La Cabale Noire

Elle les avait rejoint parce qu'ils forçaient le respect et imposaient la Tyrannie. Elle n'avait pas cherché à voir les forces déjà en place, le challenge n'était pas d'envergure ...

Ainsi ils debarquèrent de l'imposant navire. Le groupe d'hommes voguait sur ce bateau à la voile noire obsidienne où était brodée l'insigne de la Cabale Noire : Une poing fermé à l'horizontale sortant d'un tas de cendres.
Le bateau débarqua au port de Luskan, ville d'impis et de filles de joie. Le groupe était des plus structuré. Les soldats devant, suivis du Doyen Chevalier du Gantelet Gudwal Noir de Terte. Venaient ensuite les deux Prêtres : Le Sombre Impercepteur et le Chien Noir. Pour couvrire leurs arrières, le Chevalier du Gantelet Loreen de LarmeNoire suivie à son tour de deux Noirceurs qui surveillaient les ombres et les alentours.

Beaucoup se sont arrêtés pour regarder l'impostante procession qui se dirigeait vers le Nord. Une fois en fôret, une halte fut faite, un impi osait les suivre, celui qui les traîta de guignols en ville. Son insubordination repetée lui coûta la vie nons ans que le Sombre Impercepteur se soit restauré de sa joue et d'une de ses lèvres. Les cris de souffrance rejouissaient le groupe militarisé puis l'homme sombra sous les coups de morgenstern et autres armes.
Une fois cela fait, la troupe reprit son chemin vers le Nord, continuant d'avancer, faisant de nombreuses haltes.

Puis vint le moment de croiser la Tour de Garde, à l'entrée dU Val Bise. Une dizaine d'archers du Seigneur Noir pointaient l'attroupement de leurs armes et un homme, hache à la main, un simple Caporal ... Les Prêtres furent offusqués et après des paroles echangés vainement ordre fut donné de l'abattre. La noirceur glissée derrière lui lui assena alors plusieurs coups de poings meurtrier avant que les archers ne réagissent en lui tirant dessus.
Le Doyen Gudwal monta près d'eux, son aura forçait le respect, les archers étaient deboussolés, perdus. Qui suivre ? Qui écouter ? Archaon qui, un genou à terre à cause de la douleur, leur parlait du Patriarche ... Ou Gudwal, inconnu jusqu'alors mais dont les paroles n'étaient pas denuées de sens. Voyant son adversaire qui tentait de se relever, le Doyen abatti son morgentern sur lui, mettant l'homme KO pendant un bon moment.

Puis vint un combat entre les noirceurs et les archers avant que, sous l'ordre du Sombre Impercetpeur, le Chevalier de LarmeNoire et les soldats ne lesrejoignent. Le Doyen fut grievement blessé à la jambe et la poitrine, une soldat eut le bras sectionné et trois archers furent tués. Une fois les autres "ennemis" barricadés dans la Tour, la troupe en piteux état avança, le Chevalier de LarmeNoire traînant Archaon.

Un peu plus loin, le Haut Prêtre eut une envie subite de manger, le voyage avait été long. Archaon fut designé pour lui servir de repas. Les deux oreilles sectionnés et recuperées par le Chien Noir, la main droite coupée par le Chevalier qui servit de nourriture au Prêtre Cannibale. Le Chien Noir broya son genou et les lettres I.D.I.O.T. furent gravées sur son front. Une fois le Cannibale rassasié ils repartirent et arrivèrent aux portes de Lorgol. La garde se renforça tandis que Selfaril arrivait. La troupe revendiqua le Temple, expliquant qu'ils n'étaient pas de ceux qui l'avaient quitté. La Haute Lame refusa, l'idée devait être soumise aux Lames de la ville aux Mille Tours.
Ils eurent l'interdiction d'entrer et d'attendre en ville. Soit ... Ils allèrent juste à la sortie pour y installer leur campement.

