[Parti][Validé][Paladin][H] Emelia Lannes

Citation :

Nom du compte joueur: -GeniuS-

Nom du perso: Emelia Lannes

Race: Humaine

Age: 18 ans

Alignement: Loyal bon

Religion: Tyr

classe(s): paladin (25)

Arme de prédilection/domaines/école de magie: Epée à deux mains

Trait de Caractère: D’un naturel doux et bon, Emelia tachera de faire ce qu’elle pense juste dans chaque situation et s’intéressera toujours aux conséquences de ses actes. Plutot calme, elle est toutefois impulsive et peut en venir rapidement aux armes si elle le juge nécessaire

Description physique: 1m65, cheveux bleue, yeux bleues. Teint de peau blanc/rose (^^) et surtout extremement belle. Elle attire la sympathie des bons et justes et la méfiance des autres….

Le soleil au crépuscule inonde le Valherse de ses rayons dorés. Sous la douce brise d’un soir de printemps Brogart et Emelia jouent encore dehors, imitant les gestes de leur père, chassant le mal et l’injustice hors des frontières de leur jardin. Sur la petite route menant au hameau, les deux enfants reconnaissent une silhouette familière, il s’agit de Braenor Lannes, leur père qui revient à la maison. L’homme se tient droit et porte fièrement les armoiries de Tyr. Dans la région, c’est une personnalité importante. Il aide le haut patriarche à faire appliquer la loi. Arrivé aux portes de la demeure, Braenor descend de son cheval. Il s’approche de ses enfants et leur dépose un baiser sur le front avant de leur ordonner de rentrer à l’intérieur. De la porte entrouverte émane les effluves du repas prêt à être manger, les deux enfants prennent place à table. Leur mère est belle même en tablier, de ses yeux d’enfants Emelia ne se lasse pas de la regarder, sa longue chevelure blonde descendant jusque dans le creux de ses reins et ses yeux, d’un bleu plus brillant et plus pur qu’un saphir. Souriante, elle dépose le plat sur la table et sert les enfants. Braenor entre et s’assoit à leurs cotés. Le repas se déroule dans une ambiance tendue, le visage de leur père exprime un malaise que ses enfants ne peuvent comprendre. A la fin du repas, il prend la parole :
« J’ai reçu une missive émanant du haut conseil…. Ils disent que la situation est houleuse dans le Val de Bise et demandent à tout les fidèles disponibles d’apporter leur soutien…. Je partirai au petit matin. » Le repas se termina dans le calme, les deux enfants ne sachant comment réagir. Heleynea arborait toujours le même sourire enchanteur, Bien que ses yeux est du mal à cacher son désarroi. Le sommeil vint difficilement ce soir. Le baiser que leur père leur avait donner avant de se coucher avait un goût amer……

Au petit matin, lorsque les deux enfants se levèrent leur père avait déjà passé son armure et finissait d’harnacher sa monture. Ils se tenaient sur le pas de la porte près de leur mère. La caravane passerait devant la maison et emporterait leur père. « Puisse t-elle ne jamais passer » espérait Emelia, mais la caravane vint. En regardant leur père s’eloigner, les larmes furent de plus en plus difficile à contenir. Heleynea s’agenouilla, prit ses enfants dans ses bras et tenta de leur expliquer : « Le ValHerse n’a plus connu de trouble depuis bien longtemps, et il est des causes qui ne se défendent qu’en combattant et des hommes qui ne prennent leur vraie valeur que dans le combat. Votre père est de ces hommes. Sa cause est juste, puisse Tyr le proteger. »

La caravane n'est plus qu'une silhouette au loin sur la route. La jeune fille tourne alors la tete vers sa mère, sans un mot, mais le regard debordant de questions : "Et maintenant ?". Heleynea posa un regard plein de compassion sur sa petite fille et lui sourit "Ne t'inquiètes pas. Le haut patriarche a promis à ton père qu'il veillerai sur nous. Et puis, il reviendra....." Le regard d'Heleynea se perdit alors dans l'horizon, cherchant un dernier signe visible du convoi, mais ne trouva rien. Ils ne leur restaient plus que le souvenir...

