[Validé][Guerrier/MdA][H] BG Johan

Citation :

Nom du compte joueur forum : Sadoruro
Nom du compte joueur module : Epiquemonk
Nom du perso : Johan (sur le val: ¤ Johan ¤)
Race : Humain
Age : 21 ans
Alignement : Loyal Neutre
Religion : Polysteïsme Kara Turien (vraiment tres faible).
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Guerrier 12 / MDA 13
Arme de prédilection: Baton
Langues : Commun et Kara Turien, les autres seront appris IG.

Trait de Caractère : Calme, déterminé et loyal, dans la droitesse d'esprit Kara Turienne.

Description physique :




Caractéristiques :
FOR : 16 (18 niv 25)
DEX : 14 (18)
CON : 14
INT : 14
SAG : 10
CHA : 8

Histoire:

Je suis né il y a de ca 22 années dans un petit village de rashéménie situé a la frontiere des terres de la hordes, et ma mere me donna le nom de Johan. Ma mere me donna ce nom, car elle connut la passion avec un etrangé qui avait fait étape a la grande ville lors de la foire de la peau de renne. Ma mere y était allé, c'est la qu'elle l'avait rencontré, et, bien qu'il ne soit resté ensemble plus de quelque jours, il avait reussit a lui faire un enfant. Ma mere ne pouvait se résoudre a abandonner ce bébé. C'est pour cela qu'elle décida. Mais, pour se souvenir a jamais de cet homme quil'avait rendu follement amoureuse, elle me donna son nom. C'est comme cela que ma vit commenca dans le village. Ne le cherchez pas sur une carte, il n'existe plus. En effet, il a été rasé, et sa population entierement tué, lors de mes plus jeunes années. En fait, pas entierement, car je suis le seul survivant, de part la sagesse de ma mere nouriciere. En effet, lorsqu'elle vit la horde de cavaliers nomades se diriger droit vers notre village, elle eut la sagesse de m'enfermer dans une cache secrette creusée dans le sol.
Je ne me rappelle plus bien de cette époque, car j'étais trop jeune, mais je me souviens qu'apres avoir longtemps pleuré, je me suis décidé a sortir et ais érré un long moment dans le village réduit en cendren deambulant au millieu de ce carnage.
Ce fut a ce moment la qu'un homme arriva. C'est cet homme qui allait devenir mon maitre.

Il me raconta plus tard que c'était sans doute la providance qui l'avait mit sur mon chemin, car il avait fait un detour par le nord afin de regler une affaire, et redéscendait vers le sud pour rattraper la voie dorée lorsqu'il avait vut les fumées du carnage.
C'est la qu'il me vit, le seul survivant du masscre agé d'a peine quattre ans, deambulant parmis les cadavres de ses proches, totalement abandonné. Il ne put se résoudre a me laisser au millieu de cet enfer. Dès lors, il me prit sous sa coupe et décida de m'élever comme son propre fils.

C'est ainsi que commenca notre voyage pour retourner en la patrie d'origine de mon maitre, l'empire celeste de Shou Lung, loin a l'est des terres de la hordes, dans la contré mystique de Kara Tur.
Mais le voyage fut loin d'etre de tout repos.

Ce fut lors d'une altercation avec des brigands que je me rappelle avoir découvert la facette de mon maitre qui allait me fasciner pendant de nombreuses années: il était un grand maitre en arts martiaux. Plus spécifiquement, dans les arts du baton long. Ce fut a cette occasion que je découvrit l'utilité du baton de marche qui ne quittait jamais le coté de mon maitre.
Les trois brigands furent rapidement laissé assomés au sol, sous mes yeux admiratifs. Cet état d'esprit n'échappa pas a mon maitre, et c'est a ce moment la, a un enfant d'a peine quattre ans qu'il considera a meme de prendre cette déscision, qu'il me fit la proposition qui allait changer ma vit: m'enseigner les arts du baton long de l'école Ling-Sheng Su. Les yeux plein d'étoile, j'acceptai.

Le voyage dura plusieurs mois durant lequels mon maitre commenca mon enseignement a l'aide d'éxercices adaptés a mon age, et d'un baton a longueur concequente. Nous traversames de nombreuse contrés, de nombreux paysage, jusqu'a qu'en fin, en millieu d'apres midi d'un jour radieux, nous arrivames en vu du Mur du Dragon, porte d'entré de l'empire des Shous. Couverte de tappiseries d'une beautée inégalée, aux couleurs éxotiques, le tout dans un faste seulement possible par l'empire celeste, l'entrée du royaumedémontrait deja la grandeur de ce dernier.

