[Validé][Prêtre][H]Uriel

Nom du compte joueur forum : Sadoruro
Nom du compte joueur module : Epiquemonk
Nom du perso : Uriel
Race : Humain
Age : 21
Alignement : Neutre Bon
Religion : Lathandre
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Pretre 25
Arme de prédilection/domaines : Masse d'arme Lourde / Soleil et Renouveau
Langues : Commun et Illuskan

Enemis jurés: Mort-vivant (uniquement RP).

Trait de Caractère : Uriel est quelqu'un de gentil, il fera son possible pour aider les autres dans les taches qu'ils veulent accomplir. C'est aussi quelqu'un de déterminé qui ne lache jamais son objectif. Neanmoins, il sait ressentir la compassion, surtout quand il combat ses énemis, les morts vivants, dont il s'est fait un devoir sacrer de les libérer de leur tourments.

Description physique :



Caractéristiques :
FOR :12
DEX :10
CON :14
INT :10
SAG :16
CHA :14

Histoire:

Autrefois se trouvait un village au pied des montagnes de l'épée, au sud du bois de Padhiver.
C'était un village prospere qui profitait des riches collines l'entourant et vivait sa vie tranquillement en voyant défiler les saisons autour de lui. Ses habitants, tous des humains, étaient des gens radieux qui se satisfaisaient de leur sort et profitait de la vie pleinement et avec enthousiasme.

Je me nomme Uriel, et c'est dans ce village que je suis née. Les premieres années de ma vie ne furent que bonheur en compagnie de mes parents, tout deux fermiers, et je jouissait d'une enfance simple mais aimante, au fil du temps qui passait.
Avec les autres enfants du village, nous partagions notre temps entre divers jeux et les ballades dans les collines proches. Mais nous avions tous un interdis formel, immuable: en aucun cas, il ne fallait s'approcher du Marais des Morts, qui se trouvait au sud Ouest. Nos parents nous avaient fait promettre de nombreuse fois de s'en tenir éloigné, ne ménageant pas leur mots pour nous faire comprendre que c'était nos vies que l'on risquaient.

C'est ainsi que je grandis, enfant unique choyé par ses parents. Jusqu'a cette nuit, ou tout cela fut réduit en cendre.

L'esprit de l'homme est vraiment une chose mystérieuse. Surtout ses souvenirs. Je conserve énormement de souvenirs de mon enfance en ce village, et des collines verdoyantes qui bordait mon village. Mais deja pour certain, je sens que le floue s'installe. Mais jamais, je le sait, jamais une seule zone d'ombre ne viendra ternir ce souvenir qui entretient ma haine si vivace.

Ce fut durant l'année de mes 6 ans. A l'insut de tous dans la région, un nécromant vint s'installer dans une carverne a l'extrémité nord du Marais des Morts, celle jouxtant le pied des montagnes de l'épée. C'est de cette endroit que sont esprit malade formantait des plans envert tout ce qui vit, voulant détruire a jamais tout ce qui était beau. Mais savoir comment il put résider la bas sans attirer l'attention des dragons noirs jumeaux Voaraghamanthar et Waervaerendor, cela reste un mystere. Neanmoins, sa puissance ne suivait pas ses ambitions, et cela le rendait encore plus fou. Tellement qu'un jour, malade de ne pas posseder assez de pouvoir pour conquerir le monde, il décida quand meme de faire une campagne, mais a son échelle, afin d'assouvir son besoin maladif de se prouver a lui meme qu'il était un grand nécromant, et ce en ciblant le bastion de la civilisation le plus proche. Mon village.

Mais bien que fou, le nécromant n'était pas bete. Il n'avait pas choisit le Marais des Morts sans raison. La bas sont tombé des millers de soldats victime d'une armée Orc en campagne, il y a de ca bien longtemps, souillant a jamais le lieu. Mais un tel massacre n'est jamais sans consequence en notre monde, et ce dernier, dans toute sont horreur, fit devenir de ce lieu un exeptionnel récéptacle pour l'énergie négative, en en attirant et en en piégant une quantité formidable. Et cet énergie, en stagnant a cet endroit, permit la conservation des cadavres en les protegeant de la décomposition.
C'est ainsi que le nécromant, disposant d'une réserve quasi illimité d'energie pour ses sort, utilisa ces derniers dans le but d'animer le plus de cadavres possible, et bien que ses pouvoirs étaient faibles, ses sorts entrerent en résonance avec la masse d'énergie et furent décupler, si bien que ce furent plus d'une trentaine de cadavre qui se releverent des eaux croupissantes du Marais pour répondre a cet appel.

Disposant alors d'une petite troupe renforçant ses délirs mégalomanes, le nécromant ne tarda pas a partir a l'assaut de mon village. Au plus profond de la nuit suivant, alors que la lune était a son appogée, l'attaque commenca.
Je me souviendrais toujours de l'horreur de ce moment. Je fut tiré de mon sommeil par un cri, en provenance de chez nos voisins. Je sauta de mon lit pour me précipiter a la fenetre de la salle a manger, bientot rejoint par mes parents. C'est ainsi que nous pument comptepler le début du massacre. Dans la rue, de partout, marchait des etres humains, Elfe et Nains a l'aspect horrifique, se jettant sur les vivants pour se repaitre de leur chair. A travers la fenetre des voisins, je put distinguer le pere Romuald se faire écarteler par deux morts vivants tandis qu'un troisieme lui ouvrait le ventre pour se repaitre de ses entrailles, bientot rejoint dans la mort par son fils qu'un zombis avait déchirer en deux en lui arrachant les jambes.