Quelques mois ont passés, la douleur a laissé place au quotidien. Chaque semaine, un moine manchot du temple de Tyr local apporte des provisions à la famille. Son visage, bien que marqué par de nombreuses cicatrices, est lumineux de bonté et de bienveillance. Chaque semaine Emelia lui demande des nouvelles de son père. Chaque semaine, ses questions restent sans réponses. Ce moine, du nom d'Orthes, n'aura jamais les réponses tant esperées, pourtant il fera de son mieux pour rassurrer la jeune fille. Jamais il ne tarrissait d'éloges sur les paladins, sur ceux qui avait le courage de verser leur sang pour les autres, ceux qui repandait le bien autour d'eux, ceux qui ne reculaient jamais....

Emelia a maintenant treize ans, lors d'une de ses pérégrinations au sein de la demeure, elle mit la main sur une épée longue de pietre facture. Paraitrait-il qu'elle appartenue à son père, qu'elle fut sa première lame. L'épée était bien trop grande pour la jeune fille, pourtant elle entreprit d'apprendre à la manier et s'exerça de longues heures sur un tronc d'arbre mort un peu plus loin sur le sentier. C'etait un vendredi, et comme chaque fois Orthes vint rendre visite à la famille. Il surpris cette scène et son visage se fendit d'un sourire. Il salua Emelia et s'approcha d'elle, sa main vint se poser fermement autour de celles de l'adolescente, serrant la garde de l'épée comme jamais Emelia n'aurait su le faire. Calmement et patiemment, il enseigna à la jeune fille les rudiments du maniement de l'épée à deux mains. Orthes lui raconta alors son histoire et la jeune fille decouvrit qu'il fut autrefois, lui aussi, paladin de Tyr. Il prit part à de nombreux combats et servit son ordre du mieux qu'il put, lorsqu'il perdit la main et presque la vie, Orthes choisit de se retirer des champs de bataille et rentra dans les ordres.

Chaque semaine, le moine venait alors un peu plus tot, pour passer un peu de temps avec Emelia. Il lui dispensait ses conseils et lui enseigna le dogme de Tyr, lui apprit le bien, et l'importance de chaque geste, meme du plus petit. Ses histoires resonnaient dans le coeur de la jeune fille, comme un cri, un appel vers quelque chose de plus grand. Par la jeune fille, le moine faisait survivre son histoire, son passé, ses erreurs. Il prenait plaisir à instruire Emelia, il avait la une élève plus qu'attentive et surtout passionnée. Lorsqu' Emelia fut en age de comprendre il lui enseigna la plus importante des leçons : "Si tu choisis ma voie tu auras toujours plus de devoirs que de droits. Soit juste et bienveillante dans chacun de gestes. Ne méprise jamais ceux qui ne peuvent se defendre d'eux mêmes. Fait que ceux qui t'entoure s'ameliore, et combat les ténèbres et l'injustice de toute ton ame. Agis ainsi et Tyr t'accorderas sa bienvaillance et ses faveurs. Oublie mes conseils et tu vivras dans la honte."

*

Huit ans ont passés depuis le depart de Braenor. Brogart revenu il y a peu de sa formation de prêtre, est maintenant un jeune homme fort et sage. Emelia est une jeune femme de 18 ans, elle a hérité de la beauté de sa mère. Les traits de son visage n’ont rien à envier à ceux des grandes dames elfes et sa chevelure bleue illume son être et donne à sa présence une aura particulière. Heylenea a peu changé, son sourire est toujours aussi enchanteur, mais aujourd’hui elle n’a pas la force… Pour la deuxième fois de sa vie, elle va être séparé des êtres qui lui sont chères. Ses deux enfants lui ont annoncés qu’ils comptaient partir sur les traces de leur père, ils veulent savoir ce qu’il est advenu de lui. Heleynea n’a pu les en dissuader et puis elle aussi voulait plus que tout savoir. Leurs bagages prêts, Les deux enfants embrassèrent leur mère et lui promirent de revenir, avant de s’éloigner sur le même sentier que leur père avait foulé 8ans auparavant. Sur le pas de la porte, Heleynea ne put contenir ses larmes en voyant sa chair s’en aller.

J'aime beaucoup le style d'écriture.

Cela dit, il faut un BG par perso, meme si vous reprenez un passage commun, ce qui est normal. De plus, le plus important du BG n'est pas présent : l'apprentissage de paladinat et de prêtrise. C'est là dessus que l'on se base pour voir si vous avez droit à votre premier lvl de paladin et de prêtre.