Une fois a l'intérieur du pays, notre voyage continua jusqu'a la province natal de mon maitre, une contrée de montagne et de mystere. Enfin, apres presque 3 mois de voyages, nous étions de retour chez lui. Et c'est a ce moment la que mon véritable entrainement commenca.



A partir de cette époque, je passa tout les jours de ma vie avec un baton dans les mains. Mon maitre me disait que c'était essentiel, car le baton devait devenir une partie entiere de mon etre, et une partie de l'etre ne peut etre loin de ce dernier.
Mon maitre m'enseigna les techniques de combat propre a cet art, comme par exemple savoir utiliser la subtile souplesse du baton contenue a l'intérieur de sa rigidité, savoir utiliser a bon escient la porté impressionante de cet arme tout en m'enseignant les techniques plus utile au corps a corps, le tout par le biais d'exercices aussi etrange qu'efficaces.



Mon maitre m'appris aussi la méditation nécéssaire a notre art. Ainsi, apres l'entrainement physique, quand le corps est assez fatigué pour permettre la décontration totale qui lui est nécéssaire, je passait de long moment a méditer sur mon arme, avec elle posé devant mes jambes croisées en Lotus. Petit a petit, par un mécanisme aussi mystique qu'étrange, je commencais a ressentir mon arme de mieux en mieux, ressentir sa presence a mes cotés, ressentir chaque veines dans son bois, chacune de ses forces, chacunes de ses faiblesses. Ma communions avait prit forme, et je devins capable de projeter mon etre a l'intérieur meme de mon arme. Mon maitre m'expliqua plus tard que cette énergie, cet esprit que j'avais reussit a integrer a mon arme, s'appellait le Ki, une énergie mystique presente en tout l'univers et en tout etre vivant.



Et c'est ainsi que, selon les dires de mon maitre, mon véritable entrainements commenca. Mais aussi et surtout, j'était enfin pret a acquerir mon propre baton. Mais l'arme ne devait pas seulement en etre une. Elle devait devenir une partie de moi, une partie de mon ame. C'est pour cela qu'il fallait que ce soit moi qui la fasse.

Mon maitre m'avais deja longement parlé de la conception d'un baton, de la façon de choisir le bois, de la façon de le travailler et de l'artisanat a y appliquer, si bien que j'abordait confiant cette nouvelle épreuve, me sentant pret et sur de moi. C'est ainsi que mon maitre m'accompagna dans la foret alentour, me suivant sans rien dire, juste temoins de mes propres choix. Apres quelques temps de recherche, je finit enfin par trouver l'arbre qu'il me fallait. C'était un chene rouge, grand et vigoureux comme il le fallait, et la non presence de champignons sur sont tronc indiuait la bonne santé de l'arbre. Je choisit ainsi une branche la plus droite et vigoureuse possible, puis la découpa en prennant mile précautions afin de ne pas briser les fibres du bois, puis, une fois cela fait, nous regagnames la maison de mon maitre.

C'est alors que je commencai les travaux d'artisanat. Enlevant l'écorce en prennant toute les précautions possibles, je mit le bois de la branche a nue. Puis, je prit la branche, et la posa par terre sur un petit tapis, et m'assit en tailleur devant elle. Ma méditation pouvait commencé. Son arme devait venir de son ame, il fallait que je puisse voir a l'intérieur de la branche la forme de mon baton, et ressentir de part mon Ki la moindre aspérité de mon bois, avant de meme penser a enlever le plus petit copeau de bois.

Je focalisa donc mon esprit sur la branche de bois posé devant moi. La fixant intensement, j'en appris les moindres détails, jusqu'a m'en faire une parfaite representation mentale. Je put alors fermer les yeux et voir en mon esprit la branche aussi bien que si je la fixait de tout mon regard.
Je prit alors le morceau de bois entre mes mains, et le carressa, l'huma, le tourna et le retourna, tout cela les yeux fermé, afin de m'en impreigner, d'en impreigner mon ame. Puis, petit a petit, dans mon esprit, l'image d'un baton se forma. Il était beau. Il était parfait. Et il vint tout naturellement se placer a l'intérieur de mon image mentale de la branche de bois. Je rouvrir les yeux. Et je le vis, la, devant moi, comme une presence fantomatique mais que je savais bien reel a l'interieur meme de la branche. Je ne savais combien de temps j'était resté dans ma transe. Mais ce que je savais, c'est qu'il ne me restait plus qu'a le faire apparaitre.

