[Parti][Validé][Guerrier/assassin]Dédalius Sombre Espoir

Citation :

Nom du compte joueur: Dedal_evil

Nom du perso: Dédalius Sombre Espoir

Race: Humaine

Age: 29 ans

Alignement: Neutre mauvais

Religion: BESHABA

Classe(s): Guerrier / assassin

Trait de Caractère: Franc, sarcastique, discipliné et ambitieux.

Description physique: homme d’un mètre 80, physique athlétique. Ces yeux reflètent la pureté de ces actes, regard sombre et sans vie. De nombreuses cicatrices recouvrent cet homme.

Armes: Hache d'arme legère et griffes en tant que bouclier.

Les premières années de sa vie

Dédalius est né un soir où la lune était bien basse dans le ciel, lune blafarde ou rouge sang, témoin de temps troublés. Le sang coulait depuis des lustres sur ces terres ; la guerre des cultes souillait la vie des chaumières.

De père chevalier et de mère paysanne, il vécu ces premières années dans de bonnes conditions.

Son père lui enseigna la neutralité, le respect des ordres passés et l’agilité au combat. De nature plutôt fébrile, Dédalius se renforça des différentes épreuves du temps.
Les 14 premières années de sa vie apportèrent une ouverture d’esprit, du réconfort et de la combativité. Il maniait de mieux en mieux les armes avec agilité et simplicité.
Son père, jadis maître d’armes, lui avait enseigné les rudiments de l’arme.
Dédalius ne connaissait point les répercutions meurtrières de son apprentissage mais avait un goût prononcé pour le combat malgré les attitudes neutres de son père.

Une guerre éclata dans le comté proche, les seigneurs répondirent en envoyant les bras armés des cités des alentours. Son père et lui furent envoyés au massacre. Dédalius ne connaissait point ces guerres mis à par celle contées par les soldats ou guerriers de passage dans les cités avoisinantes.

L’armée d’un culte avancait en direction de l’armée des dits seigneurs, les préparations étaient en œuvre. On remit à Dédalius, une armure, un heaume, un petit bouclier et une épée de mauvaise facture. Ces années d’entraînement au coté de son père lui avaient permis d’être doté d’une forte musculature à son âge.

L’armée, bien plus en nombre et surtout bien mieux organisé balaya ces quelques chevaliers et guerriers régis par les seigneurs. Le combat fut intense, des bras, des jambes, des têtes sectionnées, tranchées…
Dédalius, malgré son entraînement, fut comme les autres amené à terre et lacéré de nombreux coups de lame…

L’esclavage - Soumission

Il est dit qu’en c’est temps troublés, certain trouvait leur compte sur les restes des champs de batailles. On les appelait esclavagiste ou vendeur d’hommes.
Les rescapés de ces champs de batailles servaient de monnaie d’échange ou bien d’esclave ou encore d’amusement pour des arènes.

Dédalius eut la chance d’être encore vivant mais à quelle fin ?
Il fut nettoyer de ces blessures même profondes, et préparer à être vendu.
Ces blessures l’avaient meurtri, il ne comprenait plus rien. Où étaient donc les valeurs qu’on lui avait enseignées, la droiture ?

Dans une ville, il fut acheté par des nobles. Ceux la lui ont appris, pendant une année, la contrainte et la soumission.
Dédalius n’était plus qu’un simple serviteur, il était frappé et torturé juste pour le plaisir. Ces maîtres appréciaient de le voir souffrir.

La haine l’envahit avec le temps ; un soir alors que son maître rentrait d’un banquet, il eut la frénétique idée de vouloir torturer son jeune esclave une nouvelle fois. Dans un dernier cri de douleur, malgré ces traits neutres de naissance et son dévouement au respect, Dédalius se retourna, empoigna une hache à trancher la viande et lui coupa frénétiquement le bras. Son maitre hurlait de douleur mais cela n’eut rien pour conséquence, la maison avait l’habitude d’entendre des esclaves hurler.

Dédalius regardait son maître dans les yeux alors que celui-ci hurlait d’horreur en voyant son bras à terre, Dédalius prit un soin particulier à le découper membre après membre. Couvert de sang et sous le choc, il s’enfuit et couru à travers la cité. Les bas fonds de la ville étaient le meilleur endroit pour se cacher et c’est ce qu’il fit. Dégoûté et à la fois enchanté d’avoir étriper ce porc, il ne se reconnaît plus et s’abandonna dans une des rues sombres de cette cité…

L’Assassinat

Voila quelques années qu’il errait dans ces rues sombres. Elles apportaient refuge et nourriture en échange de quelques vols ou raquettes. Malgré ces tentatives hasardeuses pour dérober de l’or afin de répondre à ces besoins, il ne se désespérait pas. L’homme qu’il était devenu ne respirait plus la neutralité, il tuait et volait pour vivre et cela lui plaisait.

