[En attende][BG: Mal] Fey'ri.

Citation :

Nom du compte joueur: LiTTle.j0e

Nom du perso: Mal

Race: Fey'ri

Age: 123 ans

Alignement: Chaotique mauvais.

Religion: Beshaba.

classe(s):(nbre de lv prévu aussi si possible) Prêtre 17 / Roublard 4 / Guerrier 4

Arme de prédilection/domaines/école de magie: Arme de prédilection:
Cimeterre. Domaines: Mal, Force.

Trait de Caractère: Sadique. Sarcastique et légérement egocentrique.

Description physique: Cheveux blancs, peau grisâtre, bleue. Yeux d'un gris fade. Deux petites cornes sur le haut du crâne la plupart du temps cachées par ses cheveux. Une partie de son corps est recouverte par des écailles noires aux reflets bleues, et il porte en permanence une cape jaune sur laquelle est brodée un phénix à plumes. Son armure de cuir porte le blason de Beshaba, ainsi que l'étui et le manche de ses deux cimeterres. Il porte aussi quelques couteaux de lancer à la ceinture

Les deux elfes couraient à en perdre souffle entre les arbres de la Haute Forêt. La brume, d'une épaisseur hors du commun s'était immissé entre chaque feuille, et ne laissait distinguer aucune silhouette à plus de trois mètres. Talaïs, une lame elfique dans la main, et le bras de son épouse dans l'autre se déplaçait aussi rapidement qu'un félin et avec autant de dextérité qu'un singe. Il filait entre les arbres millénaires, comme poursuivit par la mort elle-même. Néanmoins, il semblait savoir parfaitement où il se dirigeait, galopant sur une pste bien définie. Il s'arrêta net pendant un instant, regarda à gauche, puis à droite. Il ne fallut pas une seconde de plus pour qu'une flèche finement taillée aille se planter dans l'écorce de l'arbre adjacent auquel il se trouvait. C'est à ce moment qu'il reprit sa course folle, trainant Léëas comme il le pouvait. La femme elfe se trouvait emmitouflée dans une grande cape noire, tenant son abdomen, apparement enceinte. Elle ne courait pour ainsi dire, pas aussi vite que Talaïs, mais pour une femme enceinte, tenait un rytmhe admirable. Des cris de fureur, un peu plus loin derrière eux se joignèrent au martelage incessant de la fraîche terre elfique. "Fey'ri ! Je t'ordonne de revenir immédiatement traître ! Accepte une mort honorable pour toi et ta famille plutot que de fuir comme une simple bête !", des paroles inutiles, qui ne firent douter Talaïs à aucun instant. Quelques centaines de mètres plus loin, les fugitifs sortirent de la lisière de la forêt et s'engagèrent sur une grande plaine verdoyante. Talaïs regarda derrière lui pendant une fraction de seconde, juste à temps pour voir une salve de trois flèches arriver dans sa direction. Il poussa violament son épouse d'un côté, tandis qu'une des trois flèches vint le toucher à la hanche. Dans un cri de douleur, il s'écroula en avant, puis rampa jusqu'au corps de sa femme. Une des trois flèches était venue se loger dans son épaule, le visage crispé, elle gémissait sans plus bouger. "Léëas, relève toi, nous sommes près du but, Tahdris ne doit plus être loin à présent." Dans un gémissement de douleur, il se releva, et prit son épouse sur ses épaules, avant de prendre sa course. Ses poursuivants à ce mooment, n'étaient plus qu'à quelques mètres de leur cibles. Ils entreprirent de tirer une nouvelle salve de flèches en vain, le couple avait dépassé la première colline, et n'était plus dans leurs lignes de mire. Les trois Fey'ris portaient sur une grande cape rouge foncé l'insigne de la maison Dlardrageth, un phénix à plumes. Ils étaient autrement vêtus de cottes de mailles de mytrhill et de cagoules noires. A leur