Le Val de Bise - Module NWN Forum du Val de Bise, module RP de Neverwinter Nights |
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| [Parti][Validé][Paladin][H] Siegfried d'Owein. | |
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whisky-free Apprenti posteur utile
Nombre de messages : 329 Habitat : n.m. Aire dans laquelle vit une population, une espèce animale ou végétale particulière.
| Sujet: [Parti][Validé][Paladin][H] Siegfried d'Owein. Ven 7 Avr - 14:54 | |
| - Citation :
- Nom du compte joueur : whisky-free
Nom du perso : Siegfried d'Owein.
Race : Humain.
Age : Vingt six ans.
Alignement : Loyal bon.
Religion : Tyr.
Classe(s) : (nbre de lvl prévu aussi si possible) Paladin monoclassé. Je ferai une demande si les choses changent et je placerai les raisons de ces changements ici, en raccontant les faits RP.
Arme de prédilection/domaines/école de magie : Epée longue, comme son Dieu, et pavois.
Trait de Caractère : Charmant lors d'une simple discution, courtois, calme, sage, posé et reflechi. Il perdra en revanche ces traits de carractère lorsqu'on parlera de son honneur, de sa foi, ou de son Dieu dans un sens péjoratif. Très pointilleux sur beaucoup de détails. Assez agréssif lors d'une discution avec un clergé opposé. Il reste néanmoins respectueux envers ses amis comme ses énemis. C'est avec fierté qu'il parlera de sa motivation, et avec humilité de son devoir.
Description physique :
Age : Vingt six ans. Taille : Un métre quatre vingt douze centimétres. Poid : Quatre vingt huit kilogrammes. Cheveux : Longs (Jusqu'au bas du cou), épais, ondulés, et de couleure chatain clair, ou blonde selon d'autres. Yeux : Bleu ciel, légèrement plissés. Vétements : Principalement en armure, parfois casqué, il porte également une épée longue au foureau, et un pavois. On pourra également le voir en robe, lors de cérémonies, ou de jours de culte. Visage : Les traits fins, la peau sans imperfection, la barbe assez mal rasée la plupart du temps, les lèvres peu charnues et longues, le nez droit, sans particularités, les sourcils relativement épais. Corps : Les muscles fins, la peau claire, carractérisant son origine Nordique, peu poilu également.
Allure : Le calme de son visage marque clairement la sagesse de cet homme, ses yeux plissés mettent l'accent sur ses airs attentifs, ses sourcils sa determination, son corps dévoile clairement sa force, mais également son manque d'endurance, et enfin, ses gestes sans précisions révèlent une tendance plutôt gauche, pour ne pas dire clairement maladroite.
C'est avec un air déterminé que cet homme se déplace, sûr de lui. La tête fièrement dréssée sans paraître hautain, le torse volontairement bombée sans paraître prétencieux. Le médaillon de Tyr qu'il porte autour du cou montre son appartenance au clergé du Juste, le Dieu de la Justice et de l'Honneur. Au dos de ce médaillon, il est gravé ces mots : "La Justice sans la Force est Impuissante ; la Force sans la Justice est une Tyrannie". -Prélude-Siegfried d'Owein, fils unique de Deaglan et Lidwina d'Owein. Né dans la magnifique cité de padhiver, dans une petite maison protégée par les enceintes de la ville, située près des docks. Siegfried est un petit garçon, issue d'une famille de classe moyenne ; son père était tanneur, sa mère s'occupait de la confection de vétements, de rajouts, de corrections de défauts dans une arrière boutique de commerce vestimentaire. L'enfant passa les premières années de sa vie "couchouté" par ses parents, comme la plus grande partie des fils uniques. Il ne manquait de rien, et peut être parfois avait-il trop ?... Pourtant, ce n'était pas par choix de ses parents, ils voulaient d'autres enfants, ils ne voulaient pas d'un seul et unique fils... Mais malgrès de très nombreux essais, jamais ils ne réussirent à avoir un autre descendant. Le petit dut grandir seul ; ce qui était plutôt rare à cette époque... Mais cette envie d'agrandir la famille leur passa avec le temps ; Siegfried les satisfesait, et ils se rendirent vite compte qu'il leur aurait été très difficile d'élever deux enfants, et plus. Les premières années se passèrent sans aucunes encombres, le petit, avec sa tignasse déjà bien longue semblait constament en éveil, intrigué par tout ce qu'il pouvait voir autour de lui, tout ce qu'il pouvait assimiler et comprendre. Il n'alla pas à l'école, trop chère pour la petite famille, et les temples choisissaient eux même les enfants dignes d'éducation. Et pourtant, signe du destin sans doutes, au crépuscul d'une journée de printemps, un des prétres de Tyr frappa à la porte de la maison de la petite famille. -Qui est là ? Demanda Deaglan, encore en train de s'occuper d'une pièce de cuir. -La maison de Tyr, messire. Nous venons pour le sacrement du premier jour saint du mois ! La mère s'empressa de quitter sa préparation du