[RP] Un mariage inoubliable

Un fabuleux mariage ce serait déroulé du côté du paisible village de Dak, du fief Dakwell. Cette tranquille bourgade se situe au Nord de Mirabar, sise le long des contreforts de l'Epine Dorsale.

Ce mariage fut tellement impressionnant que les invités n'en revinrent pas.


//Mort RP de :

Geldord Chedwick
Gorobei
Zarek

Disparition de :

Isilia
Vilbert Yidil

PJ ayant perdu la raison :

Kalaes

PJ ayant faim :

Irina///

[Je détaillerais divers points de vue PNJs plus tard]

Bientôt ma centième année sonnait et cette solitude morbide me pesait de plus en plus. Je me suis tourné vers l'Elogieux une fois de plus, cherchant à comprendre cette froide main qui serrait mon âme. Mais, je compris qu'il y avait un poids dont il fallait que je me débarrasse: Mon passé.

Voilà un but vers lequel j'allais employer toutes les connaissances que j'avais accumulé depuis tant d'années. Ainsi révérais-je l'Elogieux d'un acte de foi plus grand que je n'avais encore jamais entrepris jusqu'à maintenant.

La toile d'Ombre me permit de mettre au point mon plan. Je préparais dans le plus fiévreux secret les deux phases de celui ci.

Je mis un long moment a préparer l'agent contagieux pour corrompre les corps en mort vivant. Je savais qu'il fallait user de subtilité et infecter en premier lieu les animaux proches des hommes et ainsi retarder l'événement en me dédouanant aux yeux de ceux que j'allais toucher.


La seconde phase fut des plus complexes et des plus délicates, mais la magie d'ombre fut une aide irremplaçable. Je confectionnais un des artefacts dont je suis aujourd'hui encore, le plus fier. Cet artefact me permettrait de déchirer la toile de Mystra un cours moment pour maximiser l'effet de ma première phase.

Puis l'événement que j'attendais arriva: Le mariage de cette arrière petite nièce que je n'avais jamais vu et d'un inconnu plus illustre encore.
C'est à cette famille maudite que je dois ma solitude, mon bannissement et celui de mon père.
Ils sont la raison de ce que je suis, je serais la raison de leur fin.


C'est ainsi que j'arrivais au village de Dak pour embarquer avec tous les convives. Une fois au manoir, il fallut que je joue de mondanités pour évacuer de ma personne toute suspicion.
Je papillonnais de ci de là comme le jeune jouvenceau que je ne fus jamais. Puis lorsque le premier corbeau traversa la fenêtre, je savais que le plan était activé.

Je les regardais tous s'agiter lorsque mes enfants frappaient à la porte barricadée. Une prêtresse de Sunie se sentait l'âme volontaire. Je dus refroidir ses ardeurs.
Je m'affairais ensuite, sous prétexte de les aider à tenir la barricade, à la fragiliser pour permettre à mes inexorables enfants de passer.

Il me fallait les convaincre de risquer le tout pour le tout et sortir de la salle. Lorsque les principaux meneurs arrivèrent à passer la porte, j'achevais la prêtresse de Sunie et les quelques témoins encore présents.

Je me précipitais alors vers la fenêtre pour m'enfuir du manoir. Je ne pouvais hélas pas encore utiliser mes pouvoirs pour les influencer.
Je rejoins alors le village en passant à travers la forêt. Là déjà l'instant était à la survie des rescapés du manoir. Deux des femmes me demandèrent de les suivre. Je leur assurais mes connaissances en médecine pour m'assurer de leur coopération et de l'importance que je pouvais représenter. Nous nous précipitâmes alors dans un dispensaire et nous nous enfermâmes en barricadant une fois encore la porte avec une armoire. Je me suis mis à chercher des plantes médicinales.

Je proposais à mes deux sauveuses de leur préparer des onguents pour les immuniser contre la contamination des morts vivants. Elles me crurent et me permirent de leur concocter de puissants somnifères.

Lorsque ce fut terminé, je leur tendis les précieux remèdes et les prévins quelles ressentirait un léger engourdissement.
Le sommeil les prit doucement alors que je leur annonçais que j'allais ouvrir la porte aux zombis dans une satisfaction que je commençais à mal dissimuler.

Je me cachais alors dans la pièce à coté en attendant l'Aube et la fin de la déchirure de Mystra et me rendis invisible pour partir de cette ville morte, ma vengeance consommée.


