[BG sans validation][Barbare]BorK

Citation :: Nom de compte NWN : Hatch’net

Nom de perso : BorK

Sexe : Masculin

Race : Demi-orque

Age : 20 ans

Alignement : Chaotique neutre à tendance mauvais

Religion : Gruumsh

Classe : Barbare

Arme de prédilection : Fléau lourd

Traits de caractère : BorK est un demi-orque assez bête. Cependant, il n’est pas foncièrement mauvais. C’est par son enfance que son caractère orque s’est développé. Il peut se mettre facilement en colère mais il préfère éviter. De m^me, il fuit généralement les villes et les gens qui lui en veulent à cause de ses origines.

Description physique : Il est grand, fort. Il semble tout à fait apte à tuer un taureau d’un seul coup de poing. Il est assez laid. Son visage trahi ses origines orques. Sa peau est verdâtre et elle est couverte de cicatrices et de tatouages tribaux rouges.

Histoire personnelle :

BorK est né d’une mère humaine et d’un père orque. Il est né dans le Grand Nord Sauvage au sein d’une tribu orque. Sa mère était une captive qu’ils avaient prise de force lors d’un raid sanglant. Le chef de cette horde avait pris Gwendoline en femme, et il eut plusieurs enfants. Gwendoline pouvait s’occuper un peu de ses enfants car le chef voulait que sa progéniture soit la meilleure possible. Il était un peu différent des autres chefs orques mais sa horde prospérait et il savait soumettre les autres prétendants.

C’est ainsi que BorK eut, si on peut parler d’éducation, une culture orque et une autre humaine par sa mère. Elle était comme un rayon de soleil dans l’obscurité, elle aimait son fils quand m^me. Son instinct maternel était le plus fort et elle savait amadouer le chef. Néanmoins, BorK devait également faire ces preuves au sein de la horde. Sa vie était rude et il devait survivre. Gruumsh voulait que son peuple soit le plus fort. Les faibles devaient périr. C’est ainsi qu’il apprit à se battre, son ascendance orque et qui plus est, celui d’un chef favorisait sa combativité. Il aimait particulièrement le fléau car il pouvait entendre le sifflement de son arme quand il le faisait tourner en l’air, avant de venir s’abattre sur un crâne tel un rocher.

Sa jeunesse se déroula ainsi jusqu'à la mort de son père. Le nouveau chef répudia Gwendoline et la tua. BorK qui était à peine un adulte, se sentit menacer au sein de la tribu. Sa force et son endurance lui valurent un peu le respect des autres mais ses origines humaines l’handicapaient. La mort de sa mère le bouleversait et il préféra quitter la horde.

Ainsi, il décida de se rapprocher de la civilisation bien que sa mère l’avait toujours mis en garde face aux humains. Elle disait qu’ils n’aimaient pas les sang-mêlé et surtout les demi-orques tel que lui. Mais, il n’avait nul endroit où aller, ni ami. Il essayait de survivre tant bien que mal dans les forêts. Plusieurs fois il pensait que son heure était arrivée mais ses qualités physiques lui permirent de survivre. Parfois, des druides ou des rôdeurs bienveillants l’aidèrent sachant qu’il n’était pas une menace. Il n’était pas mauvais, seul l’adversité pouvait le rendre mauvais. En échange de l’aide des protecteurs de la nature, il travailla pour eux et par là même il apprit en peu plus sur les mœurs humaines.

Il voulait tout simplement qu’on le laisse vivre en paix et travailler comme n’importe qui. Il ne cherchait pas querelle bien qu’il n’aimait pas ni les elfes, ni les nains. Il avait même gardé sa foi en Gruumsh car c’étaient grâce à ces préceptes qu’il avait pu survivre jusqu’ici.

Poursuivant sa route vers l’Ouest, il décida d’aller vers le Val Bise.

L'arrivée à Luskan, "La cité des Voiles"

BorK venait d’arriver à Luskan, il faisait nuit. On pouvait distinguer à peine Séluné dans les astres. Il pleuvait averse. Il était complètement trempé, son habit sale, couvert de boue sentait mauvais. Il venait de traverser la forêt de Luskan à toute enjambée. Il avait vu nombres de norts-vivants et de personnes courir dans tous les sens.

- « BorK AvOAr ASseZ de CouRiR comMe CelA. »

Il reprenait en peu son souffle en posant une main contre un tronc d’arbre.

- « Et PUIs CeTtE FoREt Do MaRd, J’Mais Vu AuTAnt Do Déjà MOrTS, eT COmMEnt EuX PoUiR !! »

Il voyait les lanternes et les torches que les sentinelles portaient. Ils avaient l’air anxieux, ils regardaient attentivement tout ce qui pouvait passer. BorK préféra mettre sa capuche sur la tête mais les gardes l’arrêtèrent à la porte. Un jeune garde, hallebarde tirée, s’approcha de BorK. Il avait à peine une vingtaine d’année. Il semblait exténué par une nuit de garde et de combat. Il demanda à BorK de retirer sa capuche. BorK hésita, regarda autour de lui, méfiant mais les autres gardes avaient l’air de ne plus faire attention à lui. Il retira, finalement, sa capuche à la deuxième injonction du garde. Il grimaça à la vue du demi-orque. BorK baissa la tête pour ne pas s’emporter. Il était las et avait besoin de repos et la dernière chose qui voulait s’était de se faire déjà remarquer par les vigiles.