Je pris les outils nécéssaire, et commenca a tailler la branche de bois. J'enlevai une a une toute les fibre de bois superflue, me rapprochant de l'image du baton qui était a l'interieur meme, comme un patron a suivre. Je donnai le maximum de mon ame, le maximum de mon esprit, mes mains semblaient bouger toute seule, et apres quelques temps d'artisanat, le baton était la, devant moi. Je le connaissait deja par coeur, car c'était moi qui l'avait fait. C'était une partie de mon ame. Je m'effondrai inconscient.

Lorsque je me reveillai, j'était dans mon lit, dans ma chambre. Mon maitre était la, a coté de moi, me regardant. Voyant mon reveil, il me fit un grand sourir, mais ne me dit rien. Il n'y avait rien a dire. Il connaissait l'ardeur qui brulait en moia ce moment, l'intense envie de terminer mon travail. Sans autre forme de rituel, je me leva de mon lit et me dirigea d'un pas ferme vers la salle de travail, ou je retrouvai mon baton. Le travail n'était pas encore finit.
Piochant dans tout les produits d'artisanat conservé par mon maitre, j'enduis mon baton de vernis protecteur et de substance ayant pour but de renforcer le bois, en en mettant ni trop, ni pas assez, juste ce qu'il fallait. Je sentait que mon Ki commencait deja a impreigner mon arme, deja suffisement pour que je puisse resentir ses besoin naissant. Comme une mere connait d'instinc ce qu'il faut a son bébé.

Arriva enfin le temps de la touche final. Prenant les pieces de metal nécéssaires, je finit mon baton en cerclant d'acier ses extrémité, comme il se devait. Puis, je comptemplai mon arme. Elle était belle. Son équilibre était parfait. A partir de maintenant, elle n'allait plus me quitter.
Mon maitre, qui n'avait jamais quité mes cotés, me regarda, et me félicita d'un hochement de tete silencieux, la miné tiré en un sourir franc. Je lui devait beaucoup. Jamais je n'aurais été capable de realiser ceci, si je n'avais pas constement sentit sa presence silencieusement encourageant, rassurante, a mes cotés, lors de toutes les étapes. Jamais je n'aurai sut comment le remercier.

Désormais nouvellement armé de mon propre baton, il était temps pour moi de devenir un véritable maitre d'arme. Suivant toujours l'enseignement de mon maitre, la premiere chose que je devais faire désormais, c'était d'arretter d'utiliser mon Ki, et d'apprendre a le maitriser, cela au travers de mon arme qui était une partie de moi. Il m'apprit les principes du Ki et de sa circulation dans le corps a travers les méridiens presant sur tout ce dernier. Grace a de longue méditation a ses cotés, il m'apprit a controller les fluctuations du Ki qu'avant j'apprehendais a peine. Mon arme fut le focalisateur qui rendit ceci possible, sa connexion spirituelle avec mon ame étant bien reel.
Mon lien avec cette derniere se trouva donc considérablement renforcé. Il y avait entre le lien avec mon ancien baton d'entrainement et mon nouveau lien avec celui ci la meme proportion qu'entre l'odorat d'un homme et celui d'un chien. C'était sans égal, toutes les forces, toutes les faiblesse, tout les details, tout ce qui faisait mon arme, je pouvait le ressentir. Elle était vraiment devenu une partie de moi.
Fort de ce liens, j'appris sous la tutelle de mon maitre a canaliser mon énergie a travers mon arme, afin de la renforcer, de maximiser ses point fort, de minimiser ses points faible. Fort de ce Ki, les possibilités de mon arme était devenue incroyable.

Et mon maitre m'enseigna comment en tirer partie. Son véritable enseignement technique commenca, me livrant ainsi tout les secrets les mieux gardés de notre art. Il m'apprit comment controller mon energie afin que mon baton soit capable de repouser une lame en acier, ou encore qu'il soit capable de supporter mon poids, avec toute les techniques qui allaient avec. La plus spéctaculaire, suffisante en elle meme pour faire la preuve de toute notre maitrise face a de vulgaire guerrier, et qui restera ma préféré, consistai en un mouvement circulaire du baton ou nous tournions sur nous meme en meme temps, puis en son posage de façon verticale au sol, et, utilisant la force centrifuge et l'elan ainsi acquis, nous nous propulsion a son sommet, tennant l'équilibre, puis retombant en faisant décrire un arc destructeur a notre baton en direction de l'énemis. C'est a ce moment la que je compris reellement le pourquoi des entrainements que j'avais fait dans ma jeunesse, surtout celui de l'équilibre sur un mais en haut d'un mat planté au sol.