Les passants se pressèrent, un groupe de Beshabarites et des Velsharoonites, certains voulaient discuter, d'autres n'étaient que de vulguaire comères. La garde leur donna l'ordre de circuler. N'obtenant pas de réponse, elle frappa dans le tas, blessant à mort une Lame.

Ainsi, à la sortie sud de Lorgol, huit hommes attendaient patiemment qu'on leur annonce leur futur, rien n'était joué, rien n'était gagné.

I] Un met succulent...

( à venir....)

II] La Cabbale Noire rencontre la nouvelle Eglise de la Main...

Althuriak en Luskan, ville neutre des Capitaines, dont la reconstruction etait recemment achevée.....
Un rayon de soleil etait perceptible en cet hiver.....Mis a part les badauds et la garde de la ville, on nota la presence de deux agents de la nouvelle main noire, le général nain, un paladin du temple....et un individu en armure noire et cuivre dont le signe particulier luisait sur son écu : un gantelet de metal noir sortant d'un tas de cendre en fusion...

L'un des adeptes de baine, remarqua le signe singulier et demanda au combattant de s'approcher.

Le soldat en armure noire et cuivre, etait un combattant vétéran, et curieux de nature. Il s'approcha du dignitaire de la Main, jouant ainsi le "jeu" : Il fut naturellement raillé par le prêtre. Le soldat ne se laissa pas démonter par les propos du pretre de baine ...Sa vaillance, et sa loyauté envers son maitre triompheraient de cette fausse Eglise, assimilée à la vermine "cyriquiste".
Querelles, conflits verbaux, propos agressifs, rivalité sans préccédent....Le prêtre de la nouvelle Eglise de Baine usa de son pouvoir negatif pour tenter de soumettre le guerrier adverse. Rien a faire, le guerrier n'ecoutant que sa bravoure, reussit à saisir le poignet de la main rougeoyante qui s'appretait à le frapper de plein fouet....Le dignitaire vetu de vert et noir semblait de plus en plus courroucé....Qui etait donc cet impudent soldat qui osait se rebeller contre son autorité, lui le chef de la main noire en cette region !

Le prêtre fut donc repoussé violemment en arriere par le rebel, manquant presque de tomber dans la fontaine....Voyant le pretre defaillir, le balafré decida qu'il fallait contre-attaquer : il leva son gantelet de metal noir, pret a frapper le dignitaire desequilibré, mais ce dernier reussit a attrapper le poignet du soldat, qui hurla de douleur : en effet, l'energie qui avait été emagasiné dans le poing de fer ne fut pas libérée, et c'est a ce moment la que le pretre decida de faire deferler l'energie negative dans le bras du combattant de la Cabbale Noire.

Un orc a la peau noire arriva tel un fourbe-cyriquiste et profita de la souffrance infligée par le sombre pouvoir pour forcer le guerrier-rebel à s'abaisser...La force de l'inhumain etait colossale.
Le palaldin du temple et le général nain qui observait la scène depuis un moment, decidèrent d'intervenir en fin de compte... Vivement contrarié d'avoir été aidé par un nain et un paladin, le guerrier de la Cabbale avoua malgré cela : ''J'ai une dette envers vous général....sachez que, j'ai qu'une parole..."

Le guerrier de la cabbale Noire provoqua en duel le prêtre du Fleau...En bon noble qu'il etait, le sir de Khervaral decida du lieu du duel : l'arène de luskan pour bretter fut son choix. Le guerrier balafré aquiessa et rejoignit les trois comparses (le pretre, la sorciere et l'orc) à l'arene. Templiers, nain et curieux lui emboitèrent le pas...

