[Validé][Rodeur/roublard][H]Srokarr le balafré

Citation :: Nom du compte joueur forum : Setociel
Nom du compte joueur module : Drgumind
Nom du perso : Srokarr
Race : Humain
Age : 23
Alignement : NM
Religion : Malar
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : roublard4/rodeur21
Arme de prédilection : Cimeterre

Langues : Commun

Familier : Ourse brun : 'Griffe de sang' (c'est son nom)

Ennemis jurés : Humanoïdes "civilisé" : Humains, Elfes, Nains, halfin

Trait de Caractère : à découvrir IG

Description physique : Homme imposant, d'un mettre 86 pour 88 kilos, une trace de griffe trois doigts à l'œil droit.

Caractéristiques :
FOR :14(20)
DEX :14
CON :12
INT :14
SAG :14
CHA : 10

Origine (résumer)
Srokarr le balafré est originaire des contrés du mitan occidental, né dans une tribu humaine, les siens ont toujours vénéré le seigneur bestial. A partir de l'age de 12 ans, il commença à chasser avec sa meute, il était désormais un mâle adulte. A 20 ans, il du effectuer sa première chasse isolé//Première chasse//.

A son retour de cette chasse, il défia le chef du clans et perdit, il fut bannit pour avoir tenter de prendre sa place et devint un chasseur errant; un chasseur qui ne fuit pas les villes, mais qui les considère elles aussi comme un terrain de chasse; il rencontra des citadins, des voleurs, des brigands, il se rendit compte que ceux ci vivaient une vie presque semblable à celle de chasseur en pleine ville : ils se cachent, ils observent et vole leur proie, ils volent pour survivre sans risquer leur vie; comme des charognards. Il étudia ces brigands et apprit leurs méthodes pour abattre leurs cibles en combat, une méthode efficace pour un chasseur. Srokarr continua son périple vers le nord, jusqu'à arriver vers Luskan.

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Griffe de sang
L'ourson câline sa mère, il flaire quelque chose, d'humain. Sa mère aussi, elle s'agite, se met sur deux pattes et renifle; il l'imite. Ça se rapproche, c'est nombreux, un danger approche. Elle se dresse, elle gronde de tout son souffle pour dissuader le danger de s'en prendre à son fils, elle demande combat. Le groupe de chasseur dissimuler se montrent, l'hiver a été rude, la nourriture peu abondante, les deux jeunes adultes s'approchent, des armes en pierre dans les mains. La femelle ourse attaque, l'un évite l'autre frappe. Le plus jeune des deux repère l'ourson, il s'en approche, l'ourson lui griffe violemment le visage avec sa patte, il manque d'en perdre un œil; si jeune et si combatif, le plus jeune le voulait à ses cotés, il tenta donc de se montrer amical. Mais l'ourson le considérais hostile, il avait tuer sa mère; cependant, sa sortie d'hibernation lui donnait fin, la besace de l'homme hostile l'attirait : le miel de l'été dernier; L'adolescent le laissa se servir, l'ourson mis sa patte ensanglanté dans le miel.
Lorsqu'il reprit le pot de miel, l'ourson se dirigea vers le corp defunt de samère, comme s'il ne comprenait pas ce qui s'était passer, srokarr resta distant pour ne pas risquer de reperturber l'ourson à nouveau. Srokarr fit signe à son copagnon de rentrer et il resta à observer l'ourson jusqu'a que celui ci ne montre des signes de faim. Srokarr ressortit alors son peau de miel, l'ourson approcha, srokarr partit donc, le miel en bandoulière pour attiré l'ourson loin du corp de sa mère.
Il arriva a une rivière, où il laissa l'ourson se resservir du miel avant de le ranger à nouveau, pour tenter de capturer un poisson. Il savait que les ours faisaient partt des melleurs pecheurs, peut être que sa mèr lui avait apprit à pécher.
Srokarr immita doc les ourses, et tenta de pécher un poisson à la mains, mais la pèche n'était définitivement pas sa prédilection. L'ourson le vit faire, sembla comprendre et réussis contrairement au chasseur.
Srokarr fut jaloux que l'ourson réussisse du premier coup, il sortit son cimettere et frappa, un bout de bois pour l'aiguiser. Les deux compère continèrent de pécher toute l'apprè midi, Srokarr servant de substituant à la mère de l'ourson.