Mon entrainement continua, ainsue que mon apprentissage du Ki et les techniques allant avec. J'appris a faire fluctuer le potentiel de mon Ki le long du manche de mon baton tandis que par exemple, par un mouvement de parade étudié, je faisait glisser une lame enemis le long de ce dernier, ou encore quand je frappais d'une tete de mon baton, puis brusquement vennais frapper de l'opposée.. Nous révision inlassablement les meme techniques, les unes apres les autres, ne s'arrettant que lorsque je les avaient maitrisé. Mon entrainement continuait, oui, et j'en approchait de la fin.

Cette derniere prit place cette nuit maudite. Je me souviendrais toujours de cette derniere. Un cri de rage me reveilla en sursaut, tandis que je reconnaissait la voie de mon maitre. Presentant le malheurs qui s'abatait, j'empoignai mon baton et sortis de la demeure niché au coeur des montagnes, et chercha la source de ce cris a la clarté de la pleine lune. Je ne tarda pas a trouver l'endroit. C'est alors que la vision d'horreur me frappa. Mon maitre était allongé au sol, la cage thoracique ouverte, et un homme, brandissant une épée démesurée, se tenait debout non loin de la.




(Message trop long, obligé de tronquer =s )

Je n'ais pas voulut trop dévelloper ces point la, parce que je fait un BG pour un lvl 5 a la base.

Je veux bien les develloper, mais dire que mon personnage a un lien si fort avec son arme qu'il est capable de communiquer avec elle, ne serais-ce pas du niveau du MDA lvl 10 ?

Pour les techniques, je develloperais, et essayerais de trouver une explication au charisme.

Je rajoute quelques points, j'ai vu qu'après que Semper le traitait aussi

Johan ne sonne pas très Rashémite je trouve.

Tu passes un peu trop rapidement sur le ki et l'apprentissage de sa maîtrise. Peux tu développer une ou deux technique avec ce bâton, pour en sentir la spécificité ?

Peut-être peux tu envisager une optique spirituel du bâton à partir de "l'axis Mundi" (cf Mircéa Eliade).

Je trouve qu'il parcours une distance assez phénoménale: Rashémie-> Kara Tur -> Rashémine -> Luskan.

Je te le laisse Semper

Un malaise m'envahit des que mon regard se posa sur ce dernier. L'homme n'était pas de cette partie du monde, car il avait des traits caractéristiques des royaumes de Faérun, tout comme moi. Mais il dégageait une sensation de pouvoir impie, non naturel mais d'une puissance si grande qu'elle me fit avoir la nausé. Sous le coups des relants de ce pouvoir, je baissait la tete et mon regard vint se poser une nouvelle fois sur le cadavre de mon maitre mutilé. C'est alors que, apres avoir entendu un simple bruissement, je perdis connaissance.

Je ne sut combien de larmes j'ais pleuré lorsque je me suis reveillé, tant la tristesse de la mort de mon maitre était grande. Le coeur remplis de chagrin, je lui creusa une tombe digne de lui dans la cour de sa demeure, et y planta son baton a l'intérieur, en un dernier hommage pour tout ce qu'il était, et tout ce que j'étais devenu grace a lui.
Mais, petit a petit, ma tristesse se mua en une froide détermination. J'aillais vengé la mort de mon maitre, quelque soit le temps que cela me prendrais, meme si je devais en mourir !
C'est ainsi, qu'apres tant d'années passé dans cet endroit perdu au milleu des montagnes, je me décida a le quitter, suivant la piste de l'homme a l'épée.



Que le monde qui entourait les montagnes était etrange et oppressant. C'était la premiere fois de ma vie que j'y allait seul, et , meme confiant en ma technique, tout ses gens autour, qui n'était pas agressif, mais qui venait vous parler pour vous vendre tel ou tel objet, tout ces cris, me poussaient a me refermer sur moi meme, a ne pas m'ouvrir au autres et au monde.
Sans doute est-ce un trait de caractere qui de toute façon me définissait, car meme aujourd'hui, il n'a pas disparut.

