[Bg sans validation][Roub'/Guerrier][H]Salazare

Présentation du personnage.

Citation :

Nom du compte joueur forum : Memphys
Nom du compte joueur module : Ezhul
Nom du perso : Salazare

Race : Humain
Age : 28
Langues : Commun

Alignement : Neutre Mauvais
Religion : Aucunes en particulier

Classes et nombre de niveaux prévus : Roublard 13 / Guerrier 12

Arme de prédilection/domaines/école de magie : Ambidextrie, rapières.

Familier/Compagnon animal : Un perroquet
Ennemis jurés : Personne en particulier

Trait de Caractère :

Aux premiers abords Salazare demeure quelqu'un de calme et posé, un calme qui s'éclipse rapidement lorsque la tentions monte, bref, Salazare est une bombe à retardement.

Sourire est presque une chose habituelle chez lui, il est fréquent qu'il esquisse de fins et discrets en coins, difficile de dire si c'est un sourire charmeur, un rictus, ou un signe de politesse.

Il toise les gens et ses alentours sans relâches et en tout lieu, craintif ? Préventif ? A vous d'en juger.

Son attention concernant les alentours à tendance à s'éclipsé brusquement lorsqu'une belle créature passe par là, créature qu'il jaugera de la tête aux pieds sans scrupules ni vergognes.

L'ont dira également que des traces de froideur ornes parfois son regard.

Description physique :

La personne sur qui votre regard se voit captivé, n’est autre qu’un humain, il mesure un bon mètre-quatre vingt à vue de nez, pour un poids relativement décent à sa taille, ne faisant de Salazare ni un maigre, ni un obèse, ses muscles sont fins, mais imposants, difficile de savoir si il s’agit d’un roublard ou d’un guerrier, peut-être est t-il les deux ? Quoi qu’il en soit, son corps est d’un équilibre assuré.

La teinte de sa peau est bronzée, bien que ses traits sont similaires à ceux des humais natifs de Padhiver ce qui forme un drôle et curieux mariage, le coloris de sa peau contraste anormalement avec les teintes de son œil droit, œil composé d’une touche de bleu saphir et d’une larme de vert émeraude intense et prononcée, son œil gauche quant à lui demeure voilé de la présence d’un cache-œil de teinte noire.

Concernant son visage, les traits qu’il présente sont relativement bien tracés et définis, plutôt agréable à contemplé, un fin et furtif collier de pilosité facial noir de jais et finement taillé orne les contours de son minois, ce qui se mari plutôt bien avec sa chevelure mi- courte, mi-longue de teinte similaire.

Son regard ne dégage aucunes expressions en particulier mais toutes à la fois, en fonctions de ses humeurs et de son interlocuteur, ou du problème établi, il esquisse régulièrement de fins sourires en coins, la plupart sont indescriptible, difficile de savoir si il s’agit de charme, de politesse, ou d’un simple rictus.

Un drôle de tatouage est présent sur l’intégralité de son bras droit, l’esquisse semble avoir était faites d’aiguilles de toutes tailles et d’encres de multiples coloris, elle est relativement bien soignée, sans doutes l’œuvre d’un artisan appliqué, investi et précis.

Le tatouage en lui-même est très imposant, sur le bras gauche à découvert, il représente une infime partie du corps d’un serpent, serpent enveloppés sous des nuées de ronces épineuses, l’œuvre semble se poursuivre sous son gantelet et bien entendu, probablement sous le reste de ses vêtements de cuir.

Caractéristiques :

FOR : 14
DEX : 16
CON : 12
INT : 14
SAG : 10
CHA : 10

Origines, Salazare l’enfant esclave.

Le jeune Salazare as vu le jour il y a désormais approximativement entre vingt-huit et vingt-neuf années humaines, son arrivée précoce condamna sa mère à une mort certaine, cela dois être étrange de naître avec une quantité incalculée de sang sur les mains, curieusement lors de sa naissance, celui-ci n’a pas hurlé de pleures comme tout nouveau né qui se respecte, Salazare s’est contenté de lâcher un léger rire enfantin, avant que le poids oppresseur du sommeil ne l’écrase.

Son père étant mort dans l’éboulement de l’une des mines ou Salazare est voué à œuvré à son tour, ses soins et son éducation ont par conséquent étaient cédées à une boniche, baptisée Solana.

L’endroit ou il réside est dirigé par un Grand Seigneur, du moins c’est ainsi qu’ils sont nommés là bas, celui-ci se prénomme Atreesh, l’ont dis que sa soif de pouvoir est sans limites et que sa cruauté est sans failles.

En grandissant, les premières choses que Salazare en terme de savoir ai pu acquérir, ont était le maniement d’un balai, l’application du cirage sur des paires de bottes d’excellente facture, casser du caillou et ce, dès ses six ans, et bien évidemment, recevoir des coups de fouets, cinglants et tranchants à souhait.

La nuit et en cachette, à l’abri des regards indiscrets celle qui était comme une mère pour lui, même si il continuait de la nommée Solana, lui enseigna des pratiques interdites selon les désirs de Salazare tel que la lecture ou encore l’écriture, quelques heures tout les soirs avant de se faire frapper par la fatigue.

Le peu de temps libre qu’avais Salazare à cet là, à savoir huit ans, était entièrement dévoué aux baies et aux ports de l’île de sables sur laquelle il était installé, à jauger les navires pirates, débarquer et embarquer, Salazare semblais en admiration devant ces pirates, qui semblent aller ou bon leur semble, quand ils en éprouvent le désir, une vie de voyage et d’aventure, une vie qu’envisage ce garçon, l’envie de faire de ses désirs, une réalité, « SA » réalité, mais à quoi bon, après s’être sorti de ses songes, il secoua la tête, faisant une croix sur sa vie de rêve, pour aller recasser du caillou, comme tout les jours, jours après jours.

L’esclave au cul verni.

J’aurais eu plus de cul qu’mes congénères casseur d’pierres au final, c’devait être vers mes dix années, sans trop comprendre ni l’pourquoi et encore moins l’comment, mes sens c’sont d’avantages accrus, un putain d’cascadeur que j’faisait pour mon âge quand j’y r’pense, l’bouche à oreilles à fait son office et l’Seigneur d’cette île merdique ou j’ai grandit m’a proposé d’animé chez lui l’soir, pour les gros lards au cul doré qu’il invitais.

‘Fin ca n’empêche rien au fait qu’j’étais toujours un esclave, j’en avais tellement ras l’cul d’ces chaînes invisible qu’j’aurais était prêt à vendre mon cul pour en être débarrassé, c’pour dire… T’imagine l’tableau mon pote ? Salazare qui vend son cul, la rumeur du siècle qu’ça aurait pu faire, ca aurait pourri bien longtemps dans les annales, y’a pas s’sous entendu, héhé.

M’prend pas aux mots mais au final c’t’un peu c’que j’ai fais, y’en as eu pleins qui ont voulu s’arracher mes talents, l’Seigneur as toujours refusé, après tout j’lui faisais gagner pas mal d’frics et d’affaires, d’la poudre aux yeux quoi.

Pis un beau jour, un type lui as fais une offre qu’il n’a pas pu r’fusé, putain c’que j’adore cette réplique, j’crois qu’elle m’quittera plus jamais ! Bref passons, s’appelais Alphonse, un type à qui fallait pas casser les couilles, plein aux as et un gros bonnet dans l’milieu du banditisme et d’la piraterie, un pilier quoi.

