Le Val de Bise - Module NWN Forum du Val de Bise, module RP de Neverwinter Nights |
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| [Parti][Validé][Rodeur/Cavalier][H] Al'Hattah Ha'Mad | |
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Mister.Hamster Apprenti posteur utile
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| Sujet: [Parti][Validé][Rodeur/Cavalier][H] Al'Hattah Ha'Mad Mar 18 Avr - 19:54 | |
| Nom du compte joueur: Mister.Hamster
Nom du perso: Al'Hattah Ha'Mad
Race: Humain
Age: 23 ans.
Alignement: Loyal neutre.
Religion: -
Classes: Rôdeur 9 / Cavalier 16
Arme de prédilection/domaines/école de magie: Arc long / Cimeterre / Lance
Trait de Caractère: Plutot réservé. Mais courageux et sûr de lui.
Description physique: Bronzé. Cheveux noirs et bouclés. Bouc toujours bien coupé. Atlhétique.
Le vent chaud lui caressait le visage. La faible lueur du soleil couchant se réflétait sur le sable blanc des grandes dunes du Désert de Calim. L'homme fit quelques pas en boîtant. Il portait une légère armure de cuir marron, sur laquelle était brodée des dessins représentant trois femmes. L'une d'elle était debout. Elle était totalement enveloppée dans une couverture de fleurs, tandis qu'elle brandissait deux cimeterres en direction d'un grand soleil, brodé juste en dessous de la nuque de l'homme. Les lames des deux armes étaient entourées de deux roses desquelles coulaient un liquide. Probablement du sang. Les deux autres femmes étaient aux pieds de la première. Elles regardaient dans deux directions opposées, les yeux dans le vague. Cette illustration était brodée, avec du fil d'or. Il portait une grande écharpe blanche tachée de sang, et un pantalon blanc assez vaste. Tous les vêtements qu'il portait avaient été tissés en kashmir. Au dos de sa ceinture étaient attachés deux cimeterres. Les étuis étaient splendides. Ils étaient en cuir noir, et on pouvait y voir des traces d'or à quelques endroits. Ces traces représentaient des roses. Un arc long, d'un bois fin mais presque incassable était accroché dans son dos, juste à côté d'un carquois de flèches dont chaque pointe avait été taillée lentement et précisément. L'homme avait la peau bronzée, des cheveux noirs et bouclés, ainsi qu'un petit bouc parfaitement coupé. Bien qu'il semblait mal en point, il ne perdait pas cette certaine classe, qu'il avait acquit au fil des années passées. Il pressait sa main droite contre la partie droite de son bassin. Dans son épaule gauche, était planté un bout de javelot, qu'il n'avait pas encore eu le courage de retiré. Il arriva alors tout en haut de la grande dune qu'il avait eu tant de mal à gravir. L'homme scruta alors attentivement l'horizon. Il aperçut alors les grands remparts du Port de Calim, à quelques kilomètres plus loin. A bout de forces, il tomba alors à genoux. Il baissa la tête, et posa une main sur le bout de bois qui dépaçait de son épaule. "Je ne suis plus loin du port. Ils me trouveront, et me ramèneront." Il gémit alors, une larme coula le long de sa joue. D'un coup sec, et dans un cri perçant, il extrait l'arme de son épaule. Il s'écroula alors sur le sable brûlant, et roula tout le long de la gigantesque dune qu'il avait eu tant de mal à monter ...