De partout dans la ville s'élevait désormais des hurlements d'agonies tandis que les dents de la non vie prennait la chair des vivants. C'est alors que nous entendimes du bruit vennant de notre porte. Mon pere me plaqua contre le mur tandis que ma mere se placa devant moi. La porte vola en eclat et une sillouhette attrocement mutilé entra dans notre salon. Couragesement, mon pere se saisit du pic a braise reposant dans la cheminé, et se jetta sur le mort vivant. D'un coup, il reussit a lui détacher le bras, mais les morts ne craignant pas la douleur, cela n'arretta pas le zombis et ses dents vinrent se refermer sur le coups de mon pere, lui arrachant ses chairs tandis que sa carotide, mis a nue, tentait de résister elle aussi par son élasticitée, jusqu'a finalement rompre elle aussi.

Devant cette horreur, et mon pere ayant rendu son dernier souffle, ma mere m'attrapa par la main et se mit a courir en me tirant avec elle. Mais lorsqu'elle passa devant la seconde fenetre de la piece, une paire de bras brisa le verre comme du papier et vint l'attraper de toute leur force nécrotique. Tentant de lutter, ma mere parvint neanmoins a me jetter un dernier regard, et a me glisser ces mots.

"Je t'aime mon chéris. Fuis !"

Puis elle disparut par la fenettre.

Mon monde vennait de s'écrouler. J'avais a peine six ans, et j'était en plein millieu de la pire horreur qui pouvait exister. Mon pere gisait au millieu de la piece, en train de se faire dévorer les intestins, et de dérriere la fenettre ou avait disparu ma mere se faisant entendre de térrible bruit de succions.
J'aurais put m'écrouler moi aussi, mon coeur aurait put cesser de battre, j'aurais put attraper un couteau dans la cuisine et me le planter en plein coeur, pour rejoindre mais parents, mais ce ne fut pas ce qui arriva. Un térrible instinct de survie s'émpara de moi, et bien plus tard j'eut la certitude qu'il me fut inspiré par le seigneur de l'aube lui meme. Détournant le regard de l'horreur devant moi, je forcai mes jambes a faire demi tour et je courru droit dans la cuisine, droit sur la porte s'y trouvant. L'ouvrant a la volée, je me retrouvai dans la rue. Tout autour de moi, l'horreur était la meme et n'épargnait personne tandis que les zombis arpentait les rues de notre petit village.
Je me mit alors a courir, ne voulant que m'échapper du lieu ou il n'y avait plus rien a sauver et ou ne m'attendait que la mort. Ou pire encore. Je couru alors, passant devant et laissant derriere moi les festins des morts vivants, étant assez rapide pour les semer. J'entama alors une course folle, qui se finit prématurement a cause d'une érreur. Les larmes brouillant ma vue, j'arrivai dans une impasse, et lorsque que je me retournai, la sortie était bloqué par deux non morts, avancant leur bras tendu et leur visage décomposé vers moi. Croyant ma fin arriver, je m'effondrai contre le mur, comptemplant ma mort s'avancer implacablement vers moi, tandis que mes larmes étaient chassées par l'idée réconfortante que j'allais retrouver mes parents dans la morts.
Je pouvais deja presque sentir le contact glacé de leur doigt sur mon coup quand tout a coup, une vague de bien etre transperca mon ame. Devant moi, les morts s'éffondrerent, inanimé.

A l'entrée de l'impasse se trouvait un homme équipé d'une lourde armure et d'un grand bouclier, brandissant une masse dans la mains. Sur son torse, engeancé dans son armure se trouvait un disque fait d'une pierre rose et légérement translucide.
L'homme me regarda avec tout la gentillesse et la compassion du monde, puit me fit un sourir avant de me tendre la main. L'instant d'apres, je me précipitait sur lui et lui serrais la taille de toute mes force malgres son armure. Me posant une main ganté mais réconfortante sur la tete, il me dit que tout allait bien se passer maintenant, que j'était en sécurité. Je finit alors par le lacher. C'est alors que j'entendis les bruit de combat. Regardant autour de moi, je me rendis compte qu'il y avait une dizaine d'autres personnes équipés des memes armures sur la place du village. Tout autour d'eux, les zombis s'éffondrais ou se faisait broyer la tete d'un coup de masse, tandis que parfois un rayon partait de la main tendu d'un des hommes et allait enflamer le non morts le plus proche. Bientot, il ne resta plus de zombis dans le village. Alors, les hommes commencerent la lourde tache de rassembler tout les cadavres, quel qu'ils soit, et de les disposer au centre de la place du village, la où le cadavre d'un homme qui avait semblé vivant il y avait peu, et habillé d'une étrange façon, se trouvait deja.