*Signé Grand-Oncle Philibert Darwell*

Un carnet dans les airs flotte, l'ensorceleuse Manteau d'Automne le regard fixé dessus, semble se concentrer pour y écrire. Clignant des yeux à intervalles irréguliers, seul mouvement encore possible à cause de ses multiples liens, elle guide la plume noire qui couche par écrit ses pensées. Son geôlier arrive, il ne voit rien... rien que la femme qui semble dans son état de transe habituel.
Et quoi de plus normal, le carnet ne réside que dans l'imagination de l'ensorceleuse...



https://www.youtube.com/watch?v=dpyPGwpZ5Ts&feature=PlayList&p=71391832951D1A0D&playnext=1&playnext_from=PL&index=40

Elle était arrivée, en compagnie de plusieurs autres convives, dans ce village des contreforts de l'Epine, au Nord de Mirabar. Invitée bien sûr, elle avait été, mais point personnellement. Qu'à cela ne tienne, car le Baron Darkwell avait une réputation honnête, et il était toujours plaisant de faire la rencontre d'autres personnes. A défaut de discussions philosophiques et de débats, avait-elle espéré, mais il n'en fut rien. Les invités manquaient cruellement de cette étincelle éveillée qu'elle avait recherché, tous sauf ... ce vieil homme à la barbe blanche, qui releva sa réplique sur le corbeau croassant et son éventuelle signification pour le futur.

Puis le voyage en ... chariot. Peu importe là aussi, elle n'était pas du genre à s'en formaliser, elle était bien née dans une ferme, que les nobliaux prennent leurs carosses si tel en était leur désir futile ! Elle se consolait sans peine avec le paysage magnifique qu'offrait cet endroit reclus, une grande forêt sombre, aux ombres mouvantes comme une toile sans cesse renouvelée... oui, on aurait pu croire qu'elle était douée d'esprit, de conscience.
Enfin arrivés, accueillis par le Capitaine des gardes de la demeure, ils furent introduits. L'ambiance était relativement festive, malgré beaucoup de mondanités, de faux-semblants, à part cet homme kara-turien qui ne semblait pas plus qu'elle au fait des coutumes des nobles. Vite, la sympathie s'installa, alors qu'ils visitaient les chambres et salles de la demeure Darkwell, avec ce guide charmant et charmeur qu'était le cousin. Elle laissa les autruches se pavaner devant le beau jeune homme, s'il était intelligent, il les écarterait vite.

Puis ce fut l'instant du mariage, sûrement émouvant, oui. Elle regarda, comme tout le monde, peu émue par ce mariage arrangé. Du moins le supposa-t-elle avec son compagnon de soirée, car le jouvenceau n'avait pas vraiment l'air sûr de lui... Prix d'une noblesse qu'il faut assumer. Qu'il est bon d'être libre de ces chaînes aristocratiques ! La prêtresse de Sunie scella l'union, et déjà le premier incident survint, un incendie. Peu se levèrent pour aider, laissant aux larbins le soin de le faire. Fichus noblards !
Elle essaya d'incanter afin de manier la matière antilumineuse, et la plier à sa volonté, mais rien n'y fit. Gardant ceci pour elle, elle se résigna à user de sa cape pour transporter l'eau. Etrange... voilà déjà un fait concret dans ce méli-mélo louche. Elle n'en parla pas au garde, seulement à Gorobei. Il fallait trouver un moyen de fouiller les affaires de Darkwell pour savoir.

Ayant remarqué un bureau lors de la visite, un plan se remit rapidement en place : Gorobei irait fouiller, tandis que Manteau d'Automne détournerait l'attention des miliciens par quelques parchemins cachés. Ainsi fut-il fait, Gorobei eut le temps de sortir de la salle malgré une intervention. Le capitaine avait tout de même l'air fiable... elle s'en voulait presque de le berner ainsi, il invoquait le nom de Heaum, scellant ainsi son serment de protection. Aussi, expliqua-t-elle juste après la situation à celui-ci. Il était nécessaire de jouer avec la toile des invités, pour trouver le fin mot de l'histoire.
Discutant avec le Baron, elle apprit qu'un ancêtre de bien un siècle avait manié la magie sombre, faisant naître la haine des mages dans leurs rangs. Depuis, plus aucun n'en était, ni chez les Darkwell, ni chez les Chenwick. D'autant plus étrange...


( https://www.youtube.com/watch?v=FoQMhJOwGsA&feature=related )

Les évènements s'enchaînèrent brutalement, cette toile mouvante, elle ne s'y perdit pas, elle faisait tout pour rester accrochée et remonter jusqu'au centre de l'épineux problème, jusqu'à l'araignée qui avait commençait à contaminer ces habitants, afin de les transformer en ignobles zombis. Gardant son calme tandis que chacun essayait de trouver un moyen de sortir, elle approcha la dénommée Isilia. Si elle pouvait s'apporter son appui, ce serait toujours cela, et elle se révéla en effet utile. De la même façon, elle tenta une approche, d'une toute autre façon, avec le couple de nobles, Corazon et Vilbert. Elle les cerna quelque peu, ne jouant pas sur les mêmes fibres qu'avec les autres... il n'y avait nul confiance, mais un intérêt sûrement commun.
Elle réussit ainsi à nouer des liens avec chacun, des liens manipulateurs ou sincères. La situation ne permettait plus de juger, car la vie de tous était en jeu. Le cousin, s'ils devaient mourir, moins qu'il ait un baiser de sa part... pensée complètement irrationnelle, peu importe, les instincts sont plus puissants.