Ces rues malfamées regorgeaient de guildes de l’ombre ou d’assassin, une d’elle repéra ce jeune garçon. Sans doute était il sans réel intérêt, mais ce groupe préférait l’avoir dans ces rangs que l’inverse.

Dedalius apprit à tuer aux cotés de ces nouveaux maîtres.
Le temps lui apporta l’enseignement des différents poisons et surtout quels était leur utilité et comment les utiliser.
Les tortures aussi, il excella rapidement à leur coté. Sans doute, avoir été lui-même esclave, lui avait ouvert l’esprit. Il appréciait à son tour torturer et y prenait du plaisir.

A l’aube de ces 22 ans, sa connaissance dans la fourberie, la torture et les poisons étaient importants.
Il est sur qu’il ne connaissait point tout, mais les bases étaient la et il savait comment réaliser différent type de poison.

Les différentes tortures qu’il orchestrait, afin de faire jouir ces maîtres sur des cibles potentiels, lui avaient permis de connaître sur les bouts des doigts l’anatomie.
Les muscles, les tendons, les nerfs, rien n’était mis de coté…

Dédalius n’avait ni pitié, ni compassion ou de raison au fil des années. Il fut amener à tuer, torturer des familles entières : Hommes, femmes, enfants…
Celui-ci ne répondait qu’aux mots de ces maîtres. L’entraînement acquis ces 5 longues années au sein de ces maîtres, l’avait changé.
Il était venu un homme froid, sombre et lunatique ; ces maîtres l’avaient transformé en un assassin sans pitié ni rancune, mêlant poison et discrétion.

« L’amertume du passé n’est que fable » il aspirait à la crainte de ces confrères à présent, d’autres guildes s’intéressaient fortement à ces qualités ou ne l’appréciaient pas pour d’autres raisons. Il était temps pour Dédalius de foutre le camp, il n’était point dupe et ces ruelles sombres étaient des nids à rumeur.

Laisser pour mort

« La crainte n’évite pas le danger » !
Ces maîtres ont eu raison de lui, pourquoi ? Simplement des raisons politiques…
Dédalius était bien entendu recherché sur les villes avoisinantes. Ces maîtres ne pouvait espérer mieux. Ils empoisonnèrent Dédalius, ces muscles se tétanisèrent du moins pendant un instant. Suffisamment pour qu’il soit traîné sur la place centrale de nuit et mis à tabac.

Le poison tournait à la souffrance au matin, les muscles se lâchaient et tout le corps de Dédalius tremblait pour enfin s’arrêter. Bien entendu, des coupures et lacération non fatales arpentaient le corps du malheureux. Il se vidait se son sang progressivement, l’empêchant ainsi de s’échapper et être le fruit des gardes au matin.

BESHABA

Le lendemain au petit matin, alors que la ville se levait, les habitants affolés rentraient dans leurs chaumières. Un homme, dans une longue robe rouge arpentait les rues de la cité, accompagné d’un homme en armure lourde noire et rouge avec une pointe de blanc.
Cet homme avait une étrange perruque de couleur blanche et prônait les couleurs de Beshaba, pucelle de l’infortune. On les appelait les portes poisses.

Il s’arrêta devant le corps de Dédalius, sourit un instant devant le spectacle et s’écria :
« Voyez quel est le prix de l’infortune ! Apprenez à craindre la Pucelle et à la vénérer ! »
Le porte poisse se baissa au niveau de Dédalius et lui murmura quelques mots. Le soldat le suivant l’emmena au dock et le mit dans un navire marchand.

Le porte poisse s’exclama à nouveau :
« Le mauvais sort frappe tout le monde et ce n’est qu’en suivant l’exemple de Beshaba qu’on peut l’éviter. Pousser votre prochain à vénérer la pucelle et à lui adresser des offrandes pour l’apaiser. » Le prêtre repris ensuite la route en direction des docks…

La ville des voiles : Luskan

Voila quelques jours à présent que le bateau naviguait, Dédalius eut tout le temps nécessaire pour se refaire une santé. Il avait survécu au poison et commençait à se relever …
Le porte poisse lui aussi avait embarqué sur le navire marchand et se rendait lui même sur la ville des voiles.

Durant le voyage il lui inculqua le dogme de la pucelle, la rigueur, la discipline et la peur.

Ces quelques mois passés en mer fit de Dédalius un servant adpete de BESHABA, il avait une dette à vie et il serait défendre et faire craindre son Maitre de la destinée à présent.

Après de longs mois sur cette mer agitée, le capitaine s’écria enfin: « Luskan, droit devant ! »


// PS: n'hesitez pas à me demander des explications, car cela fait quelques temps que je n'ai écrit un BG.//

j'aimerai connaitre tes armes, et pourrais tu insister un peu plus sur le religieux (sans faire des tonnes bien sur ^^) et cela devrais aller.

Je vous remercie d'avoir prie le temps de le lire.

Voila j'ai ajouté ce qu'il fallait.

Au plaisir

validé , bon jeu