Le soleil pénétra doucement dans la tente, il alla se posa sur le visage endormit de l'enfant. Celui-ci devait avoir une quinzaine d'années. Il s'appellait Al'Hattah Ha'Mad. Il était brun, il avait les yeux bleus et la peau légérement bronzée. Il était fils d'une assez grande famille de marchands, qui avait réussie à obtenir un titre de noblesse après avoir rendue plusieurs services à plusieurs autres grandes familles de marchands. Sa tente était plutot chaleureuse. Les couleurs variaient du violet au bleu foncé, les coussins et différents fauteuils étaient parfaitement parfaitement répartis dans la pièce, ce qui relevait d'un goût certain. Les différents bruits de chameau, et la lumière omniprésente sortirent le jeune homme de son profond sommeil. Il sortit de la tente, et s'étira longuement, en passant en revue toutes les tentes de la caravane. La famille disposait de plusieurs chameaux, et d'une marchandise riche et variée. Il devait y avoir une dizaine de miliciens, une ménagerie comportant cinqs chevaux, et plusieurs oiseaux exotiques. Al'Hattah se dirigea vers la ménagerie, après avoir enfilé un pantalon et une chemise. Le soleil frappait fort, tandis que les hommes de la caravane commençaient à s'agiter et à rassembler les animaux. Le départ était imminent. Les marchands avaient pris du retard, il leur fallait se dépécher s'ils ne voulaient pas avoir d'ennuis. Le jeune homme se précipita à l'intérieur de l'écurie, et ouvra rapidement la grille d'un des enclos. Au fond de la pièce se trouvaient deux chevaux. La jument était allongée, elle allaitait un poulain qui ne devait pas avoir plus de quelques mois. Les deux bêtes étaient d'un noir profond, leur pelage brillait à la lumière du soleil, tandis que la jument relevait la tête et posait les yeux sur le jeune homme. Al'Hattah souria alors, et vint s'asseoir aux côtés des deux chevaux. Il regarda attentivement le poulain. Il put voir son visage souriant se refléter sur le pelage noir de la bête. Il posa doucement sa main sur le corps chaud du poulain et se contenta de prononçer quelques mots: "Ton pelage reflète le vrai visage de chaque homme mon ami. Je vais t'appeler Vérité."
"Vise. Tire. Touche." La cible devait être à une centaine de mètres. Un mannequin fait de paille. Je sentais une lourde goutte de sueur qui coulait le long de ma tempe. Je tenais un arc. Un arc d'un bois fin et presque incassable. C'était un héritage de famille. Le maître d'arme me regardait attentivement. Il guettait chacun de mes mouvements pour juger de mes compétences. Je pris une des flèches de mon carquois et armai mon arc. Je plissai un oeil, et respirai profondément. La flèche partit rapidement vers la cible, et la rata de quelques mètres. Dans un grognement furieux, je jetai l'arc dans le sable, me retournai et fis quelques pas: "-Cette satanée cible est bien trop loin ! A cette distance ! Personne ne peut la toucher !" Tal'Aïd ramassa l'arc, décocha rapidement une flèche qui alla directement se planter dans le tronc du mannequin: "-Tu disais qu'il était impossible de le toucher à cette distance, c'est ca ?" Je pris une grande inspiration et saisis l'arc une nouvelle fois. Je l'armai lentement, et plissai un oeil. Je pris alors une grande inspiration, et fermai les yeux un instant. Je visualisais le mannequin en paille. Le vent sifflait à mes oreilles. L'odeur de la sueur séchée sur le cuir me montait aux narines. J'ouvris les yeux à nouveau, et décochai ma seconde flèche. Raté ... Une fois de plus, je jurai et criai au désespoir. J'essayais de me rassurer en me disant que je n'avais que 18 ans. Mais cet effort était vain. La seule chose qui pouvait me réconforter, était de voir Vérité. Je me détournais de Tal'Aïd et pris une grande inspiration pour siffler de toutes mes forces. Le poulain, bientot cheval, accourut de derrière une dune: "-Je vais te montrer Tal'Aïd, qu'il est inutile de se contenter d'utiliser ses jambes, quand il est possible d'utiliser une monture". Je souris, et montai habilement sur Vérité. Tal'Aïd me jeta mon arc, je l'attrapais et partis au galop. J'étais curieusement beaucoup plus habile avec mon arc sur mon cheval, que sur la terre ferme. Pendant que Vérité galopait à tout allure, je retirai lentement la première flèche de mon carquois et visai la cible. Je m'étais approché de la cible, d'à peu près dix mètres. Au moment précis où Vérité passa devant, je décochai la flèche, qui alla directement se planter dans le bassin du mannequin. J'éclatai alors de rire en m'approchant de Tal'Aïd, qui me regardait d'un air dégouté: "-Tu vois bien ! Moi et Vérité faisons un duo de terreur !" J'éclatai encore de rire, et me dirigeai vers la caravane à grand galop, chevauchant sur les dunes comme un véritable prince. Depuis mon plus jeune âge, je m'étais pris d'amitié pour les différents animaux de la caravane. J'étais en vérité, le seul homme qui s'en occupait. Nous avions développé une véritable affinité. Je laissais Vérité vaquer à ses occupations, et entrais dans la ménagerie pour nourir et m'occuper des différents animaux. J'avais donné un nom à chacun des oiseaux, ainsi qu'à chacun des chevaux. Et même si les plupart des oiseaux étaient des oisaeux de chasse qui se ressemblaient tous plus ou moins, je les distinguais facilement. Cela devait faire à peu près cinqs ans que j'avais commencé à m'intéresser à toutes ces bêtes. Ils étaient mes vrais amis. Ces oiseaux, ces chevaux ne me mentaient jamais. Je pouvais leur faire confiance, et eux aussi. Ils me connaissaient depuis le temps et ne répondaient qu'à mon appel. La nuit été tombée quand je sortais de la ménagerie pour aller rejoindre Vérité. Nous passions depuis quelques temps toutes nos nuits ensemble, prenant quelques mètres d'avance par rapport au gros de la caravane. J'étais une sorte d'éclaireur. Enfin, nous l'étions, moi et Vérité.