Alors ils décidèrent de foncer à travers les bois, grâce au sacrifice du capitaine des gardes, qui trancha dans la Horde. Beaucoup furent happés par cette marée aux algues voraces, mais quelques uns réussirent à fuir vers le village. Et encore alors, des morts, qui se relevaient... d'anciens compagnons qui allaient les manger, et poursuivre ce cycle infernal.
Le dispensaire, seule alternative, au moins pour se soigner. Elle emmena le vieillard qui avait survécu elle ne savait comment, et Isilia. Bloquant la porte à l'aide d'une armoire, elles barricadèrent les fenêtres comme elles pouvaient, tandis que le vieillard allait préparer une décoction qui les protégerait de ces morsures. Alors, elles burent... Mais elle se rendit compte que le vieillard n'en avait pas pris. Quel noble sacrifice...
"Attention, cela risque de vous endolorir un peu au début, je vous conscience de vous coucher". Nous coucher, en pareille situation ? Ces mots résonnèrent à son esprit, non ce n'était pas possible. Isilia s'affala, comme un sac sans vie.
Du poison...

Le vieillard nous avait empoisonnées, alors je me mit à me concentrer, une véritable transe méditative d'une minute : "Ce que je ne veux pas, n'existe pas. Ce que j'oublie, n'existe plus. Ce que j'oblitère, est oblitéré. L'esprit est fort, l'esprit est mon monde, mon monde est à mes ordres. Il n'y a pas de poison, il n'y a pas de poison, et n'en a jamais eu."
Ainsi fut-il. Il n'y eut plus de poison. (*bénit son jet de constit de 20*)
Alors elle fuit, fuit à toutes jambes, laissant ce village comme il était, et ne réfléchissant plus. Le vide absolu, le néant le plus total, uniquement l'instinct de survie.
"Je crois que je suis la seule en vie..."



Et ... elle se réveilla dans des geôles. Ses pas désespérés l'avaient guidée vers le seul endroit susceptible d'accueillir la vie au plus proche.




(Yeah, merci à Flash et Dardan, c'était vraiment top. Ambiance très particulière avec ces pjs inconnus, pas de copinage, tout le monde à la même enseigne. Et... fierté d'être en vie xD)

*pensées de l'oncle Gerold Chenwick*

Ainsi donc nous voila une fois de plus conviés à ces mondanités ou chacun pourra exposer ses terres, sa puissance, sa richesse. Mes décérébrés vont une fois de plus s'en donner à cœur joie! C'est d'ailleurs pour cela qu'il ne m'ont pas attendus pour rejoindre le manoir, me laissant seul au soir tombant, dans le froid. Si seulement ils avaient pu faire en sorte d'effacer toute trace de mon existence...

Mais cette fois, je compte bien rabaisser tous ces parvenus plus bas que terre, les voir ravaler leurs fierté pour qu'enfin ils reconnaissent que je leurs suis supérieur, et de loin! Yedaz, je suis navré, tu n'es pas responsable de la stupidité crasse de ton père même si tu en as hérité, mais j'espère bien m'approprier ton mariage.

Toute la cérémonie est d'une telle platitude! Sourire forcé de circonstances, courbettes de ci de la, gloussement pour un oui ou pour un non, toutes ces dames qui se donnent des airs pour paraitre plus éduquées qu'elles ne le sont en fait. C'est écœurant.

On nous propose une visite du manoir... ma fois pourquoi pas. Le jeune jouvenceau nous montre la chambre nuptiale. Ohohoh quelle regrettable erreur. Faisant mine de m'intéresser à cette décoration d'une banalité déconcertante, je parviens en me glissant derrière le paravent a me faire abandonner par les convives. Parfait! Je n'ai qu'a accrocher le rideau du lit à baldaquin a la bougie... comme ça... Voila, dans une petite demi heure, le lit ne sera plus.

Je rejoins la salle de réception pour assister à la cérémonie. Yedaz est aussi empoté que son père. Je profite que tous ces snobs s'efforcent a verser des larmes pour mettre quelques bouteilles d'alcool de coté. Et enfin on vient crier au feu. Parfait, j'emmène quelques nobliaux chercher des sceau... et j'en remplis un avec mes bouteilles avant de le tendre a un jeune insouciant. Les flammes sont magnifique! Au moins quelqu'un aura mit le feu au lit en cette soirée, si on compte sur Yedaz pour ça... En tous cas, l'opération est une réussite, le lit n'est plus et les invités sont outrés, apeurés, suspicieux.