Il m’a libéré d’l’esclavage, m’a filé un chez moi, et m’payé plutôt pas mal quand il avait b’soin d’mes services, enfin même sans, j’tait un peu une sorte d’élève pour lui je dirais.

Mais j’ai… Pigé bien plus tard mon erreur, on y r’viendra plus tard. En général c’tait du vol en toute discrétion qu’il m’demandais d’faire et en pleine nuit.

Pis un soir, j’devais avoir quinze balais, par là…

Haine, douceur parmi tant d’autres.

J’ai fais une boulette, écoute bien, ca s’est passé com’ça.

Faisait noir, j’devais m’rendre dans une bijouterie, pour alimenté un peu Alphonse en gemmes, même si il en avait pas spécialement b’soin, d’mon humble avis, c’tait plutôt des séries d’épreuves qu’il m’destiné, d’ailleurs, j’suis sur maint’nant qu’c’était des gars à lui dans la ruelle.

Ouais, des gars à lui, j’vais t'expliquer, donc t'sent pas obligé d'me couper, hein.

Après avoir rempli mes poches d’gemmes, j’ai r’broussé ch’min, normal en même temps je n’allais pas rester planté là, t’vois, bref en r’venant, j’me suis fais agressé par deux mecs, façon d’parler, ils cognaient comme des femelettes.

Des coups à rendre j’en avais, si t’dois bien r’tenir un truc, c’est qu’ta beau résisté autant qu’tu veux, les coups qu’tu mange dans ton existence, physiques ou mentaux t’resteront en tête, à forces d’en manger dans la gueule t’cherchera à les esquivé et p’tete bien qu’tu les esquivera, mais gardes bien à l’esprit qu’ces coups, tu finira toujours par les rendres, d’la haine et d’la colère j’en avais et j’en ai toujours, j’dirait même qu’c’est pire, fallait pas m’toucher ou m’chercher des poux, car la haine, ca t’pete à la gueule d’un moment à l’autre.

Bref, ils étaient deux, l’premier s’est rué sur ma pomme, sans chercher à comprendre, j’ai expédié mon pied dans sa gueule, il s’est étalé net c’connard, son blaire r’ssemblé à une poire après ça, j’t’assure, c’tait tordant sur l’coup, mais la suite s’est gâté.

L’second avais une pugilat à têtes rondes, son pain m’a ouvert l’arcade, forcement j’tait pas trop content sur l’coup, et un peu dans l’brouillard, quand j’ai r’pris mes esprits quelques s’condes plus tard en gros, j’lui ai collé mon genoux droit dans les couilles, administré une clef d’bras avant d’lui coller mon coude dans la colonne vertébrale, ca à craqué sur l’coup, bref l’était étalé à mes pieds, j’avais juste qu’a partir pis j’ai fais l’truc à pas faire, j’en ai rajouté une couche, j’lui ai écrasé la tronche sous mon pied gauche, mort sur l’coup.

J’ai mis du temps à pigé qu’j’l’avais tué, c’tait une première pour moi, mais pas une dernière, c’tait clair dans ma tête qu’j’devais assumer c’que j’avais glandé, alors j’suis resté planté là jusqu’au matin, agenouillé dans sa flaque de sang, la garde est v’nu m’cueillir, et j’ai pris quatre ans d’taule, m’ça tu l’sais déjà, c’la bas qu’j’ai perdu mon œil en faite, mais ça, j’t’expliquerais l’prochaine fois.

Un truc qu'est sur, c'est qu'la violence, la colère et la haine, t'y prend vite goût.

En faite, à l’origine c’tait deux ans d’taule, mais comme j’tait pas trop un exemple d’sagesse et très docile, m’en ont foutu quatre.

On fait d’chouettes rencontres en geôles, par contre j’te garantie qu’même les gonzesses là bas ont du poids entre les jambes, façon d’parler, mais faut pas les faire chier en gros.

En revanche les geôliers c’des pourritures, z’ont la provoque facile, qu’tu répondes ou pas ils t’éclatent la tête, la seule différence c’est que quand tu réponds sans prendre d’gants, ils t’mutilent, écrasés les prognes d’un gardien m’a coûté mon œil gauche.

J’pas eu d’visite pendant quatre ans, pas d’nouvelles d’Alphonse non plus, l’aurait pu payer pour m’faire sortir, mais l’à pas fait, j’ai crû qu’j’avais pas assez d’valeur sur l’coup à ses yeux, pis au final j’ai pigé qu’c’était voulu, il savait à l’avance qu’j’allais faire une connerie et m’retrouvé la, j’suppose que ca m’aura rendurcit un peu, un mal pour un bien, t’façon j’ai pas d’regrets.

Quand j’suis sorti d’prison, l’était là par contre et curieusement, il m’a fais aussi une offre qu’j’ai pas pu refusé, l’a réalisé mon rêve d’gamin, voyager sur les mers en tant qu’pirate, en m’filant un bateau et un équipage d’une quarantaine d’hommes, en échange, il d’vait juste rafler trente pourcent des butins ramassés, clairement équitable quoi, j’pas eu à m’plaindre.

Bref, j’ai quasiment passé une dizaine d’années en mer après coup, j’vais t’raconter quelques passages s’tu veux, voir même t’y plongé en faite, c’mieux.

Une expédition parmi tant d’autres. [1]

L’air est doux, le vent demeure soufflant, le soleil viens frapper la peau d’un capitaine qui s’étire tranquillement devant sa cabine, tandis que des tirs de canons à faire vibrer son navire résonne à deux pas de lui et qu’une pluie de flèches enflammés en provenance de ce même navire nappe les cieux bleutés environnants, le tout s’écrasant avec violence sur un navire visiblement non armé, un navire marchand aux premiers coups d’oeil.

Le navire du capitaine à l’œil unique, s’approche à vive allure du bateau qui s’embrase lentement, se préparant vraisemblablement à un quelconque abordage.

Salazare : « Des traces de femmes ou d’mioches les mecs ?! » Expulsa Salazare, sur un ton relativement puissant.

Pirate 1 : « Que dalle Cap’taine. » Rétorqua un pirate.

Salazare : « Roule, comme d’habitude, vous vous grouillez d’piquer un maximum de vivres, d’rhum parce que c’est sacré et d’pognons et armes en tout genre, puis vous cramez tout, Hector ? Tu f’ra un rapport. »

Hector, Second : « Tu ne viens pas Capitaine ? » Réplique une brute épaisse, lourdement armée et recouvert d’une imposante armure de plaques, un humain visiblement.

Salazare : « Bof, les navires marchand ca à tendance à m’faire chier. N’oublies pas d’laisser filer leur capitaine, en lui précisant bien qu’il se l’est fait mettre par Salazare l’Serpent, bretteur à la solde d’Alphonse. »

Hector hocha simplement du chef, en guise d’attention et d’approbation, un fragment de seconde avant que l’assaut soit propulsé.

L’assaut fût bref et expéditif, devant le peu de résistance en faction, ce qui n’aura pas pour autant gâcher le spectacle généreusement offert a Salazare, resté en retrait qui aura pu contempler depuis son navire quelques têtes et membres en tout genre volés, et la douce mélodie de douleur, de lamentations et de terreur qui aura pu flatté ses oreilles.

