[Reroll][Validé][Prêtre][H]Rakhel Ignes Peygal

Nom du compte joueur forum : Kroklegros
Nom du compte joueur module : KrokLeGros
Nom du perso : Rakhel Ignes Peygal
Race : Human
Sous race :
Age : 18 ans
Alignement : Loyal Neutre
Religion : Kelemvor
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : 25 Prêtre
Arme de prédilection: Epée batarde (Dés lors qu'elle pourra la manier hein...)
Domaines : Mort et Protection
Langues : Commun, et Chondathan
Familier/Compagnon animal : Aucun
Ennemis jurés : Aucun
Description physique et traits de caractères : Rakhel est un jolie brin de fille. Blonde aux yeux bleux, d'une taille moyenne, elle porte les traces d'une activité physique régulière.

Rakhel est une personne franche, honnête et directe. Elle est attentive et profondément respectueuse aux personnes autour d'elle. Mais lorsque les principes de sa foi sont en jeu, elle est aussi intraitable que la mort est inévitable.

Elle veuille a maintenir un aspect toujours sobre et soigné dans sa tenue, choisit ses mots avec attention. Rakhel est assez dure avec elle même, et deteste le désordre. De même, la frivolité ou l'absence de sérieux peuvent rapidement la contrarier.

Caractéristiques :
Force : 14/ Dextérité : 10/ Constitution : 12/ Inteligence : 10/ Sagesse : 16/ Charisme : 14


Histoire :

Rakhel est née dans les faubourgs d'une cité état des contrées du Mitran occidentale. Fille unique d'un couple pauvre composé d'un fossoyeur et d'une paysanne. Avec une éducation très limitée, et malgré des parents aimans, elle n'eu pas vraiment d'enfance, aidant alternativement sa mêre et son pêre dès qu'elle en fut capable. Rapidement, ses parents se réposèrent sur elle. Nettoyer des pierres tombales, creuser des fosses, voir des gens endeuillés fit rapidement partit de son quotidien, et elle ne rentrait chez elle que pour ranger, aider à la cuisine, et nettoyer les sols des maisons environnantes contre un peu d'argent.

Lorsqu'elle atteint les 10 ans, elle était une enfant sérieuse, ordonnée et pragmatique, ayant grandi trop vite. Elle fut ravie d'apprendre qu'elle aurait un petit frêre ou une petite soeur pour jouer avec. Elle fut dévastée lorsque sa mêre décéda d'une mauvaise fièvre au cours de sa grossesse. D'abord inconsolable, elle ne trouva le réconfort qu'au contact de Randal Ocreterre, un prêtre de Kelemvor qui officiait régulièrement dans le cimetière ou travaillait son pêre et qui se chargea également de l'enterrement de sa mêre.

Elle alla régulièrement le voir par la suite, dès qu'il passait dans les lieux ou dés qu'elle pouvait lui rendre visite, fuyant son pêre qui plongeait lentement dans l'alcool, délaissant son travail.
Le prêtre s'en amusa et lui accorda un peu puis beaucoup de son temps.

Elle developpa a cette époque une foi profonde en Kelemvor. La normalité, la necessité de la mort, l'accompagnement des mourrants et des défunts vers le repos lui parut finalement comme une façon d'aimer la vie et d'en perpétuer les cycles. Protéger le déroulement de l'ordre naturel des choses en était le prologement naturel.

Elle prit également conscience que son univers était considérablement limité par rapport à celui que décrivait Randal. Jamais elle ne pourrait vraiment servir sa foi de façon satisfaisante si elle ne devenait pas comme lui.

Vers 12 ans, alors que son pêre était tout à fait au fond du trou, elle demanda à Randal de la parrainer pour devenir entrer au service de l'eglise de Kelemvor, ce qu'il accepta.

