Le Chevalier D’Ampharensen restât prés du corps de son Patriarche, pendant que les crocs noirs préparaient celui-ci à la cérémonie mortuaire qui était due
Ils bouchèrent la blessure que lui avais infligé la Matriarche, par une mélasse, puis s’activèrent a réduire toutes les marque présente sur visage, pendant que d’autre continuais de couvrir complètement l’armure du patriarche de dorure, tout en gardant bien en évidence les symbole de Baine et de l’église.
Voila le corps équipé de son armure, les mains jointe sur son arme est posé sur une dalle obsidienne, puis nous les neufs sa garde prétorienne ce mirent tout autour de cette dalle pour la soulever, et ainsi déposer le corps dans le tombeau de la famille Rargrave dans la Forteresse Noir.
Nous sortîmes du temple portant le corps du patriarche, dans la cours du temple nous attendait de nombreux haut dignitaire de la cité ainsi que nombre émissaires des temples de la cité. La cité avais éteint toutes ses lumières et cesser toute activité, ne laissant que le temple afficher une activité.
Le cortège traversa le centre de la cité puis fit halte, dans l obscurité une altercation avez eu lieu, une jeune elfe avais agressé deux personne, celle-ci ce fit arrêté puis les gardes allèrent la mené au gibet de potence.
D’un geste j’arrêtât les soldat, d’une parole je leur ordonnèrent de faire suivre la prisonnières, « - elle servirais de derniers présent a notre patriarche » dit-il tout en portant le corps de celui-ci
Ainsi après une brève escale, nous nous rendîmes dans l’obsidien, un navire noir aux Voile noir ou une haie de chevalier noir attendais le cortège funéraire, Puis le navire levât l’ancre pour ce rendre dans la Forteresse noir.
Et ainsi nous réprime notre lente marche vers la salle au le rituelle mortuaire aurais lieux, dans la salle L’impercepteur étais déjà présent ayant pris place sur l’un des trône qui entourais un reposoir orné de crâne et de symbole de Baine.
Nous déposions le corps du patriarche sur le reposoir, et tous nous nous écartèrent du corps, un prêtre vint prendre la prisonnières et l’attachât au chaînes, celui-ci lui retiras ses vêtement et soignât les blessure due a son arrestation, puis un soldat tirât sur les chaîne portant le corps de l’elfe nue au dessus du corps du patriarche, celle-ci repris connaissance petit a petit.
Dans son regard j’y vit de l’incompréhension, suivant son regard de l’elfe l’espace d’un instant l’ombre du patriarche ce déformât semblant celle d’un diable qui attend regardant son maître défunt.
Puis tout ensemble nous les neuf, nous commencions a retiré nos gant pour que le rituel, chacun a la suivre nous nous tranchions les veines laissant coulé autour du défunt patriarche notre sang, puis nous posions tous un genoux et tous d’une nous demandions pardon a notre patriarche :
« Patriarche, Nous qui avons échoué dans notre mission, notre devoir, Tous ici présent en ce lieux en cet instant nous vous demandions le pardon pour cette échec »
A cette instant le corps du défunt répondit de la fumé noir s’échappât du corps du patriarche. Une odeur acre, une odeur de souffre ce fait sentir. A cet instant nous nous fîmes tous frapper par une forte source d’énergie négative, la dernière punitions de notre défunt maître. Cette puissante source d'énergie nous renversât tous, refermas nos plaies
Pendant ce temps une force inquiétante semblait grandir au centre du corps qui celui-ci commencèrent a brûlé peux a peux le corps du patriarche, l’armure couverte de dorure ne semble elle pas être consumé par ce feux qui brûle le corps qu’elle abrite
Puis lentement a mes pieds je vit la brèche invoqué par le rituel, on y vit de nombreux disque de métal dans une atmosphère de flamme a l intérieur cela semblais être comme dans nos écrit les plaines du plan de l’archéon
A cette instant une voix d’outre tombe résonnait :
« Vierge *grand rire* TU ES A MOI ! » les flammes qui consumais le corps du patriarche ce transformèrent en une forme qui enveloppas tout ce qu il y avais autour du cercle ainsi que la prisonnières qui crias, tout ce que touchais la flamme fut entièrement consumé en l’espace de quelque instant puis le feux s’évacuât par la brèche qui ce referma peux après.
Il ne restât de la femme que son squelette carboniser, L’âme de la femme sera condamné à servir notre maître dans l’éternité. Sur la dalle funéraire, il ne restas plus que la lame et l’armure rempli de cendre, nous nous rendîmes dans une salle a pars pour prêté serment au nouveau patriarche, laissant les prêtre déposer la stèle dans son tombeau
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