repas du soir, de quitter son petit tablier et d'aller chercher le petit dans son landeau. Le père rangea ses outils rapidement, débarrassa la table et les chaises pour les laisser propres. Une fois pret, et une fois le petit installé sur les genoux de sa mère, Deaglan ouvra doucement la porte, en esquissant un sourire heureux. -Bonjour mon père. Soyez le bienvenu dans notre... Maison ! Il hésitat pour classer sa demeure dans la catégorie maison, ou chômière. En réalité, les deux auraient pu convenir. Le prètre entra, lui aussi souriant. Vêtu d'une robe bleue et pourpre, portant également de nombreux symboles religieux sur lui, il portait également un gantelet blanc à la main gauche, et un noir à la main droite. -J'éspère que je ne vous dérange pas ? Dit le prétre, mais reprenant sans leur laisser le temps de répondre, je viens vous voir car j'ai eu vent de vos petits soucis... D'enfants... Les parents se regardèrent d'un air béa, avant de revenir sur le prétre. -Il ne m'a pas été compliqué de comprendre, il ne m'a suffit que de retracer vos origines... Je ne sais pas si vous êtes au courant ? Ils hésitèrent un bon moment avant de répondre. Le prétre resta patient, droit et immobile, seuls ses yeux scrutaient l'homme et la femme. Les deux se contentèrent d'acquiècer lentement, craignant ce qu'il allait leur annoncer. Mais avant de poursuivre cette partie de l'histoire, nous devons nous interesser aux encêtres de Siegfried, en particulier à son grand père... Owein était son prénom, c'est tout ce qu'on peut savoir sur lui, sur ses origines, et sur son identité. C'était un brigand, et un menteur inveterré. Il n'avait que pour but de gagner de l'argent, et qu'importe ce qu'il devait faire pour en avoir ! Ce qui comprend vol, racket, trafique... La pauvre femme du nom de Maria était elle aussi aveuglée par l'argent. L'argent et le charisme d'Owein, qui lui prometta bijoux, palais et soie... Une vie de rêve qui se tourna vite au cauchemrd. Elle ne savait de lui que son prénom, mais cela lui a suffit pour tomber sous le charme, et se laisser manipuler... Trop naïve très certainement. Ou peut être trop aveuglée par ses rêves pour se rendre compte de la réalité. Pour lui, elle n'était rien de plus qu'une conquète de plus. Elle se mit peu à peu à sombrer dans le banditisme à ses côtés, pour augmenter leur "capital" plus rapidement. Quand je dis "leur capital", je devrai plutôt dire "le cpital d'Owein". Durant leur courte relation, il "l'engrossa", comme il aimait à le dire dans les tavernes qu'il fréquentait, et elle mit plus tard, l'enfant au monde. Un "beau jour", dans tous les sens du terme, Owein disparu, sans ne laisser aucunes traces. Ni de lui, ni de son argent. Etait-il mort ? Assassiné ? Avait-il décidé de prendre la fuite vers une autre ville ?... Personne ne le sait. Pour Maria, la vie continuait, elle pensait qu'il reviendrait, qu'il referait son apparition un jour ou l'autre. Etrangement, elle ne pleurait pas la disparition de cet homme. A croire que jamais elle ne l'avait aimé. Mais le remord et le tourment l'accompagnait dans chacun de ses pas. Ce n'est que trop tard qu'elle comprit l'erreur qu'elle avait fait. Elle coupa les ponts avec ses relations du "milieu", tout en continuant d'élever son enfant, qu'elle considérait désormais comme la morale, et le prix de son inconscience. Plus tard, elle envoya son unique fils au temple de Tyr. Elle voulait en faire un dissiple, pour acquérir le pardon de ses péchés, et peut être continuerait-il dans cette voie pour gravir les échelons de l'église Tyriste ? Ce fût un échec le plus total. Le fils nommé Deaglan d'Owein (Le nom de famille étant donné suite au nom inconnu du père), coupa lui aussi ses relations, non seulement avec l'ordre du Juste, mais aussi avec sa mère, qui tentait vainement de lui faire entendre sa pensée. Mais après tout, on n'oblige pas son enfant à faire ce que nous voudrions nous ? Pourtant, Maria s'était engagée à faire de son fils un dissiple, et un serviteur de la cause de Tyr. Elle l'avait juré, devant les Dieux. Deaglan se maria à une dame nommée LIdwina. Il fût engagé dans une boutique spécialisé dans la marroquinerie, en tant que maître tanneur. Et elle était embauchée dans une boutique de vétement en tant que main d'oeuvre pour la confection de vétements. Avant la mort relativement jeune de Maria, celle-ci avoua à son fils Deaglan, et à sa femme Lidwina la promesse qu'elle avait faite. devant Tyr. Longtemps, Deaglan s'en voulait d'avoir coupé les ponts avec l'église Tyriste, et de s'être choisi une vie humble, plus tranquile, et moins contraignante. Ce jour là, le prétre de Tyr leur racconta toute cette histoire, comme s'il avait tout connu depuis le début... Comme s'il avait été présent au quotidien, et qu'il avait vu et entendu toute l'histoire. Sans doutes