Caligari Laitue Croquante
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| Sujet: [Bg sans validation][Roublard][H]Lhoubna Mar 20 Oct - 23:31 | |
| - Citation :
- Nom du compte joueur forum : Caligari
Nom du compte joueur module :Caligari_
Nom du perso : Lhoubna
Race : humaine
Age : près de 18 ans
Alignement : chaotique neutre
Religion : pas de divinité tutélaire, prie les différentes divinités du panthéon humain.
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) :25 roub (voir si bi classage selon rp)
Arme de prédilection: rapière
Trait de Caractère : De manière générale, Lhoubna est une jeune femme très souriante, semblant afficher une joie de vivre certaine. Elle possède un fort tempérament, et son insolence la pousse souvent à des paroles impétueuses qui peuvent la mettre dans l'embarras sans même qu'elle ai pu y réfléchir avant de les avoir prononcé. Elle est impulsive.
Paradoxalement à tant d'exubérance dans son comportement, elle semble garder ses souffrances bien enfouies.
Description physique : Jeune femme au sortir de l'adolescence. Ses traits sont doux, presque enfantins alors que ses courbes parfaitement dessinées laissent place à un corps de femme. Le soleil lui même semble l'avoir embrassé. En effet sa peau basanée en semble gorgée, sa chevelure en est l'exact reflet et ses yeux ambrés brillent d'un étrange feu. Elle est de taille moyenne à la carrure fine et peu musclée, d'une démarche agile et souple.
Langues parlées : Commun, Alzhedo, Langue des signes roub.
Caractéristiques (au lvl 1):
FOR :09 DEX :17 CON :09 INT :14 SAG :09 CHA :15 De l'histoire d'un enfant mort né. C'est la mienne, mon destin...
Ma naissance, bien avant la date prévue, sans un cris, sans un mouvement... Sans respirer. Je n'aurai pas du survivre, un miracle m'a t on dit. Elle, était inconsciente. Baignant dans une marre de sang. Et à son réveil, ils étaient surs que je ne survivrai pas. Ils lui ont dit que j'étais morte à la naissance.
J'ai survécu, mais jamais elle ne l'a su. Elle a survécu, mais jamais je ne l'ai su.
Lui... Le monstre, séparer une fille à sa mère, une mère à sa fille. Comble de l'égoïsme.
Je l'ai toujours connu, sans jamais savoir qui il était. Il prenait soin de moi à sa façon. M'utilisait à ses fins « professionnelles » une enfant, agile, souple, ça passe partout... Et ma mine angélique pouvait bluffer n'importe qui si mes mains étaient vues trop près des poches des riches passants.
Cambriolage, vols, petits larcins en tout genre. Telle était faite mon enfance. Pas de parents, donc une liberté totale. La fumée des drogues, l'alcool : ils furent très tôt mes compagnons de route. Même si je sais qu'ils me tuent à petit feu, ma santé a toujours été faible, et mes compagnons ne l'arrangent en rien. Qu'importe.
« Tu es mon opium » me répétait il souvent au creux de l'oreille. Voilà une phrase qui construit une vie. Oui, il me semblait clairement que j'étais importante à ses yeux. Et au plus je prenais en maturité au plus son comportement était étrange. Il me racontait que je ressemblais à la femme qu'il aimait. Mais qu'elle avait disparue. Il s'agissait de ma mère, Calizthia, bien que je ne le sache pas encore. Je ne voulais plus grandir. Ses changement sur mon corps provoquaient en lui des réactions imprévisibles. J'en ai occulté la plupart, je ne me souviens plus des faits précis, des actes, des gestes, où et comment. Mais je l'évitais de manière instinctive autant que possible. Il le savait, et ça le mettait dans une rage folle. Quand bien même, je préférais qu'il soit violent plutôt qu'autre chose...
Et lorsque j'ai appris que cet être était mon père, jamais je ne l'ai trouvé plus abject.
Il est mort, exsangue dans son lit. Une fin tragique tragique et surprenante, à la hauteur de ses atrocités. Sa mort m'a apporté la vérité, les langues se sont déliées.
Ma mère l'avait aimé alors qu'elle était une toute jeune femme. Elle l'aurait suivi au bout du monde ç ce qu'il se dit. Je lui ressemble, ses yeux... un ambre pétillant. Souplesse, agilité, force de caractère. C'est donc par la faute de cette ressemblance que j'ai du subir tout ça. Après tout, si je ne lui avais pas ressemblé, peut être qu'il n'aurait pas posé les yeux sur moi.
Mais elle était pale de peau, ses parents ne sont pas calimshites. Ils habitaient à Memnon, et elle était semble t il leur fille unique. Je me suis rendue dans cette citée, au nord de désert Calim, pour en savoir plus. Certains habitants ont bien voulus parler, voici mon histoire :
Je suis née à Memnon, dans la maison des parents de ma mère. Vernon leur avait soumis l'idée de leur offrir un petit enfant, il voulait s'en débarrasser, et eux, sachant que leur fille unique leur échappait, n'ont pas refusé. Ainsi donc j'ai passé les premières années de ma vie chez eux, alors qu'il ne m'en reste pas un seul souvenir.
Il se dit que quelques années plus tard, les parents de ma mère furent assassinés et que leur petite fille disparue ce jour là. Vernon était revenu me chercher, ma mère l'avait quitté, s'enfuyant du Calimshan. Je ne sais pas trop s'il est venu me chercher avant la fuite de ma mère, pour tenter de la faire rester, ou après...
à Memnon, j'ai rencontré un couple d'amis de ma mère. Luc et Claire d'Artos. Ils m'ont eux aussi beaucoup parlé d'elle. Luc, grand collectionneur de rapière, me fit mon premier vrai cadeau. Une rapière. Il m'en appris l'usage, les estocs, comment les placer à des endroits précis du corps pour affaiblir son adversaire... Il m'a apporté en quelques mois, plus que quiconque jusqu'à lors.
Ils m'ont dit que la dernière fois qu'ils l'avaient vu, elle était dans cette ville humide et froide. Luskan. Ainsi, je pars sur la trace de cette mère que je pensais morte en me mettant au monde. Il est temps de quitter Calimport.. | |
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