Première chasse

Dans la brume de l'aube, les torches s'allument et la garde se hâte, la ville s'éveille dans une cacophonie d'appels, les gens inondent les rues pour observer le vacarme de cette ville habituellement calme, les rues sont inonder par la masse, le brouhaha s'intensifiant.
Un homme, grand, droit et élégant se distingues des autres sur la place principal, une arme à la main, écu au bras il crie plus fort que les autres :
"Rassemblement !"
Les miliciens se replient, les fouineur cessent leurs activités, tous viennent sur la place central où l'on commence à distinguer une odeur de sang, fraîche. Un homme, le bourgmestre de la ville jonchant le sol, le regard vide tailladé de part en part, par des lames courbés dentelées. Sa femme et son fils affaissée au sol éclaboussé par le sang, en pleur, ont tout vue sans ne rien voir, deux lames dans la brumes....
Le village d'Arlos des forets du Téthyr est bouleverser, il ne s'était produit aucuns incident depuis les deux dernières années. La milice reprend son rythme acharné après cette courte pause, l'assassin est rechercher, un homme qui ne fait pas dans la fine dentelle et qui porte des armes de sauvages.
Certains gardes s'aventurent dans la foret, au nombre de trois sont ceux qui s'aventurent à l'ouest, l'un d'eux repaire des bruits, dégaine, crie de stresse, il s'avance entre la multitude de rocher, pour en voir sortir un ourse de plus de deux mètres de haut, un coup de griffe lui est fatal. Les deux survivants, surpris par la scène sont terroriser, ils ne savent plus ce qu'ils doivent faire, alors qu'une lame chacun s'abat lâchement dans le bas de leur dos, ils n'ont rien vu venir....

la journée s'achève sans que la tension ne s'apaise, la nuit est douce et froide, illuminé par les torche de la citée qui ne peut se calmer. La nuit s'écoule peu à peut, les gardes sont à l'affut du moindre mouvement dans la ville, mais rien. Le soleil commence à offrir ses premiers rayons à l'Est, la disparition des 3 hommes semble avoir été remarquer, une douzaine de proie s'aventurent sur la route opposé au soleil, ils avancent jusqu'à un tas d'os sur un feu de camps, animal surement, étant donner l'absence de crânes humains.
L'un d'eux distingue quelque chose, il avance avec hâte entre les fougères vers l'équipement de ses compères disparurent, alors qu'un piège à loup se referme sur son tibia, il hurle de douleur. Un homme vint lui porter secours, un second piège se referme. La milice s'approche, tailladant de haine les fougères, les prenants comme responsable de l'accident, le dernière piège perd son camouflage. Les hommes sont tous disperser, deux d'entre eux s'occupent des blessés et reprennent le chemin boisé vers la ville.
Surprit par un ourse à mis chemin, ils reculent d'un pas reflex, posent leurs amis au sol pour dégainer et s'orientent vers l'ourse. Un cris d'alèrte d'un des deux blessés surgit, ils n'y prennent pas garde en pensant qu'ils s'adressent à la dangerosité de l'ourse, deux lames leur cisaille la colonne vertébral avant même que l'ourse n'agisse. les deux hommes au sol distingue le visage rustre et balafré de leur ennemie, avant de prendre un coup de plat de lame sur la tête chacun.

Srokarr le Balafré pose les corps sur l'ourse, puis se dirige vers le nord jusqu'à son campement à plusieurs jours de marche, rationnant la nourriture.
Direction : la ville.