Une fois cette besogne terminé, les homme mirent le feu au tas de cadavres. Je pense qu'il fut heureux pour moi de ne pas y distinguer mes parents. Mais c'est aussi a ce moment la que je me rendis compte que j'était le dernier survivant.

Ce fut alors une femme, elle aussi équipé d'une lourde armure, qui vint me voir. Elle était jeune et tres belle, et son visage, malgres la rudesse des evenements passés, rayonnait d'un sourir emprunt de toute la gentillesse du monde. Elle s'appellait Cassandra, et ce fut elle qui m'expliqua qu'ils étaient des pretres de Lathandre, une des divinités majeures des Royaumes, et qu'ils avaient recut pour mission de surveiller les agissements d'un nécromant totalement fou dans la region du Marais des Morts, et de prévenir tout risque d'invasion. Malheuresement, le nécromant avait reussit a leur échapper et attaquer le village avant qu'il ne puisse intervenir.
Et elle me dit que bien sur, j'allait aller avec eux, et qu'on allait s'occuper de moi. J'allais quitter le village, et aller a Padhivers. Voila ce qui avait été décidé pour moi. Et cela, meme dut haut de mes 6 ans, me convenait. Ce village m'aurais rappeller tout les jours trop de souvenirs.
Pendant les jours qui suivirent, je ne quitta pas d'une semelle la jeune femme. Notre voyage pour rallier La Perle Du Nord débutait a peine, quand nous rencontrame sur la route un etrange groupe d'individu. C'était tous des hommes, équipé eux ausi d'armure, mais ne portant pas le disque rose, remplacé apperement par de longues capes noires et des serres tetes en argent. Une conversation s'en suivit entre les dirigeants des deux groupes, et je ne put capter que quelques brides, parmis lequels "nous somme arrivé avant", "c'était notre mission" et "dommage pour vous".
Je ne put m'empecher de demander a Cassandra qui était ces gens, et elle me répondit que c'était des membres du Clergé de Kelemvor, des Banisseurs pour etre précis, dont la tache était elle aussi de détruire les morts vivants. Mais elle s'empressa d'ajouter que Kelemvor n'était qu'une divinité récente, qu'il n'était qu'un enfant comparé a Lathandre qui combattait deja les morts vivant bien avant sa venue au monde.
A cette époque, je ne comprit pas le sens de ces paroles.

Le voyage vers Padhiver dura une semaine, semaines durant lequel les cauchemards n'arrettait pas de m'assaillir de jour comme de nuit. Les horreurs que j'avais vu se rappellait chaque nuit a ma mémoire, et meme durant mes heures de veille, il suffisait que je me mette a penser pour que ces déplaisant souvenirs m'assaillent. Cassandra fut comme une mere pour moi durant cet épreuve. Elle se trouvait toujours la quand j'avais besoin de réconfort, et me chantait des chants divins chaque soir avant de me coucher. Ce n'est que bien plus tard que je compris que ces chants étaient aussi des incantations ayant pour but de préserver mon esprit d'enfant de la folie, afin que mon etre ne se fasse pas briser de l'intérieur face a cette douleur qui en aurait terrasser plus d'un. C'est aussi a ce moment la que j'appris d'elle les dogmes les plus simple du Seigneur de l'Aube et les Us les plus ourant des prieres, comme par exemple prier le matin devant l'aube levante. J'appris aussi ici ô combien les morts vivants étaient les énemis jurés de Lathandre, et qu'il les pourchassait pour les détruire avec Oraison de l'Aube, se masse d'arme, depuis une éternité. Finalement, c'est a l'aube du premier jours de la semaine suivant que nous rentrame en la cité. Jamais de ma vie j'avais vu pareil cité, elle semblait si grande, si immense meme par rapport au petit village de mon enfance.
Notre convoit s'y engouffra donc et fut acceuillit par les saluts chaleureux de toute les personnes qu'il croisait malgres l'heure matinale, et c'est a ce moment la que je compris que ce groupe de pretre jouissait d'une grande popularité au sein de la cité.

Apres un court voyage dans la ville qui émerveilla mes yeux d'enfant, nous arrivames finalement devant le temple. Jamais je n'avais vu pareil batiment. L'entrée, faisant face a l'Est et au soleil qui était en train de se lever, était ornementé de soiries et de tissus précieux aux couleurs jaunes, rouges et roses. Sur tout le part etrre en haut des marches se trouvait des vases précieux, des colones d'une beauté fine et incroyable et des par-terre de fleur accordé aux couleurs des soiries. Tout cela était d'un magnifique qui réjouissa mon ame malgres la dureté des temps passés.
Notre convoit s'y arretta et tout les pretres décendirent. Il se dirigerent tous au seins du temple, et j'allais les suivre, lorsque Cassandra m'attrapa la main.

"Uriel, tu est encore trop jeune pour pouvoir vivre avec nous."

"Mais ! Je veux vraiment ! Je ne veut pas te quitter !"

"Mon enfant, il est encore trop tot. Tu devra attendre tes treize ans avant pouvoir nous rejoindre. Tout comme il y a douze mois dans une année, et le treizieme est le debut d'une nouvelle, tu devra attendre le renouveau de ce cycle dans ta vie.
Mais ne t'en fait pas. Tu ne sera pas loin de nous, et nous viendrons te rendre visite souvent."