Salazare : « C’tait sympa vu d’ici, virez la voile noire et foutez moi en une blanche, c’forcera peut-être quelques pirates à s’frotter à nous, Hector ? Viens m’chanté c’qu’on a raflés et pointe toi avec un tatoueur qui n’a pas deux mains gauches, ne faudrait pas qu’il m’rate t’vois ? Ca risquerait d’me mettre en pétard alors qu’la journée commence à peine. »

Hector, Second : « A tes ordres, Capitaine. » Mentionna la brute épaisse, tandis que son capitaine s’en détourne dans un sinistre claquement de cape, rejoignant sa cabine.

Tandis que Salazare se fais tatouer le bras droit et une majeur partie du torse et du dos à l’aide d’encres aux couleurs multiples et d’aiguilles de tailles diverses, Hector lui exposes les maigres gains obtenu lors de leur victoire facile.

Hector, Second : « Sinon, Capitaine ? Je peux te posé une question ? »

Salazare : « Mouais, vas y. T’veux savoir quoi ? »

Hector, Second : « Pourquoi tu veux pas que les hommes touches aux femmes ? Ca fait grincer des dents, quand même, pour eux c’est un butin comme un autre. J’avoue que ca m’intrigue. » Mentionna ce dernier, tout en appuyant ses propos d’un regard interrogateur et curieux à souhait.

Salazare : « Qu’leurs dents grincent, j’en ai rien à foutre. J’ai qu’une parole, pis j’ai fais une promesse à une femme y’a quelques années. Y’a personne qui abusera ou tabassera une femme ici, sinon j’leur arrache les couilles et j’les donnes à bouffer aux requins. Et si t’oublies d’me prévenir pendant qu’ca s’produit dans mon dos, c’toi qui les bouffera. Vu ? »

Hector, Second : « Héhé, ouais, c’est compris. Je respecterais tes valeurs, Capitaine. Sinon, pourquoi le Serpent ? »

Salazare : « Merde, t’en as des questions connes aujourd’hui, ma technique d’combat mon vieux. Ta jamais r’marqué que quand j’sort d’l’ombre mes rapières se postent sur la nuque et la jugulaire d’la victime ? Lui empêchant tout mouvement au risque d’crever ? C’t’un peu comme une étreinte. Fais toi enrouler par un serpent, plus tu chercheras à bouger, plus il cherchera à s’étouffer et t’privé de ta liberté d’mouvement. J’pensais qu’tu l’savais d’puis l’temps. »

Hector, Second : « Ah, je vois. Je pensais que c’était parce que ton prénom commencé par un « S » comme Serpent, Capitaine. »

Salazare : « Ca aurait pas autant d’classe, t’peut aller t’doré l’cuir et l’cul au soleil avec les autres s’tu veux. Essayes d’nous trouver une île avec des machins à piller, des trucs avec d’la valeur, aussi tiens, ca nous changera des bateaux. »

Hector s’exécute, sortant de la cabine, une lueur d’amusement dans le regard.

Une expédition parmi tant d'autres. [2]

Plusieurs heures s’étaient écoulées depuis l’incinération du navire marchand, la gravure à l’aide d’encres sur le capitaine était achevée, celui-ci savourant un verre de rhum en compagnie de son Second, l’équipage quant à lui demeuré étrangement calme, lorsque soudain…

Pirate armé d’une longue vue : « CAAAAAAP’TAAAAIIIIIIN ! VITE ! »

Salazare : « Mais qu’est-ce qu’il a encore ce con à gueulé com’ça ? » Salazare sortit de la cabine, pour posé un regard interrogateur sur le Pirate tenu en hauteur.

Pirate armé d’une longue vue : « Terre en vue ! J’vois une ville ! »

Salazare : « C’Luskan… Merde c’pas comme ci c’tait la première fois qu’on débarqué ici. Bon les gars ? Vous aurait quartier libre pendant trois jours, c’est l’temps qu’on y restera. L’règles sont les mêmes qu’d’habitude. »

Salazare : « Pas d’armes au clair, les gardes nous emmerderont pas, mais c’pas une raison pour en profiter, vous aller m’faire l’plein d’rhum et d’drogues, et vous vendez que dalle, c’est l’territoire d’la pègre d’Luskan pas l’notre. J’veux cinq types en permanence sur l’navire, vous vous arrangez comme vous v’lez, j’m’en cogne, sinon appart ça… Vous emmerdez pas les nobles non plus, même si ils m’méritent, pour l’reste, v’faites c’que vous voulez. Pour les prostituées, comme moi vous payez d’vot’poche. Enfin nan, j’pas besoin d’payés les femmes d’Luskan pour les avoir au plumard, c’dois être l’cache-œil, ou les rapières, j’sais pas. Bref ! »

Quelques instants plus tard, l’encre fût lâchée aux abords du Quartier du Port, Port qui aura vu sa taverne se remplir rapidement d’une quantité de pirates un peu déchainée.

Tout au long des trois jours qui se seront écoulés, l’ont aura vu le navire se faire charger de caisses et tonneaux en tout genre et Salazare offrir à plus d’un noble de la cité une chance de cocu, en s’appropriant momentanément les charmes de leurs épouses respectives comme à chaque fois ou le Serpent décide de prendre du repos dans une ville.

Hector, Second : « C’est quoi la suite du programme Capitaine ? » Mentionna t-il, simplement.

Salazare : « Not’cartographe m’a fais mention d’une p’tite île un peu plus à l’est qu’on a pas encore exploré, donc on ira y faire un saut, en espérant qu’ce soit pas qu’une perte d’temps, j’dois rencontré un type l’mois prochain, un capitaine à la d’mande d’Alphonse, pour des négociations, ca m’fais chier d’ailleurs, j’suis pas un diplomate moi, ‘fin ca semble assez important, Alphonse à l’air d’compté sur une entente, donc faudra pas qu’on s’loupe. »

Hector, Second : « A t’entendre Salazare, ca vas être d’un ennui mortel, héhé. »

Salazare : « Mouais, avec un peu d’chance on trouvera d’l’occupation sur l’île en question, pis l’aut’capitaine m’glissera une lame sous l’gorge histoire d’rajouter un peu d’piquant. J’vais r’joindre l’bateau et pioncé un peu, m’ont épuisé les bonnes femmes de c’te ville. »

Salazare se redresse, suite à ses derniers mots, pour se retirer dans sa cabine, alors que son équipage rejoint également le navire, pour faire cap vers l’est.

Tortionnaires, torturés.

Le voyage de Luskan à l’île mystérieuse aura était de repos, si l’ont fais abstraction des deux navires pirates qu’ils ont dépouillés en chemin.

Pirate quelconque : « Cap’taine ? V’dormez ? Île en vue. »

Salazare : « Que d’un œil… Qu’d’un œil… Mouais, j’me lève. »

Pirate quelconque : « Baaaah ! Faut dire qu’vous avez qu’un n’œil Cap’taine. »

Salazare : « … Bref. » Salazare enfila son pantalon de combat en cuir noirâtre, puis un simple maillot, sans manches, avant de rejoindre son équipage, hors de sa cabine.

Salazare : « Alors là haut ? Quoi d’beau à voir ? »

Pirate armé d’une longue vue : « Rien Cap’taine ! C’t’une île rocailleuse et bien sombre j’trouves ! Aah ! ‘Ttendez ! J’vois un bateau un peu enfoncé dans l’sable, l’a l’est dans un sale état, l’emblème m’dis rien. »

Salazare tendis sa main droite, en direction du Pirate à la grande gueule, celui-ci lui expédia la longue-vue, que le Capitaine réceptionna sans grandes peines.