bassin pendaient des cimeterres, et ils tenaient dans leurs mains des arcs d'ébène d'une très bonne facture. Les trois hommes dépassèrent la haute colline, et à ce moment, une flèche vint se planter dans le buste de celui plaçé le plus à droite. Il fit quelques pas en arrière pendant un instant, releva la tête pour regarder ses camarades d'un air impuissant, tomba à genoux puis s'écroula, inerte. La flèche était venue d'un tireur monté, à quelques dizainees de mètres plus bas. Talaïs et Léëas couraient dans sa direction, tandis que celui-ci encochait une seconde flèche. Sur un grand cheval blanc, il portait de vastes vêtements noires, surplombés de quelques broderies à l'effigie de Coreillon. Il décocha une seconde flèche qui rata sa cible de peu, tandis que les deux fey'ris dégainèrent leurs armes, et chargèrent le cheval dans un cri de guerre terrifiant. L'elfe engagea à son tour le combat, il chargea et lança son arme dans la direction d'un des ennemis, qui esquiva le coup assez aisément, pour continuer sa route en direction du couple. L'autre fit demi-tour, et se mit en garde. Tahdris chargea une seconde fois, porta un coup sec à l'épaule du fey'ri, qui lui rendit un violent coup de lame à la cuisse. Le cheval fit un rapide demi-tour et chargea à nouveau, le deuxième coup d'épée n'atteignit pas sa cible, le fey'ri l'ayant esquivé d'une roulade. Tahdris descendit de sa monture d'un saut, sa blessure ne semblant pas l'atteindre plus que ca. Il fit virevolter sa lame et chargea le fièlon blessé. L'elfe feint un coup horizontal, avant de se courber et de porter un coup d'estoc à son ennemi. Celui-ci cracha un peu de sang, puis tomba à la renverse. "Il ne pourra pas nous échapper ... Elfe. Un jour ou l'autre ... ** toussotement ** Nous le retrouverons, lui et sa famille. Et nous les tuerons, en l'honneur de la famille Dlar..." L'elfe ne lui laissant le temps de finir, planta sa lame dans son thorax.
Pendant ce temps, le dernier des fey'ri avait largement rattrapé le couple. Une seconde fois, Talaïs poussa sa femme sur un côté pour lui faire éviter un coup de cimeterre. L'homme fit quelques pas en arrière, et dégaina sa lame avec difficulté, sa hanche le faisant souffrir. "Jamais... Tu n'aurais jamais du trahir la maison Talaïs. Toi... Qui est comme nous, fey'ri. Tu as trahi les tiens pour le compte des elfes de la lune. Poruquoi?" Talaïs se contenta de le provoquer en guise de réponse, tandis que le fey'ri chargea, exécuta quelques figures acrobatiques, pour lancer son arme dans le genou de son adversaire. Dans un nouveau cri de douleur, il tomba à genous, tandis que l'elfe fièlon lui envoya un coup de pied frontal pour le faire basculer en arrière. "Piètre combattant, aussi bien que piètre allié. Ta vie de tratrîse s'arr..." Un poignard vint se planter dans le dos du fey'ri. Un deuxième, troisième, quatrième coups s'en suivirent. L'engence démoniaque tomba inerte, tandis que Léëas se précipita au cou de son mari. Sa capuche tomba, découvrant un visage à la peau grisâtre, aux cheveux blancs accompagnés de deux petites cornes sur le haut du front. "Lève-toi Talaïs, nous devons partir ... ** gémisements ** Ils vont revenir d'ici peu." Le sang rouge vif de Talaïs s'écoulait lentement dans l'herbe humide. Léëas, les yeux en larmes, le secouait de toutes ses forces. Tahdris, accourut, s'accroupit et examina rapidement Talaïs. D'un air exténué, il posa une main sur l'épaule du fey'ri. Après quelques minutes, les deux elfes se levèrent, se dirigèrent vers le cheval et s'en allèrent au galop dans un cri de motivation.