L'ironie voudra que ce fut moi qui allait leur rendre visite le plus souvent.

Cassandra me mena donc a travers les rues de Padhiver jusqu'a un autre batiment se trouvant non loin de la. C'était l'orphelina de la ville, et l'on pouvait y entendre les cris des enfant s'y amusant. Nous rentrames dans le jardin jusqu'a aller a la rencontre d'une vielle dame, avec laquelle Cassandra s'entretint quelques minutes, a part. Finalement, les deux revinrent vers moi, et ce fut la vieille dame qui prit la parole la premiere.

" Bienvenue Uriel, mon enfant. Tu est ici chez toi, ici est ta nouvelle maison."

La femme avait parlé avec toute la douceur dont elle était capable, mais ces paroles me troublerent au fond de moi meme, me firent mal, jusqu'a ce que j'explose en larme en me jettant contre la taille de Cassandra. Cette derniere me serra contre elle, puis s'agenouilla devant moi.

"Ne t'inquiete pas Uriel, tu nous rejoindra bientot. Et nous viendrons te voir souvent."

C'est ainsi que, contre ma volonté cette fois-ci, l'orphelina devint ma nouvelle demeure.

La période suivant mon entrée a l'orphelina fut des plus rude. Loin des incantations magiques de Cassandra, mon esprit tout entier fut envahit par le remord, et la torture des souvenirs si nets, si precis de ce qui s'était passé. Personne, dans l'orphelina, ne pouvait m'aider. Mes seuls moment d'apaisement furent lors des visite de Cassandra, qui au debut furent réguliere et peu espacé dans le temps, jusqu'a devenir plus rare, de plus en plus rare.

Mais mon état mental ne s'améliorait. Je devint taciturne, sujet a l'insomnie, j'avais des difficulté a m'alimenter, et sans cesse j'était tourmenté par mon passé. J'aurais relement put devenir fou. Mais encore une fois, ce fut le hasard, ou plutot la volonté du Seigneur de l'Aube, qui me sauva.
Un matin, émergeant du peu d'heure d'un sommeil tourmenté que j'avais reussit a trouver, je me levai pour me rendre aux latrines commune de l'étage de l'orphelina. C'est alors que je passai devant la fenetre de l'étage, donnant droit sur l'est sur une vue dégagé. La volonté du seigneur de l'aube voulu que ce soit juste au moment ou le soleil commençait son ascension dans le ciel. Je fut comme hypnotisé par cette vision, toute envie de besoin naturel me quitta, et je restai la, a comptempler l'aube. Pour la premiere fois depuis tres longtemps, je me sentait bien. Terriblement bien. Durant tout le temps que dura cette comptemplation, je me sentit libéré. C'est a ce moment la que je sut que ma voie était tracé. Cassandra m'avait un jour parlé d'une des phrase clé des Dogmes de Lathandre. "Aujourd'hui est le premier jour du reste de votre vie." C'était vrai. Une nouvelle vie s'offrait a moi.

A partir de ce moment, tout les matins je me levait pour me rendre a cette fenettre et y comptempler l'aube levante, tout en récitant les quelques prieres que j'avais appris de Cassandra. Je finit par retrouver le sommeil, l'apétit, et finalement mes esprits. Petit a petit, le mal qui s'était emparé de mon ame la quitta, car sous mes effort elle était désormais toute entiere dédiée a Lathandre, et ne connaissait plus le trouble. Je retrouvais la joie de vivre.

Une des particularités de mon orphelinat était qu'a interval régulier dans le mois, nous recevions la visite d'un pretre des différentes confession de la ville, qui venait dispenser un cour de foi a qui était intérréssé. Evidement, plus la religion était importante, plus les pretres venait de façon réguliere. La religions du Seigneur de l'Aube tenant une grande place a Padhiver, elle avait le droit de venir une fois par mois en notre orphelinat, au meme titre que celle de Tyr, Ilmater ou Sunie.
Je me mit donc a y assister a tout ses passages, me mettant le plus pret possible du pretre, posant des questions, participant. Je reussit meme a me faire donner un livre contenant les dogmes du Seigneur de l'Aube, ouvrage qui devint vite mon bien le plus précieux, qui ne me quittait jamais.

Ayant désormais un livre contenant les regles de la confession pour me guider, je put enfin véritablement commencer ma conféssion de foi personnel. Je mit énormenent d'effort et un point d'honneur particulier a suivre a la lettre les dogmes de mon seigneur, me levant tout les matins afin d'honnorer ses prieres, et me conduisant le reste de la journée du mieu que je pouvais.

Le temps était passé depuis mon arrivé a l'orphelina, et cela faisait deja plus de 6 mois que cet endroit était devenu ma nouvelle demeure. Le temps passa et finalement, nous arrivames jusqu'au jours des cadeaux. Ce jours la était le jour le plus attendu dans l'année par les enfants, car c'était ce jours la que les responsable de l'orphelina offrait a tout les enfants un cadeau qu'ils leur avaient demandé. Pour la plupart des enfants, cela prenait la forme d'une poupé, d'une épée en bois, d'un livre parfois, ou encore d'un autre jouet. Mais moi, ma demande fut plus particuliere. Je voulais une robe. Mais pas n'importe quel robe. Une robe de Lathandre.