- « Vous poussez passer mais sachez qu’on apprécie pas les sangs-mêlés par ici. »

Le garde eut un léger rire mesquin.

- « Tu as de la chance que nous avons quelques soucis avec des morts-vivants pour te surveiller. Alors pas d’embrouille, l’orque. »

Il dit le dernier mot assez fort pour que les autres puissent entendre et ils rirent. Cela leur réconfortait un peu rabaisser un demi-orque. Il pouvait au moins contrôler cette brute au lieu des morts-vivants. BorK serra les poings. La colère montait en lui. Il n’aimait pas qu’on se moque de lui de la sorte. Mais, il passa son chemin, rapidement, toujours sous les quolibets des gardes.
Il cherchait au travers des ruelles, un lieu où dormir. Il tira sa bourse de sa ceinture et regarda à l’intérieur et soupira :

- « PouTan Do Mard. J’SuIs PaS RiCHe ! »

Il n’avait pas d’argent pour une auberge si tant que le propriétaire accepta un demi-orque aussi sale. Il remettait sa bourse délicatement à l’intérieur de son habit contre lui. Il décrocha son sac de provision et prit un de ces derniers morceaux de viande fumée dure comme de la pierre. C’était ces dernières provisions.

Quand soudain, il sentit la terre tremblait. Il prit peur. Il tomba au sol sous la force des secousses. Après quelques minutes où il essaya de comprendre ce qui se passait, il décida de quitter la ville pour aller au Sud. Décidemment, cette ville n’est en rien sûre. Il laissa son morceau au sol et courut vers Port Lasth.

La fuite vers Port Llast et Padhiver.

BorK était arrivé sur la route de Port Lasth. Il était irrité. Il venait à peine d’arriver à Luskan qu’il sentait le danger très proche qu’il préféra s’enfuir.

Il avait le pied lourd. La boue de la forêt de Luskan et les feuilles lui semblaient peser des tonnes à chacun de ses pas. Il n’arrêta pas de grogner et essayer de voir Séluné à travers les nuages.

Il se reposa plusieurs fois pour reprendre son souffle assis contre un rocher. Il ne sentait même plus ses habits mouillés. Il ne pensait qu’à se reposer au près d’un feu bien chaud au sec.

Le voyage se passa plutôt bien. Il ne vit aucun mort-vivants. Il était soulagé. Souvent, il du se ranger sur la route pour laisser passer des messagers qui allaient à vive allure avec leur cheval. BorK leur demanda ce qu’il se passait et ils leur répondirent à chaque fois que des vagues avaient balayées le port de Luskan. Il avait eu le nez fin, il avait fuit avant que cela ne devienne dangeureux. Et son moral remontait, il était fier d’avoir échapper à la furie d’Umberlie.

Il avait hâte d’arriver à Port Llast pour dormir, il n’en pouvait plus. Son corps n’était que douleur et souffrance mais l’espoir le faisait avancer.

Quelle fut sa joie quand il apercevait au loin les murailles de ce qui devrait être Port Llast. Il entrait sans que les gardes ne l’embêtent pas trop. Ils semblaient plutôt préoccuper par ce qui pouvait venir de la mer.

Mais la joie de BorK fut de courte durée. Il voyait des humains tout de blancs vêtus, soignant des blessés. Il grimaça fortement. Il se méfiait de ces traîtres humains et spécialement ceux qui était tout en blanc. Ils n’aimeraient sans doute pas voir de sangs-mêlés et BorK jugea bon de ne pas rester et de prendre plus au Sud. Tant pis pour la nuit de repos, mais je ne me reposerais pas ici se dit-il.

Ainsi, il reprit le chemin vers le Sud vers Padhiver. Il ne savait pas où aller et la réputation de cette ville ne l’incitait pas à presser le pas. Mais où pouvait-il aller ?

Fatigué, il rencontra cette fois-ci quelques brigands. Ils venaient à point nommés ceux là. Je vais enfin me défouler un peu et pouvoir entendre le bruit délicieux d’une tête explosant sur la force de mon fléau. Néanmoins, ces voleurs se révélèrent plus coriaces qu’il ne pouvait le croire à priori. Il était assez fortement blessé quand il arriva au pied de la Cité des Artisans.

Cette fois-ci les gardes l’empêchèrent d’entrer. Il était blessé, son fléau était couvert de sang, il parlait d’autant plus mal qu’il était fatigué et son sang orque n’incitait pas à la moindre objection. Il pleuvait encore et BorK commençait à ressentir trop la fatigue, il ne préféra pas insister et s’éloigna au pied d’un arbre et s’endormit aussitôt. Cependant, il avait pris soin de soigner au minimum ces blessures.

Il ne savait combien de temps, il avait dormi. Il se réveilla en sursaut pour voir si rien ne lui avait été volé. Il serra son fléau et soupira de soulagement. Il faisait beau, le soleil brillait et le temps était bon. Padhiver méritait bien son nom.

