- Citation :
- Nom de compte joueur: Elv-alia
Nom du personnage: Danalieth
Race: Humaine
âge: 22 ans
Alignement: Loyal mauvaise
Religion:Aurile, Vierge de glace, Aurore glacière, La déesse du froid
Classe: Moine pure
Arme de prédilection/domaine de prêtre/école de spécialisation: corps/-/-
Language: Commun,
Description physique: Humaine, mesurant 5 pied 10 environ, sa peau est très pâle, elle n'a pas souvent vu le soleil dans sa vie, c'es cheveu sont d'une couleur de vin, légèrement plus sombre, ses yeux sont de la même couleur ainsi que ses tatous qui horne sont corps magnifiquement. Aussi discrète qu'elle est belle, elle garde l'ombre tout en se fondant dans la méllé.
Trait de caractère: Torturer mentalement quand elle était jeune, elle doute pouvoir souffrir encore autant, elle est tolhérente, d'une sagesse née et utilise son corps avec grâce et non avec force.
Bg:Qui suis-je? Je ne peux le dire avec certitude. J'ai été, enfin il me semble jusqu'a l'age de quatre ans, une elfe. Je pouvais sentir les parfums des fleurs et me réjouir du bruissement des feuilles dans le vent.
Mais maintenant tout cela m'est indifférent car j'ai changé plusieurs fois. Il n'y a que les bibliothèques et le savoir qui m’obsèdent. Il faut que je me protège.
Je suis la fille d'un père et d'une mère . J'ai grandi dans une famille simple, père militaire, mère musicienne, belle, grande, blonde, gracieuse et tellement douce. Sa musique était d'une harmonie incomparable.
Je suis puni par ma faute, je n'aurai jamais la chance de les revoir. Mon père m'avait bien dit de ne pas aller voir le sorcier noir. Mais sa fille était bien gentille, bizarre mais intéressante....La sorcière!!!La harpie!!!
Au début on jouait dans la forêt. On courrait après les papillons, sentir les fleurs et les monter en bouquets pour les donner a maman. Quelle était douce maman et son sourire en recevant les bouquets, sa main pausant sur ma joue chaude et réconfortante.
Un jour mon amie m'a invité a aller chez elle, cela a prit longtemps, on a traversé une rivière, monter des montagnes. Mais j'étais prêt à aller partout avec elle, je l'aimais et c'était la première fois qu'elle me demandait quelque chose.
Nous sommes arrivé à une falaise, nous ne pouvions pas l'escalader et là quelle surprise, mon amie nous a fait traverser car elle savait voler. Se fut bien plus rapide comme cela et nous sommes arrivés chez elle à la grande tour du sorcier. Je ne le savais pas, mais savait que je serais puni pour avoir désobéi à mon père.
Elle m'a présenté son père. Un vieille homme, petit, courbé appuyé sur son bâton, habillé dans une robe noir orné de dessin que je n'avais jamais vu au paravent. Sa seule question fut : ta première communion c'est pour le mois prochain? ** en me regardant d'un air de convoitise. J'ai seulement pue hocher la tête de bas en haut.
Mon amie avait changé, elle était brusque avec moi, elle m'avait agrippé par le bras, amené prendre une collation. Ce que j'ai goûté, je ne le sais pas, mais c'était fade.
Je ne me souviens pas de toutes les tortures physique et mentale. Bien des fois j'ai des images qui me reviennent, mais je n'en parle jamais. Des images de transformation de changement de corps et ce sur plusieurs années, enfin il me semble.
J'avais toujours faim, j'étais battu et violé, pas dans mon corps, mais dans mon âme, J'aurais seulement voulu que mon corps soit détruit à jamais, pour ne plus jamais voir et subir d'autre transformation. Mais toutes les fois où je pensais que mon calvaire était fini, je revivais dans une nouvelles image.
Un jour quelque chose c’est passez, cela me permis de sauver et avec le satané bâton du sorcier. Je ne peux dire comment mais je sais qu'il me traque. Mais sait-il seulement qu'il cherche une humaine? Car a chacune de mes résurrections il était surprit de voir mon nouveau corps.