pour clarifier la situation, ou pour montrer que Tyr était bien présent, une façon de les convaincre, en quelques sortes. Il leur expliqua ensuite que le petit Siegfried "devait" rentrer au temple de Tyr pour accomplir ce que son père n'avait pas réussi à fare... La famille d'Owein était désormais "maudite". Elle se devait de réparer ses péchés et ses affronts. La lignée d'Owein ne "doit" pas persevérer dans son existance sans but, aux risques de s'éteindre définitivement... Tels fûrent les paroles du prétre, dites à la foi calmement et fermement. Calmement pour ne pas suciter la panique, ni le chagrin. Fermement dans le but de bien mettre les choses au clair, ainsi que de les inciter clairement à prendre la bonne décision. Après un échange de regard aussi triste qu'émouvant, les parents acquiécèrent d'un signe de tête. Leur fils irait au temple de Tyr pour devenir un serviteur, et récupérer l'honneur de sa lignée vouée à disparaître... [HRP]Je posterai la suite après avoir quelques commentaires sur ce BG de la part d'un (Des ?) scribes sur cette première partie. J'y développerai l'appel du paladin, et les raisons qui le poussent à devenir un grand chevalier. Voili voilo. Bonne lecture.[/HRP]
Dernière édition par le Dim 7 Mai - 20:03, édité 6 fois | |
| | | Meliserus Adepte du Val (floodeur en devenir)
Nombre de messages : 223
| Sujet: Re: [Parti][Validé][Paladin][H] Siegfried d'Owein. Ven 7 Avr - 15:13 | |
| Au moins on est pas volé sur le background Développe, developpe ! Je ne peux que t'y encourrager. | |
| | | Syclia Posteur utile
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| Sujet: Re: [Parti][Validé][Paladin][H] Siegfried d'Owein. Ven 7 Avr - 15:20 | |
| BG original, j'aime beaucoup. La seule chose qui me dérange un peu c'est la fin de cette phrase : - Citation :
- Elle devait également s'éteindre, la lignée d'Owein ne "doit" pas perservérer dans son existance sans but.
Pour moi, on peut imaginer que la punition pour non-recpect d'une telle promesse faite à un Dieu peut être la fin de la lignée. Ainsi dans ce cas-ci, Tyr juge donc qu'il s'agira d'une fin 'naturelle', mais en plus il laisse quand même une chance à la seconde génération de se racheter pour la parole donnée. Donc pour moi, ce n'est pas vraiment "l'existance sans but" qui pose problème. Ainsi supprime la fin de cette phrase et je valide cette première partie. Edit : Rha Meliserus, tu postes encore une fois juste avant moi ! | |
| | | whisky-free Apprenti posteur utile
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| Sujet: Re: [Parti][Validé][Paladin][H] Siegfried d'Owein. Ven 7 Avr - 15:28 | |
| [HRP]Oh mince, je m'apperçois que mal phrase est très mal tournée en effet...
Je vais rectifier ça : Elle se devait de réparer ses péchés et ses affronts. La lignée d'Owein ne "doit" pas persevérer dans son existance sans but, aux riqsues de s'éteindre définitivement...
Je m'active pour la suite !
[Edit]Mon Dieu, je viens de me relire... Fiouuu, la prochaine fois, si vous voyez des fautes, ou des erreurs de frappes, hésitez à me le signaler. MErci d'avance ! [/Edit][/HRP] | |
| | | Syclia Posteur utile
Nombre de messages : 955 Age : 43
| Sujet: Re: [Parti][Validé][Paladin][H] Siegfried d'Owein. Jeu 13 Avr - 15:21 | |
| Petit rappel : Tu en es où dans ton écriture? | |
| | | whisky-free Apprenti posteur utile
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| Sujet: Re: [Parti][Validé][Paladin][H] Siegfried d'Owein. Jeu 20 Avr - 13:13 | |
| -Les premiers pas
Le petit Siegfried est désormais agé de cinq ans. Mon Dieu, ce que le temps passe vite ! Il est déjà temps pour lui de rentrer à l'école de la foi, et d'y apprendre les vertues de la Justice, et de l'Honneur au temple de Tyr. Sa famille, qui ne comprend en fait que ses parents, va désormais jouer un rôle très secondaire. Ils se contenteront d'être présents que lorsque l'ordre le souhaitera. Leur enseignement envers Siegfried sera des plus basiques, et des plus restreints. La phylosophie du temple est très compréhensible : "Pour éviter que l'enfant ait deux visions contradictoires dans ses jugements, nous réduirons voir éffacerons les apports de ses parents". Cette façon de voir les choses aurait pu être critiquée et sévèrement dénoncée... Mais dans une époque actuelle, et dans le cadre actuel des choses pour la famille d'Owein, cela ne choque pas vraiment.
Il fût attribué à l'accolyte une couchette, un placard, des vétements portant les couleures pourpres et bleues, ainsi que plusieurs tomes bibliques sur les dogmes de Tyr, ainsi que sur l'église et de quelques histoires sur la divinité elle même. On lui désigna également un tuteur, qui aura pour but de lui apprendre tout ce qu'il doit savoir sur Tyr, et sur le combat qu'il mène. Les présentations furent courtes, mais non sans une certaine émotion.