Plusieurs mois de cavale suivirent. Léëas avait accouchée de son enfant peu après la mort de son époux. Malheuresement, elle ne résista pas à l'accouchement. Elle mourut quelques minutes après celui-ci, exténuée par la douleur et par le chagrin. Juste avant de succomber, elle donna à son enfant le nom de son père. Talaïs. Lui présentait des symptômes identiques à ceux de ses parents. Peau variant du gris au bleue, deux cornes, à ce moment presque invisible à l'oeil d'un humain sur le crâne. Une partie allant de son épaule droite et recouvrant une partie de son buste était recouverte de petites écailles noires aux reflets bleutés, tandis que ses yeux étaient d'un gris fade. Malgré ces particularités, on pouvait facilement reconnaitre les traits elfiques de sa lignée. Il présentait d'ailleurs un certain charme, le charme propre à tous les elfes connus, ou presque. Pendant plusieurs années Talaïs et son tuteur vécurent dans le calme. Heureux n'était surement pas le mot qui convenait le mieux, étant donné qu'ils devaient vivre dans le mensonge et dans l'ombre. A cet âge, Talaïs, encore considéré comme un nouveau-né n'était pas conscient de ce qui lui était arrivé, et de ce qui lui arrivait encore. Il survivait par la simple bonne volonté de Tahdris, qui ne pouvait se résoudre à l'abandonner. Les parents de Talaïs et lui-même avaient longtemps étés de bons amis. Ils s'étaient connus lors de la libération des fey'ris, emprisonnés depuis lors, pendant une soixantaine d'années. Tahdris était alors chargé d'exterminer tous les fey'ris qu'il aurait pu croiser. Il rencontra les parents de Talaïs un matin, alors qu'il patrouillait dans la Haute Forêt. Les deux fey'ris ne semblaient pas hostiles. Une fois de plus, Talaïs était blessé, et trainait Léëas, qui à cette époque n'était pas encore son épouse. Il les suiva et examina nuits et jours pendant plusieurs semaines avant de se résoudre à aller à leur rencontre. C'est à ce moment que la complicité se créa, les deux fey'ris entrèrent en collaboration avec Tahdris et le clergé de Coreillon. Depuis le début de leur fuite, Talaïs et Tahdris n'avaient pas rencontrés de gros problème. Les fey'ris Dlardrageth n'avaient jamais réussis à les retrouver. Surement car ils n'avaient de cesse que de changer de village, de ville, de région. C'est après leur quarante-deuxième année de course que l'événement qui allait tout changer se produisit. Tahdris, alors qu'ils entraient dans une ville humaine particulèrement pauvre et mal famée, tomba malade...

Tahdris s'enfonçait avec hâte, mais non sans difficulté dans l'importante masse d'humains. C'était jour de marché, un point positif pour l'elfe. Il pourrait, si tout se passait bien se cacher facilement. Les fey'ris. Ils avaient finis par le retrouver. Il ne savait pas bien comment, mais ce qui était sur c'est que le même matin de la fenêtre de sa chambre, il avait aperçut quatre silhouettes portant l'insigne de la maison Dlardrageth se promener dans les rues, mains sur leurs armes prêts à combattre. Il était capable de venir à bout de l'une de ces créatures, mais en aucun cas il ne pouvait en affronter quatre. De plus, cette maladie l'avait gravement affaiblie, et il doutait même de ses capacités à en tuer un seul. Il rassembla alors ses affaires, et prit la fuite une nouvelle fois. Apparement, les précautions qu'il avait prises n'étaient pas assez conséquentes, et alors qu'il sortait de l'auberge par une porte arrière, par inadvertence, un des fey'ri l'aperçut. Il rejoignit donc le plus rapidement possible la rue principale, pour s'enfoncer dans la masse humaine qui encombrait le passage. Après quelques minutes, il les avait semé, semblait-il. A bout de souffle, il alla se reposer une minute dans une ruelle sombre, pour prendre son souffle. Une toux terrible s'empara de lui. Pendant plus d'une dizaine de minutes, il toussa, crachant un peu plus de sang à chaque sursaut. Il glissa alors le long du mur, puis posa son regard sur l'enfant entre ses bras. Il dormait. Un sommeil apaisant, Tahdris aurait aimé pouvoir dormir de la sorte en ce moment même. L'elfe caressa le front de l'enfant, ferma un oeil, puis l'autre. Le sommei éternel l'emporta. Dans un dernier souffle, il prononça une prière...