Le duel fut inégal : le prêtre en appela a toute la puissance de Baine pour "châtier le renégat"....le guerrier se contenta de boire une petite potion revigorante, posant ses marques et attendant de pied ferme le dignitaire noir... Le fleau et l'épée d'entrechoquèrent...et apres plusieurs blessures d'origines divines, le balafré pensa "faut que je l'neutralise, sinon chui foutu !". Avec toute sa force, il renversa le dignitaire...et le frappa plusieurs fois au sol...
Mais le prêtre avait plus d'un tour dans son sac, il roula de côté et.....il termina le combat de deux coups de morgenstern...Le balafré tituba avant de s'écrouler à meme le sol...Le dignitaire de la main, malgré ses blessures, se delectait de sa victoire, -sans honneur- . Il avança vers le corps sanguignolant du Cabbaliste et posa son soleret gauche impie sur le plastron du vaincu, en prenant soin d'appuyer comme il faut : "alors...vous allez me prêter allégence maintenant que j'ai remporté ce combat, hum ?"...L'énergie rouge revint et le pretre de baine posea son gantelet sur le crane de son ennemi, lui apposant la marque de son exécrable Eglise.
Agonisant et souffrant autant des blessures que de la marque maudite, le soldat de la Cabbale Noire...ne put répondre que par un bruit de gargouillis de sang...avant de sombrer dans l'inconscience.

A son reveil, tous ses ennemis étaient la : paladins, et adeptes de la nouvelle Eglise, qui semblaient livrer bataille pour emporter le balafré.
La joute verbale entre le priant de la main nommé Asharys Khervaral et le paladin du temple Pérédur Coeur-étoile fut longue et intense. Finallement, la Main Noire décida, a regret de partir....mais ce n'etait que partie remise...

Grièvement blessé, le balafré fut mené hors de la ville sous bonne escorte templière : En effet les deux paladins le menèrent a l'hopital pour qu'il y recut les soins adequat....
Le guerrier de la cabbale noire rêva durant les soins prodigués par les prêtres/guerrisseurs de l'hospice luskannien....Dans ce songe, il reconnut son impérial suzerain qui lui adressa quelques mots. Sous une capuche aussi noire que la nuit, les yeux de l'impercepteur rougeoyaient : ''Vous êtes....bel et bien dans la main du Tyran Noir.....balafré...."

III] Un renfort...attendu en Mirabar

Le prêtre surnommé "le chien noir", le caporal Torendil et le soldat balafré étaient aux abords de la forêt de Mirabar... Le chien noir ordonna a ses soudard l'arret de la marche.
"Soldats du Noir Tyran....nous sommes ici car nous avons recut l'ordre de trouver un renfort : une femme envoyé par le Château-Zentil...Il est convenu que le rendez vous serait a l'auberge du cheval gris. Une fois arrivé en ville trouvez la ! Bien....maintenant en avant guerriers ! "
Le trio s'enfonça dans l'épaisse foret, les combattants en tête et le prêtre de la cabbale à leur suite...

Un silence anormal regnait dans les bois...Après quelques minutes de marche...des cris immondes se manifesterent et des forme arachnides emmergerent des coins obscurs.
"Des araignées géantes mon seigneur !" beugla le balafré, qui s'elança pour pourfendre les bêtes répugantes. Son action fut aussitôt suivit par le caporal. Le chien noir se délectait de voir ainsi ses soldats batailler contre la vermine : ils furent très efficaces...mais voyant que les araignées se preparerent a lancer des sorts, le chien noir de la cabbale fit de meme afin d'appuyer ses combattants...La puissance du Féau combinée à l'expérience des soldats vint a bout des creatures...

Apres deux heures de marche dans la maudite forêt, le trio arriva enfin aux portes de Mirabar. "Allez fidèles...trouvez-moi ce renfort attendu...allons pressons, fégnants ! " les soudards se separerent pour rechercher le-dit renfort.

Ce fut le balafré qui reussit à"interpeller" la femme : la blonde se promenait en ville. Le soldat noir fut rejoint par le caporal. "Allons le chien noir nous attend ! Il ne faut pas le faire attendre plus longtemps soldat !" clama le combattant Torendil. De ce fait, le guerrier noir balafré invita maladroitement la femme armurée à suivre le caporal, et ferma la marche.

"Nous voici avec la dame, chien noir" annonça le caporal au prêtre de la cabbale. La femme aux expressions glaciales présenta son ordre de mission au pretre cabbaliste, comme convenu : Elle avait le grade de capitaine, et répondait aux ordres du Château-Zentil.
"Bien en route...quittons cette endroit" déclara le prêtre noir...