Elle quitta son faubourgs natal pour le centre ville, ou elle n'avait que rarement mit les pieds. Son noviçat commença par le long et douloureux apprentissage de l'écriture et d'un peu de calcul. Rakhel se révéla une élève moyenne voire médiocre dans ces domaines. Mais sa persévérance et la discipline qu'elle arrivait à s'imposer eu raison de ses difficultés... Ainsi qu'un certain nombre de coup de baguettes sur les doigts donné par un vieux prêtre exigeant.

Le vrai monde de la connaissance s'ouvrit enfin à elle. Elle apprit les lois concernant les succéssions, comment soigner un homme et comment lui donne une mort prompte et sans douleur, les milles et une façons dont il convenait de traiter les mourrants et leur proches. Elle apprit à entendre la peur des uns et la mort des autres, et comment les toucher pour leur apporter la paix.

Puis il y eu cette nuit sans lune, durant l'année de ses 18 ans, ou avec son instructeur et quelques acolytes, elle traversa la ville en toute hâte. Dans la semi obscurité elle reconnut son ancien quartier et enfin, le cimetierre qu'elle avait arpenté plus jeune. Enfin malgré les grognements hideux des choses sorties des tombes, elle reconnut son ancien ami affalé contre une pierre tombale désormais poisseuse de son sang. Dans son dernier soupir, Randale lui avoua que le responsable n'était autre que son pêre, disparut aprés son départ.

L'affrontement entre les quelques créatures et les Kelemvorites fut bref, mais au matin, le pêre de Rakhel n'était pas parmis les cadavres et la tombede sa mêre profanée, béante comme si une entité grotesque en avait surgit. Assise à coté de la dépouille de Randal Ocreterre, la jeune prêtresse ne pouvait que ressassé un détestable sentiment de culpabilité. Elle l'avait abandonnée au moment ou il en avait le plus besoin. Elle ne s'était pas préocupé de ce qu'il devenait. C'était sa faute, en partie. Il lui faut donc faire rentrer les choses dans l'ordre.

Elle demanda au responsable de son la permission de partir dans cette quête, qui le lui accorda.

Ca me convient, c'est simple et efficace, je valide

*Dans les quartiers privés du temple de Kelemvor*
Posé sur un simple chevalet, l'uniforme semblait pourtant occulté le reste de la pièce par sa seule présence. Du bout des doigts, Rakhel en caressa les contours. Elle s'arreta sur la plaque portant son nom et son grade. "Rakhel Ignes Peygal, Troisième classe". Le bas de l'échelle. Mais mieux valait cela que de devoir supporter le flot discontinue des tragédies qui défilaient dans le temple sans réagir. Elle avait la possibilité de faire une différence maintenant.

"Me voici garde de Luskan..." Dit elle tout haut. Et sous les ordres du Capitaine Oryan... Enfin, sous les ordres de tout ce que le quartier Nemetsk comptait comme seconde classe, première classe, et gradés.

Elle inspira profondément. Elle devrait prouver à ses coéquipiers qu'elle méritait leur respect malgré son sexe. Prouver à ses supérieures qu'elle était obéissante et compétente. Prouver aux citoyens de Luskan qu'elle était juste et fiable.

"Oui, tu peux le faire. Tu le dois." Elle serra le symbole de la balance qui pendait a son cou. Une vie pleine et paisible, pour une mort sereine et douce. Pour que personne ne parte avant l'heure, que les choses arrivent naturelement, comme elles devaient avoir lieu.

Avec méthode, elle enfila son armure, ajustant chaque pièce avec précision. A chaque nouvelle étape, sa détermination grandissait. Prenant son casque sous le bras, elle apperçut ses notes sur Taredposé à coté de l'encrier sur son bureau. Elle le retrouverait. En temps et en heure. Mais à l'heure actuelle, le troisième classe Peygal devait prendre son service.

Sans un regard en arrière, elle referma la piéce et se dirigea vers la sortie.