Dernière édition par le Mer 19 Avr - 13:49, édité 2 fois | |
| | | Mister.Hamster Apprenti posteur utile
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| Sujet: Re: [Parti][Validé][Rodeur/Cavalier][H] Al'Hattah Ha'Mad Mar 18 Avr - 19:56 | |
| Quelques années passèrent. Al'Hattah avait à présent 23 ans. Il maniait à présent l'arc et la cimeterre comme un véritable guerrier. Il avait passé ces cinqs dernières années à s'entrainer sans relache. Il faut dire qu'il n'était pas fait pour devenir un marchand comme son père. Al'Hattah avait toujours pensé qu'il était destiné à devenir une grande personnalité. Quelqu'un à la renommée sans fin, dont les exploits auraient été connus jusqu'au ValBise. Quelques jours auparavant, il s'était disputé avec son père. Au sujet de sa vocation. Celui-ci ne pouvait accepter qu'il ne reprenne pas les affaires de la famille. Il s'était donc exilé pendant quelques jours, afin de réfléchir et surtout de faire culpabiliser son père. Il était bien sur partit avec Vérité, son fidèle compagnon. Ces deux-là étaient devenus inséparables. Al'Hattah ne faisait plus qu'un avec Vérité. Ils étaient en parfaite symbiose. Ensemble, ils étaient devenus de redoutables guerriers. Durant la nuit de son 7ème jour d'exil, Al décida de retouner à la caravane, pour que son père et lui puissent discuter de l'avenir du jeune homme. En effet, depuis quelques jours, Al'Hattah avait décidé de s'en aller. De quitter ces dunes sans fin. Il voulait voir le monde. Dans son enfance, on lui avait parlé de gigantesques étendues d'arbres et d'herbe. Le vert avait toujours été sa couleur préférée ... De la fumée. De gros nuages noirs s'échappaient de l'emplacement normal de la caravane. Pris de panique, Al'Hattah partit au galop en direction de la caravane de son père. Sa respiration était saccadée. On pouvait lire une expression de grande peur et de panique sur son visage. Vérité s'arrêta à quelques mètres des cendres qui avaient remplaçées les tentes et les roulottes. Al'Hattah descendit d'un bond de son cheval et se précipita dans ce qui restait de la tente de son père. Celui-ci était allongé sur le sol, une flèche plantée dans le poumon. L'homme tomba à genoux en pleurant sur la dépouille de son père. Il retira rapidement la flèche et regarda autour de lui. Le coffre avait été forcé, toutes les richesses avaient été prises. Al'Hattah sortit les yeux trempés de la tente. Il regarda au sol les traces de sabots. Des pillards. Des pillards sur des chevaux. Ils étaient venus et avaient massacrés tout le monde. Al'Hattah serra les poings et siffla son cheval. Il monta et partit au galop en suivant grossièrement les traces laissées par les brigands.