Maintenant je suis jeune de corps mais vieille du coeur, je me prépare à l'affronter. Je vais les mettre en pièce lui et sa chère fille, mon amie.
C'est finalement arrivé, ils m'ont retrouvé. Je m'étais cacher sur le bord de la route juste avant l'entré d'un pont. Ils sont passés devant moi et je me suis lancé, silencieuse, je me suis rapproché d'eux.
C'étais finis, son père avait chaviré en bas du pont et mon amie, elle était au sol en trein de pleurer. Je l'ai roué de coup, c'étais peu comparer à la trahison que j'avais ressenti des années au par avant.
Je l'ai lesser inconsciente sur se même pont, ou je m'étais délivrée de mes tourments. Je suis partis vers mon chez moi, je ne me souvenais plus
de la route, cela faisait trop longtemps.
J'ai pris une direction, et je suis parti, tout les chemins finissent par mener à l'endroit qu'on veut... c'est ce que ma mère disait.
Je me suis enfoncé dans une montagne, j'avais quelque souvenir d'y avoir jouer pendant ma jeunesse, si loingtaine. J'ai commencer à escalader, j'ai posé la main contre la roche, des épines de roses, j'ai enfoncer mes doigts dans l'argile. Elle seignait.
J'ai grimper, j'ai marché longtemps dans cette montagne qui n'étais pas du tout comme dans mes souvenirs. J'ai dormi cette nuit là dans un escarpement, une nuit reposante, cela faisait longtemps.
J'avais pas vraiment de vives, je devais endurer la faim ou chasser. J'ai déchiré le tissu sal qui me servait de vêtement, j'ai pris les lanieres vise à vi mes chevilles. J'ai entouré mes mains blessés et j'ai repris ma route.
Le soir suivant, mes mains s'étaient infecté à cause de la salté du tissu avec lesquels je les avais recouverte, je venais de débouché dans une vallé ou reignait un calme surprenant, je me suis diriger vers des plantes, j'ai fermer les yeux et j'ai essayé de me souvenir. Puis doucement j'en ai pris pour faire cicatriser mes plais. Et arrêter l'infection.
J'ai dormi cette nuit là d'un someil agitée, je dormais, insousciente de la personne qui m'observait et me dirigeait.
Le lendemain je repris ma marche, j'ai continuer dans la vallée qui s'étendait sur un long terrain. J'ai pénétré une forêt, assez silencieuse. J'entendi un bruissement de feuille un peu plus loing, j'ai regardé autour, il n'y avait rien.
J'ai continuer ma route à travers cette forêt, un oiseau a chuté du ciel et est tombé pas trop loing de moi. Enfin, de la nourriture, je me suis approchée avec aviditée, j'ai retirer un morceau de métal logé dans son corps, une rondelle de métale avec quelque pointu tout autour, je l'ai jetée un peu plus loing et j'Ai manger à ma faim comme une vrai canniballe, j'avais faim.
Après avoir manger, je suis tombé dans un sommeil assez profond, mais tellement reposant. J'ai crut voir un ange, c'était une dame, il faisait froid, j'étais dans une caverne de glace et elle me souriait....
Je me suis réveillé, j'ai porter un doigt à mes lèvres, du sang séché, celui de l'oiseau. J'ai regarder autour de moi, j'étais dans une caverne de glace, tout en glace, j'ai cru que je rêvais encore, j'ai chercher des yeux la dame que j'avais vu.
Au fond de la caverne, il y avait un homme, il était habier d'un long manteaux qui décendait jusqu'à ses pieds, la tunique était blanche. Je réalisa que je portait la même tunique. Il me fixait.
Il prit la parole le premier, je ne me souvenait plus très bien des mots à dire, mais je compris les siens. Il m'avait suivi et surveillé depuis que je m'étais débarrassé du sorcier et de mon amie. Il voulait me connaiître mieu, connaître mes instincs et mon savoir.