Trouvons autre chose a faire... Je me dirige vers l'étage.. avant de me faire agresser par... un corbeau?! Qu'est ce que c'est encore que cette histoire?! Le charognard m'a bouffé l'épaule! Une attaque de zombi? Mais c'est magnifique ça! On m'envoie dans la salle de réception ou j'ai alors tout le loisir de semer la panique en tachant de mon sang la robe de la mariée.

Des bonnes volontés vous protéger les portes du manoir. Qu'ils s'en chargent, ça me laisse tout le loisir de retourner à mes affaires, me dirigeant vers l'étage, prétextant avoir besoin de soins. J'avertis les gardes de l'attaquent pour qu'ils me laissent en paix... Les bougres reviennent aussitôt! Les mort vivants montent les marches pour venir vers nous! Hmm... Peut être devrais je laisser les zombis finir de saboter le mariage pour protéger ma peau.

Les deux gardent nous barricadent dans la salle du conseil. Les morts vivants tambourinent contre la porte que les deux soldats soutiennent. Ils sont a bout de souffle, l'air est si chaud, suffoquant, les gouttes de sueur glissent sur la peau rogit par leurs effort, le long de la trachée... si appétissante...

Arrivée au village Irina prit un carrosse conduit par le Capitaine de la garde du manoir.

Le voyage fut plaisant et la découverte du château plus encore, tout n'était que fastes et richesses, le bon goût étant de mise pour que l'ensemble ne soit pas lourd.

Nombre d'invités se pressaient dans la salle de réception ou un buffet orné de mille et un mets les attendait. Chacun commença à faire connaissance, quand Irina fut abordée par un vieil homme charmant, avec une longue barbe blanche mais dont les yeux pétillant laissaient voir encore une grande vigueur.

Le bal commença en attendant les futurs mariés, Irina avait promis une danse à Philibert le vieux Monsieur, elle tournoyan plus vite qu'elle ne le pensait.

Puis vint la visite du château, orchestrée par le cousin de la mariée, Alex ce fut charmant et les invités purent découvrir la magnifique chambre nuptiale.

Revenus au rez de chaussé, la cérémonie commença avec l'arrivée tant attendu des futurs mariés, une très jolie prêtresse de Sunie officia, la mariée était radieuse, le marié lui nerveux comme cela arrive souvent.

Alors que tous se précipitaient pour féliciter le jeune couple, un incendie éclata dans al chambre nuptiale, le lit brula dans on entier avant que les flammes ne soient maitrisées. De là démarra une enquête approfondie de la part du Capitaine, qui interrogea Irina, celle ci ne put l'aider beaucoup mais appris que des personnes l'avaient remarquée près du lit, ce qui était entièrement faux.

Les choses s'enchainèrent rapidement, avec l'arrivée d'un corbeau qui s'acharna sur Gerold Chenwick, suite à cela tout le monde eut l'ordre de s'enfermer dans la sale de réception. La panique se lisait dans les yeux des invités, surtout après que le capitaine ait décapité un mort vivant entré dans le château.

Des gens demeuraient à l'étage, aussi après avoir cassé le dôme de verre rouge de l'alcôve il fut décidé de passer par une des marches de l'escalier qui surplombait le dôme. Irina se proposa, elle avait déchiré sa robe pour la liberté de ses mouvements ne pouvant cacher les dagues qu'elle avait accroché à chaque cuisse. Le Capitaine l'aida à monter et elle tomba nez à nez avec Gerold Chenwick qui lui demanda de la suivre au second étage. il était étrange et elle vit sur place que c'était un piège. Elle lui asséna un coup de dague pour fuir et se cacher.

Elle put rejoindre les autre en bas en passant par la marche, mais Gerold Chenwick la suivit de près, le Capitaine l'attaqua, Irina profita de sa souplesse pour lui sauter dans le dos lui prendre le cheveux et soulever sa tête pour qu'elle fut coupée non sans lui avoir tranché la gorge au passage.

Les choses allèrent très vite, des Morts vivants prirent le même passage pendant que les invités tentaient de lutter vers les portes, dont les gonds commençaient à lâcher.

La décisions fut prise d'ouvrir, le Capitaine usant de faux pour couper les têtes de tous les Zombis présents et gênant la fuite de chacun. Une fenêtre fut brisée et tout le monde sortit, laissant le capitaine seul face à l'armée de Morts vivants.

Irina courut tant et plus pour enfin rejoindre le village, mais quelle ne fut pas sa surprise de tomber sur un garde lui même transformé, elle fuit le plus possible mais un chien vint les attaquer, une des invités trancha la tête du chien qu'irina tentait de maintenir, mais les Morts vivants arrivaient.

