[Validé][Prêtre]Irbam Tagaar

Citation :

Nom du compte joueur: Sorondare

Nom du perso: Irbam Tagaar

Race: Humain

Age: 25

Alignement: CM

Religion: Talos

classe(s):(nbre de lv prévu aussi si possible) Pretre 25 normalement (peut etre 4 guerrier, mais c'est vraiment pas sur)Pretre 21/Barbare 4

Arme de prédilection/domaines/école de magie: lance/spé évocation (peut etre aussi transmutation) / domaines: destruction et force

Trait de Caractère: violant et agressif, colérique, presque caractériel

Description physique: homme bien batti, une lumière bestiale dans les yeux. Une musculature développée et des balafres multiples sur le visage. Son nez est déformé, surement cassé de part le passé.

Irbam Tagaar avait 15 ans, quand il vit son village ravagé. La nature, maudite soit elle... Les vents violents avaient projetés des vagues énormes. Il avait vu sa mère et son père noyé dans les tourmentes de l'eau tueuse. Il n'avait eu le temps que de fuir, son épée à la main, lui qui montait la garde à la porte de la Route des Collines.

Le raz de marée aurait du le tuer. Mais il se trouvea projeté vers un éperon rocheux et laissé assomé à son sommet. Ensuite l'eau de revint pas le chercher... Elle le laissa la. Meurtri, il regarda le vaste champs de ruine, gravant dans sa mémoire toutes les pouttres de bois et le chaume écrasés... ainsi que ces dizaines de cadavres avec des coquillages dans les cheveux. Et il jura de se venger. Il jura la mort de la nature...

Il partit vers la forêt, la ou jadis avait vécu de nombreux druides. Il savait que ces hommes verts, comme il les appelait, ne pouvait etre que la cause de la desctruction de ses frères... Mais la aussi, il ne vit qu'un champs de ruine... La clairière du centre de le forêt était noircie de cendre, des cadavres percés de trous énormes... La foudre surement...

Au milieu, un prêtre... Alors Irbam chargea, sa colère emplissant ses yeux et son coeur plein d'amertume. Le prêtre se redressa le dévisagea de ses yeux fous, emplit de violence... La colère se lisait sur son visage, il en devenait meme terrifiant. Irbam, croisant le regard du prêtre, hésita alors... Puis se retrouva plaqué au sol par une force incroyable. Le prêtre avait bondi, il n'avait rien su faire... Tout comme la lame d'eau avait envahi le village sans qu'il ne puisse rien faire...

ALORS COMME CA TU AS SURVECU A LA COLERE DE TALOS... A LA COLERE DE LA FORCE SURPEME DE L'UNIVERS... A LA COLERE DE LA FORCE DU CHAOS PURE ???

Désarmé, Irbam fut soumis à l'esclavage... Pendant 5 ans, il suivit le prêtre, partout où il allait, fuyant les communautés qui le chassaient, s'arrêtant dans les rares temples du dieu de la colère et de la destruction.

Au court de ce périple, il goûta à la puissance. Il goûta au pouvoir enhivrant que Talos possédait sur le monde, la propre puissance destructrice de la nature elle même... la force de la tempète, le feu des éclairs, le grondement du tremblement de terre, la folie d'un ouragan... Les yeux d'Irbam se remplir d'un vin auquel il n'avait jamais fait que rêvé. De simple paysan, il apprit la force que son Maitre possédait et se pensa devenir Maitre des Eléments... Il finit par accepter l'allégeance à Talos de bon coeur et termina ainsi sa vie d'esclave pour commencer celle d'apprentit.

5 années durant, il travailla avec son maître pour devenir prêtre du dieu destructeur. Il s'enhivra du savoir que le vieillard pouvait lui livrer...