Salazare fourra son œil sans l’appareil, pour jauger les berges de sables noirâtre de l’île.

Salazare : « C’volcanique comme endroit, c’sur. Par contre l’bateau à moins d’dire une ânerie, c’est un navire elfique. J’vois personne à bord c’pas normal. »

Hector, Secondaire : « A quoi tu vois ça Capitaine ? Nous n’avons jamais rencontré d’elfes auparavant. »

Salazare : « Voiles vertes et l’bois parlent d’eux-mêmes. On va y’aller avec les barques, largquez l’encre. »

Les marins s’exécutent suites aux paroles de leur capitaine.

Hector, Secondaire : « Oh ? Tu viens avec nous ? »

Salazare : « Ouais, ouais, t’vas pouvoir savouré l’spectacle c’te fois, d’tout façon t’restes ici. »

Hector, Secondaire : « Ah… Bon et bien, comme tu voudra. Préparez quatre barques, ils iront à douze, nous faut onze volontaire et pas des bras cassés.»

Les barques furent lancés, Salazare était confortablement installé dans la sienne tandis que ses deux collègues ramés à sa place.

Rameur 1 : « Dites ? C’est vrai c’qu’ils disent c’croyez ? Disent que les elfes bah, c’t’une race que féminine et qu’ils bouffent les hommes. »

Salazare : « Euh… Nan c’des conneries, c’est justes des connards arrogants, d’ailleurs s’ils nous font chier, faites leurs c’que vous voulez, je ne peux pas les blairer avec leurs airs hautains. »

La première barque à accostée fût celle de Salazare, qui ordonna à ses deux compagnons d’aller fouiller le bateau elfique de fond en comble, avant les arrivés des trois autres barques.

Rameur 2 : « Traces de luttes, ca pue la mort et l’sang Cap’taine, et l’bateau à l’air d’avoir était pillés, mais aucuns cadavres, y’a aussi des passages dans les forêts d’arbres crâmés derrière vous. »

Salazare : « J’vois… T’vas retourner au bateau et d’mander à l’équipage au complet de débouler, on va encore avoir b’soin d’Hector, donc on va oublier l’commando spécial bretteurs. Les autres ? Surveiller la plage, tirez sur tout c’qui bouge. »

Le calme aura était d’or sur la plage et jusqu'à l’arrivé des bourrins qui séjournes sur le navire de Salazare, en parlant de Salazare, ce dernier s’est contenté d’analysé les traces de luttes dans le navire elfique souillé.

Salazare : « Bon z’êtes tous là, y’a eu d’la lutte mais pas d’corps à découvrir, z’avez autorisation de frapper à vue sur tout c’qui bouge, l’ennemi si l’est encore là as l’air armé. On va attendre encore un peu avant d’fouiller l’île, j’ai envoyé quelques éclaireurs. »

Hector, Second : « Capitaine ? Les éclaireurs sont de retours, indemnes. »

Eclaireurs : « Alors ! Que dalles sur les plages de l’île, en revanche le milieu est bien peuplé, j’ai localisé quelques habitations, et l’entrée d’un temple enfoncé dans la montagne, bien protéger l’temple, ils sont bien armés et portent des grosses armures noires et rouges. »

Salazare : « Noires et rouges hein ? Héhé… Nan mais sérieux ? S’prenne pour qui, z’ont choisi les couleurs de la guerre et d’la mort… Je trouve ça complètement osé. J’ai bien envie d’considéré ça comme un signe d’hostilité, donc faites pas office d’pitié les filles. Hector ? T’passes devant avec tout l’monde, met leur une bonne baffe frontale comme t’les aimes, on s’occupera du reste. Les furtifs vous m’coller l’cul et l’premier qui y touche à mon cul j’lui éclate la gueule. Vu ? »

Le rassemblement de pirates se disperse en deux groupes quelques instants plus tard, le groupe « lourd » dirigé par Hector, s’apprête à lancer un assaut frontale offensive à souhait, étrangement pour des pirates, et à en juger par les faits, ces derniers semblent habitué à combattre en formation, le second groupe composé tout au plus de six hommes relativement tous habiles et furtifs, dirigés par Salazare le Serpent s’écarte du groupe principal, pour s’embusqué dans la flore restante, non loin de l’entrée du temple.

A la vue de la masse conséquente qui s’approche du temple, un cor de guerre résonne à l’entrée de ce dernier, ou une douzaine d’hommes lourdement armés se dresse après coup, la plupart sont des demi-orques au cou orné d’un pendentif fais d’oreilles elfiques aux premiers coups d’oeils.

Tandis que les douze hommes à l’aspect titanesque s’approche du premier groupe, pour se heurté aux pugilats d’Hector, Salazare et les siens s’introduisent dans le temple désormais sans protections, et ou une cérémonie semble avoir était lâchement abandonné.

La pièce dans laquelle se situe Salazare est vaste, un autel monstrueux se tiens dans le fond de ce dernier, là ou se dresse un prêtre armé d’une dague sacrificiel, quelques bancs sont également présents dans la pièce, mais peu d’entre eux sont occupés par des acolytes.

Les murs quant à eux sont décorés d’engins de tortures en tout genre et de cages, ou des individus semblent pourrir depuis un certain temps déjà.

Salazare : « S’lut les eunuques, merde, c’est quoi ce bordel ? »

Prêtre vêtu d’une toge noire : « Qui sont ces vils profanateurs ? Gardes ?! »

Salazare : « Sont occupés dehors, y’a plus personne pour t’obéir ici, en r’vanche, p’tete qu’on vous laissera la vie si vous vous foutez tous à genou devant votre autel de merde et les mains derrières la tête. »

Le prêtre s’exécuta, les acolytes à l’exception d’un seul également.

Salazare : « C’marrant… Faut toujours un têtu, je ne sais pas qui tu prie mais j’m’en fous, saches juste que si tu m’prie pas, c’pas ton dieu qui viendra t’sauver les miches. ‘Fin d’toute façon, d’après ce qu’j’vois, votre dévotion à l’attention des dieux est un peu… Instable, vous d’vez pas être des exemples d’fidélité, donc j’pas besoin d’vous. En r’vanche toi, l’entêté, t’vas servir d’exemple. »

Salazare dégaina sa rapière droite, pour venir fouetter la gorge de l’acolyte se tenant devant lui, de manière à lui détacher la tête, sèchement, sans hurlement de la part de la victime, le seul bruit qui retentira après coup, est celui de la tête malheureux qui s’écrase sur les pavés du temple enfoui.

Salazare : « Pas d’autres volontaires ? Ah ! Hector fini ? Super, dis à tes gars d’fouillé les lieux, r’garder bien dans les cages y’a p’tete des survivants. »

Hector s’exécuta sur le champ, transmettant les directives.
Chaque pièces du temple fût fouillée de fond en comble, y compris et surtout celles des coffres qui ont vite terminés sur le navire du Serpent, concernant les cages, celles-ci abrite des individus aux longues oreilles, probablement les elfes de l’expédition, tous sont en proie à la décomposition de leurs chairs.

Pirate 1 : « Là, y’en as un… Euh… Nan c’est une, qui vit encore. » Salazare s’avance, suite aux paroles du pirate, pour jauger l’état de la créature.