Luskan, temple de Kelemvor, quartiers privés de Rakhel Ignes Peygal

Elle était épuisé, n'ayant même plus la force d'enlever son armure. Elle ferma la porte avec douceur, s'adossa contre le mur et se laissa doucement glissé au sol, un étrange sourire aux lèvres. L'incident avec la légion, la pluie, sa nouvelle mission, sa promotion. Rien de tout cela ne comptait.

Elle l'avait appellé par son prénom. Et il ne l'avait pas remise à sa place brutalement. Elle sourit jusqu'a ce que son regard tombe sur le chevalet ou se tenait sa tenue grise, orné du symbole de la balance. Et son sourire disparut.

Avant d'être Rakhel, avant d'être une femme, avant d'avoir même un coeur, elle était un prêtresse du Seigneurs des Morts. Certaines choses ne devaient pas arriver. Elle n'avait pas d'autre choix. Elle devait se faire violence.

Lentement elle se releva, et détacha son armure bleuté, puis la fixa a son chevalet avant d'enfiler une tunique grise marqué du symbole de Kelemvor et ressortit pour aller assister ses coreligionnaires.

Pensées de Rakhel...
Mes Ténèbres...
Vous m'avaient quittées, remplacées une obscurité froide qui commence à s'étendre et menace de m'engloutir, m'assaillant de toute part. Le doute encore. Le dernier Juge me garde, bien que son image ne me soit d'aucun secours devant les questionnements qui enserrent mes pensées.

*Soupire*
Mes Ténèbres...
Ah, pauvre Malak, si il savait quel service leur aura rendu l'ouvrage qu'il m'a offert, lui qui espérait que cela puisse me tenir en garde contre elles. Si il savait que c'est aujourd'hui mon outil pour me souvenir de la voie qu'Elles m'ont montrés.

Pure, libérée de toutes les faiblesse du coeur qui sont autant d'excuses à la lacheté, de voix vers l'échec que de portes ouvertes pour les traitres, épurée de tous ces piaillements d'insectes futiles qui ne savent pas s'effacer devant l'ordre supérieure.

Implacable par necessité , pour briser, détruire et faire plier tout ce qui s'opposer à l'ordre, la tradition, la hiérarchie, et la volonté divine.

*Soupire à nouveau*
Mes Ténèbres...
C'est sous vos yeux que j'aurais voulue entamer mes premiers pas sur la vraie voie. Rectiligne, pure, parfaite, comme une lame désormais prête a servir Votre Seigneur.

Je me suis agenouillée devant lui...

La douleur était là, cherchant à me terrasser. Mon univers n'était plus qu'un océan de souffrance, mon corps tétanisé, mon âme comme déchirée par de puissantes serres venues m'arracher morceaux aprés morceaux, tandis que mon être tout entier rejetait l'un aprés l'autre les dons du Dernier Juge.

Je me suis agenouillée devant lui, j'ai reconnue sa toute puissance et l'ineluctabilité de sa Tyrannie...

Le prix à payer. le prix de mes erreures passées, de mon aveuglement, de mes illusions, des mensonges que j'ai acceptée de croire. Un faible prix pour m'en liberer.

Je me suis agenouillée devant Lui, j'ai reconnue Sa Toute Puissance et l'ineluctabilité de sa Tyrannie et j'ai déposé à ces pieds ma vie, mon âme mes armes et ma foi.

Qu'importe douleurs et vaines persécussions. Ce ne sont que broutille. Puisse-t-Il me juger digne de Le servir.

Citation :

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Niveaux/Classes actuels :
Prêtre 25
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rien
Justifications rp :
Rakhel s'est considérablement endurcie sous les ordres du Capitaine Oryan. Elle a appris à mépriser faiblesses et sentiments.
Elle a utilisé la menace, la violence, les brimades et la torture pour le maintient de l'ordre tant dans Luskan que dans les rangs de la garde. Elle renie aujourd'hui Kelemvor pour commencer à prier Baine et assume désormais le début de son chemin vers les ténèbres.

