Le village des hérétiques :Puis à l’horizon de nulle part un village ce dressait à la hauteur dune colline, lieu de repos. Avançant sur un chemin de terre battue sinueux, vers les portes de la ville bouche d’un semblant de civilisation. Acier contre pierre le dallage étincelait de la friction de la pesante lame. Bien qu’épuisé elle resta droite et fière dans sa disgrâce, tira un peu d’eau au puits du village sous les visages de stupeur des villageois et les regard soupçoneux de quelques mages encapuchoné.
Un jeune garçon osant s’approcher de la jeune femme qu’elle était lui demanda innocemment si tous allaient bien. Dans un bruit agressant d’acier elle se tourna, regarda le petit être d’un regard qui ne reflétait aucune expression puis éclata violemment de rire. Le jeune garçon pris de panique alla rejoindre sa mère non loin de là. Une fois son rire contrôlé, elle regarda les quelques habitants apeurés du village.
D’un mouvement de poignet elle appela à elle un vieil homme encapuchoné. L’homme hésitât plus approchais, de sa voix la plus neutre dénuez de toute émotion elle l’interrogea et apprit que le village n’en avait plus pour longtemps. Le village abritait quelque nécromancien depuis des années, ils fesaient office de prétre, soignant les blessures des villageois et les aidant dans leur tache quotidienne en échange de cadavre frais quand un villagois venait a mourir. Les assauts des nobles paladins de la région sur ce village qu’ils qualifiait d’hérétique se faisait de plus en plus violent. Elle leur proposa de la loger et elle lèverait la mort sur ces frères de jadis avec le plus grand des plaisirs.
Ou lui fourni un cheval un des seuls valables du village, la vielle forge repris du service et sa lame fut affûtée on lui confectionna une plate couleur fer sombre surmontée d’une cape noire telle étais ses désirs, et ils les remplir tous. Elle combattit les paladins avec forces vigueur pendant des mois, les assassinant sans la moindre nuance d'honneur ou de morale. Se purgeant de toutes les peines qu'elles avaient subie...
De la dédication au voyage mouvementé :Vu le nombre croissant de palladins, cela non plus, ne dura guère et Zeëhembria dû fuir le village, débuta alors son voyage.
Elle retourna dabord voir Ssorn, l'accoucheuse qui l'avait élevée. L'idée de Zeëhembria était de faire un rituel de dédication en l'honneur de beshaba.
Ssorn l'aida a délimiter son cercle magique avec l’athamé
Quand ce fut fait, Zeëhembria s'assit par terre, les jambes croisées, et médita sur son choix encore une fois, se concentra et une fois qu'elle se sentie prête, se leva, tendis ses bras vers le ciel pour demander l’aide des puissances des ténèbres pour que son allégeance soit acceptée.
Ensuite, la jeune fille prit une grande inspiration, alluma les bougies unes à une. Et Ssorn lui ordonna de prononcer toutes les incantations d’une voix ferme et forte en y incluant de l’énergie et son sentiment de colére et de vengeance..
Zeëhembria alluma la bougie rouge en disant :
« Que mon âme soit baignée par les vagues malfaisante de la haine et de l’obscurité qui s’éveillent en moi.
Que je sois submergé par une vision des temps anciens,
Où le savoir sacré baignait les mondes,
Et que j’en apprenne les secrets. »
se dirigea ensuite vers la bougie placée à l’est et l'alluma en disant :
« Que mes mains soient bénies par l’élément de l’air,
Que son souffle m’apporte la clairvoyance,
Que l’air sacré ouvre mon troisième œil.
Et me permette de reconnaître mes dons psychiques »
la bougie placée à l’ouest, l'alluma et dit :
« Que les larmes qu’apportent les rimes et les écrits,
Soient exemptes de ma vie, grâce à l’élément de l’eau,
Qui baigne toute chose.
Qu’il me soit permis de plonger dans l’océan de cette eau sacrée qui donne la vie et la connaissance. »
Se dirigea vers la bougie placée au nord l'alluma en disant :
« Que la mort m’habite,
Et que toutes les créatures servent mes buts et mes désirs.
Que le chant du cycle incessant de la vie,
Se perpétue en moi maintenant et pour toujours. »
vers la bougie placée au sud l'alluma en disant :
« Que les flammes sacrées m’imprègnent de leur ardeur,
Et qu’en moi brille le feu sacré du dévouement,
À mes instincts et à mes désirs,
Que l’élément du feu m’assiste,
Dans ma quête de connaissances et de savoir caché. »
Alluma la dernière bougie noire, celle placée au centre de l'autel et dit :
« Par la puissance de la terre, de l’air, de l’eau, du feu,
Sous le regard bienveillant des ténèbres,
Je parle de ce que je vais devenir.
Je dédie mon existence aux ténèbres
Afin de connaître et de comprendre leurs secrets,
Pour mon plus grand bien et l’accomplissement de ma destinée. »
leva ses bras vers le ciel en disant :
« Je t’invoque, toi Beshaba, pucelle de l'infortune, dame destinée qui adhèrent au principe ancien des tenebres.
Afin que tu me permettes de faire partie du groupe de tes enfants chéris.
Je t’implore de m’accorder cette faveur ultime d’être à ton service pour la vie.
Je promets de suivre les édits de ta loi qui sera aussi la mienne.
Je promets de vivre selon le précepte sacré :
Fais ce que bon te semble.
Ô toi, qui es la reine incontestée de tous ceux qui pratiquent la voie de la gauche,
Accueille-moi, je t’ouvre mon âme,
Afin que tu puisses juger de la véracité de mon serment.
Ainsi soit-il. »
Zeëhembria s'assit quelques instants pour savourer le prononcé de son serment ; Pris une coupe de sang frais et bu lentement à la santé de beshaba, des éléments et des ténèbres.
Elle prit alors la route jusqu'au port de Zsharvar. Zeëhembria vit alors la mer pour la premiére fois, elle comprit alors pourquoi on lui avait dit que ses yeux en avait la couleur étant plus jeune. Une vague d'amertume la submergea mais la jeune fille au yeux maintenant bien sombre prit un billet et monta dans un bateau. S'ensuivit Un long voyage par bateau qui débuta fort mal. Les l’oiseau de mauvais augure dans les ciels criait a tu tète signe annonciateur de ses malheurs. le voyage ne connus en effet que le malheur, leur vaisseau soumit au tourment d’une mer qui avais soif de noyé, emporta le capitaine. Dès les premiers jours une maladie étrange frappa l’équipage, en déciment une grande partie. La foudre frappa le grand mat leur imposant une mort lente à l’équipage. Zeëhembria du tué la plupart des malades, car la nourriture et l’eau n’étaient pas pour les faibles qui étaient condamnés. Les provisions manquaient et Zeëhembria obligea les dernier passager a s’ouvrirent les poignets et enduré la douleur jusqu'à ce que leur vie s’en soit allée.
Seul survivante de l’épreuve que la pucelle de l’infortune leur avait imposée le navire toucha terre, une terre glacée. Regardent le ciel, Zeëhembria parla, j’ai échappée a tout cela et cela me rendra encore plus forte…
La carcasse maudite du navire sur les rivages glacés fut rapidement emportée par la marée, mais la chevaliére renégate resta et avança sur les rivages glacés et marcha d’un pas décidée vers cette terre qu’était le val de bise...