Les orcs s'activent?! OO

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Un orc étrange prit place à Luskan dans la soirée d'hier. Il aurait amené une femme s'étant évanoui à sa vue en forêt. Quelques guerriers de courage partirent à la recherche de la femme, aucune nouvelle d'eux ne fut reçu avant un bon moment.

Ces guerriers affrontait l'orc... Tout allait à leur avantage, jusqu'à ce que l'orc hurle un énorme cri de guerre, ce qui fit étrangement trembler la terre. Son cri? Non... La tribue orcs se dirigeait vers eux, dans toute leur force de frappe et leur splendeur.

Les guerriers ne resistèrent pas aux coups puis tombèrent sous ceux-ci, comme de vulgaire mouches. L'un d'eux parvint à s'échapper pour arriver à Luskan, ensanglanté et criant que les orcs attaquaient.

Serait-ce le présage d'un nouveau danger??

Aux rumeurs qui se répandaient à Luskan au sujet des orcs, Aniriandel courrut vers le nord pour partir à la rencontre du shaman orc.
Il le rencontra en forêt.

Mais loin d'être effrayé par le druide, comme le sont la plupart des orcs vis à vis des fils de la nature, celui-ci menaça à de nombreuses reprises et à grand coup de sort, le druide, enflammant des buissons, rendant aveugle les personnes présentes.
Mais à tout ces sortilèges, le druide de Rilliafne répondait par une prière réduisant à néant les sorts de l'orc.

Comprenant qu'il ne pouvait résonner le shaman, Aniriandel le provoqua selon les rituels des Cercles de la Nature, et ils partirent pour l'autel de l'Esprit pour s'affronter.

Les éléments se déchainèrent, foudre, flamme, vent, terre, la forêt en tremblait, mais le shaman tomba à terre, vaincu.
S'inclinant devant la force du druide et des esprits de la nature, l'orc se broya la gorge.
Aniriandel et Angèle prièrent longtemps pour le pardon de l'orc, qui lui fut accordé alors qu'il disparu dans un nuage de poussière sur l'autel de l'esprit.

Plus tard, le chef orque vint trouver les Fils du Bosquet, et leur explique que le shaman était devenu fou, et se pensait chargé d'une mission pour Grummsh.

Une bataille sanglanté fut évité ce jour là, sans qu'une seule goutte de sang ne coule jusqu'au suicide du shaman.