-Je m'appelle Cidhnaï, et je vais m'occuper de toi durant tout le temps que tu le désirera, et que notre église te gardera parmis nous, dit le prétre en esquissant un sourire rassurant vers le petit homme. Siegfried marqua l'arret sur la personne qui venait clairement de lui dire qu'il s'occuperait de lui à la place de ses parents. C'était un homme de taille moyenne, les cheveux longs, raide et de couleur noire. Ses yeux verts clairs semblaient vides. Etonnement, Siagfried se sentit mal à l'aise lors de cette première rencontre, le prétre lui paraissait imposant, il se sentait dépassé par cette rencontre. Il répondit d'une voix timide : -Bonjour seigneur Cidhnaï, mon nom, c'est Siegfried d'Owein. -Et bien, Siegfried. Première leçon, ne m'appel pas seigneur, mais maître. Je serai ton tuteur, et ton guide. Si tu as une question, c'est à moi que tu dois la poser, et à personne d'autre. Je serai à la fois ton proffesseur et ton confesseur. Le prétre accompagnait son discours de mimiques diverses pour faciliter la compréhension du tout petit, qui opina opina sans trop comprendre les mots que l'homme employait. Ce dernier se chargea de lui faire une visite rapide et de lui expliquer les diffèrentes fonctions du temple et de ses annexes. Après ce court entretien, le prétre lui dit : -Dis moi, jeune Siegfried, tu es bien jeune pour entrer au temple, je me trompe ? Lança le prétre pour rompre le silence, malgrès qu'il savait déjà les raisons de cette entrée au temple. -Ma maman et mon papa m'ont dit que je devais y aller, que c'était mon devoir... -Tu es sans doutes trop jeune pour comprendre le réel sens des mots que tu viens d'employer, et également de ceux que j'emploie avec toi. Mais rassures toi, je te donnerai une éducation et je t'apprendrai tout ce que tu as à savoir... -Dites maître Cidhnaï ? -Tu peux m'appeller maître Cid, c'est ainsi que tout le monde m'appelle ici. Que veux tu savoir ? -Mon papa m'a dit que vous serrez comme ma nouvelle famille... Vous et les gens du temple. Je voulais savoir ce qu'était une nouvelle famille. Après un court instant de réflexion, le prétre dévisageale petit avant de répondre lentement : -Nous ne serons pas ta nouvelle famille. Du moins, pas avant que tu comprenne ce que cela implique. Pour l'instant, tu n'as qu'une seule chose à savoir : tu es ici pour apprendre. Et que tu le veuilles ou non, tu apprendras, jusqu'à ce que nous en décidions autrement. Les questions sont finies pour aujourd'hui. Demain, tu assisteras aux cours d'écriture et de lecture, je te ménerai à la salle de travaille. Le petit ravala ses questions impatientes... Dépassé par les événements trop complexes pour son jeune age, il se laissa guider par la volonté de ses parents, et son nouveau maître.
Jusqu'à ses dix ans, l'accolyte n'apprit rien d'autre que la lecture, l'écriture, les comptes et la foi. Maître Cid ne lui apprit que peu de choses jusque là, il ne servait qu'à aider l'enfant lors de ses prières, à lui montrer la voie de la raison lors de ses doutes... En revanche, maintenant que le garçonnet est grand, et que sa faculté de compréhension et d'attention est à son appogée, Siegfried fut nommé apprenti. Il n'est plus chargé des tâches basiques, mais il assiste désormais les prétres dans les cérémonies et des messes. Il a également accès à la bibliothèque secréte du temple, renfermant bon nombres de tomes sur diffèrents cultes et d'histoires diverses sur des héros de Tyr.