A retravailler donc.

Humpf..... ca aurait été trop beau que cela passe du premier coup :p. On va vous refaire ça separé et complété sans problème, par contre vous allez lire un peu deux fois la meme chose (mise à par la formation), desolé ^^

Merci pour l'ecriture ca fait toujours plaisir

Voili voilou le BG modifié, "personelle" à Emelia

J'aime beaucoup toujours. Cela dit, il manque une chose : une épreuve où elle montre à Tyr qu'elle a compris l'enseignement d'Orthes et est à présent apte à prendre la relève.

[HRP : Voici la première épreuve d'Emelia Lannes c'est un peu long donc j'ai préféré le mettre ici plutot que de l'incruster dans le BG, si vous voulez lire les deux d'une traite l'histoire se situe au niveau de la petite * dans le BG. Bonne lecture ^^]

La première mission d'Emelia Lannes


Le jour venait de se lever sur le Valherse. Emelia était déjà debout, quelque chose l'avait tirée de son sommeil plus tôt qu'elle ne l'aurait voulu. Elle se tenait la, sur le pas de sa porte, réchauffée par la caresse des premiers rayons du grand astre. Ce qu'elle attendait sans le savoir se dirigeait vers elle. Sur le sentier, se dessina alors la silhouette d'Orthes. Il venait inhabituellement tôt, et tirait derrière lui une deuxième monture. Intriguée la jeune femme s'avança jusqu'aux pieds du cheval d'Orthes. Celui ci lui tendit un robe puis prit la parole : "Nous avons une mission Emelia, enfile cette robe et monte en selle je t'expliquerai tout cela en route"

La robe ressemblait à celle d' Orthes, d'une simplicité extreme, le seul ornement present était un blason de Tyr, cousu sur la poitrine. la jeune femme la passa par dessus ses vetements et monta sur le cheval..... Voila plus d'une heure qu'Orthes et Emelia voyageait en direction de l'orient quand le moine se décida à en dire plus : " Je t'ai appris tout ce que tu devais savoir Emelia, mais le conseil veut savoir si tu est capable de discerner la lumière au sein des ténèbres, si tu peut appliquer la justice divine sans faillir.... Nous nous rendons à Senbourg, un petit hameau dans l'est du Valherse, un meutre a été commis la bas. Comme tu dois t'en douter,il va nous falloir tirer cette affaire au clair, et quand je dit nous je pense surtout à toi, je serai seulement la pour te conseiller." La jeune femme sentie son coeur se serrer, cette mission était aussi inattendue qu'intriguante. Emelia n'avait jamais demandée à servir pourtant le conseil lui avait confié cette tache. Son regard se posa sur Orthes, peut-etre le moine n'était-il pas étranger à cette décision.