Vivant comme des parias, dans les bois, ils allaient de village en village répandre la colère du destructeur et la crainte de celui ci, ravageant les terres qui lui refusaient des prières. Dans un de ces village, alors qu'ils répendaient la parole de Talos, un homme osa s'approcher d'eux et cracha devant les pieds d'Irbam. Imméditatement, le jeune apprentit lui répondit en le traitant d'hérétique et d'aveugle. L'homme en rit et lui répondit que seul Sylvanus était digne de prière, pour sa bonté et sa protection. Alors Irbam s'empourpra... Il insulta l'homme, ses yeux s'injectèrent, sa respiration se fit courte et rapide. Il empoigna sa lance et embrocha l'homme devant les regards ahuris des autres villageois. Immédiatement après, son maître invoquait la foudre et la colère du dieu... et le village péri sous les cendres.

Mais un jour ou Umberlee tua le vieux... La tempète ayant trop agité la mer... les pouvoirs du prêtre ayant par trop déclanché la colère des autres dieux...

Irbam assista impuissant à la vision du corps déchiré... Puis, acceptant que le chaos reprenne ses envoyés à lui quand il le décide, il partit pour le nord du Val de Bise... La ou peu de convertis existaient encore...

HRP: changement de multiclassage:

pretre 21/barbare 4 pour le coté caractériel du personnage.

Peu tu developpé un peu plus le coté sauvage de ton personnage qui lui donne donc ses classes barbare
En ce sens que a part 5 ans a suivre le prêtre, je ne vois pas de coté barbare(colérique certes)

Mais si tu pouvais plus developpé une vie de survie et de sauvagerie dans un petit paragraphe merci

Fait dans:

Citation :

Vivant comme des parias, dans les bois, ils allaient de village en village répandre la colère du destructeur et la crainte de celui ci, ravageant les terres qui lui refusaient des prières. Dans un de ces village, alors qu'ils répendaient la parole de Talos, un homme osa s'approcher d'eux et cracha devant les pieds d'Irbam. Imméditatement, le jeune apprentit lui répondit en le traitant d'hérétique et d'aveugle. L'homme en rit et lui répondit que seul Sylvanus était digne de prière, pour sa bonté et sa protection. Alors Irbam s'empourpra... Il insulta l'homme, ses yeux s'injectèrent, sa respiration se fit courte et rapide. Il empoigna sa lance et embrocha l'homme devant les regards ahuris des autres villageois. Immédiatement après, son maître invoquait la foudre et la colère du dieu... et le village péri sous les cendres

Que j'ai mis dasn le texte aussi ^^

Validé

CHAPITRE I : La parole du divin.

Celà fait peu de temps que j'ai commencé à écrire mon histoire. Depuis mon arrivée dans le Val de Bise, beaucoup d'évènements se sont produits. La ville de Luskan en fut le centre.

Elle fut détruite par la non prévoyance de ces païens qui l'habite. Je n'ai eu de cesse de proclamer la parole du Destructeur, mais nul n'écouta ma voix. Je les avais prévenu, et pourtant, ils se détournèrent, laissant la ville au proie des flammes et des puissances occultes.

Pourtant, ils y revinrent. Ils reconstruisirent... Je les prévins à nouveau que la colère divine n'était pas satisfaite, et des raz de marée s'emparèrent du port... mais la encore, ils n'écoutèrent pas.

Et les dieux cessèrent leurs violences. Leurs vies ne vaut plus très chers maintenant. Ils ont oublié mes paroles, et pourtant, c'est le signe de leur perte. La prochaine catastrophe les anéantiront tout à fait, je le jure !!!

L'encre fait un gros pâté, comme si la plume avait été brutalement écrasée sur le parchemin.

Calme... Je dois être calme pour terminer ce récit sans m'embrouiller.

Je suis monter vers le nord, afin de rencontrer les serviteurs de Velsharoon. L'Emissaire m'a paru plus étant une politicienne molle et sans consistance qu'autre chose. Elle ne se préoccupe que de sa ville et non de la grandeur de la Destruction. Elle ne pourra m'être utile.

Puis vint le signe... Une tempête gigantesque, telle que je n'en connu que peu... les géants qui sortaient des montagnes... Je partis, suivant ces nuages d'orage, suivant le chemin que Talos m'indiquait comme pélerinage. Je partis ainsi une longue année...