Il avait à présent 122 ans. Il suivait le programme d'ordination de prêtre au service de Beshaba. Le clergé... Sa famille. Pour le peu qu'il en savait, Beshaba lui avait offert une deuxième chance, sa vie antérieure ayant été surlignée de malchance et de malheur. Beshaba, Pucelle de l'Infortune l'avait trouvé agonisant, sans famille... Sans rien. Elle lui avait offert un toit, le couvert et de la chaleur. C'est ce que Théadris, grand prêtre ayant pour charge le temple dans lequel il avait été recueillit lui avait dit. Il le croyait. Il était son tuteur, son père. Il s'était toujours occupé de lui correctement, alors qu'il savait très bien que les "infidèles" l'auraient repoussé et surement pendu dès qu'ils en auraient eu l'occasion. Mal lui était donc redevable. Oui, Mal, c'est comme cela qu'on l'avait renommé... Enfin, c'est comme cela qu'on l'avait appellé, étant donné que personne n'était en mesure de connaitre son vrai nom. Cela faisait maintenant près de vingt ans qu'il étudiait, s'entrainait et apprenait les préceptes de la Dame Destinée. Mal était considéré comme l'élève le plus brillant. Ce n'était pas étonnant, étant donné que la plupart des autres élèves étaient des humains, il disposait de tous les avantages de son sang. Longue vie, intelligence découlant de la race elfique, et sadisme "génétique". Bien sûr, il n'était pas particulièrement apprécié, mais il savait se faire respecter et remettre les gens à leur place. Il était d'ailleurs l'un des élèves les plus doués en combat rapproché, héritage d'une agilité et d'une précision elfique. Rapide, frappant la où il fallait frapper pour que cela fasse mal, tant psychologiquement que physiquement.
Mal, portant une armure noire de cuir aux broderies du clergé, et une cape jaune, sur laquelle était brodé un phénix à plumes, se dirigeait d'un pas sûr en direction de la salle personnelle du Grand Prêtre. Il frappa doucement avant que les portes ne s'ouvrent d'elles mêmes, donnant sur une pièce plutot grande. Les murs étaient tous recouverts de fresques et de drapeaux à l'effigie de Beshaba. Assis sur un grand siège, devant un bureau sur lequel étaient disposés plusieurs ouvrages de piété, un vieil homme, paraissant centenaire se tenait droit, appuyé sur un grand baton. Mal s'inclina en signe de respect, puis il esquissa un petit sourire. De sa voix pinçée, il exprima quelques paroles:
"- Je vous salue très humblement Grand Prêtre. Je suis ici, pour m'assurer que tous les préparatifs pour la cérémonie de cette nuit ont étés éxécutés, révisés, vérifiés.
- Tu n'as là, aucun soucis à te faire, Mal. Ton ordination se passera correctement, fidèle aux rithes et aux habitudes suggérées par la Pucelle.
- C'est là ce que je désirais entendre Grand Prêtre. Je vous salue donc une seconde fois, et vous dis à cette nuit.
- Tu peux disposer, futur prêtre." Le fey'ri fit rapidement demi-tour puis, satisfait, se retira dans ses appartements pour se préparer à la cérémonie.
Les tambours résonnaient dans l'intégralité du temple. Ils commençèrent à jouer de la percussion à minuit, pas une minute de plus, ni une minute de moins. Mal, accompagné de trois autres hommes, attendaient patiement dans une antichambre. Ils avaient tous revêtus la tenue du Marquage. Ils étaient les quatres fidèles présentant les capacités nécessaires pour se faire ordonner. Foi irréprochable, dévotion totale, aptitudes remarquables au combat et force d'esprit convaincante. Les grandes portes s'ouvrirent. La lumière des flammes se refléta sur les torses nus des quatres ordonnés, les tambours résonnaient dans leur crâne comme le martelement incessant de la marche d'une armée. Ils s'avançèrent alors vivement, et commençèrent à virevolter, voltiger autour et dans les flammes. Ce spectacle magnifique faisait facilement penser à la fête d'une tribue indigène quelconque. Les fidèles saisirent chacun leur tour une torche, se remplirent la bouche d'eau-de-vie pour cracher le feu sur des mannequins de paille. Il s'en suivit de nouveaux pas de danse, les ombres semblant bizarrement détachées de leur corps. Les prêtres occupaient tout l'espace qui avait été mis à leur disposition. Surplombant la salle de la cérémonie, dans un grand trône logeait Théadris le prêtre. Il suivait avec attention chaque mouvement des fidèles. La salle était de forme circulaire. Des gradins étaient disposés dans lesquels s'étaient plaçés les différents membres du clergé. Au centre de la pièce, de gigantesques flammes jaillissaient du sol, tandis que les prêtres passaient successivement à travers. Les tambours étaient plus en hauteur, sur des balcons. Il y en avait une bonne vingtaine, tous jouant un rythme différent, ce qui donnait au tout une mélodie malsaine mais tout de même bien organisée. Après une dizaine de minutes de danse, le Grand Prêtre se dressa de toute sa hauteur, son ombre surplombant la pièce. Les tambours s'arrêtèrent net. Les quatres futurs prêtres s'agenouillèrent devant lui, tandis qu'i ldescendait de son estrade, et saisit un fer brûlant. Le premier à passer fut Mal, il s'éclaircit la voix puis prit une inspiration avant de fixer le prêtre dans les yeux:
"Le mauvais sort frappe tout le monde et ce n’est qu’en suivant l’exemple de Beshaba qu’on peut l’éviter. Trop de chance est une mauvaise chose, et pour rétablir l’équilibre, le sage doit oeuvrer contre le nanti. Quoiqu’il arrive, tout ne peut qu’empirer. Apprenez à craindre la Pucelle de l’Infortune et à la vénérer. Faites en sorte que Faerûn sache qu’il faut obéir à Beshaba et lui adresser des offrandes pour l’apaiser. Dans le cas contraire, tous connaîtront la malédiction . Poussez votre prochain à vénérer Beshaba afin que la malchance ne le frappe pas. Ne conseillez jamais faussement qui que ce soit quant à sa manière de vénérer Beshaba, sans quoi vous serez banni et maudit jusqu’à la fin de vos jours." Le Grand Prêtre acquièsça et posa le fer brûlant sur le torse du fey'ri. Celui-ci, se crispa et accepta la douleur sans un bruit. Une fois le fer levé, il poussa tout de même un léger soupire. Les dogmes furent répétées trois autres fois, le fer brûla la peau trois autres fois... Les tambours reprirent quand le Grand prêtre s'assit enfin, et les quatres nouveaux prêtres se remirent à danser...