Il se nommait Deliavros, il me donna à manger. - Es que je rêve, je lui demandis.
-non, tu es dans ma montagne, il répondit.
Nos dialogues furent souvent très brefs, il me nourri, et je repris la forme au fur et à mesure, un jour il s'avança vers moi. Il me demandit de me défendre selon mon instinct, sans rien dire d'autre, il me lança un coup vers la machoire.
J'ai tombé, j'ai vu la pièce changée d'angle, j'étais secouer de la force du coup. Cet homme, cet elf n'avait pas l'air bien fort, il me ressemblait un peu. Je me croyait résistante.
Il prit son temps et me ragardi.
- Ta volonté doit être plus forte que ton obstacle, tu es au sols, ton ennemi te hais, son envie de te mettre un coup de pied est aussi apparente.
Il voulu me mettre un coup dans le ventre, mais je mis mon pied en travers du siens, j'ai senti un de ses orteilles frappés un nerd dans ma cheville et je ressenti une terrible douleur.
- Le corps possède ses faiblesses, qui que ce soit a des faiblesses.
Il me laissa au sol et changea de pièce dans la caverne de glace. Il faisait froid, mais je commençait à m'y habituer.
Je m'endormis ce soir là avec une grande douleur dans la jambe avec laquel j'avait bloquer son coup.
Les jours suivants, il décida de me montrer les points sensible d'un corps. Il y en avait temps ! C'étais difficile de tout se souvenir.
Je croit que ça me prit plusieurs mois, je ne voyait jamais le jour, que le reflait de la glace, si pûre. Je commençait à recommencer à parler. Je me souvenait plus de tout les mots mais je comprenait ce quil attendait de moi à l'expression du visage, à ses gestes et au ton de sa voix.
Puis, l'entrainement soudain et incompréhensible continua lentement, chaque soir je me couchait avec de nouveaux équimoses..sans jamais avoir réussi à lui en faire encore.
Un soir, à la place de me couché, je le suivis discrètement dans la caverne. Jusqu'à une chapelle, il y était à genou et il priait doucement, je me suis approché dans un total silence, et il leva la tête, je me suis demandé comment il avait su que j'étais la. La glace autour était si pure qu'elle nous reflaitait comme dans un mirroir. Il me montra une place à ses côtés et referma les yeux.
Je me suis agenouillé à coté de mon maître et j'ai priez sans savoir qui. j'ai lessez mon esprit errez dans les lymbes et j'ai revu la dame de glace que j'avais vu autrefois dans mes rêves... Nous sommes restez ainsi durant toute la nuit durant.
Après des années d'entrainement comme décris précédamment, nous sommes sortis de la caverne, par un tunel, au fure et à mesure qu'on avançait dans ce tunel, il n'y avait plus de glace. Une grande lumière m'éblouit, il me banda les yeux avec un bandeau, laissant filtrer un peu de lumière.
Nous sommes avancer, le soleil nous caressait la peaux de ses rayons. J'ai suivi ses pas, si silencieux, à peine perceptible. Quand je pus retirer le bandeau, j'étais dans ma cité natale. La plus pars des membres de ma familles selon ce que les passants me disait était parti depuis longtemps vers une autre région.
Mon maître me dit qu'il allait bientot mourrir, il m'avait confier tout son savoir le plus important, celui qui devait survivre. Il me dit :
- quand tu sentiras tes jours s'éteindres peu à peu, montre ton savoir, ton expérience de la vie. Mon corps reposera dans la caverne, le jour ou tu devras t'éteindre, retourne y, montre à une personne que tu aura choisi ton savoir puis éteint toi à mes côtés.
J'ai pleuré, puis j'ai prix la direction de retrouver ma famille qui me croyait morte depuis longtemps.
Pas un jour depuis mon départ je ne pria la Dame de glace que j'avais vu, sans savoir son nom, guider jusqu'à ma famille. Cette région:
Le val de Bise