Quand je revins, c'était pour trouver une terre ou l'on avait oublié ma parole, ou l'on avait oublier les massacres et les morts... Où l'on avait oublié la crainte que l'on doit ressentir face à la Colère. Les péchés seront payés, les oublis ne seront pas oubliés. Ainsi, la tranquilité sera payée par la mort, et la peur par la vie...

CHAPITRE II : Luskan et les bainites...

Citation :

Sous le vent du Val de Bise, les silhouettes se détachaient sur le chemin... Emitoufflées dans leurs longs manteaux, les bainites marchaient vers le sud.

Irbam les vit s'approcher, le patriarche en tête. L'homme était impressionant, né pour commander et pour se faire obéir. Néanmoins, il servait le tirant, et non le Destructeur. Rapidement, Irbam apprit qu'une tempête s'était déclenchée il y a peu sur Targos... Un signe du divin ?

La troupe partait pour Luskan, la ville maudite, qu'il avait tant prévenue de la ruine par le passé. Les humains inconscient avait reconstruit, toujours sans porter prière à la Divine Colère. Celà ne pouvait être permis. Par le passé, les cataclysmes s'étaient succédés, anéantissant la ville. La Voix du Destructeur s'était faite entendre, et avait résonné sur la place... mais ces pauvres paiens n'avaient pas compris et nulles offrandes ou prières n'avaient jaillis de leurs bouches.

Il prit donc sa place dnas le cortège, descendant lui aussi au sud, règler la destruction et la ruine ordonnée par son Dieu. Les bainites entamèrent des chants et des louanges en arrivant devant la forêt.

Dans les bois, les défits résonnèrent sans réponse, les couards se cachaient. Annonçant la parole du Destructeur, le Irbam leva son marteau nimbé d'éclairs et de flammes... et les arbres environnant s'embrasèrent brutalement...

LA MORT ET LA DESTRUCTION POUR CEUX QUI ONT REFUSE D'ECOUTER LES AVERTISSEMENTS DIVINS.

Alors la végétation s'ouvrit et des golems feuillus s'avancèrent. Irbam invoqua la puissance de son dieu et chargea dans la bataille aux côtés des bainites. Il fut repoussé à la lisière nord, tout comme ses compagnons d'arme du moment.

Ensuite, il rentra à Targos, attendant avec impatience que le patriarche le reçoive. Tout comme les païens du sud, les bainites non plus ne devaient pas oublier l'existance du Destructeur.

Sinon...

CHAPITRE III : Lorgol et Targos...

Les Velsharoonites... Ainsi, un culte est installé dans cette ville de Lorgol et a survécu. Pourtant l'Emissaire connaissait l'existence de Talos, elle était même parmi les plus importants personnages de la ville, mais aucunement elle ne demanda un temple pour calmer la colère de la tempête.

Ainsi, à Lorgol aussi, ils ont choisi d'oublier de dieu de la fureur. Il s'abatra donc sur eux, tout comme il frappera la cité du sud. Les oublis ne peuvent être tolérés, et ils seront récompenser par la violence et la mort.

Je suis allé les prévenir, une dernière fois. J'ai porté mon message, mais je ne sais si il sera écouté. La femme à qui j'ai malheureusement parlé me semblait encore plus qu'ignorante, ne connaissant qu'un seul dieu. Les mortels de ce monde sont pratiquement tous complètement idiots !

On ne peut nier ou infirmer l'existence de TOUS les dieux. Ils sont et existent. Les preuves en ont été fournies, ils sont descendus parmi nous. Mais nous pouvons nous opposer à leurs servants, car c'est eux qui pèchent par omission ou par volonté. C'est le comportement des mortels qui est entièrement condamnable et qui doit être ramené sur la Voie. Velsharoon sert Talos, mais sa prêtresse pêche par oubli. Ses suivants ont accepté sa parole, sans lui rappeler son offence. Les lorgolites ont suivi le même chemin, ils paieront.

Je me suis rendu à Targos. La tempête avait fait rage sur la ville. Le Destructeur m'offrait il ainsi un signe ? Je devais leur porter la parole de la Colère, leur annoncer que le Destructeur ne les oubliait pas.

