Le poid de la conscience

Norik tenait son repas de la journée au bout de sa flèche, lorsque ce bruit sourd et lointains vint éveiller les sens de l'animal qui s'enfuit appeuré. Il allait falloir trouver une autre proie, mais avant trouver ce qui engendrait un tel vacarne.
Norik dévalla la petite colline au travers des arbres sans ne toucher aucune branche ni faire plus de bruit que les pas d'un écureuil. Arrivé au bord d'une fallaise, il apercut toujours à l'abris des arbres, une immense colone se déplaceant au loin dans un nuage de fumée giganstesque. On ne pouvait comptait le nombre de soldats de cette armée, constituée d'hommes, de machines et autres créatures difficiles à distinguer. Ils se déplacaient visiblement vers Hundelstone.
Norik resta alors caché sur le bord de la fallaise des heures durant à observer les petits points prenants place autour de la ville qu'il voyait à peine de la où il était. Puis le bruit des machines de guerre se firent entendre à des lieues à la ronde. Des traits de feu se mirent à zébrer le ciel. Il avait entrendu parler lors de ses brefs passages à Padhivers ou Luskan, d'une guerre qui se préparait.
Une odeur très forte et repoussante, ainsi que le bruissement de feuilles, mirent en éveil tous ses sens. Il eu juste le temp d'aller se tapir là ou la concentration d'arbres était plus dense, pour apercevoir un éclaireur orque armé d'un arc s'arreter en bordure de fallaise, juste là ou il était il y a encore quelques secondes. La créature scruta un instant la bataille au loin et émis une sorte de grondement derrière lui. Lorsque l'orque se remit en route, plusieurs autres passèrent à sa suite durant plusieurs minutes interminables.
Norik alla alors reprendre sa place pour apercevoir cette nouvelle armée partir dans la même direction que la précédente.

Je me suis toujours tenu en retrait des ville et de leurs loies. Jusque là, la forêt m'a toujours apportée ce que je voulait. Mais il est un moment ou sa conscience réclame autre chose que de rester simple spectateur. Il allait me falloir choisir un camp. De ces armées et de l'issus de la bataille, allaient surement découler de gros changements. Et je ne pourrait que les subir. Il allait me falloir choisir un camp.

Norik se redressa regardant au loin, la bataille faisant rage, les odeurs de fumées remontant petit à petit à lui. Il pris son arc en main et se mit en route à la recherche de la cause qu'il pourrait servir en adéquation avec ses convictions. Il allait prendre son destin en main.

Il était arrivé au portes de Padhivers. Ce n'était pas la première fois, il venait souvent s'y ravitailler en outils et autres objets indispensables. Mais cette fois c'était différent, il resta un moment devant les portes avec pour seul envie de s'enfuir dans la direction inverse.
Il s'apercût que les gardes de la porte le fixait et commencer à ce poser des question. Il franchit donc l'entrée, il devait le faire, il devait maintenant prend par à ce qui se passait dans ces villes s'il ne voulait pas que ces conflits et guerre rejaillissent sur l'environnement sans qu'il ne puisse rien y changer.
Arrivé dans un grosse artère de la citée, il apercut 3 femmes en grande discutiondevant une auberge. L'une d'elle était effrayante, grande, d'une stature peu commune pour une femme et surtout, 2 gandes ailes dans le dos. La seconde était une femme plutôt jolie, bien que marquée de plusieurs blessure, surement dût au combat récent mais qui n'altérait en rien son incroyable charisme naturel. C'est elle qu'il me faudrait rencontrer, je le savais.
La troisième avait de suite plus à Norik. Une armure noir, des cheuveux tout aussi noir et un regard farouche, qui laissait entrevoir une grande force et un charme surnaturel. C'est une femme comme celle là qu'il lui faudrait un jour. Mais il n'était pas venu pour ça.
Il réussit à obtenir une entrevue avec la Dame que les autres nommaient Valérie. Elle était apparement très haut placée dans l'ordre des templiers. Norik ne pouvait plus reculer. Aussi il raconta à la Dame ses visions de la bataille, et le fait qu'il lui était apparut que lui aussi devait maintenant jouer son rôle. Bien qu'attentive, elle ne pût pour l'instant me dire vers quelle organisme me tourner afin de jouer mon rôle d'humain parmis les autres. Elle me recontacterait à mon prochain passage en ville.
Dans le fond, soulagé, Norik repartie vers sa forêt. Il avait encore un petit temp de répis avant d'entrer de plein pied dans vie citadine, et ses loies et politiques...