Ce fut un pressentiment qui me poussa a me renseigner pret de la voie dorée sur un homme portant une épée démesurée, et ce pressentiment se revella juste, car j'appris qu'il avait emprunté cette voie quelques temps auparavant, dans un voyage de retour vers Faerun.



Sans perdre un instant, et utilisant un peu de l'argent de mon maitre, je m'achettai une monture et me lanca a sa poursuite.
Je ne sait ni comment ni pourquoi, mais je ne parvint jamais a le rattraper, malgres ma détermination a aller toujours de l'avant. Le temps passa tandis que les terres de la hordes défilait sous les pas de mes chevaux que j'échangeait une fois épuisé contre des montures fraiches dans les differents caravanseraîls qui bordaient la voie dorée. Je finis par les traverser entierement, et me retrouva encore une fois non loin de mon lieu de naissance, tout pret des montagnes du levant.
Mais sans meme pensé une seul fois a me rendre sur la tombe des habitants de mon ancien village, je pénétrai dans les royaumes de Faerun.
La traversée m'avait prit 8 mois de chevauché en ligne droite au plus vite que mon cheval pouvait me donner sans risquer son épuisement et sa mort.

Ce fut a ce moment la que la difficulté de mon voyage m'apparut. En effet, lors de ma traversé des terres de la hordes, je suivait la voie dorée, une voie commercial et quasiment toujours sur. Mais, avec mon entrée dans les royaumes de Faérune, c'était devenu tout autre. Je du affronter monstres errants et bandits de petits et grands chemins, découvrant par la meme l'hostilité du monde et la cruauté des races pensantes; Mais, fort de ma maitrise, je reussit toujours a m'en sortir, battants mes adversaires la plupart du temps, utilisant mon agilité et mon équilibre pour m'enfuir lorsque que j'était tombé sur plus fort que moi.
Ainsi, je poursuivait ma quete.

Mais l'homme démeurait toujours irratrapable. Me renseignant le plus souvent possible a son sujet, je parvint a suivre une piste claire de son passage, comme si il l'avait lui meme voulut.
Traçant une lignes droites a travers les royaumes, je traversai Narfell, la Damarie, puis la mer de Lune avant de me joindre a une caravanne traversant de part en part le désert de l'Anauroch, ancien fief de l'empire Néthérisse. Je continuai mon voyage en contournant la haute foret a la mauvaise réputation par le sud, avant de remonter par le nord, suivant toujours la piste de l'épée démesuré jusqu'a me retrouver dans le Nord.

Presque 18 mois, un an et demi, avait passé depuis la mort de mon maitre, et mon désir de vengeance n'avait jamais faiblit. Ce fut enfin a ce moment la que je rattrapai l'homme, qui sembla comme m'attendre.

Sans aucune autre forme de rituel, j'empoignait mon baton, et me lanca dans le feu du combat, la rage tenant mon coeur. Je frappai de haut, de bas et d'estoc vers mon énemi, qui reussissait a chaque fois a parer toute mes attaques avec aisance. Mais il ne contra attaqua pas. L'humiliation de cette situation me fit encore plus mon sang froid, et je redoublait d'agressivité dans mes attaques envers cet etre maudit. Mais rien n'y fit. Parant ma derniere attaque, l'homme se précipita alors a une vitesse folle vers moi, et délivra son coup. Sa lame vint trancher les chairs de mon torse, traversant meme mon plastron traditionnel, et je m'effondrai sous le coup. Pensant que ma vie allait se terminer ainsi, mon seul regret fut de ne pas avoir put venger la mort de mon maitre.
Mais il n'allait pas en etre ainsi. Mon torse n'avait pas été déchiqueté, en fait la bléssure était pronfonde, mais intentionnelement non mortel. J'allais survivre.

"Tu n'est pas encore pret."

Voila les mots qui sortirent de la bouche de l'homme. Puis il disparut. Encore une fois, j'avais échoué. Mais je ne devais pas mourir ici. Empoignant mon baton, et l'utilisant pour marcher, je trouvai la force de rallier le village le plus proche, ou j'eut la chance d'etre soigné. Je profitai du temps de ma convalescence pour méditer sur ce qu'il s'était passé. C'est alors que j'arriva a la conclusion suivante. Je veais devenir fort. Encore plus fort, pour pouvoir venger mon maitre.