Ma demande fut acceuillit par quelques rires de la par des dirigeants. Ils me demanderent si j'était sur de ne pas vouloir de jouet, et me firent remarquer qu'il n'éxistait pas de robe a ma taille. Tout cela était provoqué par le fait qu'ils étaient persuadé que ma foi tenait plus d'un jeu qu'une reel conviction, et que j'était encore trop jeune. Une seule personne avait gardé son sérieux, et c'était la vielle dame qui m'avait acceuillit la premiere fois. Elle avait comprit.

"Je vais lui la faire" dit elle alors, faisant terre les autres. "Apres tout, ce jours est fait pour rendre tout les enfants heureux. Pourquoi un seul d'entre eux n'en n'aurait pas le droit ?"

A ce moment la, je fut emplis d'une infinie reconnaissance envers cette dame. Et lorsque vint le moment de déballer mon cadeau, je trouvait une robe cousue a la main d'une couleur rouge sur laquelle avait été cousue a la main des tissus jaune et rose.

"Je l'ais fait entierement moi meme." Dit la vieille dame, qui était arrivé deriere moi. "Bien sur ca n'a pas la qualité des véritables, mais on ne pouvait pas en trouver de la bonne taille. J'ais aussi laissé un peu de tissus accrocher a l'intérieur pour pouvoir faire grandir la robe en meme temps que toi, alors prend en s..."

Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase, car j'avais deja sauté sur elle pour la ceinturer et coller ma tete contre son ventre. Pour moi, cette robe était parfaite. Elle devint mon second bien le plus précieux.

C'est ainsi qu'a partir de ce moment, tout mes moment de piété était réalisé dans le confort de cette robe. Chaque matin, devant l'aube, ses couleurs semblait me confondre avec le ciel qui s'éclairait, et j'avais l'impression désormais que j'avais une reel communions avec cet instant magique. Jours apres jours, je redoublais de piété, et, petit a petit, je réussit a convaincre sans argumenté une seul fois, seulement par les actes, tout le monde, meme les plus rétissant, de la réalité et de la sincérité de ma foi. Petit a petit, la rumeur d'un enfant a la grande piété se trouvant a l'orphelinat se répandit dans la ville, sans que je n'en sache rien. On le disait fidele de Lathandre, et la rumeur atteind une proportion suffisante pour que le dirigeant du temple de Lathandre en ville soit assez intrigué pour faire le déplacement.
Il rendit une visite impromptue a l'orphelinat un matin d'été a l'aube, comme il ne pouvait en etre autrement. Apres quelques moments passé a l'intérieur, il sortit et fit le tour de l'édifice, et c'est la qu'il me trouvait, a genoux sur une pierre du jardin, tourné vers l'Est et récitant une priere. Je ne doute plus que ce fut encore une fois la volonté du Seigneur du Matin qui fit que ce jours-ci, profitant de la température idealement douce, j'eut l'idée d'aller faire ma priere au dehors plutot que depuis la fenettre de l'étage.

J'entendis les bruit de pas des hommes s'approchant de moi, et je me retourna pour regarder qui s'approchait. Mes yeux s'écarquillerent quand il se poserent sur le dirigeant du temple, car je le reconnu tout de suite comme tel a la richesse de ses habits et aux deux gardes du corps en armure l'accompagnant. Immédiatement, et je ne sut pourquoi, je baissai les yeux et la tete jusqu'au sol et bredouillai excuse sur excuse. Mais l'homme finit par prendre la parole de sa voie chaude et réconfortante.

"Ne t'excuse pas, mon enfant, tu n'a rien fait de mal. Au contraire ! Qu'il est plaisant de voir un si jeune enfant faire preuve de tant de piété ! Cela ravie mon ame au plus haut point !"

Alors je relevait la tete, pour le regarder, tandis que l'homme était subitement pensif. Il finit par sortir de ses pensée, et s'adressa a moi.

"Mais que fait donc un fidele si pieu dans cet endroit ? Ils devraient tous etre au temple ! J'espere que tu a préparé tes valises, mon enfant. Aujourd'hui est le premier jours du reste de ta nouvelle vie !"

Mon visage se fendit d'un sourir d'émerveillement. Je me relevai et commencai a courir de toute la force de mes jambes en direction de l'entrée de l'orphelinat. Mais tandis que j'approchai de l'entrée, je distinguai dans les lueurs de l'aube une silouhette qui m'attendais. C'était la vieille dame qui se tenait sur le péron, une valise, ma valise a la mains.

"J'ais deja rassemblé toute tes affaires, mon enfant".

Je n'attendis pas plus longtemps pour encore une fois sauter lui ceinturer la taille. De toute la force de mon étreinte, je lui reconnu ma gratitude éternelle. La vieille dame hocha la tete, hochement qui lui fut rendu par le dirigeant du temple, tandis que je déssérais mon etreinte. Il était temps pour moi de partir. Apres presque un an passé dans l'orphelinat, j'allais enfin rejoindre la maison qui j'avais toujours voulu mienne.