L’elfe avais l’air d’être âgé d’une vingtaine de printemps humain, aussi fine qu’une baguette dû probablement à un manque de nutrition assez poussé, les lèvres de cette dernière étaient cousues, et sa peau et chairs à l’exception de son visage souffrais de moult signes de maltraitances, ses ongles étaient arrachés, une partie de son dos et de son bras gauche à moitié dépecés.

La femme mutilée et dénudée qui se tenais recroquevillée dans sa cage posa ses yeux azurés sur Salazare comme pour jauger son âme, avant de s’écrouler, se plongeant dans un sommeil de marbre.

Salazare laissa résonné dans le temple un grincement de dents, avant de se tourner vers Hector.

Salazare : « Hector. » Mentionna t-il, tout en lui présentant sa main droite.

Hector déposa l’une de ses pugilats dans la main de son Capitaine, la pugilat était recouvertes de pointes d’acier démesurés au niveau des phalanges, après s’être emparé de la pugilat, Salazare s’avança vers le prêtre agenouillé par la force.

Salazare : « T’vois… Je peux t’dire qu’un truc… C’est que contrairement à ton pote… *Marque un temps d’arrêt* Toi tu vas hurler à la mort ! »

Salazare leva le bras droit, armé du pugilat, avec force et rapidité, avant d’écrasé son poing droit dans un mouvement atrocement sec, dans la boite crânienne du prêtre.

……

Un craquement d’os sinistre résonne dans le temple, accompagné quelques secondes plus tard d’un hurlement de douleur.

……

Salazare présente le pugilat aux pointes recouvertes de morceaux de cervelle à Hector, avant de crocheter la cage et sortir du temple, l’elfe entre les bras.

Salazare : « On vas rester un peu, administré le même traitements aux autres prisonniers, à court ou long termes, j’m’en cogne. »

Tantôt gentil, tantôt mauvais, douce contraste que voici.

Les pirates en faction s’exécutèrent suite aux quelques paroles mentionnées par leur Capitaine, s’amusant des prisonniers avant de mettre fin à leurs souffrances avec brutalité.

De son côté, Salazare installa l’elfe aux lèvres cousues en bas des marches, celle-ci ouvrit les yeux, le fixant.

Salazare : « J’vais devoir retirer les fils qui te nouent la bouche, c’risque d’être douloureux mais j’présume que t’était habituée à pire. »

L’elfe de nature tremblante, ferma simplement les yeux, pendant que Salazare lui extirpa les fameux fils de fer disposés sur ses lèvres à l’aide d’une fine pince à tête plate.

Salazare : « T’peut parler maintenant. T’viens d’où ? » Mentionna le Capitaine en fixant sa prise.

La jeune femme remua simplement les lèvres, sans faire entendre la moindre sonorité, Salazare lui entrava la mâchoire à l’aide de sa main gauche, la forçant gentiment à ouvrir la bouche pour mieux en jauger son état.

Salazare : « J’vois… Ils t’ont fais boire un peu d’acide. Ca m’emmerde d’avoir à dire ça à une donzelle, mais pour l’heure t’vas aller t’laver un peu, parce que sérieusement… Tu refoules. »

L’elfe baissa les yeux sur son corps un tantinet rongé par la crasse, un poil vexée voir blessée.

Salazare : « Mes gars ont vu un chemin d’accès vers une chouette baie entourée par les falaises un peu plus loin, tu s’ra pas emmerdée, suit moi. » Expulsa t-il, alors qu’il ouvre la marche, les mains dans les poches de son pantalon de cuir comme à l’accoutumé, l’Elfe agrippa ses mains au long manteau du Pirate au niveau de la colonne vertébrale, collée à lui, le suivant de très près, tout en jaugeant les alentours de ses grands yeux noisettes.

Les deux arrivèrent quelques fragments de minutes plus tard sur les sables de la fameuse baie.

Salazare : « On est arrivé, t’peut aller à la flotte maint’nant. » Devant l’absence de réaction de l’Elfe, Salazare désigna les eaux.

L’elfe resta agrippé au manteau, en guise de réponse.

Salazare : « P’tain… T’es vraiment collante, d’plus… J’ai horreur qu’on s’agrippe à moi comme un mendiant. » Tout en lâchant ses quelques mots, le Capitaine frustré et irrité chassa son manteau, le laissant rejoindre les sables, avant de se détourné de l’elfe dénudée, pour rejoindre le bord de l’une des falaises, ou Hector était posté, observant la scène en retrait.

Hector, Second : « Tu as pu en apprendre un peu plus Capitaine ? On dirait que tu l’as charmé en tout cas, ca dois être le côté héro qui tues le bourreau, qu’en penses tu ? De ma théorie hein, pas de la femelle… Quoi que… » Dis t-il, un sourire gratifiée par l’idiotie aux lèvres.

Salazare : « J’en dis que c’est pas l’moment d’me faire chier. D’jà que j’peux pas blairer les Elfes, là c’est l’bouquet. Pis ta théorie, t’sais ou tu peux t’la mettre ? »

Hector, Second : « Salazare, tu blaires personne en même temps. Une raison particulière ? » Rétorqua Hector, calme et serein.

Salazare : « T’es lourd aujourd’hui… Bref, surveilles l’Elfe, j’ai b’soin d’me dégourdir un peu les bras, j’me sens rouillé en c’moment. »

Hector, Second : « Nous pouvons échangez ensemble si tu veux. »

Salazare : « On bouffe et picoles ensemble, après l’combat tu voudras quoi ? Qu’on pionce ensemble aussi, nan ? M’enfin, l’Elfe est plus collante qu’toi.»

Hector lâcha un rire, gras et irrégulier, gardant ses deux yeux sur l’Elfe se tenant dos tourné et à moitié couverte par les eaux, un peu plus loin, en bas de la falaise.

Salazare dégaina les deux rapières entrecroisées dans son dos, pour diriger les pointes de ces dernières vers le sol, avant de ce hissé sur ces dernières, pieds collées vers le haut, tête pointée vers le bas, de manière à esquissé un poirier personnalisé, absolument parfait.

Hector, Second : « J’ai mal au crâne pour toi… »

Le capitaine laissa ses pieds rejoindre le sol quelques dizaines de secondes plus tard, avant d’exécuté plusieurs nuées d’enchainements à l’aide de ses armes, dans des séries de mouvements réguliers, gracieux et agiles, vifs et acrobatiques mais également secs et cinglants.

Hector, Second : « Tu comptes en faire quoi de l’Elfe, Capitaine ? » Mentionna le guerrier à l’allure imposante, une nuance de curiosité dans l’intonation de sa voix.

