Une malédiction, 2 cyriciens tués, bref on est à Luskan

(Événements de mardi 14/11 au soir)

Extrait du journal de Coralys,

Une fois de plus je ne dormirai pas cette nuit… Telle une ombre impie il occupe mes cauchemars. Heureusement ma fidèle Phénix est prêt de moi, amie fidèle et soutient silencieux dans cet enfer.
Hier la journée a été bien curieuse. Je venais d’arriver à Luskan. Je portais mon masque de cérémonie.
Je croisais Lene et nous partîmes hors de la ville pour que j’écoute son rapport. Nous croisions Sila. J’évitais de la regarder, cela me tourmente trop.
Lene me révéla un complot de Hog contre moi. Nous ignorions que la Justice Poétique me viendrait en aide.
De retour sur la place nous vîmes Hog se ridiculiser comme à son habitude avec son miroir qu’il semblait garder comme son bien le plus précieux.
Je me contentais de le regarder et ignorait la pique de cet idiot d’Armand qui annonçait à son crétin de chef qu’il avait une touche avec moi. 2 Templiers, Celtoras et le roquet, vinrent nous voir et nous posèrent une ou 2 questions mais rien de problèmatique.
Je vis alors les Beshabarites. J’allais voir leur chef pour lui signifier que désormais les Louves n’accepteraient plus leur présence à Padhivers, devenant actives pour ce qui est de faire respecter les ordres du seigneur Nasher.
Il apprécia moyennement mais je n’en ai cure.
Je sortie pour voir Beryl. Cette rencontre me déprima encore un peu plus et je partie m’installer dans l’auberge, pleurant en silence.
C’est alors qu’une vermine vint me transmettre un message. Enfin un défouloir… Celle la ne sortirait pas vivante d’ici…
J’écoutais ses inepties puis la fit monté dans une chambre. Là je lui fis mettre son propre bâillon avant de la tuer dans de grandes souffrance.

Un peu calmée je redescendais. Hog faisait encore des siennes avec son miroir et fini par vouloir me le montrer. Croyant que regarder mon reflet me maudirait je le brisais. Hog éclata de rire.
Je ne compris qu’après coup mon erreur. Car soudain je me mis à voir des vermines du pal d’ébène partout !
Craignant pour ma vie je fonçais hors de l’auberge. Mais ils étaient partout, du moins le croyais je. Je voulu alors, sous les yeux médusés d’un garde, sortir mon arme et attaquer. Mais Phénix refusa de bouger (explication hrp de ça à la fin). J’insistais et fini par me prendre une décharge électrique.
Je compris enfin que quelque chose n’allait pas. Phénix est une Vengeresse, et tuer des vermines est dans ses fonctions puisque telle est ma vengeance. Si elle refusait de sortir c’était parce qu’en face ce n’étaient pas les bonnes cibles, donc pas des vermines, donc que c’était un leurre.
Ce faisant je parvins à recouvrer mes esprits. Je compris alors que le miroir m’avait maudit. Mais Hog, ayant reçut des éclats de miroir, avait aussi été maudit. Merci seigneur Hoar, merci Dame, d’avoir appliqué la vengeance poétique.

Plus calme je discutais avec Satrec, cet étrange mâle de Séluné, lorsqu’une nouvelle vermine arriva. Je décidais bien sur qu’il mourrait mais me ravisait, j’avais une meilleure idée.
Je parvins à le pousser hors de la ville malgré ses tentatives de résister et le fit asseoir. Je lui transmettais alors un message pour ses maîtres, message basé sur la torture. J’observais impassible la vermine se tordre de douleur. Il laissa alors tomber des parchemins qu’il voulut manger. Je parvins à lui en prendre un mais fus légèrement blessée dans son attaque et celle d’Hog qui était devenu fou. Je fus même attaquée par un blaireau, rendu fou par l’ambiance générale, qui me sauta à la gorge. Je parvenais tout de même à l’esquiver. La vermine fût finalement neutralisée par Satrec qui nous avait suivi.

D’énervement je tuais la vermine, tant pis je transmettrai mon message une autre fois.
Arrivèrent alors les Bainites. Je discutais un peu avec leur Impercepteurs qui me sembla être mâle d’honneur, revenons nous au temps d’Ajrarn de Froideval ? On verra bien. En tout cas ses menaces et son discours n’eurent aucune prise sur moi. Je pense qu’il me prend au sérieux, et c’est réciproque.
Seul incident, un de ses laquets me défia, ce qui lui valut un refus de ma part, j’ai mieux à faire, et les remontrances de l’Impercepteur.

Je fini par quitter le secteur, ayant passer une drôle de journée…

//HRP : Le coup de l’épée n’est qu’une version rp du fait que j’ai réussi ma sauvegarde. Normalement la malédiction n’aurait rien du me faire mais c’était plus drôle ainsi^^
En tout cas merci pour cette soirée, c’était du grand n’importe quoi, très très sympa à jouer