Lorsque le soleil fut à son zenith la petite compagnie arrivait en vue du hameau, sur ce qui semblait etre la place principale, un homme ventripotent les attendaient. Lorsqu'il les aperçut, il hela les deux serviteurs de la justice :
" Enfin vous voila, et bien c'est pas trop tot." Le bourgmestre pose les yeux sur Emelia " Quoi ?! ils nous envoient des novices maintenant ! grmbbll de grmbbll, j'espere qu'ils savent ce qu'ils font." Comme seul réponse la jeune femme sourit, et Orthes parla :
" -Ne vous inquietez pas, si vous nous disiez plutot ce qu'il s'est passé."
"- Et bien, il y a eu un meurtre hier, dans cette maison la bas, apparemment la jeune femme a été poignardée et la maison saccagée, beaucoup d'effets personnels ont disparus."
"- Des suspects" demanda Orthes d'un ton inquisiteur.
"- Plus ou moins, ya un vagabond halfeling qui est arrivé ici, a peine quelques jours qu'il est la et il a déjà une réputation à faire palir un bainite. Ya l'jeune Endrake, ça fait des mois qu'il lui faisait la cour et à chaque fois elle repoussait ses avances...."
"- C'est tout ?"
"-Euh.... Oui oui, 'fin j'croit moi ce genre de trucs j'y connait rien"
"-Bien, merci Bourgmestre, vous pouvez nous laisser." Orthes se tourna vers Emelia et inclina la tete. D'un commun accord, ils descendirent de leur monture et se dirigèrent vers la maison ou avait eu lieu le drame. La pièce principale était emplie du parfum de la mort, cette odeur particulière souleva le coeur de la jeune femme. A peu de choses près, l'interieur était tel que l'avait decrit le bourgmestre. Le mobilier était saccagé et la plupart des effets personnels de la jeune femme avait disparue, au milieu de la pièce quelques taches de sang séchées temoignaient du massacre passé. La pièce passée en revue il était temps d'interroger les suspects. Le premier fut Endrake, lorsqu'Orthes et Emelia entrèrent dans sa demeure, ils trouvèrent le jeune homme ivre mort, somnolant sur la table du salon.
"-Grrruuummppfff, oh hum.... euh des euhhh ffidèles de Tyr, moi j'n'a rien n'a voir ladedans oh eh la petite Celina, c'etait ma... hips.... douce, mon raaayon d'leil. AAAAhhhh mon dieu pourquoi etre si crueeeeeeelll" Et l'homme éclate en sanglots et se resserre un verre de vin.
"- Justement Sir il semblerait que malgré tout votre amour cette jeune femme repoussait vos avances."
"- Quoi, elle m'étaaaa destiné, s'tout. elle n'aurait sssssuu..... ssssuuuccombé tozoutar à mes charmes."
Emelia parcourut la pièce et la fouilla sommairement, elle s'arretta sur peigne finement sicelé, portant les initiales de la victime.
"-Comment expliqué vous etre en possetion de cela ?"
"- Ca c'est le le unique souv'nir que j'ai de ma douce, vouz'avez pas l'droit de me le prendre." Et l'homme dans son desespoir vida son pichet de vin avant de sombrer. Emelia prit le peigne et le duo sorti de la maison. La prochaine étape serait l'auberge pour y retrouver une halfling du nom de Perem, surnommé Main d'Argent. A peine Emelia eu t-elle posée le pied dans l'auberge que l'halfeling aux aguets, se redressa et se faufila entre les tables jusqu'à la sortie, il passa la jeune fille sans probleme, mais tomba sur Orthes, qui de sa main valide attrappa le semi-homme.
"Allons, Sir Perem, en voila des manières, venez plutot avec nous, nous avons quelques questions pour vous..." Ils l'emmenèrent sur le coté de l'auberge, et le fouillèrent. l'examen fut des plus interressant, on aurait put ouvrir une quincquaillerie avec ce que transportait l'halfeling : Quelques verres, de l'argenterie, des plats, des bougeoirs et quelques valeurs. L'halfeling meritait definitivement son surnom Emelia prit la parole plus séchement que nature.
"- Comme voila de biens interressantes pièces, j'espère que vous pouvez en justifier la possetion."
"- Quoi ? ahaha vous etes trop drole vous, tout ceci est à moi uniquement à moi, personne ne s'est plaint de vol que je sache."
"- Surtout quand l'on sais que la propriétaire de tout ces objets est morte".
"- Morte ? mais euh...euh j'je suis pas un assassin." L'halfeling feignait mal sa surprise...
"- Dites nous ce que vous faisiez plutot la nuit du meurtre ?"
"- Ben, euh j'dormais comme tout les braves gens, dans c 't'auberge la ou vous m'avez pris."
"- Quelqu'un peu en temoigner ?"
"- Ben, non, moi j'etait tout seul dans ma chambre..."
"- Alors nous allons devoir vous emmener avec vous" L'halfeling fut ligoté puis présenté au bourgmestre, qui s'empressa de l'emprisonner et de proclamer son execution. Du spectacle pour mes ouailles disait-il... Et ses hommes de main emmenèrent le jeune halfeling qui clamait haut et fort son innocence