C'est d'ailleurs une des principales questions que posa le petit Siegfried à son maître : "qu'est-ce qu'un héro ?", et qui lui fit franchir un cap dans sa maturité et sa reflexion personnelle. -Un héro, Siegfried... C'est une personne qui est reconnue pour des faits qu'il est seul à avoir accompli. Par exemple, il y a des héros qui ont combattu les assaillants de Padhiver, il y a fort longtemps. Beaucoup sont morts, et les survivants ont ue le droit aux éloges. Les moins chanceux ont eu une stelle à leur noms, avec les remerciements pour leur bravour au combat. -Alors, un héro c'est un combattant ? Reprit Siegfried qui ne comprenait pas bien le déluge de paroles. -Si on veut, oui. Il y a les héros du combat, mais aussi de la finesse. De grands voleurs par exemples. -Mais.. Un voleur ne peut pas être un héro ? -Tout dépend de quel point de vue tu te place, dit le prétre avec un sourire amusé, si tu es apprenti voleur, un voleur de grand chemin pourrait bien être ton héro. -Alors, un héro c'est simplement une personne connue ? -Oui, une personne connue de beaucoup de gens. Une personne dont on parle dans les livres, dont on en fait des histoires. Mais... Pourquoi me pose tu toutes ces questions ? Demanda le prétre d'un air sceptique. -Oh, et bien... J'avais juste lu dans un livre que les grands héros de ce monde étaient très vaillants, et très bon... Alors, je voulais savoir si ces gens étaient des paladins. -Paladin... Il y a une énorme diffèrence entre un héro et un paladin. Et il est assez difficile de comparrer les deux. Mais assieds toi, je vais t'expliquer. Le petit prit place sur un banc, le prétre s'assit sur le banc d'en face et commença son explication. -Le seul point commun, c'est qu'on ne nait pas, ni héro, ni paladin. On le devient. Un paladin accomplit des actes de prouesses pour sa divinité, et pour son Dieu. Un héro c'est une carractéristique, un titre que l'on donne. Très peu de paladins sont des héros. Bon nombre sont des templiers, engagés dans l'armée de la foi, dans la lutte contre le mal. Un héro est unique et reconnu. L'humilité du paladin l'empèche de se considérer comme tel. -L'humilité ? -Oui. C'est le fait de garder la tête froide, et de ne pas paraître prétencieux, ou arrogant sous pretexte que l'on est fort, ou que nous faisons bien notre devoir. En fait, je dirai qu'un paladin ne peut pas être un héro reconnu. Car même lui ne se définiera pas comme un héro... Le petit hocha la tête, doucement, éssaya de mettre de l'ordre dans les paroles du prétre, et assimila tant bien que mal la définition du héro et du paladin. Le prétre ajouta ensuite, pour l'aider à comprendre : -Dis moi, d'après ce que je viens de te dire et ce que tu as lu dans tes livres, quelles seraient les vertues d'un héro ? Le petit hésita une bonne trentain de secondes avant de répondre. Le prétre le dévisagea attentivement, scrutant les moindres rictus de l'enfant. -J'ai lu que c'était le courrage et l'honneur. -Es tu d'accord avec ces titres ? Le petit hocha la tête pour seule réponse. -Tu as raison, c'est bien le courrage et l'honneur qui font la base des héros. Mais ce qui fait vraiment un héro, c'est le fait qu'on parle de lui. Le petit comprit l'explication et esquissa un sourire de gratitude à son tuteur. Celui-ci ne s'empécha pas de reposer une autre question : -Et sais tu quelles sont les plus grandes vertues d'un paladin ? Le petit ne répondit pas, il secoua la tête négativement. Le prétre lui adressa un sourire rassurant. -Ne t'en fais pas, reprit-il, quand tu auras la réponse, viens me voir. Mais sois sûr de ta réponse, et prends ton temps pour me la donner, tu as tout ton temps pour découvrir ce qu'est réelement un paladin. Le prétre se leva, le dissiple suivit le mouvement machinalement, et parti à la bibliothèque, tout en cherchant ce que pouvaient bien être la réponse à cette question. Il s'empressa de parcourir moultes pages de diffèrents livres, afin de percer le secret de cette question. Mais il ne trouva malheureusement pas la réponse attendue. Il prit cependant des notes, sur diffèrentes choses concernant les paladins. Il lut bon nombre d'ouvrages sur ces chevaliers du bien.
Durant deux longues années, maitre Cid se félicita d'avoir conduit le jeune Siegfried inconsciement vers la voie du paladina. A l'age de douze ans, celui-ci se présenta à son maître avec un nombre incalculable de questions diverses sur le paladin, sur son devoir, sur son code, et sur les vertues notées du paladin. Le prétre y répondit avec le plus d'exactitude qu'il le pouvait. Le jeune garçon était plus qu'interessé par la chevalerie, et le combat contre le mal.
Au bout dune bonne demie heure d'échange d'idée, entre ce qu'avait pu lire Siegfried et les connaissances de son maître, ce dernier reposa sa question : -Alors, jeune apprenti. As tu la réponse, sais tu quelles sont les deux plus grandes vertues d'un paladin. -Je dirai sans hésitations la foi, en premier lieux. -Sans hésitations ? -Oui, la foi en nos convictions, en nos principes font de nous ce que nous sommes. -C'est très bien. Et en second ? -Un paladin doit être bon, et compréhensif. Il doit être apte à juger mais surtout à pardonner, et à accorder de la compation et du pardon aux pécheurs et impies souhaitants se racheter. Il se doit d'aimer son prochain comme si c'était son frère. -C'est une très bonne analyse, mais j'attends ta conclusion, dit le prétre en esquissant un sourire satisfait. -C'est le coeur, n'est-ce pas ? Le prétre se contenta d'hocher la tête, son sourire s'élargissant. -Le coeur, oui. Ce seront tes convictions et la grandeur de ton coeur qui feront de toi un bon paladin. -J'hésitais entre la force de volonté, mais je me suis rendu compte qu'elle pouvait être incorporée dans les convictions. -Tu as bien fais de prendre ton temps, ajouta le prétre après un hochement de tête affirmatif. Mais di moi, est-ce que tout ce travail t'a plu ? -Oh oui, maître Cid ! Je voulais vraiment savoir tout cela. -Mais, tu aurai très bien pu baisser les bras, renoncer, ou bien passer à côté. Pourquoi es-tu allé jusqu'au bout ? Le prétre avait déjà une vague idée de la réponse à ces questions, mais il préfera tout de même les poser. Le petit explica son interet très prononcé pour le paladina, et pour la chevalerie. Les histoires qu'il a lu sur les héros des temps anciens l'ont conduit vers les histoires de paladins, aussi bien des histoires comptées que des pages de journaux personnels. Les héros de la gloire ont fait place aux héros du coeur dans l'esprit du jeune Siegfried. et c'est un peu la conclusion qu'anonça le maître Cid à son élève : -Aujourd'hui, tu sais ce qu'est un paladin. Je ne vais pas faire d'éloges, ce serait contre leurs principes. Mais saches encore qu'on ne nait pas paladin, on le devient. Si tu souhaite en devenir un, alors je t'y aiderai du mieux que je le peux. -Vous l'avez déjà fait, maître.