Pendant trois jours, il pista les assassins. Au beau milieu de la quatrième journée il les retrouva. Ils avaient établis un petit camp, à côté d'un oasis. Il y avait cinqs chevaux, et trois tentes. Je supposais qu'ils devaient être cinqs. Bien qu'à la taille des tentes, il y aurait pu y avoir quelques fantassins. Al'Hattah n'avait jamais été discret. Il agita son cheval et s'exclama: "-Assassins ! Venez affronter le poids de vos péchés !" Cinqs hommes sortirent des tentes, et quelques rires se firent entendre, tandis qu'ils montaient tour à tour sur leurs chevaux. Al retira une flèche de son carquois, et Vérité commença à galoper en direction des cinqs hommes. "J'ai le temps de tirer deux fois." Il décocha sa première flèche, qui alla directement se planter dans le torse d'un des hommes, qui était alors en train de monter son cheval. Il arma une seconde fois l'arc, il décocha rapidement la flèche, celle-ci alla se planter dans le buste d'un des chevaux, ce qui fit chuter son cavalier. Al'Hattah remit alors son arc en place, et saisit la lance qui était accrochée à la droite de Vérité. Il laissa échapper un cri de fureur tandis qu'il se rua sur le troisième cavalier et lui planta la lance dans le ventre. Vérité fit alors demi-tour pour échapper à la charge des deux autres. Al regarda derrière lui et prit son arc une nouvelle fois. Un des cavaliers décocha une flèche dans sa direction, il l'évita de justesse en se penchant habilement sur le côté du cheval. Il se remit alors correctement sur sa monture, se retourna et décocha une troisième flèche en direction d'un des cavaliers. Celui-ci évita la flèche, tandis qu'il se dirgeait vers la droite de Vérité, afin que les deux guerriers puissent entourer le cavalier et sa monture. Al'Hattah dégaina alors une de ses armes et ralentit un peu pour être à hauteur du premier des cavaliers qui le poursuivaient. Il planta la lame dans la gorge du cheval, encore hors de portée de la lame de son cavalier. La bête s'écroula sous le coup tandis que celui-ci tomba violament au sol. Le deuxième cavalier pris un peu de distance et s'arrêta un peu plus loin. Al en fit de même et Vérité se retourna. Le brigand prononça quelques mots dans une langue incompréhensible, fit tourner sa lame dans la direction du cheval et de son cavalier et se lança à la charge. Al'Hattah poussa un cri perçant et en fit de même. La force de la colère le poussait à tout allure, Vérité galopait en direction du barbare de toute sa puissance. Le choc fut terrible. L'épée du brigand toucha le bassin d'Al'Hattah tandis que celui-ci d'un coup sec lui trancha la tête. Al'Hattah gémit de douleur et s'accrocha au harnais du cheval pour éviter de tomber sous la douleur. Il regarda alors en direction du petit camp, et vit le dernier des barbares armé d'une lance, prêt à combattre. Al poussa un second cri terrible et se rua vers le tueur. Il saisit son arc et arma une flèche. Au moment précis où l'homme décocha sa flèche, le brigand lança le javelot. La flèche le toucha dans le coeur, tandis que la lance alla violament se planter dans l'épaule gauche d'Al. Il fut projeté de sa monture et s'écroula sur le sol dans un bruit sourd. Al se releva difficilement et coupa le bois de la lance pour pouvoir se mouvoir correctement. Il guetta l'horizon pour retrouver Vérité. Vérité n'était plus là. Il avait disparut.
Dernière édition par le Mar 18 Avr - 20:19, édité 1 fois | |
| | | Mister.Hamster Apprenti posteur utile
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| Sujet: Re: [Parti][Validé][Rodeur/Cavalier][H] Al'Hattah Ha'Mad Mar 18 Avr - 19:56 | |
| endant plusieurs heures Al'Hattah marcha dans le sable, plantant un peu plus son pied à chaque pas. Le vent chaud lui caressait le visage. La faible lueur du soleil couchant se réflétait sur le sable blanc des grandes dunes du Désert de Calim. L'homme fit quelques pas en boîtant. Il pressait sa main droite contre la partie droite de son bassin. Dans son épaule gauche, était planté un bout de javelot, qu'il n'avait pas encore eu le courage de retiré. Il arriva alors tout en haut de la grande dune qu'il avait eu tant de mal à gravir. L'homme scruta alors attentivement l'horizon. Il aperçut alors les grands remparts du Port de Calim, à quelques kilomètres plus loin. A bout de forces, il tomba alors à genoux. Il baissa la tête, et posa une main sur le bout de bois qui dépaçait de son épaule. "Je ne suis plus loin du port. Ils me trouveront, et me ramèneront." Il gémit alors, une larme coula le long de sa joue. D'un coup sec, et dans un cri perçant, il extrait l'arme de son épaule. Il s'écroula alors sur le sable brûlant ...