Et c'est ainsi que sur décision exeptionnel du dirigeant du temple, je suis rentré dans les ordre de Lathandre. Mon reve venait enfin de se realiser. Je recu le titre d'Eveillé correspondant au noviciat a realiser au sein du temple. Il me fut donné une chambre comme a tout les apprentits, et des le lendemain de mon intégration, je commencais les cours sur les dogmes de Lathandre et son histoire, devant les apprendres et les connaitres par coeur, et faire preuve de ma foi, avant de reelement rejoindre le culte.
Mon envie d'apprendre, complété de ma piété et des connaissances que j'avais deja acquis auparavent, me rendire rapidement excélent en ces matieres, et je reussit a me faire intronisé comme membre a part entiere du culte de Lathandre au bout d'un mois seulement. Je recu alors le titre de Semeur de l'aube, et devint le plus jeune membre a part entiere du culte dans la région nord de Toril.

C'est alors que mon apprentissage commença. Je gagna le droit légitime de participer aux cérémonies, et j'en profitait pour apprendre chaque geste, chaque paroles des chants divins récité en l'honneur du Seigneur de l'Aube. J'appris chaque priere lui etant destinés, chaque us, chaque coutume, tout ceci sous la tutelle de differents professeurs au sein du temple. Je poursuivit mon apprentissage en apprenant la methode des cérémonies, leur ordre, leur durée, les moments où les réaliser et aussi comment les mener a bien, tout ceci dans le but de devenir un véritable pretre capable d'officier de lui meme. Ma presence en temps que novice semblait donné de la joie dans le coeurs de tout les pretres du temple, car il fut nécéssaire d'établir un ordre pour savoir lequel me prendrais en novicat tel jours. Sans doute le fait que je represente la nouvelle génération, le renouveau, créait cet enthousiasme.

Il me fut aussi enseigné la peinture et la poterie, car tout pretre de Lathandre se devait de connaitre au moins un art afin de pouvoir l'utiliser pour honnorer le Seigneur du Matin. Je passai de nombreuse heures a apprendre les techniques relative a ces arts en compagnie de mes differents professeurs, apprenant en regardant, en écoutant et en recopiant.

Finalement, au bout de 6 années qui me semblerent passer en un clin d'oeil, je devint un pretre capable d'officier seul pour tenir les cérémonies quotidienne d'un temple.

J'avais désormais treize ans, l'age ou j'aurais normalement du rentrer dans les ordres. C'est a partir de la que je fut initié a la discipline qui faisait des pretres "les pretres". La magie divine. Il était temps maintenant pour moi de débuter en cette discipline.

Tirer l'énergie divine de son dieux lui-meme afin de pouvoir l'utiliser pour jetter des sorts. Tel est la magie divine. Afin de ce faire, le pretre doit passer une heure en priere au moment de la journée choisit par son dieu, afin de pouvoir se voir accorder cette bénédiction. Mais tout se déroulait sous un rituel bien particulier.

La premiere chose qu'il me fut apprise fut la condition sin equa non de la reussite de l'entreprise, c'est a dire reussir a communier suffisement avec son dieu afin de pouvoir en tirer les énergies divines. Des le lendemain matin, a l'Aube, tel que le Seigneur du Matin le voulait, et sous la tutelle de mon professeur, je tentai de realiser ceci. Imitant mon professeur, je me mit donc a genoux face a l'Est et commenca a récité les prieres qui faisait partit de moi désormais. Ces litanies devait m'aider a trouver la communion suffisante afin de ressentir l'énergie. Lors de mon premier jour, ce fut un echec. Mon professeur m'appris que ce n'était pas grave, que cela prenait toujours du temps.
Ce ne fut qu'au matin du quatrieme jour d'essai que je reussis. J'eut tout de suite la certitude de ma reussite, en ressentant le bien etre m'envahir soudain et en me sentant totalement détaché du monde.

A partir de cette résussite la, mon apprentissage s'accelera. Il me fut bientot possible de demander a mon Seigneur les sorts les plus simples que l'on appelle Oraison par le biais de prieres et de demandes intérieurs, permettant ainsi de guider l'énergie divines par sa volonté afin de la canaliser pour préparer le sort voulu. Mon épreuve pour sanctionner cet étape fut de soigner une souris sur laquelle avait été pratiqué une petite coupure. Ma compassion était tel pour le pauvre animal que je reussit des le premiers essais a lui appliquer un soin superficiel.

Mes succes durant mon apprentissage continuerent, et j'arrivai a lancer des sorts du plus en plus puissant au fil de mon entrainement. Il me fut aussi appris a canaliser l'énergie positive afin de pouvoir l'utiliser a certaine fin, nottement pour la destruction des morts vivants.
Ce fut a ce moment la que ma haine pour ces etres abjectes, que j'avais bien crut avoir oublié au fil de ces années de bonheur, revint a moi, me remplissant d'une nouvelle motivation. Je voulais en apprendre plus a ce sujet... et meme mieu, j'allais en apprendre plus.