Ce dernier m'avais deja parlé de la region dans laquelle je me trouvait, le nord, et ses paroles me revinrent a l'sprit. Il la presenta comme une terre d'aventures sans fins, ou les dangers était nombreux et ou les défis ne manquait pas. C'était ce qu'il me fallait. Je n'avais plus aucune attache en Kara Tur, et je me trouvait deja sur place. C'était ici que j'allais trouver le moyens de devenir plus fort. Quand vint la fin de ma convalescence, je remercia mes hotes pour leur extreme gentillesse et les dédomagea comme il se doit, avant de prendre congé. Je prit la direction de Luskan, la grande ville la plus proche.

Voila, j'ais fait les modifications en rouge. Désolé que ca soit tronqué, mais le message était trop long, c'est chiant =s

Pour le charisme, j'ais essayé de fournir une petite explication RP, mais je prefere en fournir une plus vrai HRP: Johan est une huitre, il ne s'ouvre pas aux autres, il est completement refermé sur lui meme, c'est dans son caracterre, et il faut vraiment passer du temps pour qu'il s'ouvre. C'est donc ce caracterre la, qui ne facilite pas du tout les relations sociales, qui justifie le défiscite en charisme. ^^

J\'ais regardé pas mal de site sur internet, et ils disent que le voyage vers kara-Tur dure seulement plusieurs mois en suivant la voie dorée, et qu\'il y a beaucoup de marchands qui empruntent cette voie pour faire du commerce entre Kara Tur et Faerun.

Je met le lien vers ces deux site:

http://www.gemmaline.com/faerun/cartes/carte-terredelahorde.htm
(regarder dans la partie \"voie dorée\")

http://fr.wikipedia.org/wiki/Shou_Lung (regarder dans la partie commerce)

Sur ces site la, oui il disent que ca prend longtemps, mais ils disent que c\'est régulierement accomplis. Alors je veux bien augmenter la durée jusqu\'a 1 ans pour le tout, mais 3-4 ans... Surtout que Johan, lui, ne faisait pas partie de lente caravanne marchande, non lui il voyageait en cheval et allait beaucoup plus vite.

Ensuite pour le nom... j\'ais pas reussit a trouver des exemples de nom de Rashéménie sur internet, mais bon... un nom est un nom. Ca gene tant que ca ? Surtout que j\'aime bien ce nom moi... En plus, quand j\'y ais pensé, pour moi, Johan ca fait nordique comme nom. Pas la peine pour moi que tout les nom se finissent en \"Ken\" ou en \"Sfan\" pour que ca fasse nordique, non ?

Et sinon, je n\'ais pas envie de jouer un Kara Turien. Justement, l\'esprit de ce personnage était de jouer un Faérunien élevé a Kara Tur.

Voila, qu\'en dit tu ?

Désolé du double post, mais c'est pour faire apparaitre que j'ais fait les modifications (en bleu) pour dire que le voyage en tout a duré plus d'un an.

J'espere que ca t'ira.

J'ais édité pour mettre un voyage total de 18 mois (1 an et demi): 8 mois pour la traversé en ligne droite des terres de la horde, 10 pour la traversé de faérun.

Voila, j'espere que ca te conviendra désormais.

Sadoruro a écrit:

Ensuite pour le nom... j\'ais pas reussit a trouver des exemples de nom de Rashéménie sur internet, mais bon... un nom est un nom. Ca gene tant que ca ? Surtout que j\'aime bien ce nom moi... En plus, quand j\'y ais pensé, pour moi, Johan ca fait nordique comme nom. Pas la peine pour moi que tout les nom se finissent en \"Ken\" ou en \"Sfan\" pour que ca fasse nordique, non ?

Je n'avais pas vu l'édition du message tiens, j'ai posté en même temps. Johan venant de Rashéménie, ce n'est pas un nom nordique qu'il devrait avoir.
Tu peux tout simplement expliquer pourquoi sa mère lui a donné un nom qui ne correspond pas à leurs traditions locales.

Citation :

ma mere me donna le nom de Johan, même si ce n'était pas un nom courant dans la région, parce que...

Pour la durée, on va dire que ça convient, bien que je ne comprenne pas pourquoi pourquoi tu tiens à ce que ce soit le plus court possible.

Bon, je te rassure, on en a bientôt fini

Voila, j'ais édité pour le nom, les modifications sont en bleu dans mon tout premier post.

Merci ^^