Mal passa une année de plus dans le temple, à remplir son devoir de prêtre. La nouvelle commençait à se répandre. Le Grand Prêtre était mourant, c'était un humain et il avait vécu plus qu'il n'aurait normalement du. Sur son lit de mort, il convoqua Mal:
"- Prêtre... Je... J'ai une importante annonçe à vous faire. Je vous ai choisis... Pour nous représenter, au ValBise. C'est une mission difficile, étant donné l'importance que cette région représente... Mais vous en serait capable, je crois en vous Mal. C'est moi qui vous ai sorti de la misère et de la mort... Accomplissez votre devoir comme... Comme il se doit."
Le prêtre se contenta d'acquièçer et se retira dans ses appartements pour préparer son départ. Il partirait pour le ValBise... Dès le lendemain.

(Je sais bien que les quotas sont pleins, mais je le post quand même, et j'attendrais . Sinon, est-ce que ce serait pas possible de me le compter seulement en race exos?, parce que si faut que j'occupe deux places à quotas, je pense que je pourrais jamais le jouer. De plus on m'a dit que je pouvais en faire un, mais je crois qu'on a pas le droit d'occuper deux places à quotas, donc ca va un peu à l'encontre de ce que vous avez dis quoi . Enfin c'est vous qui voyez.)

tu continues l'ecriture ?