La boue ...

Les effets de la catastrophe qui ravage les plaines se font déja ressentir en Lorgol. La route commerciale entre Luskan et Lorgol a dut etre fermée. Seul les bateaux permettent désormais le transit des marchandises. Les prix des voyages se font déjà ressentir. Les produites de luxe ne sont plus disponnibles qu'en quand tité trés limité. La ville vit sur ses reserve de nourriture, et déjà dans les bas fond, les arrivage clandestin de nourriture sont touchés.
Le pris de la nourriture a flambé, les gens les plus démunis commencent déjà à ressentir les effet de la faim.
Entre eux ils discutent, se rassemblent.
Que font les dirigeants ? Pourquoi la ville manque-t-elle de ressources ?
Si ca continue, le peuple souffrira une famine à laquelle il n'est pas préparé. Les vols dans les bas quartiers se font un peu plus nombreux. Et déjà la sécurité est en baisse.

Les patrouilleurs bainites ont leurs ordres.

Dans le respect des lois de la cité, ils répriment durement les les envies de rébellions.

Ainsi, chaque vol surpris dans les quartiers ou ils patrouillent par l'un d'eux, aussi petit soit il, se solde par une main coupée, voire les deux.
Chaque agression surprise par l'un d'entre eux se soldat par une intervention brutale, a meme de calmer les deux protagonistes.

La mort est au bout du chemin des opposants a la loi.

*La Freyja de Boisbrune a envoyé une missive au temple de Chauntéa des Dix Cités afin de demander une rencontre prochaine pour faire face à la disette*

*Lettre au Prince*

Prince des Voleurs,

La famine commence à toucher la cité du fait d'une coupure de la route commerciale avec Luskan.

Toutefois le commerce avec les Dix-Cités perdure, et je loue celà. Si je ne m'abuse, jusqu'ici, nos principales provisions avaient été acheminées par voie maritime, et provenaient de Mirabar.

Comment celà se fait-il que désormais nous soyions en pénurie ? Que se passe-t-il à la Ligue Commerciale du Nord ?

Respectueusement,

L'Emissaire de l'Elogieux

Information

Les acheminements de grin et matières premières, issues des exploitations de Mirabar par la compagnie des Vaux, représentent la moitié de nos importations et ont été coupés faute de route.

Deux de nos caravelles travaillent à fournir l'autre moitié des importations. Nous allons dépècher la dernière caravelle et d'autre bateaux plus petits en vue de rétablir le trafic vers Mirabar, et cela devrait pâlier à la disette.

Cependant les exploitants de la région des 10 cités souffrent du froid, et cela amoindris de beaucoup les récoltes et donc les importations et cela augmente les prix.