Ainsi fûrent guidés l'un après l'autres par son maître, le prétre Cidhnaî., les premiers pas de Siegfried sur voie de la vertue, celle des paladins du Juste.
[HRP]Désolé pour "l'attente", pour ceux que ça a dérangé. La dernière partie est en route, celle de son apprentissage en tant que paladin. Si vous avez des remarques et si vous voyez des phôte dortograffe, hésitez pas à me prévenir. Merci ![/HRP] | |
| | | whisky-free Apprenti posteur utile
Nombre de messages : 329 Habitat : n.m. Aire dans laquelle vit une population, une espèce animale ou végétale particulière.
| Sujet: Re: [Parti][Validé][Paladin][H] Siegfried d'Owein. Mar 25 Avr - 2:58 | |
| L'apprentissageChagement de maître. Désormais apprenti paladin, Siegfried se retrouve aux mains d'un paladin dont je tairerai le nom tout au long de ce récit. Les premières choses enseignées à Siegfried, fûrent le code du paladin et ses vertues. Il les apprit par coeur, et le soir, avant sa prière, il les réecrivait sur une page blanche d'un petit carnet, avec les Dogmes de sa divinité. En voici un exemple : - Citation :
- Le code de conduite :
- Tu ne tueras pas d’innocents ou seulement quand tu en es forcé. - Tu protégeras ton ordre et ton temple, quoi qu'il arrive, et sous n'importe quelle forme que ce soit. - Tu protègeras tous les êtres vivants, quels qu’ils soient, car ils ont été crées par les dieux et comme toi, ils ont le droit de vivre en paix. - Tu restera pur et chaste, tout au long de ton existence. - Tu ne boiras pas d'alcools, et n'usera d'aucun stupefiants dans un but superflux d'amusement personnel. - Tu n’amasseras pas de richesses superflues. Tu donneras ce qui ne t’est pas vital à ceux qui en ont le plus besoin.
Les vertues du paladin :
- Une approche des choses organisée est la plus susceptible de servir le bien commun. - Les lois servent à assurer la prospérité de ceux qu'elles régissent. - Les lois injustes doivent être modifiées de façon raisonnable et positive. - Le peuple gouverne ; la loi ne fait que l'y aider. - Faites le plus de bien possible en causant le moins de dégâts possibles. - Protégez les faibles. - La bonté n'est pas un état naturel ; il faut se battre pour l'atteindre et la conserver. - Montrez toujours le bon exemple. - Laissez vos actes démontrer la nature de vos intentions. - La bonté vient du cœur. - Soyez miséricordieux, mais avisé.
Les dogmes du Juste :
Révélez la vérité, punissez les coupables, redressez les torts et soyez toujours droit et juste dans chacune de vos actions. Obéissez à la loi où que vous vous trouviez et punissez ceux qui répandent le mal en violant la loi. Conservez les archives de vos décisions, de vos jugements et de vos actes. C'est ainsi que vos erreurs pourront être corrigées, que vous pourrez agir sur les lois des terres où vous vivez et que votre capacité à repérer ceux qui volent la loi s'améliorera. Soyez vigilant et sachez anticiper les actes de vos adversaires de manière à repérer ceux qui s'apprêtent à commettre des injustices avant qu'ils commencent à agir. Vous pourrez ainsi les contrer avant qu'ils ne menacent l'ordre et la loi. Soyez le bras vengeur de ceux qui ne peuvent accomplir seuls cet acte. Parfois, il arrivait à Siegfried de copier dix fois, vingt fois et même plus ces quelques lignes... Cela le rassurait dans ses convictions. Savoir qu'il connaissait et qu'il suivrait une ligne de conduite sans défaut, c'était sans doutes ce qui le satisfesait le plus. La seconde chose que l'on apprit à Siegfried, c'est l'énemie. Malheureusment, le paladin en charge de lui expliquer le futur combat contre le mal, et surtout sa façon de traiter l'énemie déplu très fortement au jeune apprenti. Il s'en suivit une longue reflexion personnelle sur le code de paladin, et ses vertues. Pour parler clairement, le maître annonça à Siegfried qu'il "fallait éradiquer le mal, sous toutes ses formes". C'est surtout le terme "éradiquer", qui laissait supposer à un génocide, pur et dur. Il s'en alla poser quelques questions à son ancien maître, Cidhnaï, pour que celui-ci le guide vers la voie de la sagesse : -Vois-tu Siefried, commença le prétre, ta question est très compliquée... Je vais te donner quelques exemples, mais je souhaite que tu te fasse ta propre opignon, avant de te dire ce que j'en pense. Pour faire un monde actif, et vivant, je pense qu'il faut de tout. Des bons, et des malfaiteurs. Imagine ce que serait le monde sans les paladins ? Il ne serait que chaos, un monde plat, et à sens unique, voué à un échec grandissant de jours en jours. Mais