Il vit que les gardes étaient agités, ils n’arrêtaient pas d’aller et venir et semblaient très préoccupés. Un combat devait avoir lieu en ce moment. BorK jura, où il allait il y avait des combats. Il se demandait si Gruumsh le poussait à vouloir se battre. Il décida d’en profiter pour faire le tour de la ville au cas où il pourrait entrer. Il n’avait plus rien à manger et il devait faire quelques provisions.

Il n’aimait guère les villes mais il était parfois obligé de s’y rendre. Il tourna vers une autre porte quand il vit que de nombreuses personnes entrées en ville précipitamment. Ils avaient l’air de fuir quelques choses. BorK en profita pour entrer avec les nombreuses personnes. Les gardes n’étaient pas assez présents pour contrôler tout le monde. Il mit sa capuche sur la tête et entra d’un pas vif et ferme. Plus tard, il apprit que des morts vivant avaient attaqué par le cimetière. Il souriait des dégâts que cela pouvait engendrer. Les gardes le laisseraient certainement tranquilles, ils rechercheraient sans doute des nécromanciens, des prêtres ou des morts-vivants mais pas de barbare demi-orque.

C’est ainsi qu’il décida de se ravitailler rapidement au marché : de la nourriture pour quelques semaines, de l’alcool. Cela devrait suffire. Il regardait sa bourse désespérément vide. Il se dit qu’il va falloir gagner un peu d’or. Il ne savait pas encore comment mais il va falloir faire très vite.

Après avoir fait ces commissions, il essaya d’entendre les ragots. Il apprit que de nombreux paladins, chevaliers du bien étaient en faction dans la ville ainsi que des sortes d’amazones. Cela lui faisait un peu rire mais il choisit de quitter la ville. Ces gardes n’étaient pas des enfants de chœur et il fallait mieux pas les croiser chez eux. Il retourna vers le Nord en espérant que les choses soient calmées.

Rencontre avec le culte de Beshada, «La Pucelle de l’Infortune».

BorK venait de remonter vers Le Nord et plus précisément vers Luskan. Cette ville était soit disant neutre. J’aurais certainement plus de chance de vivre ici qu’ailleurs se disit-il.

Il se trouvait à Luskan, la nuit allait tomber et BorK traînait ses savates dans la ville. Le temps était à la fraîcheur. Il remonta ses haillons vers son cou pour mieux se protéger du souffle d’Aurile.

Il tatait de sa main endolori par le froid, sa maigre bourse. Il va falloir que je trouve un moyen d’avoir de l’or sinon je vais mourir de faim et de froid. Je vais devoir provoquer la chance et tenter quelques aventures risquées, pensait-il.

Il allait vers le marché de Luskan au hasard, quand il vit une personne. Elle était très bien bâtie. En ne pas douter, ce devait être un demi-orque. D’ailleurs, BorK n’avait pas beaucoup eu l’occasion de rencontrer d’autres de ses frères. Celui-là portait une belle armure rouge, noire et grise. Il décida de lui parler, il avait besoin d’argent, peut-être en avait-il pour lui. Il devait désormais prendre des risques. Il ne voulait finir comme un gueux.

Il s’adressa simplement à la personne qui était effectivement un demi-orque. Il disait s’appeler Grorsk. Il appartenait au culte de Beshada. Il fut surpris et un peu déçu qu’il ne vénère pas N’a Qu’un Œil comme lui. Il connaissait un peu « La Pucelle de l’Infortune », pour ne pas trop offenser ses adeptes. Il n’avait pas forcément eu une vie facile et ce n’était pas le moment d’avoir encore plus de malchance.

Enfin, BorK lui demanda s’il avait un travail pour lui. Grorsk lui répondit qu’il pouvait rejoindre le culte de la « Dame Destinée ». Pour cela il lui offrait de l’argent, une énorme somme pour BorK : pluseurs milliers de pièces d’or. Il accepta avec plaisir. Il fixa la bourse avec des yeux avides. Il pensa être prit comme un simple mercenaire à la solde de ce culte.

Suite à cela, Grorsk devait retrouver un adepte, BorK suivait tout naturellement son compère. Il trouvèrent un dénommé Phael Enet dans la mercerie de Luskan. Il préparait avec la marchande ses habits de membre du culte. Phael était minuscule à coté de Grorsk se disait Bork et il n’arrêtait pas de dire messire par là, messire par ci, ce qui commença à approuver les nerfs du suivant de Gruumsh.

De plus, c’est m^me Grorsk qui dû aider le pauvre humain à préparer ses vêtements. Phael disait qu’il venait du désert et qu’il était à la recherche d’un assassin. A la fin de la convection de la tenue, ils se séparèrent.

La nuit était tombée, il faisait très froid. BorK n’arrêtait de toucher sa bourse et tout cet or, qui lui semblait une fortune. Il pourra au moins manger un plat chaud et boire des canons à l’auberge. Il était ravi.

Bon et bien voilà je me lance à l'assaut des Bg sans validations.
Si tu pouvais me dire si ce personnage est encore joué, merci.

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