Bannit par les siens, par son village pour avoir tenter d'en prendre la tête alors qu'il n'en était pas le plus fort, Srokarr partit avec Griffe de Sang vers le nord. D'un pas silencieux aux millieux des Fougères des genêts et des ronces, son aisance remarquable montrait son experience dans le millieu forestier. Ils s'arreterrent au pied d'un cerisier, Griffe de sang se nourit de ses racines alors que srokarr l'escalada pour y ceuillir des fruits. Il n'avait pas répérer de proies intéréssantes aujourd'hui.A leurs reveillent, ils reprirent la direction de la veille et commencèrent à apercevoir les cimes d'arbre coupé et l'activité des bucherons. Un homme s'avançait vers lui à la hatte, une babiole à la mains, une arme contendante de la ville surement; prêt au combat, srokarr dégaina, l'homme lui labça sa babiole et le contourna, srokarr attrapa son arme sans comprendre, esperait il être épargner et lançant son arme? D'autres hommes arrivaient, une disaine au moin, Srokarr envoya Griffe de Sang se cacher, et les vit venir vers lui en grand nombre, l'entourrant
« Rend toi, tu es cerné! »
Srokarr n'y répondit pas, il s'avança vers l'un d'eux, mais les mattraques des autres ne l'éppargnèrent.
Srokarr se reveilla dans un coin humide, enfermer dans une caverne de pierre polies, des barreaux de métals l'empéchant de partir. D'autres créatures comme lui dans des prisons similaires, il comprit ce qui lui était arrivé. Un homme en armure surpris son reveil et vint taper au barreau, lui demandant où étaient les autres, mais quels autres? Srokarr ne comprenant pas, ne répondit pas à l'homme qui lui parlait. Celui-ci se lassa et entra seul pour frapper Srokarr qui n'était pas attacher, Srokarr encaissa le coup pour saisir l'homme, il le désarma et le cogna contre le mur. Les autres prisoniers crièrent des encouragements alors que le garde se faisait violencer, d'autres accoururent et Srokarr ne fit pas le poid face à une tel masse.
Srokarr ne pouvant plus chasser, commença par refuser la nourritures qu'on lui proposait, mais au bout de quelques jours il céda. Certains prisonniers lui adressait la parole sans qu'il ne réponde jusqu'au jour ou l'un d'eux lui proposa de sortir, il avait un plans disait il. Pour la première fois Srokarr parla à un humain qui n'était pas un chasseur, mais c'était sa seule opportunitée.
Un jour, l'homme qui semblait lui faire confiance demanda de ne pas manger à srokarr, la nouritture contiendrait un poison hallucinogène qui permettrait leur évasion, Srokarr suivit ses conseils; une mutinerie eut lieu le même jours, aucuns garde ne fut en état de 'larreter, Srokarr suivit son complice. Srokarr aterrit dans les bas fonds de la ville, un lieu où comme il le remarqua ici personne ne respectait les loies, son complice lui demanda de retrouver srokarr le lendemain à l'endroit ou il le laissa. Srokarr repartit vers la foret pour retrouver Griffe de Sang, mais celle ci avait disparue, il l'avait quitter depuis un mois...
La piste n'avait pas entièrement disparue, Srokarr apperçut du sang sur une roche proche de là ou Griffe de sang était sencer l'attendre, mais la piste n'était pas fraîche. Il chercha autant qu'il pu des informations, il retrouva aussi des poiles, des poiles de sa bête. La fureur monta en lui, il était persuader que la ville l'avait capturer, sa seule opportunitée de la retrouvé était désormais d'y repartir.
Le lendemain, il fût à l'endroit indiquer, lorsque son ancien complice ce montra, celui-ci lui annonça qu'il avait d'une travaille pour lui, mais srokarr l'aggripa pr la gorge dans une ruel sombre et l'interrogea. Srokarr comprit plus ou moin le fonctionement de la ville, il en apprit aussi sur le commerce des animaux sauvages, leur fourure pour les vetements, leurs utilisations dans les arènes et pour la viande dans de rares cas. Srokarr ne souhaitait qu'une chose, retrouver Griffe de sang, il fit donc un pacte avec son ancien complice, une aide contre une aide.
Le soir même, ils firent donc le tour des arènes animalière des tavernes illégales du port, par chance Srokarr y apperçut Griffe, elle était encor en vie. Fang, son ex complice lui expliqua pourquoi il ne pouvait pas la récupéré, ou du moins pas encor, le fonctionement des guildes rivals etc...
Il proposa à Srokarr de travaillé avec lui, en échange il recupererait son ourse. Srokarr hésita, mais céda. Par la suite, Srokarr fut des filature et des assassinas dans la ville pendant plus de 6 mois pour le compte d'une quelquonque guilde, chassant une fois par semaine dans la foret, passant tout les soirs à l'arène pour s'assurer de l'état de griffe de sang. Durant ces six mois, il apprit les technqiques des filoux de la villes, l'utilisations de certaines formes de magie comme les pièges magiques, beaucoup plus complex que ceux qu'il utilisait, les attaques en traitre, le camouflage urbain etc...
Il utilisa aussi ce temps pour étudier les humains en ville et étudier son fonctionement, renforcer ses connaissances sur son ennemie. Il se rendit compte par lui même que la manière la plus simple de récupéré son ourse était d'en tuer le pseudo propriétaire, comme si elle en avait un. Celui ci fût tuer d'une lame dans le dos alors qu'il fermait l'arène à l'aube, il ne restait plus personne, Srokarr récupéra les clefs sur le cadavre et partit délivrer Griffe de Sang.

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Bonjour,

Mes excuses pour l'attente dans un premier temps Embarassed

Maintenant, entrons dans le vif du sujet ! J'aimerais revenir sur quelques points du BG de Srokarr.

- Tout d'abord, le point qui m'a le plus interpellée, c'est le passage que tu mets sur la rencontre avec son familier (ours ou ourse d'ailleurs?)