La lutte fut acharnée, mais irina n'avait pas prévu que l'invité combattant à ses côtés puisse être infecté, pendant qu'elle combattait avec sa seule dague, il la mordit par deux fois .... Accablée par la douleur, elle réunit ce qu'il lui restait de d'énergie pour enfin couper la tête du nouveau Mort Vivant. Mais rien n'était terminé, d'autres arrivaient, elle vit alors avec soulagement le Capitaine qui se dirigeait vers elle, mais elle comprit bien vite qu'elle faisait pour lui un repas de rêve, il envoya valser les autre pour être seul à déguster irina.

Elle en profita pour fuir, mais dans la forêt la transformation commença ... elle devint affamée, elle voulait de la chaire fraiche, son corps changeait, ses muscles s'atrophiaient, elle sentait qu'elle n'était plus elle même .... puis soudainement l'aube arriva .... le processus cessa comme il était venu, épuisée elle se dirigea vers ce qui lui semblait le plus près .... le Château de Crypteserre.

Irina avait faim ... et cette faim poussa l'Imperceptrice et Kahir Oryan à l'enfermer, car ce résidu de ce qui fut presque une transformation pouvait être dangereux pour elle même et les autres.

Irina, attachée les mains dans le dos, ayant cela dit un traitement différent des autres prisonniers, n'avait d'yeux que pour sa voisine de cellule, Manteau d'Automne disait elle s'appeler, elle faisait pour Irina un plat de choix qui lui donnait plus que l'eau à la bouche.

[HRP = merci pour cette soirée géniale, faite de fou rire et d'excitation dus au suspens et à certaines situations, merci à Flashouille, Dardan et aux joueurs ayant participé]

Arrivée en retard, Isilia entra dans le manoir où on l'acceuilla sans trop faire attention à elle.

Le mariage avait déja été fait, elle fut déçue, mais profita un peu des festivités.
Puis, elle se sentit mal à l'aise, elle avait quelques sueurs, les mains moittes, et se massait la nuque. Elle monta à l'étage pour aller dans la salle de relaxation, puis soudain, un cri :" GARDE!!!". Elle descendit à toute allure, puis elle vit Manteau d'Automne la questionner vivement, pour savoir ce qu'elle faisait. Puis Isilia lui expliqua qu'elle se sentait mal. MAnteau d'Automne lui demanda si elle savait manipuler la magie, Isilia opina la tête. Ce mal être était du à l'absence de la Toile dans la zone.

C'est alors qu'Isilia, une fois dans la salle lorsque les zombis attaquerent, se décida à fouiller dans le buffet si il y avait des couteaux . Elle en pris 6, en garda 3 pour elle, en donna 2 à Manteau d'Automne et 1 à la Dame de Corazon.

Elle tua 1 zombis en le chargeant, puis apres tenta d'en tuer un autre mais Gorobei ne lui laissa pas le loisir de le faire.

Une fois qu'ils sont sortis par la fenêtre, elle suiva MAnteau d'Automne et le viellard , vers le dispensaire. Le viellard les avait empoisoné. Manteau d'Automne s'echapa, Isilia resta et le zombis s'approcha d'elle. Lorsque le zombis commença son plat, l'aube se levait , et le sort sur les zombis disparu.
Elle était agonisante, mais les gens encore vivant du village de Dak la trouverent, et elle fut rapatriée à Mirabar, où elle reçu des soins. Actuellement, elle est à ce même hopital, dans l'incapacité de bouger.

J’avais eu vent d’une soirée mondaine au Nord de Mirabar, un mariage entre deux nobles. Cela faisait longtemps que j’attendais une soirée comme cela.

Mais le doute me prit alors. Et si j’avais tout oublié ? Si je n’étais plus à la hauteur de mon sang noble ? Et si j’étais devenue insignifiante ?

La soirée commençait de jour…Cela me laissa le temps de me préparer. Je mis tous les atouts de mon côté…J’appliquai un fond de teint de qualité…Je me demande combien de temps cela fait que je ne l’avais pas vu…Puis je détacha ce collier modestement singulier, beau, noir et presque gothique qui s’alliait parfaitement avec mon teint blafard.

Tous mes ongles furent peints avec précision de ce maquillage noir, dont moi seule connaissait la fabrication. Mes cils furent mis en valeur comme habituellement…

Je passai du temps à mettre de la meilleure façon possible mon imposante robe.