Le Patriarche fut le premier homme sur ces contrées à écouter ma parole. Il me proposa de défendre la cité contre ses ennemis, et en échange, il offrirait un temple à la Divine Colère. Les cérémonies en l'honneur de Talos le Puissant pourraient être organisées.

Ce prêtre, cet homme, fut le premier digne de respect que je rencontrai. Certes, il ne prie guère le même dieu que moi. Sa Foi se tourne vers Baine, la peur et la domination. Mais le respect que ses paroles ont montré envers le Destructeur ne peut être ignoré. Ses suivants et lui même furent les seuls à ne pas rire au nez de la Colère, supposant certainement qu'elle ne frapperait jamais...

Les infidèles et les païens vont enfin comprendre pourquoi la crainte du divin est supérieure à toute autre. Ils vont enfin comprendre ce qu'il en coûte d'oublier un dieu !

La place de Luskan...

Un temple de Talos se trouvait déjà à Luskan. Les prières étaient rendues, et le Haut Féroce de la Colère, pélerin du nord, vint donc s'installer quelques jours, afin de tout contrôler. Les offices semblaient remplis, les charges menées et les offrandes versées. Le Haut Prêtre était content.

Un peu plus tard, sur la place de Luskan, bousculades et colères se sont enchaînées...

Le Haut Féroce de la Colère avait encore fait des siennes et ses allures violentes et barbares avaient dérangé le calme paisible de la ville. Dans ses pensées, il avait, comme à son habitude, bousculé une innocente, qui osa lui demander des excuses.

Comment donc ? Oser exiger des excuses d'un serviteur de Talos le puissant, maître des morts violentes et des forces destructrices ? Comment oser une telle impertinence et un tel manquement au respect ?

C'était au prêtre d'exiger des excuses maintenant. Mais cette Coralys s'en mêla. Elle percuta le prêtre et engagea le même petit jeu... soutenue par la Haut Capitaine Aggartha... Le prêtre lui colla une gifle magistrale, la faisant reculer sous sa force, malgré sa tentative de résistance.

Aveuglé par sa colère, Irbam méprisa les paroles de la halfelin, qui de toute façon ne lui arrivait pas aux hanches. Une telle petitesse n'était que signe de médiocrité et d'insulte à la naissance des Etres Dignes.

Sur un ordre de la halfeline, les gardes se précipitèrent alors vers le prêtre de la Colère. Celui ci, fulminant déjà depuis son altercation. Rentrant alors dans l'une de ses plus terribles rages, folies monstrueuses pour lesquelles les talossites sont crainds et évités, il en assoma un grand nombre, birsant les nez de ses points et de son front. Il fut cependant maîtrisé par le nombre, et finit à son tour KO sur les dalles de la place. La garde l'emmena alors dnas l'auberge de Garfaux et le forca à payer son amende.

Affaiblis par cette décharge fulgurante d'énergie, le prêtre ne put que laisser dormir sa Colère, la réchauffant et en prenant soin pour qu'à son réveil, elle ravage les insolants qui avaient oser lui barrer la voie.

La semaine de la fureur...

Le prêtre se préparait au nord de la forêt de Luskan. Il plaça son symbole de Talos, verse son sang sur la pierre gravée... et pria longuement.

Talos, entend ma voix, que la fureur s'abatte sur ce monde. Qu'elle détruise sur son passage. Donne moi la force de mener ces païens sur le chemin de la crainte. Ton pouvoir et ta Colère m'habite, O Talos. Tu es mon gardien et mon sanctuaire. Par toi et pour toi je vis et mourrerai si tu en décides ainsi...

Le prêtre se prépara, lançant quelques sorts rituels. Un mage sortit des bois et le prêtre chargea, sans explication. Le combat fut rapide, le marteau d'éclair s'écrasant sur les sorts que l'impudent avait oser sortir dans la nature. Mystra serait sûrement en colère contre son servant, ce qui fit nettement rire le prêtre.