A la sortie de la ville, le chien noir décida de mettre le capitaine a l'epreuve : "Vous allez combattre les soldats de la cabbale"
La femme etait tres experimentée dans l'art du combat, et le balafré fut le premier a tomber...la fatigue et les blessures multiples reçues eurent raison de ses lames et de sa vaillance. Le caporal reusit a mettre la capitaine en etat de faiblesse...mais ces gestes furent insuffisants : il s'écroula au sol, vaincu a son tour.

Le prêtre chauve semblait satisfait d'avoir sous ses ordre un officier aussi qualifié : ce renfort du Château-zentil arrivait à point nommé.
Il soupira en regardant ses guerriers et invoqua la puissance du seigneur noir, pour les remettree sur pied. Le soin fut instantané : "Il va sans dire....mes combattants noirs, que vous paierez votre manque...d'efficacité..."

Après une nuit de repos aux abords de Mirabar, pres d'un campement de fortune mis en place par le soldat et le caporal, les quatres serviteurs de la cabbale s'en furent vers Luskan au petit matin...

(faits rp déroulés jeudi-vendredi dernier. EDIT : n'hesitez pas à poster chers compatriotes de la cabbale Wink

)

IV] Un guerrier revenchard...

[cet evenement s'est déroulé avant l'attaque des geants sur un village des dix cités, la ou il y a une zone dangereuse de magie -anime hipps- et durant la baston entre "coalisés" car c'est effectivement comme ca qu'il faut les appeler... et les membres de la cabbale, en terre de Luskan]

Lorgol....Le balafré était de permission : il se rendit à la fameuse taverne de la ville noire : "l'auberge du poisson pourrit" , histoire de prendre des nouvelles et de picoller un peu. Là en discutant avec des clients, il apprit la disparition de l'avant poste de la Main, situé à l'entrée du val de bise. Terrible nouvelle : Ses deux copains d'enfance, le caporal Robert Folichon et un soldat dénommé Raymond dit "le gros con" périrent durant l'assaut des géants du givre.

De rage, le balafré retourna dans sa pauvre baraque et decida de se préparer, pour aller corriger ces géants qui soit disant, "font trembler tout le nord". Casqué et armuré aux couleurs de sa faction, son épée de glace au fourreau, sa gibecière en bandouillere et le pavois d'adamantite dans le dos il quitta Lorgol...en direction des ruines d'hundelstone vers le repaire de glace. "Ils vont payer ces sales cons....moi j'ai pas peur !" se répéta t'il maintes fois durant le trajet.

Apres deux jours de route, il atteignit une auberge perdu dans la region enneigée : "l'auberge de l'oubli" . Il commanda un bon repas et y passa la nuit dans la chambre la plus miteuse qui soit. Le lendemain, il repris la route de bonne heure.

Le sommet bientot....et son outre d'alcool qui commencait a geler.
Enguerrand croisa beaucoup de tigres sanguinaires durant son périple....il les tua tous....non sans mal...
Blessé au bras et a la jambe, le guerrier souffrait. Mais il avait prevu des potions magiques de soin et de force, qui lui permettraient sans doute de tenir jusqu'à la fin de sa quête.

Le col etait bien enneigé, et le vent soufflait avec force : il faisait très froid.
Il n'y avait rien en ce lieu désolé, mis à part un feu de camp qui etait recouvert de glace. Le guerrier sortit une carte, et en vint a la conclusion qu'il fallait descendre. Insiprant profondément Enguerrand descendit le versant de la montagne, passant par un col qu'il ne connaissait pas. Le guerrier noir s'emitouffla dans sa cape épaisse et humide puis il avança bravement, luttant contre la rudesse du climat et mu par un sentiment de haine. A chaque pas, le guerrier noir s'eloigait un peu plus de toute civilisation connue...