l'inverse, un monde sans malfaieur... Il serait sans doutes plat, inutile, ennuyeux même. Et que serions nous ? Notre combat serait inutile, puisque qu'il n'existerait même pas. Et dis toi une chose, nous sommes des hommes. Que serions nous si nous étions tous semblables ?... C'est bien notre diffèrence qui fait de nous notre force, et malheureusement, indirectement notre combat. -Oui mais... Ne vaut-il pas mieux un monde ennuyeux mais sûr ? -certes oui. Mais il existe des personnes mal intensionnées de nature qui pourront se trouver avec toi doux comme un agneau. Selon les circonstances, cela va de soit... Je n'ai qu'une chose à te dire, suis les preceptes de Tyr. Juge et puni les coupables, mais preserve et sauve les inocents. Même si ceux là ne sont pas dignes de confience. Un paladin ne tue pas par haine, mais par devoir. Souviens toi que le tien réside dans ces dernières phrases. -Oui maître, répondit le petit Siegfried, qui appelait encore Cidhnaî : maître ; alors qu'il était plus désormais son père à ses yeux qu'autres choses. -Que pense tu de l'éradication du mal ? -Je pense qu'il faut accorder le pardon, et le repenti aux nuisances, et les supprimer en cas extrème. Ceux qui ne font pas parler d'eux méritent de vivre. -c'est bien ce que je pensais, reprit le prétre avec un sourire satisfait. Je suis entièrement d'accord avec toi. tu seras un exellent paladin. -Mais, est-ce que mon enseignant est un mauvais paladin alors ? Le prétre, en se rendant compte de son erreur, masqua au maximum son arrière pensée : -Comme je te l'ai dis, il faut de tout pour faire un monde. Et... Peut être que mon objectivité est limitée. Je te connais depuis que tu es tout petit. Même si j'avais déjà ces pensées avant. -Mais alors, que pensez vous des paladins qui luttent contre le mal ? -Ceux qui luttent contre le mal en faisant leur devoir, je n'en pense que du bien. Ceux qui luttent par simple amour du bien, alors c'est qu'ils ont une vision très nombriliste du monde. Comme je te l'ai dis, nous sommes humains. Et même la plus grande racaille bainite pourra se montrer doux comme un agneau si on utilise les bons mots et s'il accèpte son repenti. L'influence des Dieux est grande, Siegfried. Ne l'oublie pas, toi même tu es influencé par Tyr. Mais ce que tu ne dois pas oublier, c'est que tu te bats pour la justice, pas pour la guerre sainte. Après quelques lents hochements de tête, Siegfried se lança dans une grande et longue reflexion sur lui même, sur ses raisons d'être paladin. Il ne pouvait se résigner à croire que tous les paladins étaient des extrémistes en quête de massacre pour "la bonne cause". Il reposa encore une question : -Maître, le plus sincèrement, quels conseilles devrais-je suivre ? Les votres, ou ceux de mon enseignant ? -Le plus humblement possible, Siegfried, le prétre prit une grande inspiration et marqua quelques secondes de pause, avant de reprendre... Suis ton coeur, et ta foi. Et grave à jamais ce que t'a dit ton coeur au plus profond de ta mémoire. C'est ce qui forme l'experience. Ces mots, il ne les oubliera jamais. L'experience et la pratique, calquée sur nos connaissance et notre vie, sur notre carractère et nos impressions... Il faut savoir se montrer exprimenté, mais également humble, attentif et réfléchi pour ne pas paraître trop sûr de soit. La complexité du paladin est un secret pour personne... Mais peu de gens sur cette terre ont le mérite d'être passé au travers ! L'art du combat... Voilà le passage le plus "barbant" de la vie de Siegfried. Il aimait lire, écrire, apprendre, mais il détestait se battre. Il trouvait cela futile, et barbare, dans on ésprit encore jeune, rien ne vallait la chaleur du dialogue en comparaison au froid de la lame. Mais hélas, c'était une nécessité. Il se donna à fond dans cet apprentissage, qui se déroula durant son adolescence, jusq'à son âge adulte, mais à contre coeur bien évidement. Il s'en dégoûta, au point de ne jamais vouloir se battre. Cependant, il savait qu'il n'y échapperai pas. Cela faisait partie de son devoir, et il irait jusqu'au bout ! Il ravala difficilement cette mauvaise passe de sa vie. Peut être avait-il peur d'aimer cela, au fond... C'est sans doutes pour cela qu'il bloquait autant. Toujours est-il qu'il restait un bon élève. Et malgrès le fait qu'il destait ça, il se battait plutôt bien, et il apprit par coeur bon nombre de techniques martiales à l'arme de Tyr : l'épée longue. C'est son ancien maître Cidhnaï qui lui offrit sa première et futur épée. Une épée, tout ce qu'il y avait de plus ordinaire. A