Citation :: Griffe de sang
L'ourson câline sa mère, il flaire quelque chose, d'humain. Sa mère aussi, elle s'agite, se met sur deux pattes et renifle; il l'imite. Ça se rapproche, c'est nombreux, un danger approche. Elle se dresse, elle gronde de tout son souffle pour dissuader le danger de s'en prendre à son fils, elle demande combat. Le groupe de chasseur dissimuler se montrent, l'hiver a été rude, la nourriture peu abondante, les deux jeunes adultes s'approchent, des armes en pierre dans les mains. La femelle ourse attaque, l'un évite l'autre frappe. Le plus jeune des deux repère l'ourson, il s'en approche, l'ourson lui griffe violemment le visage avec sa patte, il manque d'en perdre un œil; si jeune et si combatif, le plus jeune le voulait à ses cotés, il tenta donc de se montrer amical. Mais l'ourson le considérais hostile, il avait tuer sa mère; cependant, sa sortie d'hibernation lui donnait fin, la besace de l'homme hostile l'attirait : le miel de l'été dernier; L'adolescent le laissa se servir, l'ourson mis sa patte ensanglanté dans le miel.

Il faut savoir qu'un rôdeur, et même malarite, ne s'en prendra pas pas aux femelles enceintes et aux petits, ou aux femelles qui ont donné naissance récemment, tout simplement pour que le cycle de reproduction puisse continuer (et dans le cadre de la pensée malarite, que donc les proies se renouvellent). Par ailleurs, je doute que l'ourson ne se lie au rôdeur qui a tué sa mère au point d'en devenir son compagnon animal, juste parce qu'il a faim. Ce passage là est donc à revoir.

- Ensuite concernant les ennemis jurés, j'aimerais que tu expliques pourquoi ton personnage a fait des races humanoïdes ses ennemis jurés (le terme en lui-même est porteur de sens, il faut une raison pour qu'il les déteste au point de vouloir les tuer).
N'oublie pas non plus que ces choix signifient que ton personnage n'aura quasiment aucune relation avec aucun humanoïde, et que donc cela devra être joué RP.

- Pour le choix des classes, il serait bien que tu développes chacune d'elle davantage.
Pour la classe rôdeur, si tu as bien mis en avant l'aspect chasseur de ton personnage et le dogme malarite, tu as laissé de côté l'un des aspects principaux de cette classe, à savoir être un gardien de la nature : donc développer la vie dans la nature et la façon dont il la respecte et la protège surtout, l'empathie animale, le déplacement en forêt...
Pour la classe roublard, il faudrait bien expliquer les raisons qui poussent un malarite à vouloir chasser en ville, ce qui est loin d'être son terrain de prédilection (il aurait même plutôt tendance à vouloir détruire les formes de civilisation) et expliquer davantage l'apprentissage des compétences propres à cette classe (A noter que la sournoise ne sert pas vraiment à faire plus mal, ni à étudier les races que l'on attaque).

A ta disposition pour toute question éventuelle, bon courage Smile

Bonsoir,

Commençons par un point ou je suis plutot d'accord ave toi :

le fait que les malarite ne turaient pas une femelle enseinte.
dixit :

Citation :

Oh? je ne vois nul par qu'un malarite ne peut pas tuer une "femelle qui a donnée naissance récement".
De plus, je ne vois nul par dans mes écrits que l'ourson venait de naître, le considérant comme un ourson de 1-2 ans et de 30-35 kilos et donc déjà en age de survive seul (esperance de vie 25-30 ans).
L'ourse n'avait pas donnée naissace récement et l'ourson est en age de survivre.
Ensuite, je n'ai pas dis nomplus que l'ourson ne se liit à on pesonnage rein que par la faim, un lien unifiant 2 amis est long à se dévlopper, ça ne se fait pas du jour au lendemain, il ya 10 ans entre cette partie du BG et IG. Ensuite, l'ourse n'étant pas un animal magique, celui ci a 2 d'intelligence, au moment de fait et est tès jeune, es-ce qu'il "comprend" la scène? non, je ne pense pas. Si toi par contre tu me dis qu'il a compris que si sa mère était morte c'est à cause de mon perso et qu'il hait mon perso et pépar un plans diabolique pour le tuer; Soit, je modifie mon BG.
en attendant, les animaux répondent à ma connaissance à deux lois principalement : Le plus fort et la bouffe.

Citation :

Citation :

Je tien à préciser que je n'ai pas pris la classe de prestige tueur d'enemies.
Pour mon perso, les humains citadins ne sont pas des humains; ou alors Srokarr n'est pas humain, il n'en sait rien et il s'en fous.