La descente dura plus de quatres heures, jusqu'a ce qu'il aprecoive...des pas dans la neige....des pas de titans ! Le guerrier suvit donc les traces de pas...apres quelques minutes de "pistage", le soldat de la cabbale fut surpris pas des bruits de pas sourd, et des petits tremblements de tere a chaque bruits émis.

Enguerrrand ne se sentait pas forcement tres a l'aise, il sorti de son sac une potion magique de "force du Fléau". Une fois qu'il eu absorbé le liquide magique, il senti sa masse musculaire augmenter ainsi qu'une puissance qui se developpait en lui comme il n'en avait jamais ressenti. Il détacha son pavois alors dans le dos, pour le fixer à son bras gauche et degaina vivement sa froide lame.

Marchant le plus silencieusement possible, il longea les paroies rocheuses se rapprochant ainsi des bruits sourds et inquietants....

(to be continued...)

IV] Un guerrier revenchard (suite)

Enguerrand longeait donc la paroie rocheuse, arme au poing...Les bruits de pas se rapprochaient et s'intensifiaient. Le guerrier de la cabbale se situait toujours derriere la paroie rocheuse : il pencha la tête de côté pour voir ce qui se passait : il vit deux géants du givre, haut de 3 metres chacun. "Merde...y sont grands ces cons..." pensa alors le baroudeur de la Main.
Les titans discutaient dans leur langue guturrale et incomprehensible pour le cabbaliste : ils gesticulaient telllement qu'on aurait pu croire qu'ils se querellaient !
"Bon faut que j'elabore un plan, sinon je vais y laisser ma peau." murmura Enguerrand...mais trop tard : un des deux géant vit l'intrus et commença à brandir son gigantesque maillet, l'air menaçant : "MOI écraser TOI ! TOI MORT !"

Le balafré n'eut d'autre choix que de s'elancer l'épée glaciale prête a frapper " Ca va chier, bande de crevures !"
Le combat qui s'ensuivit fut moins sanglant que prévu : Le geant, voyant le petit homme charger, tenta de lui assener un coup de maillet...Enguerrand reussit à éviter la formidable attaque en passant sous les jambes du même geant et lui laçera les jambes grace à son épée ...Dans un beugement inhumain, le colosse s'efondra hurlant des immondices dans sa langue barbare : il etait neutralisé.
Le second reussit a porter une attaque et envoya valdinguer le guerrier noir a cinq metre de la... Etourdit, Enguerrand se releva malgré cela assez rapidement : il voyait maintenant deux geants au lieu d'un seul. Il pensa alors : "deux geants....lequel viser ? ben comme me disait l'paternel -vises en un si tu sais pas lequel est l' bon !- "

Il prit ses marques et attendit la charge du geant. La potion qu'il but avant le combat lui permit de parer l'attaque du colosse avec son pavois : le marteau s'écrasa contre la protection du combattant humain, et ce dernier profita de cet instant pour frapper avec sa froide lame...Le titan eut la gorge transpercée et s'ecroula raide mort quelques secondes plus tard.
Enguerrand riait "hé hé hé....quels cretins...chui pas né d'la derniere pluie ! mais y sont plus faciles à combattre que cet imbécile de Kerkherval..."
En effet, le balafré demeurait un combattant plus qu'agguerri : il avait été esclave autrefois et avait subit le fer dans l'arène...Et se battre contre un pretre qui avait fait appel aux pouvoirs de son dieu lui avait donné une leçon supplémentaire à retenir.

Le triomphant s'approcha du geant qui hurlait comme un pestiféré et posea sa lame au niveau de la gorge du colosse "TA GUEULE....ou tu rejoindra ton copain dans la noire mort !" Le geant semblait avoir compris les propos de l'humain. Malgré cela il leva son poing comme pour frapper son ennemi....La riposte fut immediate : Enguerrand trancha la tête de son antagoniste. "JE T' AVAIS DIT D' LA' FERMER ! Cretin, va !" Puis il essuya sa lame dans la neige, et rengaina. En face de lui, une caverne sombre lui faisait face..."Bon....ben le v'la leur repaire : là, ca va se corser..."
Il jetta un oeil aux environs : tout etait calme. Seuls les volatiles charognards planaient au dessus du guerrier et des deux cadavres : ils attendaient le depart du survivant pour commencer leur festin...