Cette nuit la, le sommeil ne venait pas, Emelia se tenait allongée sur le dos les yeux grands ouverts. Au fur et à mesure que le temps passait elle acquis la conviction qu'une erreur allait etre commise. Alors que la nuit était noire encre, elle se releva et prit la direction de la pièce ou était retenu le semi-homme. Celui-ci ne dormait pas, il se tenait dans un coin de la pièce, les mains ligotées dans le dos, la tete entre les genoux. Lorsqu'il entendit la porte s'ouvrir, il releva la tete, devoilant des yeux rougis par les larmes et la detresse.
" - Quoi ?! vous etes venue contempler votre oeuvre, chien de Dieu ?" la voix de l'halfeling tremblait, il avait perdu cette assurance dont il avait fait preuve plus tot.
" - Assez semi-homme il est maintenant temps de dire la vérité, je te sais voleur, mais est-tu un assassin ? Tu ne mourras pas pour quelques pièces mais l'on te tranchera la tete pour un meurtre.... Je suis venu t'offrir ta dernière chance."
" - D'accord, d'accord. J'étais dehors lorsque le meurtre a eu lieu, a vrai dire je cherchait une entrée aisée dans une demeure quelconque. Et j'ai vu un homme encapuchonné entrer dans la demeure de Celina, vous savez moi j'essaye de faire ça avec finesse mais lui il en avait rien a foutre à coup de pieds qu'il a defoncé la porte d'entrée. Il est rentré, et presque aussitot après une jeune femme est sorti de la maison, et s'est enfui vers la foret. Puis l'homme est ressorti, il avait laissé la porte entrouverte derrière lui, alors je me suis dit que j'avais rien à perdre à jeter un coup d'oeil, et j'l'ai vu votre bonfemme, lardée de coup de couteau, s'etait pas beau à voir. Comme j'etais la j'en est profité pour me servir un peu avant de mettre les bouts, je savais pas qu'ils vous enverraient aussitot...."
" - Attends, cette femme qui est sorti, qui est-ce ?"
"- J'sais pas moi, j'suis pas d'ici p't'etre bien une amie ou de la famille."
"- Il faut la retrouver, si tu veut échapper à ta sentance petit."
"- D'une j'suis pas p'tit et d'deux pister ça fait parti d'mes spécialités."
"- Bien, en route."

Elle emmena l'halfeling, toujours les mains liés, vers sa chambre. Elle reveilla Orthes et lui expliqua la situation. La petite compagnie se mit en selle et parti en direction de la foret. Le jeune halfeling marchait devant, au bout de quelques heures, il s'arretta et montra une cabane rudimentaire, faite d'empilement de bout de bois et de feuille. Orthes et Emelia penetrèrent dans l'habitation, où ils trouvèrent une jeune femme endormie. Après l'avoir reveillée, ils lui expliquèrent la raison de leur venue. La femme dit que oui, elle était la la nuit du meurtre, elle accusa le bourgmestre et sorti son livre de compte :
"- Ma pauvre soeur travaillait pour ce monstre, quant-elle a decouvert qu'il magouillait avec notre argent, elle a commis l'erreur de le menacer de le denoncer, alors.... Alors il est venu cette nuit la et l'a poignardée, il m'aurait tuée aussi si je ne m'était pas enfuie."
"- Donnez nous ce livre de compte, nous pourrons avec prouver la culpabilité du bourgmestre".
Emelia prit le livre et ils sortirent de la cabane. Dehors l'halfeling avait disparu, cela n'avait plus d'importance. La compagnie sortie de la foret, au petit matin ils étaient devant la demeure du bourgmestre. Lorsque celui-ci sorti de chez lui, Orthes pointa son arme sur lui et lui dit : "- Au nom de Tyr le juste, je t'ordonne de te soumettre à ses fils et de te presenter devant le haut conseil, qui statuera sur ton sort". Emelia descendit de sa monture et enchaina le bourgmestre à son cheval. Dans la demeure du bourgmestre ils trouvèrent de nombreuses armes qui auraient pu servir lors du meurtre, chacune d'entre elles furent requisitionnées, les devins du temple pourraient leur dire si l'une d'entre elles avait servit au meurtre. Avec ça et le livre de compte la culpabilité du bourgmestre. En fin de matinée Emelia, Orthes et leur prisonnier debutaient leur marche vers le temple. Les rayons du soleil carressait le visage d'Emelia et lui rechauffait le coeur, ce jour la elle chevauchait le coeur leger car elle savait que justice avait été rendue......

Tu peux écrire une autre épreuve si tu veux, je la lirai avec plaisir.

Mais ceci me suffit déjà.

BG Validé ! Bon jeu !

Merci !

et euh une nouvelle epreuve hum non pas tout de suite, j'ai deja trop ecrit ce w-e il va me falloir au moins une semaine pour m'en remettre ^^.

Au chaud au cimetière