Salazare : « J’en sais rien… Pis j’m’en fous. On a qu’à la laisser ici. L’aura qu’a chassée pis s’construire un abri, ca vie d’la nature les elfes, nan ? »

Hector, Second : « Elle aurait pourtant beaucoup à t’apprendre, pourquoi ne pas l’emmener ? Et envisagé ensuite ? N’est tu pas celui qui a pour habitude d’agir et réfléchir ou posé les questions ensuite ? »

Salazare : « A m’apprendre ? Elle n’a pas la gueule d’une capitaine, ni d’une bretteuse encore moins d’une roublarde… J’plus rien à apprendre dans ces domaines là. »

Hector, Second : « Il n’y as pas que la piraterie dans la vie Salazare, tu as vingt-deux années, tu es jeune, et tu n’a rien encore vu de la « vie »… Du moins, tu connais ses mauvais côtés, laisses lui le privilège de t’enseigner les bons… Ca soulagera aussi l’équipage, la plupart ne te respectes pas, ils ont peur de toi. Qui sait… Peut-être qu’elle te rendra plus sympathique. »

Salazare : « Les bons ? Du genre l’amour et toutes ses conneries là ? C’t’éphémère, j’en ai rien à carré. »

Hector, Second : « Tu as du pouvoir, tu est puissant, riche, tu est jeune, beau… Tu as du succès auprès des femmes qu’on croise, en sommes tu as tout pour toi, mais rien qui ne te correspond vraiment ou te satisfait vraiment, le tout est mal exploité. J’en déduis également que tu recherches quelque chose, mais quoi ? Le sait tu toi-même ? Et puis… Même si ca s’éclipse, quel importance ? N’est tu pas celui qui mentionnes fréquemment « Rien n’est jamais acquis ? » Dans tout les cas, c’est toi qui décides… Capitaine. »

Salazare : « T’es vraiment casses-couilles quand tu parles comme une saloperie d’sage ou j’sais pas quoi, voir comme un vieux con ? C’marche aussi. Elle a finie d’se lavé ? Pas d’temps à perdre ici, faut qu’on dégages.»

Hector, Second : « Elle a terminée, mais… Tu as pris ta décision ? Qu’en fais t-on ? »

Salazare : « Mhh… Elle restera ici. D’une, j’l’ai déjà dis… Mais j’blaire pas les elfes… Deux, les femmes n’ont rien à foutre sur un bateau pirate, pire quand les trois quart d’l’équipage sont des chiens en chaleur, pas d’ça sur mon bateau. Trois… Y’en as pas… Ah si ! Ca t’apprendra à m’donner des leçons et à parler comme un couillon, d’ailleurs l’prochaine fois c’toi qu’j’abandonne dans un trou à rat. »

Hector, Second : « C’est toi le Capitaine, Capitaine. »

Attention, ça va couper !

L’elfe emmitouflée sous le long manteau noir de Salazare les rejoignit après en avoir terminée avec les eaux, pour les observés de ses grands yeux noisettes tout en les suivant silencieusement.

Salazare : « Hector ? Vas gueuler aux hommes de s’préparé à reprendre la mer, pis vous deux là bas ? Au lieu d’glandés, déchargez deux à trois barils d’vivres, pour l’Elfe, l’en aura b’soin, elle reste ici. Ah ouais ! Ramenez lui aussi d’autres fringues, j’ai envie d’récupéré mon manteau, merde. » Mentionna le frustré, sur un ton sec et déplaisant à souhait.

La muette resta calme et silencieuse, écoutant les paroles de chacun, tout en observant les deux pirates déchargés quelques tonneaux et caisses de vivres, avant de venir lui tendre des vêtements qu’elle refusa, en se reculant d’un simple pas, suite au mouvement de recule, l’un des deux pirates essaya en vain de lui retirer le manteau, en tirant sur ce dernier.

Pirate 1 : « Cap’taine ?! Elle ne veut pas rendre l’manteau ! »

Pirate 2 : « Je dirais même qu’elle semble s’y attachée comme une moule sur la coque d’un bateau ! »

Salazare : « Commence à m’pelé celle-là… Bon laissez lui, remontez sur le bateau, on dégage. »

Les pirates s’exécutèrent, avant d’ôté l’encre des eaux, pour s’éloigner lentement du rivage, la mutilée resta immobile, observant le navire s’en éloigner tout en contemplant le Capitaine borgne, qui s’était momentanément retourné pour posé l’œil sur elle.

Salazare : « Fais chier… Elle ne pouvait pas s’enfoncé dans l’île cette connasse ? Tss… Hector, donnes l’ordre d’faire demi-tour. » Marmonna le Capitaine, après un court moment de réflexion.

Hector, Second : « Sur ? Sinon nous pouvons aussi tirer quelques flèches en sa direction, de manière à la forcer à s’enfuir. »

Salazare : « T’as gagné, t’sent pas obligé d’en rajouter… T’commences à m’ressemblé, pis tu risques d’commencé à m’gonfler sévèrement, en empruntant c’te voie, t’vois ? »

Hector donna l’ordre, un brin d’amusement dans le regard.

Salazare : « Bon les gars, une fois qu’elle aura pointée son cul sur l’bateau, y’aura deux, trois trucs à prendre en compte. Règle numéro un, on ne fout pas ses mains plein d’merde dessus. Règle numéro deux, on n’essaye pas d’lui r’tirer l’manteau non plus. Règle numéro trois, celui qui respectera pas les deux premières règles s’mangera mes rapières dans l’coin d’la gueule ? Y’en as un qu’aurait pas pigé c’que j’viens d’raconté ? Ou c’tait assez clair pour qu’j’évite d’avoir à faire un dessin, sur l’premier volontaire qui s’désignera ? » Hurla Salazare, une fois l’ordre d’Hector transmis.

Quelques marmonnements incompréhensibles furent crachés par quelques pirates, avant qu’ils acquiescent tous les ordres du Capitaine, sur un ton puissant.

L’Elfe grimpa sur le navire comme convenu, avant de venir s’immobilisée devant Salazare, l’air d’attendre quelque chose, de ce dernier.

Salazare : « Bon… T’vas m’suivre, j’vais t’montrer tes quartiers, Hector ? T’viens aussi. » Dis t-il, avant de s’en détourné, pour ouvrir la marche, suivi de près par les deux.

Le capitaine ouvra la porte de ce qui semble être une cabine à première vue quelconque, pour finalement y entrer, avec les deux.

Salazare : « V’là, tu resteras dans c’te pièce, l’temps du voyage, parce que j’sais pas encore c’qu’on va foutre de toi. T’en sort sous aucuns prétextes, la porte s’ra gardée t’façon, donc si t’essayes d’sortir, j’donnerais autorisation à mes gars d’t’éclater les deux genoux, et les coudes si t’viens à l’esprit d’ramper, on sait jamais. » Mentionna t-il, avant que les deux officiers ressortent de la pièce, pour en fermer la porte.

Hector, Second : « Salazare ? Tu veux des gardes devant la porte ? »

Salazare : « Pas la peine, les consignes sont claires et précises, tant pis pour leurs gueules si elles ne sont pas respectées. C’moi qui gardera la porte, t’façon ma cabine est à côté. »

Hector, Second : « Mhh… Comme tu l’entend. Je retourne à mon rhum, la nuit commences à tomber. »

Salazare : « Bonne bourre… ‘Fin, d’mande aux cartographes d’venir dans ma cabine avant, y’a des îles qui n’ont pas encore étaient mises sur papier. »

Hector, Second : « Tes désirs sont des ordres. » Rétorqua Hector, sur un ton tout aussi approbateur que ses propos, au même instant ou Salazare s’enferma dans sa cabine, sous l’emprunte d’un claquement de porte.

La froideur et noirceur s’épaissit, alors que certains picolent et bossent, d’autres moins fiables rôdent non loin des cabines, le bois craque sous les pas des trois sournois fort peu discrets avant de faire grincer sinistrement la poignée d’une porte, seuil d’une cabine interdite, là ou sommeil une invitée désirées par beaucoup, et indésirable pour un certain Sire trop occupé à arracher et à discuté les travaux de ses cartographes qualifiées de deux mains gauches.