Le guerrier noir tira lentement l'épée du fourreau et entra prudemment dans la grotte... A peine arrivé, trois colosses beuglaient et lui foncaient dessus : ils avaient du etre alertés par les cris de leurs freres de sang dehors quelques minutes auparavant : "C'est parti...." grommella le baroudeur, qui s'elança sur le premier géant du givre en face de lui. Par chance, les trois mastodontes etaient peu experimentés comme les deux préccédents.

Enguerrand utilisa les même tactiques de combat, se glisser entre les jambes de l'adversaire, et trancher les cotés externes des jambes de celui-ci...Il reussit a renverser le deuxieme colosse grace a sa force hors du commun et par le biai de son pavois d'adamantite, qu'il maniait d'une main experte. Les trois comparses giserent bientot sur le sol..."Et...vive Le cannibale !" Enguerrand riait, victorieux : Il avait neanmoins subit le tranchant de la hache du troisieme ennemi. Le plastron de l'armure noire etait tranché et un mince filet de sang coulait à meme le sol.
Il chercha une potion dans sa gibecière et la bu rapidement. La blessure se referma instantanement. Poussant un soupir de soulagement, il continua sa progression dans la caverne orné de stalagtites et de stalagmites.

L'eclairage existait : quelques torches fixées au paroies rocheuses etaient disposées ça et là.
Prudent, le guerrier de la cabbale decida de longer les murs, de façon a ne pas etre reperer par l'ennemi...Il se doutait bien que les géants qui vivaient la constituaient un nombre au moins equivalent a celui d'une petite armée...
Il continua sa progression et quitta la premiere antre..pour entrer dans la seconde : personne...Juste quelques coffres a vider. IL ouvrit les deux coffres, mais il fut deçu de ses trouvailles : des morceaux d'armures rouillées, des pieces de cuivre, des haches émoussées, des couteaux rudimentaires qui semblaient issus d'un autre âge...Refermant les coffres, Enguerrand procceda à la suite des opération : une embrasure menait a une sorte de corridor taillé dans la roche et la glace...

V] progression d'un combattant :

VI] Tombé au champ d'honneur :

Le capitaine Enguerrand Balois, dit le "balafré" discutais avec un chevalier noire de la main, qui se remettait peniblement d'une bataille : celle du culte du dragon en tragos...
Le sombre oblat vint a lui essouflé et plus que nerveux : "Le patriarche a des problèmes, capitaine...."

Le soldat a l'armure cabbalistique tourna la tete :"Ou se trouve le patriarche en c'moment ?!"
Le moine du gantelet de fer reprenait sa respiration "au sud de Lorgol, capitaine."
Enguerrand salua le chevalier avec tout les respects qui lui etaient dus....et mis son heaume ebene et cuivre sur la tête, symbol d'obédiance ancien à la cabbale du Tyran. "Bon allons-y, sombre Oblat...soldat caporal, suivez nous" Les deux combattants de targos emboitèrent le pas au capitaine et au moine du gantelet de fer.

Apres une heure de marche/course, ils atteignirent les environs de lorgol : une foule de guerriers en tout genres etaient prsesent, et quelques corps ensagnlantés gisaient sur le sol enneigé...

De sa voix rauque et ruste le capitaine, lame au poing beugla :"Mais...qu'est ce que c'est que ce bordel encore ?!"
Altercation, joutes verbales....Le capitaine de la main et le moine exigèrent la restitution du corps de ethan de mortevallée. Rien a faire, les lorgolites ne voulaient pas ceder.
Les bainites chargèrent bravement les infidèles...en pure perte. L'union de ces guerriers eut raison des serviteurs de la Main Noire.

[mort rp, ni remords ni regrets]

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