Ceci finit, j’avais l’impression que j’étais redevenue comme avant…J’étais aussi émoustillée qu’à ma première réception, celle où l’on prie pour que l’on nous aborde. J’étais aussi excitée qu’une vieille femme qui redécouvrait les joies des rendez vous galants…

[…]

J’arrivai alors au dit manoir. Evidemment j’avais prévenu les mariés de ma présence, comme le veut les conventions. Arrivée, je me fis toute petite…J’avoue que j’ai adoré le manoir…le découvrir…C’était si beau. De mes yeux de créatures de la nuit, j’analysais rapidement tous les détails. J’avais l’impression d’être redevenue cette jeune noble…perdue dans tant de luxe…

Les propriétaires voulaient faire visiter la demeure…Cela me fit sortir de mes songes. Le manoir est somptueux, je m’amusais des invités qui, au fur et à mesure de la visite, s’apercevaient de ma prestance. C’était comme avant, ils ne pouvaient s’empêcher de me regarder, intrigante. Le sourire qui se dévoila sur mes lèvres, m’y aida. Ils étaient mignons à se battre pour me tenir la porte…Ne vous bousculez pas…Vous pourriez le regretter.

Nous revînmes à la salle de réception, alors qu’un noble m’aborda, brisant l’immobilisme dans lequel je me tenais. Il était peut être la preuve que j’étais toujours désirable ? Nous parlâmes. Il s’appelait Vilbert Yidil, c’était un seigneur…Je n’en avais jamais rencontré…Juste des comtes, et une marquise un jour, mais jamais de seigneur, cela m’intrigua.

La réception battait son plein. Au fur et à mesure, je me surprenais à désirer vouloir connaître cet homme. Je crois que jamais je ne serais à l’aise avec les humains dans de telles soirées…Je crois même que j’oubliais que j’appartenais à la nuit…Tous ce qu’il disait, me faisait plaisir. J’avais l’impression de revivre, de renaître, de redevenir cette noble que j’avais délaissé depuis quelques temps…

Un feu se déclara nous allâmes voir…Vilbert était un noble assez dédaigneux avec les autres, mais sa prose était intéressante. Il voulait aller dans la bibliothèque, il voulait me séduire, savait il ce qu’il risquait ?
Là, la soirée changea d’ambiance…Les messes basses fusaient…Nous devions rester dans la salle de réception, ils voulaient savoir qui avait mis feu au lit nuptial. Puis Vilbert voulait monter à l’étage. J’acceptai évidemment…Il me mena dans une chambre, qu’il voulait fouiller. Il tenta aussi de me séduire, s’approchant lentement de son destin, de tomber envouté en mes bras…Son cou me paraissait si près…Puis on nous dérangea ! Il y avait une armée de Morts vivants autour du manoir.

Des morts vivants ? Mon armée ?! Ils étaient revenus pour moi ? Non impossible…Ce n’était pas eux…On nous parqua dans la salle de réception.

Là, la soirée commençait à être amusante. Est-ce que la Mort voulait me voir ? me parler ? La terreur s’installa parmi les convives. Devant la Mort, tout le monde défaille. Je voyais la peur dans leurs yeux…Je devais paraître bien sûre de moi, j’avoua à Vilbert que j’étais sorcière et que les morts vivants ne lui feraient rien si il restait près de moi, il ne voulait pplus me lâcher.

Je pus alors observer le désespoir humain…Je pus te voir œuvre, toi la Mort. Les mortels cherchaient des moyens de s’échapper…de t’échapper. Mais ils savaient au fond d’eux que leurs destins étaient scellés, la Mort était venue les chercher, il fallait en être digne.

Certains dont la dame Korlov, la fausse noble, tentèrent de lutter. D’autres prirent des couteaux de table pour se battre…C’est tellement amusant…Je fis comme eux ! J’avais une partie humaine après tout. Je jouai à la noble apeurée aussi ! Je savais très bien faire !

Ils avaient peur de ces zombies qui se multipliaient…telle la Mort elle-même. Mais c’est qu’il ne savaient pas la créature que j’étais ! j’aurais pu d’ailleurs me faire une cours…Mais je voulais laisser faire la Mort, elle est tellement grandiose.

Alors, je scandais des paroles défaitistes, attisant la panique et la peur…C’était horrible je pouvais mourir…N’est ce pas ?

Puis les humains vinrent à l’évidence qu’ils connaissent depuis longtemps…Ils n’en sortiraient pas. La Mort était victorieuse, évidement qu’elle l’était ! Idiots !

Je pus alors aussi m’apercevoir de ce comportement mortel devant la Mort, les sentiments mortels se déliaient…La vérité éclatait.

Certains s’embrassaient, s’avouant leur affection, dernier espoir d’avoir eu une vie heureuse.

D’autres priaient leurs pitoyables dieux…Pour que La Mort soit clémente…
Vilbert m’avoua qu’il ne voulait pas mourir, car il voulait mieux me connaître. Savait il que j’étais pire que ces zombies idiots ? C’était amusant, je ne pouvais que lui répondre par un sourire.

Certains décidèrent de quitter la salle de réception de force, en espérant survivre. Tous n’en ressortiraient pas c’était évident. Arrivés dans la forêt, nous avons fui, arrivant à un village, lui aussi touché par la maladie…Avec Vilbert nous semâmes les autres…Nous nous retrouvâmes seuls…Mais le soleil allait se montrer…Il ne pouvait pas rester chez lui, lui ?! C’est agaçant à la fin.

