut lui appris aussi que ce même dégagement d’énergie avait le même effet sur les créatures venue d’un autre plan.

Une année passa pour pratiquer la théorie de la prière enseignée. Le Juste lui accorda les Oraisons. Trent les maîtrisa. Puis est venu le temps des prières d’un niveau plus élevées. Le Gardien de la Balance estima qu’il était temps d’envoyer Trent en mission, loin du temple dans une autre région. Ainsi il servirait de messager du Thétyr dans la région ou allait aller, et pourrait ainsi renvoyer a son tour des informations de cette région. La région choisie fut celle au Nord, la ville choisie fut la protégée de la Triade connue sous le nom de Padhiver.
Un messager fut envoyé à cheval pour prévenir de sa venue, la semaine d’après, il partit à son tour. La voix choisie fut le cheval jusqu'au prochain temple de Tyr ou le messager était passé pour prévenir de l’arrivée du messager puis finir le trajet en bateau jusqu'à Padhiver. Sa mission fut de tenir au courant le haut clergé du Juste. De se présenter a la citadelle de la région et de se mettre sous les ordres de ses supérieur. Observer et prendre part aux actions locale et ainsi parfaire sa formation. Puisse la grâce du Juste le protéger.

A venir la mort de Trent et le piège de la veuve noire

A venir le jugement et l’attribution de l’âme de Trent[scroll]