une seule diffèrence, elle avait appartenue au prétre dans ses débuts. Une grande valeur sentimentale du paladin face à cette lame dénuée d'interet pour le premier venu. Il la porterait fièrement, aussi longtemps qu'il le faudra, en priant pour que jamais il ne s'en serve ! Il étudia longtemps, durant de longues années la sagesse, la phylosophie, l'histoire, et surtout la religion. Il s'interessa à des problèmes de société divers. Etrange pour un paladin, mais celui-ci avait apprit de Cidhnaï qu'il vallait mieux connaître les personnes pour qui on se battait, et aussi y dicerner l'énemie. Ce n'est qu'après ses vingt ans qu'il fit de nombreux écrits qui resteront à jamais scellés dans le temple de Tyr sur la pensée humaine, toujours avec l'aide de Cidhnaï. Sa formation de paladin étant achevée, il ne se sentait pas pret à affronter le monde réel. Il se contenta avant tout de l'étudier, sous toutes ses formes possibles. Aujourd'hui, le grand Siegfried est agé vingt quatre ans. Un fier jeune homme, bientôt dans la force de l'age. Il vient de recevoir, suite à son dévouement pour ses vertues, et ses interdits, un étalon divin. Le plus beau cadeau qu'il pouvait esperrer de la part de son Dieu. Un magnifique destrier blanc, du nom de Céleste. Peut être Tyr lui permet ainsi dans la vie active du paladina ? L'apprentissage théorique du jeune Siegfried touche à sa fin, et désormais, il va pouvoir goûter à la mise en pratique de ce qu'il a étudié depuis si longtemps. Espèrons que son éducation et son experience feront de lui un grand paladin... "On ne nait pas paladin, on le devient" C'est désormais chose faite. Souhaitons bonne chance à ce nouveau chevalier du bien ! [HRP]BG terminé pour le paladin, en attente de validation. J'ai préféré développer sa facette psychologique, c'est le point le plus important de ce personnage. Je placerai, pour le fun, le BG de Céleste, son cheval. A vous de voir si vous acceptez le fait qu'il en ait un dés le début... Ou si vous préférez attendre un peu. Voili voilo, bonne lecture[/HRP] | |
| | | whisky-free Apprenti posteur utile
Nombre de messages : 329 Habitat : n.m. Aire dans laquelle vit une population, une espèce animale ou végétale particulière.
| Sujet: Re: [Parti][Validé][Paladin][H] Siegfried d'Owein. Sam 6 Mai - 2:17 | |
| [HRP]Permettez moi d'insister Et pardonnez moi si vous trouvez que je fais preuve d'impationce [HRP] | |
| | | Erwin Posteur utile
Nombre de messages : 701
| Sujet: Re: [Parti][Validé][Paladin][H] Siegfried d'Owein. Dim 7 Mai - 14:58 | |
| Désolé pour l'attente, validé et bon jeu à toi ^^ | |
| | | whisky-free Apprenti posteur utile
Nombre de messages : 329 Habitat : n.m. Aire dans laquelle vit une population, une espèce animale ou végétale particulière.
| Sujet: Re: [Parti][Validé][Paladin][H] Siegfried d'Owein. Dim 7 Mai - 20:15 | |
| - Citation :
- Nom du compagnon : Céleste.
Race : Cheval (Interplanaire), type destrier.
Age : Inconnu.
Alignement : Loyal bon.
Religion : Inconnue.
Trait de Caractère : Ni trop curieux, ni trop distrait, ce cheval marque les personnes d'affection, quand ils lui rendent... L'inverse, en revanche, marque la grande rencoeur de cet animal.
Description physique :
Taille : Un métre cinquante trois centimétres au garrot. Poid : Sept cent quarante neuf kilogrammes. Poils : Couleur blanche, très clair, et très propre, la crinière allongée et bien entretnue. Yeux : Noisette. Tête : Musueau allongé, grosses narines, les dents épaisses, la machoire solide, les oreilles pointues. Corps : Musclé, comme taillé dans de la pierre, il n'en reste pas moins élégant par son pelage.
Allure : Grand, imposant, rayonnant sont les termes qui carractérisent le mieux l'animal. Son poid ne semble pas être une gène pour se déplacer rapidement. Sa force, un atout certain pour le combat. elle lui permettra de supporter son cavalier en armure sur lui, mais aussi d'en supporter une pour lui même.
Il lui arrive de porter quelques saccoches ou autre support, afin de porter les affaires de son maître attitré : le paladin Siegfried d'Owein. | |
| | | Volvic Gardien des Mystères
Nombre de messages : 11689 Age : 50
| Sujet: Re: [Parti][Validé][Paladin][H] Siegfried d'Owein. Mar 25 Sep - 18:32 | |
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| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: [Parti][Validé][Paladin][H] Siegfried d'Owein. | |
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| | | | [Parti][Validé][Paladin][H] Siegfried d'Owein. | |
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