Cependant, l'ensorceleur semblait nettement plus puissant, mais le Haut Féroce, prit dans sa divine colère, ne le remarqua point. Les yeux rouge injecté, il semblait frapper et frapper à n'en plus finir, invoquant une violente colonne de feu. L'arcaniste, après s'être ressaisit, lui lança alors un sort qui fit apparaître une main géante, qui se saisit du fou furieux. Elle le compressa, déformant son armure, et uen lame noire invoquée peu après le mis hors de combat.

Le furieux reprit ses esprits peu après. Il tenta vainement à quelques reprises de se mettre sur le ventre, mais il était trop faible. Talos ne lui avait visiblement pas permis de mener la cérémonie à bien... Mais le sauverait il de la mort ? Dans la confiance la plus absolue envers son dieu, il laissa les évènements se dérouler comme ils le devaient... et il en fut pas déçu.

Une femme vint peu après, trouvant le mage et le prêtre. Elle proposa son aide pour amener le blessé à l'hôpital, mais le prêtre exigea qu'ils partent tout deux. Talos déciderait de sa vie pour lui ! Personne d'autre ne se mettrait sur son chemin.

Et Talos le sauva (5 jets de constitution, 3 à 16, deux à 18). Le prêtre, reprenant quelque force, pu lancer les débuts de soin nécessaire à se maintenir en vie. Il rampa loin de la route, vers un bosquet d'arbre proche. Il s'y cacha, vivant en mangeant quelques racines. Il reprit ses forces petits à petit, achevant sa guérison et se mettant à la chasse au gibier pour sa survie.

De cette première cérémonie de la fureur, il gardera le visage brûlé. L'arcaniste de Sunie croyant lui avoir ainsi prodigué un châtiment. Il n'en est rien. Le Haut Féroce de la Colère, fier de son visage déformé par les flammes, conserve ainsi le souvenir du jour ou son dieu lui a offert un ennemi... et du jours ou son dieu lui a permit de survivre, afin de continuer son oeuvre et de propager sa crainte !

Un autel pour les dieux...

Sorondare a écrit:

Le Haut Vigile désirait rappeler la folie des païens... Depuis un bon moment, ceux ci n'avait pas craints les pouvoirs du nord. Le prêtre de Talos, le visage encore brûlé par l'insolence de l'un de ces sudiste, fut invité à suivre les bainites, afin de porter la parole du Destructeur aux Luskanais.

Ils arrivèrent rapidement à la lisière de la forêt. Regardant les arbres, les trois hommes n'y pénétrèrent pas, mais attendirent. Ils rassemblèrent des pierres, qu'ils gravirent des symboles de leurs dieux, priant et exhortant Talos, Baine et Loviathar de consacrer l'endroit. Et ils continuèrent à attendre. Les païens allaient bien se montrer un jour.

C'est alors que des flèches frappèrent. Une chasseresse avait osé défier la colère des trois serviteurs divins. Ils chargèrent et l'assommèrent. Ensuite, la ramenant à l'autel, le Bourreau de la vierge des douleurs commença son travail. Son sang fut versé pour sanctifier les pierres dressées à la gloire des cultes du nord. La colère du destructeur écrasa les os du pied droit de son marteau...

Puis un orc ou semi orc se présenta. Le serviteur du Tyran voulut l'interroger. Le bourreau et le prêtre du Destructeur s'avancèrent... La colère bouillonnait dans le sang du Haut Féroce, voyant que l'orc n'obéissait pas et osait même crier et contredire. Cependant nul défit ne ressortait véritablement de cet être limité...
Soudain, quelque chose jaillit de derrière... Une lame frappa le Haut Vigile... Se retournant brusquement au bruit, le bourreau et le Haut Féroce ne purent que voir quelque chose s'enfuir vers le nord. Tout s'était passé si vite qu'ils n'avaient pu réagir. Restant sur leurs gardes, ils attendirent... A bon escient. la chose revint rapidement, le Haut Féroce, poussant son cri de gloire à la Colère et hurlant le nom de son dieu, s'élança vers ce qui lui semblait être un gobelin. La chose traversa un cours d'eau... Puis s'arrêta... Dans un brusque changement, elle devint un faucon et fit demi tour, se précipitant sur le prêtre.

