- Citation :
- Nom du compte joueur : MchornXVIII
Nom du perso : Siegfried Kurgan
Race : Humain
Age : 28 ans
Alignement : Loyal Mauvais
Religion : Aucune à ce jour.
Classes : Moine / Ninja
Arme de prédilection/Domaines : Aucun à ce jour.
Trait de caractère : Personne calme, réfléchie et posée, lorsqu’on ne le provoque pas.
Description physique : 1m83 / 172 livres
Siegfried Kurgan, naquis auprès de sa mère Anka puis son père Alcin lors d’une nuit noir sans lune ou le ciel était envahi de sombres nuages gris. Le tonnerre grondait sans cesse, la pluie était déchainée sur le toit de la maison isolée de la famille. Le jeune enfant ne pleurait pas au vacarme du ciel.
Le jeune garçon vit quelques années auprès de ses parents, à l’âge de 4 ans Siegfried fût épargné par son père qui poignarda sa mère, âpres des disputes répétées. La femme gisait sur le sol, aux abords du champ qui côtoyait la maison de la famille. Le sang de celle-ci revêtait le sol vert de l’avant récolte. Après cette vue du jeune enfant sur sa mère, impuissant qu’il était face a ceci, le Alcin parti du foyer avec son fils pour le confier à des gens qui seraient en prendre soin et lui instruire la discipline et la sagesse de la personne.
C’est alors que Siegfried c’est vu confié à un temple de moines situé dans les environs de Kara Tur. Là, une ascension vers la maîtrise de soi et l’utilisation d’armes en tout genre fût donnée au jeune garçon depuis ses 4 ans. Il s’efforça au mieux de réussir tout ce qu’il entreprenait, du fais d’être discret a celui de lâcher des coups tel un feu, au début d’une manière calme et posée, jusqu’au moment ou le feu se déchaine et ne laisse aucune chance à ce qu’il brûle. Siegfried devenait au fur des jours un jeune moine avec un avenir certain pour les combats exotiques.
Après plusieurs années, le jeune moine que Siegfried était devenu, voulu retrouver son père qu’il n’avait plus vu depuis des années… Il partit donc, avec l’autorisation du temple, à la recherche de son père. Il savait ou aller car les moines lui avaient indiqué ou vivait Alcin.
Arrivé sur place, le jeune homme interpella son père qui ne reconnaissait plus Siegfried. Cela faisait déjà 19 ans qu’il ne l’avait plus vu. Le jeune moine se légitima devant son père qui n’en croyait pas ses yeux de voir quel genre d’homme son fils était devenu. Le jeune fils, pris place dans la maison de son père et y vis quelques jours.
Un matin d’orage, il se rendit vers la forêt pour chasser, à l’aide d’un arc de fortune et d’une lance, il se déplaçait en silence avec beaucoup de discrétion entre les feuillages de la forêt. Au moment ou il aperçu sa proie au loin, il tenta de s’en approcher le plus possible. Une fois à portée de cette dernière, Siegfried lança de toutes ses forces la lance qu’il tenait fermement dans sa main. Au moment de l’impacte, un bruit d’os fissurés suivi d’un hurlement animal se fit entendre dans la forêt. A son retour, un sanglier à l’épaule, il prêta son attention au champ de légumes bordant la maison. A cette vue il lâcha son sanglier. Un flash revint dans sa tête, il voyait en regardant le sanglier mort sa mère, gisante au sol avec une dague dans le bas ventre. Son père était la, assis à cote de sa mère en train de planter cette dague dans le corps de sa mère.
A son retour dans la maison, Siegfried entra et appela son père, ce dernier alla rejoindre son fils à l’entrée de la maison. Siegfried, pris de colère é ses souvenirs décocha un coup de poings sur la mâchoire de son père. Alcin tomba au sol comme une vulgaire chaise que l’on faisait tomber en lui cassant les pieds. Ce dernier demanda à son fils qu’est ce qu’il se passait. Siegfried, lui dis qu’a son tour il rejoindra sa mère, qu’il ne tolérait pas ce que son père avait fait endurer à celle qu’il aimait tellement étant jeune enfant. Le jeune homme pris sur le mur de la maison une épée recourbée puis d’un seul geste, précis et rapide, trancha la tête de son père. Sans aucun remords il se dirigea vers la cuisine et nettoya la lame emplie de sang frais. A son retour, il alla déposer le corps de son père vers le lieu ou sa mère avait pu émettre ses derniers souffles.
Siegfried alla se coucher seul. Dans la grande maison familiale qui désormais était déserte. Durant toute la nuit il rêva de moments de satisfaction a avoir permis a sa mère une vengeance digne. Le tonnerre, grondait, le ciel était sombre comme lors de la naissance de Siegfried. Au petit matin, l’orphelin s’en alla du foyer, il prit avec lui le minimum qu’il jugeait nécessaire. Avant de partir, un dernier regard, à tous ces souvenirs bon et mauvais. Il jeta une torche allumée en direction de la maison. Il regarda le foyer commencer à brûler tout ces souvenirs et parti vers le chemin de son destin.
Après des semaines voir des mois de marche vers l’inconnu, Siegfried se rendit toujours en direction de l’extrême nord, il faisait de plus en plus froid et les pas devenaient de moins en moins rapide. Il lui fallait donc chasser non seulement pour se nourrir mais également pour pouvoir profiter de la peau de ses victimes pour parer au froid infernal qui le faisait souffrir.
Un jour il vit une petite cahutte isolée, de gigantesques Amat de neige entouraient cette demeure. Le jeune garçon pris de froid, fût pris en charge par le vieil homme qui vivait au recul de tout. Les deux hommes finirent par s’apprécier, Kalintz, celui qui avait accueilli Siegfried était vieux, de long cheveux gris et une barbe longue de plusieurs mois.
Durant plusieurs années, le garçon pu vivre aux côtés de Kalintz. Le vieil homme était fasciné par la personnalité et la dextérité du jeune homme, lui rappelant son passé dans les troupes de ninja de Kara Tur, aussi bien qu’’un beau jour il décida de lui enseigner ce qu’il connaissait du combat et de la vie, ainsi il se transmettra son savoir, lui qui n avait encore jamais eu d’élève aujourd'hui il deviendra Senseï pour Siegfried. Siegfried, ne refusa pas cette initiation. C’était la le complément de ce qu’il avait appris durant de longue années au temple des moines, une maîtrise quasi parfaite des lames, une discrétion a toute épreuve, une manière de se mouvoir lors de combat efficace. Il apprenait et apprenait encore, avec une réussite hors du commun. Rapidement, l’élève dépassa le maître. Siegfried était devenu une personne hors-pair, d’une résistance et d’une valeur que peux connaissent.
Il retrouva également auprès de cet homme la compagnie d’un père qu’il n’avait pas eu lors de ces dernières années vécues au temple.
Jusqu’au jour ou comme tout père, dois se retirer du monde que nous connaissons tous. Siegfried eu beaucoup de mal à l’accepter. Mais au jour de la mort de Kalintz, il décida de partir à nouveau, de connaître la civilisation, les gens et qui sait de trouver une femme qu’il puisse aimer et vivre à ses côtés. Il parti donc de la maison au milieu des neiges pour entreprendre un long chemin vers la première ville qu’il pourra croiser. Sans oublier d’emporter avec lui quelques effets offerts par Kalintz avant sa mort, au seul héritier qu’il aurait pu avoir ….. La suite du destin de Siegfried est en route…