Ma demande d'un apprentissage poussé sur le sujet du combat contre les morts vivants apparut dans un premier temps comme prématuré aux yeux des autres pretres. Jusqu'a ce que le pretre supérieur leur livre mon histoire. Comprenant alors la douleur et la haine qui m'animait, les pretres accepterent ma demande. J'avais alors 15 ans. Et c'est a ce moment la que débuta mon dernier apprentissage.

La premiere chose a faire pour combattre les morts vivants, c'est de les connaitres. La connaisance est puissance. Mais avant d'étudier les morts vivants, il fallait commencer par connaitre ce qu'était la magie qui était a leur origine, la nécromancie.

Beaucoup de personne ont une vision éroné de ce qu'est la nécromancie, car il pense que c'est la magie qui est a l'étude de la mort et de la vie. C'est une vision amoindrissante de la réalité. La nécromancie est en fait l'étude de l'énergie négative, cette énergie qui est la parfaite antithese de tout ce qui est vivant et de l'énergie positive que nous pretre canalisons. Bien sur, la creation de morts vivants est l'utilisation la plus courante de cette énergie et de cette magie, mais il en existe bien d'autre, qui sont toutes basées sur l'utilisation de cette énergie. Petit a petit, j'appris toute les connaissances en rapport avec ces magies récupéré par les pretres au fil des siecles et jalousement conservé dans le premier culte qui fit de l'élimination des morts vivants un devoir sacré.

J'appris qu'il y avait deux type de mort vivant, ceux qui ont un esprit, et ceux qui n'en ont pas. J'appris que pour les deux type, leur moyen de subsistance prenait forme d'un lien direct et plus ou moins grand avec le plan de l'énergie négative, leur donnant ainsi l'énergie nécéssaire a leur animation. J'appris aussi que c'était ce lien que les pretres ciblait quand ils canalisait l'énergie positive dans le but de détruire ces abominations, car rompre ce lien equivaux obligatoirement a détruire le mort vivant, quelque soit son type ou sa puissance.

Petit a petit, et suivant ma volonté, mon apprentissage se spécialisa. J'appris a demander a mon dieux des sorts unique voué au combat contre ces horreurs, j'appris aussi les tactiques de combat les plus adapté face aux mort vivants. Par exemple, face a une invasion de zombis, nous serons toujours en sous nombre, c'est pour cela qu'il faut se battre en usant de l'énergie positive et de sorts affectant les masses, tandis que face a un mort vivants puissant, il est nécéssaire de se prémunire des effets de morts a l'aide d'un sort, tout en affaiblissant le mort vivant en ciblant son lien avec le plan négative, jusqu'a finir par l'abattre a l'aide de degat ou bien au corps a corps.

Malheuresement, il arriva finalement le moment ou les pretres de ce temples ne purent plus rien m'apprendre sur les abération que sont les morts vivants. Ce fut aussi a ce moment la que je recu de la part de mon temple mon équipement sanctifié aux couleurs de mon église, et que je fut officiellement reconnu comme étant un pretre accomplis. J'avais 18 ans.

Vous croyez mon histoire terminé ? Elle ne l'est pas. J'ais 22 ans maintenant, et les 4 dernieres années ne sont pas si insignifiante qu'elle peuvent etre passé sous silence. En realité, le chef du temple, le pretre supérieur, me fit un cadeau. Le plus beau des cadeaux que je recut dans la vie. Usant de son réseau de contact, il s'arrangea afin de faire venir en notre temple Leopold Lionhearth, le plus grand destructeur de mort vivants du clergé de Lathandre a l'Est des royaumes. Une véritable légende vivante pour tous.
Il reussit a convaincre Leopold de venir en lui racontant mon histoire en entier, comme je le fait maintenant, du massacre de mes parents jusqu'a ma demande de spécialisation contre les abominations qui en étaient les auteurs. En mon histoire, Leopold se reconnaissa, et c'est pour cela qu'il fit le déplacement jusqu'a notre temple, alors que je n'en savais rien.



C'est ainsi qu'un beau jour, l'homme qui était mon idole, celui que je revait le plus de rencontrer, debarqua en notre temple en plein millieu ma permanence. Quand il vint se planter droit et fierre devant moi, son visage ridé d'expérience et sa barbe blanche tombant jusqu'au debut de son plastron, ses yeux remplis d'une volonté si farouche que les années n'avaient pas reussit a l'entacher, et que mes yeux se poserent dans les siens, je faillit m'évanouir.

"Eh oh, gamin ! Un peu de contenance ! Si tu veut etre pretre, il faut que tu est au moins les tripes pour te tenir droit devant moi !! "

Ses paroles ne firent faire qu'un tour a mon sang, et je me dressa litteralement au garde a vous devant l'homme, sous les yeux remplis d'une fierté paternel de tout les autres pretres du temples.

"Il se trouve que par le plus grand des hasard je suis a la recherche d'un disciple en ce moment, voit tu gamin. Et on m'a dit que dans ce temple, il se trouvait un homme qui vouait une haine si farouche aux morts vivants qu'il pourrait bien faire l'affaire. Tu verrais qui c'est par hasard ?" me dit il en me lancant un regard avec une esquisse de sourir malicieux sur les levres.

Un petit "c'est moi" reussit a sortir de ma bouche tandis que tout mon corps était encore au garde a vous.