Avec toute la puissance de sa foi, celui ci incanta, laissant l'air brutalement se contracter. Déséquilibré dans son vol, le faucon fut projeté violemment sur le sol et s'écrasa, s'assommant. Quel ne fut pas l'étonnement du serviteur de Talos de voir apparaître cette haute capitaine de Luskan, qui lui avait collé une amende suite aux mensonges de la Haute Catin. Le destin lui offrait la vengeance envers celle qui pensait ne rien pouvoir craindre !

Les trois maudits, après avoir terminé la sanctification de la pierre de l'autel, laissèrent le corps de la druide bien visible, une pluie d'acide ayant corrodé la pierre et la terre alentour. Ils repartirent pour le nord, emmenant la haut capitaine avec eux.

De Targos, un navire s'en alla... A son bord, une métamorphe dans un drôle d'état, clouée à fond de cale et sous la surveillance permanente de plusieurs gardes...

Le patriarche de Baine l'avait remercié. Lui, si avare de ce genre de parole. Le barbare du Colérique était plutôt fier de lui. Il partit pour Luskan un peu plus tard, en compagnie de sa prisonnière, qui était devenue leur invitée, puis leur hôte. Un prêtre bainite faisait également partie du voyage, c'était lui le pion principal de la mission, mais Irbam n'en avait cure. En effet, seul avait compté pour lui la vengeance... la vengeance sur cette plainte émise par la Haute Catin. Sa colère sourde contre la Haut Capitaine Aggartha s'était tue, mais le bouillonnement existait toujours...

La violence est dans les racines du monde... Et le monde le saura bientôt !!!

La fin violente...

Le combat fut joli... la force fut énorme, la fureur explosive.

Une troupe quitta Targos, des bianites, mais aussi un prêtre de Talos et un prêtre d'Aurile. Elle descendit vers le sud, ne s'arrêtant qu'une fois arrivée devant la forêt de Luskan, cette forêt qui cachait ceux qui avaient peur. Ils entamèrent alors l'appel au défit, déchirant les arbres et invoquant la foudre pour les faire tomber et brûler, invoquant le gel et le froid pour tuer la végétation d'un autre côté. Le but n'était pas de faire mal à la forêt, mais d'en faire sortir ses habitants.

Les forces se retirèrent ensuite à la lisière nord, attendant. Une elfe apparut. Elle voulut défier le patriarche de Baine, mais les soldats et les prêtres lui tombèrent dessus... Elle fut mise à terre. Irbam Tagaar, Haut Féroce de la Colère lui taillada la joue de trois éclairs.

Ensuite vinrent les autres forces de Luskan... Nombreuses mais désorganisées, attaquant de loin et n'osant pas s'approcher. Elles furent nettoyées petit à petit, les fiers pusisances du nord les couchant au sol petit à petit, dans le feu de leurs sorts et sous les coups de leurs armes. Leurs puissances étaient impressionnantes... Les adversaires tombèrent par dixaines.

Puis vint le gros des forces. Le prêtre de Talos, dans sa rage du combat, leva soudain son marteau vers le ciel. Criant le nom de son dieu, il se précipita, le regard injecté de sang, vers les ennemis. Il invoqua la puissance divine, laissant l'air brutalement imploser autour de ses ennemis. Trois d'entre eux tombèrent au sol, la moitié de leurs forces. Une second implosion claqua, lancée par un prêtre de Baine... et le reste des forces de Luskan se couchèrent.

Les nordistes s'apprètaient à repartir, jubilant de leur victoire... quand soudain, un petit kobbold jaillit des ombres et trancha l'un des bianites... Ne comprenant pas, Irbam fuya, ramassant l'elfe qu'il avait marquée, dans le but de rentrer à Targos.... Mais le petit être le rattrapa et le lacéra.

Beaucoup plus longtemps après, son corps, ainsi que celui de sa prisonnière, furent ramenés dans la forêt du nord, puis à la cité elfique, par les druides de la Sylve.

[mort RP]