Quelqu'un me trainait dans le sable. Je n'arrivais plus à bouger. Je ne sentais plus aucun de mes membres. J'entendais seulement le ruminement que je connaissais tant. Celui de Vérité. J'ouvris doucement un oeil. Il semblait que j'étais trainé dans une sorte de tapis en paille. Mon cheval me suivait à la trace. Quelqu'un l'accompagnait dans sa marche en le tenant par le harnais. Une femme, une femme voilée tout habillée de blanc. Je fermais les yeux à nouveau, et me laissait emporter par le sommeil.
Je me réveillais alors en sursaut, mon corps était couvert de sueur. Je regardai rapidement autour de moi, j'étais dans une chambre, une chambre qui m'était inconnue. Je tentais de bouger pour me lever, mais mes blessures m'en empècherent. Je refermais alors les yeux et m'endormis à nouveau.
Mon réveil fut plus délicat la seconde fois. Le soleil vint me chauffer le visage, tandis que j'ouvrais rapidement les yeux et regardais à la fenetre. Une femme venez d'ouvrir les rideaux pour laisser le soleil pénétrer la pièce. Elle me souria: "- Nous commençions à croire que vous ne vous relévriez jamais. - Où, où suis-je ? - Surtout, ne vous faites aucun soucis, vous êtes en sécurité." La femme se dirigea alors en direction de la porte et sortit de la pièce. Je passais mes maisn sur mon visage et me levais. Mes blessures étaient à présent moins douloureuses. Je n'aurais pas pu dire combien de temps j'avais passé la à dormir. Cette chambre était très chaleureuse, je découvris par la suite que le reste de la maison l'était aussi. Je passais alors quelques jours en compagnie de la famille qui habitait cette maison. Ils étaient une dizaine, trois femmes, un maître de maison et six enfants. C'était Fal'Salliah, la femme de maison qui m'avait trouvée à moitié mort à quelques kilomètres du Port de Calim quelques jours auparavant. Ils avaient bien sur gardés Vérité le temps que j'aille mieux et s'en étaient bien occupés. Une des femmes avaient même lavée mes habits. J'aurais du mieux remercier mes hôtes. Mais je traversais une période très perturbée émotionnelement. Un jour comme un autre, je leur laissais une lettre pour leur faire mes adieux et les remercier. Je leurs laissais d'ailleurs aussi une centaine de pièces d'or. Ce jour là, j'avais décidé de me rendre au ValBise. Je prendrais le bateau et remonterais toute la Mer des Epées. Je n'avais plus rien à faire dans le désert du Calimshan. Je préférais le fuir plutot que de devoir affronter tous les jours le visage de ma famille morte.
J'embarquais alors le soir d'une journée ensoleillée, et je ne me retournais pas.
Dernière édition par le Mar 18 Avr - 20:20, édité 1 fois | |
| | | Mister.Hamster Apprenti posteur utile
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| Sujet: Re: [Parti][Validé][Rodeur/Cavalier][H] Al'Hattah Ha'Mad Mar 18 Avr - 19:57 | |
| / HRP: Bêtise rétablie: HRP \ | |
| | | Mister.Hamster Apprenti posteur utile
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| Sujet: Re: [Parti][Validé][Rodeur/Cavalier][H] Al'Hattah Ha'Mad Mer 19 Avr - 13:48 | |
| / HRP : Changement d'alignement en Loyal Neutre. En tant que noble fils de marchand je pense que ca correspond mieux : HRP \ | |
| | | Erwin Posteur utile
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| Sujet: Re: [Parti][Validé][Rodeur/Cavalier][H] Al'Hattah Ha'Mad Ven 21 Avr - 12:59 | |
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| | | Volvic Gardien des Mystères
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| Sujet: Re: [Parti][Validé][Rodeur/Cavalier][H] Al'Hattah Ha'Mad Mar 25 Sep - 18:19 | |
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| Sujet: Re: [Parti][Validé][Rodeur/Cavalier][H] Al'Hattah Ha'Mad | |
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| | | | [Parti][Validé][Rodeur/Cavalier][H] Al'Hattah Ha'Mad | |
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