[BG sans validation][Guerrier]Otto Breimweinh

Citation :

Nom du compte joueur: El_Canard

Nom du perso: Otto Breimweinh

Race: Humain

Age: 19 ans

Alignement: Loyal Neutre

Religion: Gond

Langues connues: Illuskan et commun

classe(s): Guerrier pur

Arme de prédilection/domaines/école de magie: Marteau de guerre

Trait de Caractère:
Otto est intelligent et son charisme n’est pas à prouver, cependant il reste naïf, en effet son éducation quasiment inexistante (hormis celle de la forge) a rendu son esprit aussi malléable que de la gelée surprise halfeline. Il est charismatique et sais se faire entendre lorsqu’il parle. Il est aussi très serviable, mais on ne sait pas si c’est par gentillesse ou pour une autre raison.

Description physique :
Un jeune homme bien battit mesurant 5 pieds et demi de haut, il possède des cheveux châtains coupés courts, son visage est beau et respire la fraîcheur de ses jeunes années. Ses yeux bleu pâle virent au vert lorsque les nuages couvrent le ciel et sont mobiles, plein de vies et expressifs…
Sa voix est claire et on voit tout de suite à son maintient et son parlé qu’il est taillé pour le commandement…
On peut aussi voir à sa musculature qu’il est taillé pour le combat…

Otto naquit dans la petite ville de Port Last un soir de grand froid, ses parents heureux d’enfin avoir un fils l’appelèrent Otto en hommage à l’un de leurs ancêtres.
L’enfant grandit, une fois assez âgé il commença à aider son père dans sa forge, il y acquis le savoir faire du maître forgeron à défaut d’une éducation. Son père voulait qu’il reprenne sa forge lorsqu’il aurait l’âge et l’expérience… Même si ce métier lui plaisait, Otto était assez intelligent pour choisir une autre voie, plus prestigieuse, malheureusement il n’en eut nulle occasion.
Il eut vite fait de maîtriser l’art de la forge, son père étant talentueux et lui-même ayant acquis ce savoir faire, dans le sang de la famille depuis des générations.

Les années passèrent, le beau jeune homme après avoir travaillé à la forge avait acquis une musculature digne d’un guerrier, son charisme, développé lui permis d’aider son père à la vente et aux fourneaux.
Mais leur vie paisible fut troublée par de bien funestes événements…

La ville fut attaquée par la coalition, Orques, gobelins, Géants, toutes ces abominations venaient souiller la terre de ses ancêtres et piller la populace de Port Last. Otto assista au massacre et fut parmi les seuls rescapés, son père succomba il ne sais comment, sûrement en défendant chèrement son honneur et la vie des concitoyens qui, eux, ne pouvaient se défendre. Lorsqu’il revint à Port last tout n’était que ruines, ensevelit sous une couche de neige qu’on n’eut pas vu même au sommet de l’épine dorsale…

Suite à la mort de son père, Otto quitta Port Last pour Luskan… Sa Mère allant trouver refuge à Padhiver où elle serait en sécurité et surtout à l’abri du froid…

Otto arriva au marais sombre, la vase empêchait une progression rapide. Il allait voir la Tieffeline dans sa demeure. Amplis d’impatience, il n’avait pas cessé de penser à elle depuis qu’il avait quitté…

Il entra dans le château, les rogues eurent vite fait de reconnaître le jeune homme mais lui dirent qu’elle était sortie accueillir d’éventuels visiteurs indésirés, il fouilla l’entrée du repaire du regard et n’y vit nulle trace de Dame de Waar’ness…
IL fronça lentement les sourcils, son esprit vit l’inquiétude poindre, son cœur s’accéléra… Si il ne l’avait pas vue en entrant…
Il rebroussa chemin aussi vite qu’il pus, pataugeant dans la vase malodorante du marais, ses pieds s’enfonçant, un bruit de succion résultant de chacun de ses pas feutrés par l’immonde texture du sol. Il revint ainsi à l’entrée et la fouilla du regard… Qu’est ce qui avait pus arriver pour qu’elle quitte son poste…

Il vit rouge, fouillant le marais du regard l’air paniqué, son esprit embrumé par les multiples hypothèses qu’engendrait l’absence de la Tieffeline. Il parcoura les marais ignorant les difficultés de son évolution, marteau dégainé et sens en alertes. Il trouva la femme à demi recouverte de la vase du sang autour d’elle…

Il se figea, laissa tomber son marteau et accouru. Il vint la voir la mine déconfite son cœur battant la chamade, qu’est ce qui avait bien pus arriver ? Il lui retira le casque puis tenta de refermer sa plaie à la gorge comme il put avec son matériel de soin, il pris ensuite délicatement la jeune demi démone dans ses bras pour l’amener au château… Ses bras étaient lourds, ses jambes peinaient à évoluer à travers la masse compacte et verdâtre, il serrait de toutes ses forces Noortsë
Contre lui, la protégeant de ses bras mais essayant toute fois de garder la position de la femme confortable…

Il arriva ainsi au château et l’amena à sa chambre, sous la direction de certaines rogues un peu plus anciennes qui connaissaient les passages secrets appropriés…
Il veilla sur elle, lui murmurant que ceux qui lui avaient fait ça allaient payer... Qu'il sechargerais lui même de les lui amener... La vengeance ne se ferait pas attendre...
Il la veilla tentant de calmer ses maux, ignorant sans doute que celui ci n'en était qu'une infime partie...

Il foulait à nouveau les pavés de Luskan, mais ceci, il ne le savait pas… Il ne se souvenait plus de rien… Si ce n’est un visage, un visage quelque peut étrange, qui en aurait effrayé certains, mais qui en fait l’apaise…

Ce visage fut la seule chose qui lui restait de son ancienne vie, que dire d’autre… Les pavés dur claquaient sous ses bottes renforcées, ses plaques d’armures cliquetaient alors qu’il pénétrait dans la citée des voiles en quête de souvenirs…
Car plus rien en lui ne subsistait si ce n’est un trouble omniprésent, chaque chose qu’il voyait le mettait mal à l’aise… Il savais que... mais c’était trop tôt pour le dire…

Certaines personnes éveillaient en lui des flashes de mémoires sporadiques, rien de bien intéressant, plus déstabilisent qu’autre chose… Être amnésique jusqu’à n’en point savoir où nous sommes nés, et pourtant il sentait couler dans ses veines un savoir présent et une sagesse qu’il avait ignoré tout ce temps… Comment retrouver, reprendre ce qui lui appartenait de droit et que la vie lui avait arrachée ?... Ses souvenirs ?

Une question récurrente aussi... Comment était-ce arrivé ? Qu’est ce qui avait pus provoquer un tel désastre dans sa tête ?

Ces réponses il les aurait en marchant, car c’était ici qu’il devrait les trouver…