Justifications hrp :

Autres/Commentaires :
Il serait également logique qu'elle perde accés à l'integralité des sorts, des pouvoirs de domaines et au renvoi des morts vivants jusqu'a nouvel ordre...

Hello,

Ce que j'en pense, si elle devient une prêtresse de Baine, même si c'est juste une question de terme : mais il me semble que les prêtres n'apprennent pas leur capacités, c'est leur Divinité qui leur leur confie au fur et à mesure de leur progression. En tout cas c'est come ça que je le vois.

A ce détail près, je suis d'accord avec le principe d'un retour à zéro.

Sa voix

Mon corps semblait avoir cesser de livrer bataille à lui même. Quelques heures de sommeils enfin. Epuisée, usée jusqu'à la corde, je pouvais enfin me déplacer. J'étais brisée, mais aucun doute ne venait tarauder mon esprit.

Quelques exercices à l'épée sur un mannequin, dans la salle d'entrainement. Ils m'absorbèrent à tel point que je ne l'entendis pas entrer. Celui qui m'avait ouvert les yeux sur la vraie nature du monde était là. Nous parlâmes épée et morgenstern. Rien d'autre. Il sait, tout comme moi et il n'y a plus rien a en dire.

Le sommeil encore. Je rêvait de Rendal, mon mentor, celui qui m'apprit à reverer Kelemvor. Je le vis tel qu'il était enfin. Un lâche à la parole sinueuse, cajoleuse, facile. Un paltoquet désarticulé sur une dalle de marbre froide là ou sa faiblesse le fit chuter.
Je n'ai plus de larme pour lui. Juste la froide satisfaction de savoir Toril liberer d'un menteur de plus.

L'envoutant appel me reveilla. Dévoré par une fièvre, je revetis cette armure de plaque sombre. Le même modèle que mon harnois marqué des symboles du lache Kelemvor, mais sans signe distinctif. je n'avais pas envie d'attirer les yeux, et de donner plus de prise à la rumeur infâme et sans visages que repandent les langues faibles.

Le temple du Seigneur Noir. Ce lieu m'attirait, comme une évidence sur mon chemin. J'entrais et me signer. C'est là que je la vis. Elle se tenait, droite et noble devant la Magnificience de notre Seigneur. J'ignorais son identité mais le poids de sa puissance emplissait la salle, m'invitant à la soumission.

Je sentit Sa poigne s'abattre sur mon être lorsqu'elle m'interpella. Mais qu'importe ma peur, elle n'est que l'aiguillion de la Loyauté et la Soumission que je dois à Son clergé.J'appris qu'elle était Sa voix, et elle m'interrogea sur mes raisons de rejoindre le culte de Baine. J'essayait de trouver les mots, pour lui dire toute la laideur que j'avais perçé à jour dans les faiblesses du coeur.

Elle me parla de son histoire, et de ce gout âmer de l'errance que nous avions en commun, ne rendant que plus certaine notre vocation a Le servir. Elle m'interrogea sur mes faiblesses et je lui répondit sans détour.La Voix du Seigneur Noir me remit ensuite un receuil contenant Ses dogmes.


Telle devra désormais être ma voix si je veux être digne de lui. Une loyauté et un dévouement absolus au service de la poigne impacable, pour faire avenir son inéluctable Tyrannie, quel qu'en soit le prix.
Ma vie, mes souffrances ou cellesd'autrui ne sont que broutilles dans ce périple.

Je quittais Sa voix avec pour instructions de me préparer à preter serment, pour entrer a Son service. Il n'appartient qu'a Lui de décider de m'accorder ou non ses dons. Mais cela importe peu. Mieux vaut voir mon âme eternelle écartelée au travers des enfers que de ne pas le Servir.

La langue semblait maléfique à l'oreille. Elle avait était surprise lorsqu'elle avait constaté que cet homme la parlait, ouvrant de grands yeux. Elle qui l'avait toujours vu trop loin de ce genre de préocupations livresques. Preuve qu'elle se trompait. Sur ça et sur beaucoup d'autre chose sans doute.