Peu importe, je finis par avoir ce que je voulais. Un cadeau de la Mort, un humain, un sang noble qui plus est. Il sombra dans mes bras, il croyait avoir vaincu la Mort, mais il s’apercevait alors à quel point elle était belle la Mort…Les rêves les plus exquis l’emportèrent, brisant son lien avec la vie…Le liant à jamais à la Mort…

[…]

Finalement, cette soirée était délicieuse…La nuit était retombée…Je me délectais de ma nuit j’allais dans les rues de Mirabar, un grand sourire sur les lèvres. J’avais revue la Mort ou plutôt j’avais confirmation que la Mort ne m’avait pas abandonnée, elle me suivait encore…Continuant de me gratifier de ces visions d’horreur…Encore une fois, cela me prouvait que le destin et la Mort étaient liés et que j’en étais leurs messagères…

Citation :

[HRP: merci à Dardan et à Flash c'était très sympa !]

Citation :

Cette soirée commençait mal ... Alors que je me présentais aux gardes en compagnie des autres invités, j'étais déja frigorifié, emmitouflé en ma cape.

Qu'importe, j'étais désigné pour être celui qui le ferait. Personne n'est en droit de refuser, n'est ce pas? Grand-père ...

C'est ainsi que je me devais de me présenter tel Lord Vilbert Yilid, lointain cousin du Baron. Je m'étonnais tout d'abord de la sécurité, mon invitation fut à peine contrôlé. Il n'y avait que 2 à 3 gardes dont ce rustre Capitaine.
Nous furent ensuite amenés en le manoir à bord de chariot et autres calèches, mon regard observant que vaguement le paysage mais plus intéressé par cette femme aux dons magiques auprès de qui j'avais pris place.
Une fois au manoir, je fis rapidement la connaissance de quelques invités, enquêtant sur les raisons de leurs présences et autres détails. Je préferais rapidement m'éloigner de cette femme, Manteau d'Automne. Elle semblait user de magie et pourrait être une entrave à mes devoirs, s'emerveillant de rien.

Puis je parvins enfin à appercevoir le Baron de Chenwik et Lady Dakwell. C'était une bonne chose de faite, je n'aurais pas trop à poser de questions pour commencer. Même si je n'ai pas eu le temps de leur présenter mes félicitations pour le mariage de leurs enfants, cela ne saurait tarder.
C'est ainsi qu'ensuite nous furent guider à travers le manoir, nous présentant les lieux et se vantant de leurs richesses. Bien que cela étant futile, cela me permit de repérer les lieux sans encore une fois eveiller de soupçons. Nous retournâmes ensuite en salle de réception.

C'est alors qu'en la salle de réception, parmis tout ces gueux, j'appercevais une des rares invitées à paraître de sang noble, le port altier. Plus je m'approchais d'elle et plus je pouvais percevoir sa grande beauté, presque surnaturel. Il s'agisait de la Dame de Corazon. Je m'empressais de faire connaissance avec celle ci, un petit écart à mon devoir mais qu'importe tant que celui ci se voyait fait. C'est ainsi qu'en sa compagnie, j'oeuvrais alors à ma tâche. Usant d'elle comme couverture à certains de mes déplacements.

Alors que la cérémonie de mariage commençait, je m'approchais du Capitaine de la garde pour l'avertir d'allergies dont je ne savais naturellement rien. Cela le divertirait ou au mieux me permetterait de découvrir une allergie mortelle concernant le Baron. A peine avais je terminé cette conversation que la cérémonie était bouclé, je m'empressais quant à moi de retrouver la Dame de Corazon. C'est alors que les valses commencèrent, j'invité donc de ma main la Dame de Corazon à m'accompagner en une valse, qui je m'en assurerais, se verrait pleine de rebondissement.

C'est ainsi que nous trébuchâmes sur les mariés, pour le plus grand malheur de la Dame de Corazon et mon plus grand espoir de briser quelques os afin de les priver de leur nuit de noce. Cependant, pour résultat Diane Dakwell n'eut que la cheville atteinte, à mon grand désespoir. Qu'importe, je m'excusais platement et m'éloignais avec la Dame de Corazon. Puis la prêtresse, cette bécasse, de surcroit décida de soigner la cheville, j'enrageais jusqu'à ce que je perçoive que la magie de la prêtresse était sans effets. C'est alors que je me posais la question, était elle véritablement prêtresse?

S'en suit alors une annonce des plus étranges, notamment pour ma personne. Le lit nuptiale se voyait en feu, mais que se passait il? Y avait il d'autres êtres désireux de faire annuler ce mariage? C'est alors que je proposai à la Dame de Corazon de diriger nos pas vers la chambre, désireux d'appaiser ma curiosité. Et c'est donc avec stupéfaction que je voyais le lit épris par les flammes.