Salazare : « Bon… Cassez vous… On finira ça d’main, ça commences à m’faire chier, pis ça m’empêches de savourer c’rhum à trois cent pièces la bouteille. » Mentionnes ce dernier, tout en se redressant, pour aller leur ouvrir la porte dans un geste plutôt sec.

Salazare : « Dehors. »

Pirate Cartographe : « Dites Capitaine ? C’est normal que lors de l’ouverture de la porte, celle-ci se soit refermée ? » Chuchote l’un des cartographes, les yeux rivés sur la porte.

Salazare : « Nan. J’m’en occupe, belle observation… Tiens, t’aura qu’a la finir. » Rétorque Salazare, sur un ton similaire, tout en encombrant les bras du Cartographe d’une bouteille de rhum à peine entamée.
Salazare colla son oreille gauche contre le bois de la porte, une fois le cartographe hors champ de vision.

Pirate 1 : « Tenez la bien les mecs, après c’sera vot’tour, d’accord ? Si elle bouge, vous cognez, c’qui y’a d’bien avec les muettes c’est qu’elles ne peuvent pas gueuler, et vu l’heure, l’Capitaine dois être complètement bourré, bref personne volera à ton s’cours ma mignonne. »

Pirate 2 : « Mouais… Mais bon, c’dommage qu’on ne puisse pas l’entendre gémir. »

Pirate 3 : « J’ai beau cogner, elle veut pas qu’j’lui vire son manteau c’te morue, l’un d’vous à ramener d’quoi l’découper ? »

La porte s’ouvre brusquement, tout en laissant dans son sillage le simple sifflement d’un courant d’air, chose qui aura eu pour conséquence d’attiré l’attention des trois sournois.

Pirate 1 : « C’tait quoi ça ? J’ai cru voir une ombre. »

Pirate 2 : « Faut arrêter l’rhum mon pote, y’a qu’nous ici. »

Salazare : « Il y avais… Faut pas croire, faut être sur. » Mentionnes une voix, sous l’aspect d’un simple murmure, un fragment de seconde avant qu’une silhouette se révèle dans le dos du pirate qui avais pour intention de découper le manteau.

Fragment de seconde, qui fût rapidement suivi de l’application du fil d’une rapière sur la gorge de ce dernier, alors qu’une seconde lui pointe la nuque, parée à la perforation.

Salazare : « Vouloir abîmé mon manteau, n’était pas une idée très intelligente. Et comme convenu, cela vas se traduire par une mort propre et rapide… Ta mort. »

Alors qu’une projection de sang viens brusquement napée le visage de la jeune femme tétanisée et plaquée contre un mur, le sinistre son provoqué par une tête qui roule ou encore un corps qui s’écrase au sol se fais entendre.

Salazare : « Et… Silencieuse. » Murmure t-il, tout en tournant la tête, de manière à fixé les deux autres de son unique œil, alors qu’ils commencent à reculer.

Salazare : « L’un as le pantalon baissé et l’autre est en train de se pisser dessus… Quel duo de choc. Les gestes doivent toujours aller dans le sens des mots, sinon… Au final, nous ne sommes rien de plus que des animaux… Les règles étaient pourtant clairs et c’est par vos paroles qu’elles ont étaient approuvées… » Le capitaine aux rapières souillées marque un court d’arrêt, alors que son regard se porte sur le pirate au pantalon baissé.


Salazare : « Le petit oiseau à souvent tendance à s’égarer du nid avant même qu’il n’atteigne sa maturité, ce qui as dans la plupart des cas pour conséquence de mettre fin à son existence… En clair et pour r’prendre une façon d’parler moins emmerdante… T’vas t’faire couper l’dard. »

Un hurlement de douleur retenti sur tout le navire au même moment ou un second corps s’écroule.

Pirate 3 : « Démon ! »

Salazare : « Démon ? J’pas d’cornes sur le crâne, mais s’tu veux. Ta pas encore enfreint les règles, ta l’choix entre posé tes sales pattes sur notre invitée, ou emprunté la porte encore ouverte. Choisit vite, mais choisit bien, si tu décides de partir… Penses à ramasser les merdes qui traînent par terre et à les foutre à la flotte. »

Le pirate au pantalon mouillé et aux membres tremblants, s’empressa de trainer les corps de ses défunts et vils compagnons.

Salazare : « Aller, viens. » Murmure t-il, tout en présentant sa main droite ornées de plusieurs bagues serties par des diamants à la Tétanisée qui s’empresse de s’agrippée à la perche tendue pour se faire gentiment entrainée jusqu'à la cabine du capitaine.

Salazare : « C’pas une suite royale… Mais je te garantie que même un prince n’a pas meilleur appartements sur son navire. Débarrasse-toi du sang qu’tu as sur la gueule avant d’aller t’foutre dans mon plumard, j’prendrais les canapés, pas la peine d’me dévisagé avec tes yeux accusateurs, hein. »

Piètres négociations.

Salazare se vautra le premier fauteuil venu, disposant ses coudes sur les accoudoirs prévus à cet effet tout en entrecroisant ses pieds au bord d’une table, bouquin et verre de rhum en mains, il jaugera l’elfe dans son repos du coin de l’œil avec un brin de curiosité pour le restant de la nuit, tout en écoutant ses murmures sans queues ni têtes que celle-ci baragouine dans son sommeil.

Les premières lueurs du soleil font leurs apparitions, chose qui aura pour conséquence d’invité le Capitaine en dehors de sa capitaine, pour toisé le large avec distraction.

Hector, Second : « Oh ? Déjà debout Capitaine ? »

Salazare : « Mouais… J’ai pas dormi. »

Hector, Second : « C’est souvent que tu dors peu, mal ou pas du tout. »

Salazare : « Assez ouais, enfin… J’m’en fout, j’suis en forme. »

Hector, Second : « Mhh... Certes. Quelque chose te tracasse pour que tu jauge de large de si bonne heure ? »

Salazare : « Plein de trucs, déjà y’a l’elfe, elle m’affaiblit… Et je ne pourrais pas toujours être derrière… Et tout ces hommes que je tues ou j’qu’ai déjà tué, leurs visages m’harcèlent quand je clos les yeux, il m’arrive d’entendre encore les lamentations de leurs mômes et de leurs femmes, c’est perturbant. »

Hector, Second : « Nous avons tous nos fantômes. Pour l’Elfe, elle t’affaiblit mais pourrais aussi te rendre plus fort, plus droit, elle te regarde et te suit d’une drôle de façon, tu sais probablement déjà ce qu’elle attend de toi ? Alors… Pourquoi ne pas lui donner ? Salazare ? »

Salazare : « Parce qu’elle me fait peur. La douleur que j’ai déjà surpassée mental ou physique n’est rien… Mais vraiment rien à côté de ce qu’elle pourrait m’faire endurer. »

Hector, Second : « Ca risque difficile de te faire savoir comme celui qui ne craint rien ni personne… Pas même le courroux des dieux Salazare. »

Salazare : « Héhé, vrai, vrai… Enfin ! Ah ! Elle parle dans son sommeil aussi, des débuts de mots, trucs qui n’veulent rien dire, ‘fin j’présume que c’est bon signe. »

Hector, Second : « Surement, la négociation as toujours lieu dans « La » crique des eaux occidentales ? »

Salazare : « Ouais, on y sera d’ici une bonne semaine ou deux. Mais toi tu resteras là. »

Hector, Second : « Oh ? Pourquoi donc ? Si ca tournes mal, je ne serais d’aucune utilité ici. »

Salazare : « Tu me fileras juste deux fine-lame, du léger quoi, toi j’veux qu’tu garde l’œil sur l’elfe, fais moi confiance, m’arrivera rien. »

Hector, Second : « Bon et bien, comme tu voudras, je retourne à mes occupations. »

Durant les deux semaines qui s’étaient écoulées, l’équipage et les eaux furent d’un calme exemplaire, Salazare en profita pour questionner l’elfe, Fleur était son nom et elle arrivée tout droit de la Cité Elfique du Val de Bise, une approche de Salazare fût également faite, celui qui avais pour habitude de laisser les femmes s’abandonné à lui pour obtenir un baiser de sa part, venait dans s’abandonné dans les bras de l’une d’elle pour lui-même lui soutirer un baiser.