Malgré le mal dans sa hanche elle était sortie, constatant avec déplaisir que le port de l'armure la faisait peiner. Elle était en nage, et l'armure pourtant ajustée recement semblait désormais trop grande pour elle. Le rejet de Kelemvor avait laissé de profondes traces, et lui avait couté plus de force qu'elle ne le pensait. Son visage était désormais creusé et son corps moins athlétique. N'étant pas fixé sur le choix de l'épée longue ou de la morgenstern, son supérieure lui proposa plutôt de commencer à apprendre la langue des Diables.

Sous ses yeux, le texte saint du Seigneur Noir, dans un gros livre à la couverture marquée par le symbole de la Main Noir. Les mêmes dogmes que ceux qu'elle connaissait, mais en plus avait elle la traduction en langue Infernale. Comme il le lui indiquait, elle répéta la phrase qu'il venait d'énoncer, maladroitement.

Elle devina le leger sourire qu'il esquissa plus qu'elle ne le vit. Sans aucune trace de mécontantement, il la reprit.

_Vous ne faites pas assez attention aux tons. L'infernale se distinge entre autre par l'importance des tonalités que vous donnez à chaque mot. Cela influe sur l'idée, positive ou négative que vous vouelz donner au sens. Idée qui peut varier en fonction du contexte."
Il marqua un pause, la laissant assimiler l'information.

"Pour valoriser quelque chose vous commencerez par une intonation basse puis haute. A l'inverse, pour quelque chose que vous dévalorisez vous aurez une intonanion haute puis basse."

Elle acquiesca, baissant les yeux vers les phrases saintes sous ses yeux.

Ne servez nul autre que Baine
L'évidence même. Il n'y avait d'autre dieu qui méritait sa dévotion, aucun autre but que son service qui vaille. En dehors de la dévotion envers un ordre transcendentale dont l'avenement était inéluctable, point de salut.

Elle tenta de lire, avec difficulté, la traduction écrite en dessous. Kahir Oryan la fixa comme elle venait d'écorcher brutalement ses oreilles. Sans se départir de son impassibilité, il soupira.
Cela va être long..."Glissa t il " Vous voyez les accents sur les phrases ? Relevez les tous. Ce sont les marques des intonations. Copiez les jusqu'a que vous les sachiez par coeur. Quand ce sera fait, nous les décortiquerons ensembles."

Elle acquiesca encore. Ce serait long. Mais elle ferait façe. Il n'y avait pas de place pour l'échec.

Au retour de la premier incursion vers les lignes ennemis, Rakhel fit le point avec les hommes présents, et les volontaires du camp avancé.

Les hommes de l'escouade ne l'aimaient pas. Elle pouvait le sentir à leur regard, à l'atmosphère lourde et pesante lorsqu'elle ordonnait.

La peur. La très sainte Peur. Elle pouvait la lire dans leur yeux. La peur est toujours plus puissante que l'amour. Ce qui est aimé peut faillir ou décevoir. Une abjecte cruauté est toujours respecté. Si elle est juste, l'implacable voie du Seigneur Noir peut ne peut qu'être admiré.

Elle acquiesca au rapport du géant blond. Les nons morts avaient contournés les plaines par l'est pour attaquer Karak Drim. C'était bien une armée organisée.

Elle resta stoïque lorsqu'on lui parla du refus de certains elfes d'utiliser la forêt comme piège. Faisant mine d'aller vérifier un tour de garde, elle emmena un seconde classe avec elle, et lui ordonna de faire installer les barrils de poix en provenance de Luskan dans la fôret, pour une utilisation ultérieure.

Peu importait le sang et la douleur qu'il lui faudrait deverser sur ce monde pour suivre sa voie. Elle n'avait de compte à rendre qu'a Baine et au Haut Capitaine Nemetsk.