"Comment ca, c'est toi !?! J'ais fait tout ce chemin pour un gamin !?!" dit il en prenant mes épaules de ses large mains et en me retournant pour m'examiner sous toute les coutures.

C'est en faisant la volte sous la force de Leopold que je me rendis compte que tout les pretres du temple afficait maintenant un grand sourir. Ils étaient tous dans le coups. Ils avaient fait tout ca rien que pour moi.

"Je retire ce que j'ais dit, Gamin. Tu est bien batit !" s'exclama alors Leopold en cessant de me faire tourner. "Tu fera l'affaire ! Je te prend sous mon aile !"

Un grand hourra se fit alors entendre dans toute la salle principale du temple, tandis que tout les pretres savourais la joie purement altruiste d'avoir contribuer a ce que je réalise mes reves. Un pretre vint alors m'apporter un sac contenant tout mon équipement, qui était désormais au complet avec l'armure que je portait sous mes habits cléricaux pour mon office.

"J'espere que t'est pret, gamin ! Parce qu'on part tout de suite !"

Joignant le geste a la parole, Leopold me tourna le dos et commenca a se diriger vers la sortie. Etant encore sous le choc, je le suivait un peu ébahis. Il se dirigeait reelement vers la sortie. Mais c'est avant d'atteindre celle-ci, que moi je m'arretai. Léopold lui aussi s'arreta, mais ne me dit rien.
Un grand silence venait de s'installer. Mais de toute mon ame, j'allais le briser.

Je me retournai, et tomba a genoux, avant de plaquer mon front sur le sol.

"JE VOUS REMERCI INFINIMENT POUR TOUT CE QUE VOUS AVAIENT FAIT POUR MOI !!!" hurlais-je alors, les larmes dégoulinant de mes yeux venant s'écraser sur le sol.
"VOUS TOUS: MERCI INFINIMENT !!!"
Un deuxieme hourra se fit entendre dans la salle, et tout les pretres se précipiterent sur moi afin de m'enlacer pour la derniere fois. Sur le visage de Léopold, un sourir plein de compassion apparut.
Et c'est ainsi que je quittai le temple qui me vu grandir. Pour jouir du premier jour du reste de ma vie.

Mon périple en compagnie de Leopold commenca. Ce dernier était connu pour etre un pretre de Lathandre solitaire, n'étant attaché a aucun temple, et parcourant inlassablement la terre du nord dans le but d'aider les gens selon les dogmes de lathandre, et de pourchasser et détruire tout les morts vivants qu'il croisait. Il m'expliqua bien plus tard qu'il avait fait ce choix de vie car au sein du clergé de Lathandre, et meme si les énemis juré du dieux sont les non morts, il n'y a aucune structure uniquement voué a l'aneantissement des morts vivants comme peuvent l'etre les Banisseurs du clergé de Kelemvor. C'est pour cela que, afin de mener ce combat, il avait décidé d'arpenter seul les terres du nords.

En sa compagnie, j'en appris plus qu'en toute ces années d'étude au temple. Mais c'était aussi pour la bonne raison que j'accompagnait Léopold a travers toute ses aventures et ses chasses aux morts vivants. C'est ainsi que nous traversames des marais maudits, purgames des cimetieres profanés, aneantissames des nécromanciens en puissance, liberant ces pauvres ames prisoniere dans leur cauchemard, et par la suite aidames les populations avoisinantes a reprendre possession de ces lieu afin d'y batir une nouvelle vie saine et d'y planter les graines de la joie.

Petit a petit, j'acquis l'expérience de mon maitre, ses connaissances, et au fil des années, termina ma spécialisation. Quatre années apres le début de notre voyage, mon maitre m'avait tout enseigné, et m'avait transmis son reve et son choix de vie. Des lors, j'allais arpenter moi aussi ces royaumes du nord pour transcender le reve de mon mentor tout en gagnant moi meme la chose qui me manquait, l'éxpérience personnelle, afin de combattre mon énemis, d'aider les gens, et de faire fleurir le renouveau sur notre monde, e tout cela a la gloire du seigneur de l'aube !

[PS: Je ne sait pas, peut etre a prevoir pour plus tard une évolution de carriere en chasseur nocturne, mais je ne sait pas si la classe peut toujours etre jouer ou si elle va etre enlevé au profit du PRC, et surtout, dans le post orientation des classes, il est écrit qu'il faut vénérer Kelemvor pour prendre cette classe; Donc a voir, si vous pouviez me renseigner ^^ Merci ^^)

Juste avant de le lire, je vais attendre que tu sois remis lvl 5 par principe (étant donné que tu es lvl 9).

Mea culpa, je pensait qu'on pouvait commencer a monter des niveaux quand on avait posté le BG, Kahir m'a fait remarqué que non quand je suis arrivé lvl 9. J'édite quand j'aurais put avoir la remise au lvl 5.

Désolé du double post, mais c'est pour bien faire apparaitre.

Perso remis lvl 5.

Voila.

Ca me convient, je te valide.

Pour Chasseur nocturne: cette classe est vouée à disparaître, donc vaut mieux ne pas la prendre. Une autre classe du prc sera surement son remplaçant (Skullclan Hunter).