Le cœur du Pirate fût rapidement pris sous les feux d’un brasier naissant et croissant, c’était agréable, doux et enivrant, mais il savait qu’il finirait par s’en brûler les doigts, le goût du risque était bien là, mais l’amère goût de la défaite également.

Hector, Second : « Capitaine ? La voile de Salomon se dresse, ils arrivent par ici, l’équipage est arme jusqu’aux dents. »

Salazare relâcha doucement l’elfe qu’il avait emprisonné tout contre lui sous l’emprunte d’une étreinte douce, tendre et chaleureuse et un brin amoureuse.

Salazare : « J’dois retourner bosse, soit sage, j’en aurais pas pour longtemps, Hector veillera sur toi. »

Salazare sortit de la cabine, pour posé l’œil sur le navire qui viens tout juste de les abordés gentiment.

Salomon : « Que celui qu’on appelle Salazare dis le Serpent m’accompagne jusque dans mes appartements. » Mentionne Salomon, avant de rejoindre sa propre cabine, sur son propre bateau.

Salazare : « C’moi, j’vous rejoins dans vingt secondes. Vous deux ? Vous v’nez. » Dis t-il à l’attention de deux pirates aux couleurs de Salazare et lourdement armés d’armes de mêlées légères en tout genre.

Salomon : « Installes toi Salazare, tu veux un verre de rhum ? »

Les deux pirates accompagnants se dispose sur chacun de ses côtés, alors que leur Capitaine prend place dans un fauteuil, face à Salomon, déclinant l’offre d’un simple geste de la main.

Salazarre : « Plus vite ce sera régler mieux ce s’ra pour tout l’monde, viens en au but. »

Salomon : « Hâté ? Enfin soit… Alphonse souhaite la paix, nous allons faire en sorte aujourd’hui et maintenant qu’elle lui soit apportée sur un plateau d’argent. Ces eaux m’appartiennent, les navires pirates d’Alphonse ont tendance à s’y aventuré trop souvent, et les règles sont clairs, pas d’intrusions sur notre territoire, sinon nous ouvrons le feu sans sommations. »

Salazare : « Ouais, jusque la, j’te suis. Qu’est-ce que tu as à proposé ? »

Salomon : « Oh c’est simple, je désire que chaque Capitaine Pirate à la solde d’Alphonse voulant séjourner dans nos eaux devra nous remettre dix pourcent de ses stocks actuels, vivres, trésors, bijoux, or, drogues… Bref, dix pour cent sur tout. Qu’en penses-tu ? »

Salazare : « Dix pour cent, c’est trop. Cinq pour cent. »
Salomon : « Non, dix. »
Salazare : « Dans ce cas… Considères cette négociation comme terminée, j’ai du plus concluant à faire aujourd’hui t’vois ? »

L’un des accompagnateurs de Salazare dirige l’une de ses dagues sur la gorge de ce dernier, l’entaillant un peu, paré à la découpe.

Salazare : « Traitre. »

Salomon : « Alors ? Dix pour cent ? On sait tout les deux qu’Alphonse n’a plus beaucoup de pouvoirs sur les eaux, c’est de toi qu’on entend parler, donc… Il n’est pas vraiment en mesure de négocié quoi que ce soit… Si tu refuses ma généreuse proposition, tu mourra ici et maintenant, et j’irait me servir dans tes coffres, une fois que nous nous seront saisit de ton bateau. »

Sur l’autre navire pendant ce temps là…

Hector, Second : « C’est du long… J’ai pas confiance. »
Fleur cligne des yeux avant d’émettre quelques semblants de mots : « aller… V-v-v-voir ? »

Hector, Second : « Ce n’est pas l’envie qui manque, mais si Salazare préfères que je veille sur toi, c’est qu’il as de bonnes raisons. »
Fleur : « La..za ..re danger ? »

Hector, Second : « Peut-être… J’aurais préféré l’accompagner, enfin toi aussi je présume… Contrairement à lui, tu ne voiles pas tes émotions, il m’est aisé de deviné que tu aimerais aller le retrouver, tu tripotes nerveusement tes manches. Amoureuse ? »

Fleur se contente d’hocher simplement la tête, en regardant ailleurs, le regard dans le vague.

Hector, Second : « Salazare ne connais pas ce genre de choses, peut-être t’aimes t-il lui aussi mais qu’il ne le sait pas encore. On va probablement se faire tirés les oreilles, mais souhaite tu que nous allons lui rendre une petite visite ? »

Un fin sourire ravi vient ronger les lèvres de la jeune femme elfe, alors qu’Hector lui glisse une potion d’invisibilité entre les mains, après en avoir lui-même savouré une.

La porte de la cabine de Salomon voltige quelques instants après, laissant apparaitre un humain aux proportions aussi développés que celles d’un demi-orque, cette entrée fracassante aura permis au Capitaine à la dérive de chasser la dague située sous sa gorge, en désarmant son possesseur et en brisant le bras par le biais d’une clef de bras.

Le second accompagnateur de Salazare fût un fragment de seconde plus tard victime d’un sinistre coup de haches à deux mains de la part de la brute épaisse faisant aussi office de Second.

Hector, Second : « Ca va Capitaine ? »

Salazare : « Ouais ! Fallait pas l’emmener ici merde ! On se tire, c’lui là n’est pas tout à fait mort, il vas nous y aider. » Salazare redresse Salomon en le tirant par l’épaule, lui glissant de sa rapière droite sous la gorge.

Salazare : « Avance, fils de pute ! » Hurla t-il, tout en poussant Salomon vers la sortie de la cabine, suivi de près par l’Elfe déjà accrochée au manteau de son Capitaine bienfaiteur, elle-même suivie par Hector.

Salazare : « Le premier qui bouge j’lui découpe la tête et après on passe au reste d’l’équipage, c’est clair ?! Hector ? Vas la remettre en sureté. »

Salomon : « Tiens… Salazare as une protégée ? Amusant ! »

Salazare : « Ta gueule ! »

Les pirates aux armes au clair, de Salazare se hâtèrent vers le navire ou leur Capitaine avais pris son rival en otage, ils s’empressèrent de former rapidement un bouclier humanoïde et protecteur autour des deux capitaines.

Salazare : « C’lui qui veut m’baisé l’est pas né ! » La rapière s’enfonce dans la gorge du captif, avant que la tête ne roule au sol.

Salazare : « Tuez tout l’monde et piquer tout. »

Salazare s’en détourne, rejoignant ses cabines, le pas lourd et l’air irrité, laissant dans son sillage quelques goûtes de sang en provenance de sa gorge.