Les choses devenaient compliqué pour ma personne mais également favorable, je désirai donc m'isoler avec la Dame de Corazon, ce que nous fîmes en rejoignant la bibliothèque. En sa présence, je réfléchissais puis m'essayais à la séduire. Et par ailleurs, c'est à ce moment même que ce rustre de Capitaine pénétra en la bibliothèque et nous prîames de sortir. C'est ainsi qu'il verouilla la bibliothèque avant même que je n'ai eu l'occasion de m'intéressé à celle ci ... Nous retournions donc ensuite en la salle de réception.

Quelques temps après cela, voyant le Capitaine le dos tourné et les choses s'envenimer. Je quittai la salle de réception discrétement avec la Dame de Corazon, visitant les lieux, le regard attentif. Mais à chaques instant l'un des invités venait à nous aborder ... Cela devenait véritablement agaçant de ne pouvoir enquêter ou même agir sans avoir pour présence un témoin génant. C'est alors que nous décidâmes de nous faire oublier en l'une des chambres du manoir, où je me sentais l'âme de séduire cette femme pour patienter. Bien que rapidement l'une des invités venait à nous déranger, encore. Des cries venant à se faire entendre partout en le manoir.

Nous redescendîmes donc au hall où nous appercevions les fenêtres se briser et des morts y surgir. Pensant alors au nombre de personne étant présent en le salle de réception, ce lieu s'avérait sans nul doute le plus adéquat pour nous protéger.

Rapidement les portes étaient barricadé tandis que la Dame de Corazon me révelait au creu de l'oreille qu'elle disposait de certains dons de sa mère qui était sorcière et que de ce fait elle nous protégerait. C'est ainsi que je me décidai de ne plus me séparer de la Dame de Corazon et de veiller sur elle tout comme elle veillerait sur moi. Les morts-vivants parvenaient à pénetrer en la salle par l'évacuation que le Capitaine avait prévu, sans parler de l'irrépressible envie de mettre le feu partout des invités ... les fous.

Je savais que mes atteintes envers les morts-vivants seraient sans effet. D'autant plus que la contamination se propageait étrangement et rapidement par les blessures. Je préferais donc laisser combattre ceux qui le désiraient, restant en retrait et prêt à trancher toutes les articulations d'un mort-vivant si il venait à se présenter à moi.

Rapidement la porte commençait à céder. Je me plaçais donc discrétement sur le côté de la porte avec la Dame de Corazon, espérant que les morts-vivants se ruent sur les premiers êtres qu'ils verraient. Mais les invités ont préféré suivre le Capitaine qui décida de charger les morts-vivants ... Ainsi donc je n'avais plus qu'a me mêler au milieu de cela et laisser ceux aux extrémités être dévorés, jusqu'à atteindre une fenêtre vers l'extérrieur. Je m'inquiétais pour mon contrat, mais je préferais privilégier ma vie. Lady Dakwell semblait morte et concernant le Baron, nul doute pour moi qu'il se fera dévorer au vu de l'impostant embonpoint qu'il trainait durant la course en la forêt.

C'est ainsi que nous arrivâmes au village de Dak avec quelques survivant, nous criâmes donc à la milice pour les avertir. Mais aucun être vivant ne fit son apparition. Seul un chien visiblement contaminé s'approchait de nous. Je me mis alors à courir en tirant la Dame de Corazon derrière moi. Visiblement le chien avait trouvé des proies bien plus appétisante et nous reussirent à nous échapper du village.

C'est ainsi qu'après toutes ces épreuves, épuisé. Nous parvîmes à retrouver les terres de Mirabar. J'avais survécu ! Tout ces morts étaient si loin et le contrat était sans doute remplit. Tout allait pour le mieux, d'autant plus que je pouvais reprendre là où j'en étais avec la Dame de Corazon ... Bien que rien ne se passa comme il l'avait prévu, c'est ainsi qu'en cette nuit Vilbert Yilid disparaissa de Mirabar sans laisser aucune traces.

[HRP] Merci à Flash pour l'animation et à Dardan pour l'y avoir aidé. C'était génial et j'ai adoré jouer une raclure d'assassin noble et foireux xD. [HRP]

[Rajout dans le carnet d'Isilia:]

Note supplémentaire: Je ne cesse de garder en tête la musique qu'un zombis fredonnait... c'était quoi les paroles... "I'm Bad, I'm Bad, I'm really really Bad"... oui...
Je pense que si certains bardes reprennaient ça... ça marcherai et avec une belle danse... et on gagnerai... beaucoup d'argent!! Oui! Beaucoup beaucoup d'argent...

*elle referme son journal, et sifflote l'air*