Citation :: Enemies mortel (chasseur d'enemie):
Au niveau 1, le personnage choisit un type de créatures pars ses enemis jurés sur lesquels il reporte toute sa haine.

Pourquoi mon perso n'aurait aucune relations avec les humnoïdes? pour commencer, un loup peut très bien passer à coté d'un sanglier sans l'attaquer s'il n'a pas faim.
Secondement, enemie jurée (malgré le nom) est un entraiement spécifique contre une race pas une haine spécifique qui nous pousse à exterminer cette race, contrairement au "chasseur d'enemie" qui est une classe de prestige.
Ensuite, mon personnage n'a pas de haine envers eux(si?), Si enemie juré correspond forcément (bien que rien ne l'indique) à de la haine, ça veut dire qu'un rodeur est forcément raciste.
Mon personnage combat ses enemies jurée par conviction, parrespect des dogmes de Malar et non par haine, de plus, il vos mieux parfois bien combattre son enemie en l'étudiant et en agissant plutôt qu'en agissant directement.
Pour ce qui est de mon lien avec la ville et la façon dont je protège la nature, je t'enverrais ça en privé. Je ne pensait pas avoir besoin de décrire cette aspect et jene l'est pas fait pour la même raison que tu 'as pas crier sur les toits le BG de ton dernier persos.

"(A noter que la sournoise ne sert pas vraiment à faire plus mal, ni à étudier les races que l'on attaque)."
l'étude, c'est enemie jurée, et.. un "coup bas" vise éffectivement à faire plus mal, je sais pas si on t'as déjà taper sur un nerf ou entre les jambes... mais je t'assure que c'est le cas. Autrement tu as raison, l'atque sournoise n'est en effet "normalement" pas de la douleur mais un coup pour tuer visant un organe vital, cependant, je le préfère sous l'aspect de douleurs ce que je trouve plus logique, bien que sur ce point je te laisse voire :

Attaqe sournoise, P57 du manuel de joueurs 3.5 de D&D :
Lorsqu'un roubard attaque son adversaire dans une situation ou celui ci est icapable de se défendre éfficassement, il peut effectuer des dégars supplémentaire en touchant un point sensible..[...]
Le personnage doit être capable de voir sa cible et d'atteindre l'organe qu'il vise.

Cependant, c'est en soi incohérent avec :
"Un roublard qui possède ce pouvoir peut porter des attaqes téllément précise que ses attaques handicapes ses adversaire." (attaque handicapante)

Donc, soit on considère que la force perdue vient du fait qu'on a atteint un nerf (donc ça fait mal) et qu'on ne vise pas d'organe vital.
Soit on considère que la perte de force est due à la douleur de l'attaque sournoise et à l'affaiblissement.

En gros, on peut soit considerer que mon perso fait mal à son enemi avec ses attaques sournoises, soit qu'il essaye de faire mal sans y arriver (quel brèle..)

On est pas d'accord sur certains points de la considération des enemies jurés (haine) et de l'attaque sournoise (douleur) sans oublier la psychologie animal et leurs capacités de compréhention/interprétation des actions. donc, pour les trois premiers points, soit je rejoue plus aucuns rodeurs, druides ni plus aucuns roublards sur le val (bon faut l'avouer dans ce cas vous me voyez plus), Soit on passe aux autres points qui sont légèrement plus important.

on pourrait aussi faire un débat mais il n'y aura jamais personne qui aura raison, ni toi ni moi puisque D&D est vachement subjectif et que même les scientifiques ne comprenent pas toujours le comportement animal.

Il reste donc :
-la ville et les rapports/liens avec la nature (je ferais ça en MP)
-Les dons de rodeurs (si je décrit les dons jusqu'au lvl 20 je commence lvl 20?)
-Mon ours, sur qui je l'avoue je n'ais pas asser dévlopper le lien.

Si cependant, tu souhaite me faire modifer une seul chose sur la mentalité du personnage, je signe l'abandon du BG.
Des précisions d'accord, des modifications non.

Gourou du flood Nombre de messages : 1077

Alors... tout d'abord, bonjour ! Je vais reprendre les points que tu évoques dans ta réponse pour les clarifier.

Citation :: Oh? je ne vois nul par qu'un malarite ne peut pas tuer une "femelle qui a donnée naissance récement".
De plus, je ne vois nul par dans mes écrits que l'ourson venait de naître, le considérant comme un ourson de 2-3 ans et de 40 kilos et donc déjà en age de survive seul (esperance de vie 25-30 ans).
L'ourse n'avait pas donnée naissace récement et l'ourson est en age de survivre.
Ensuite, je n'ai pas dis nomplus que l'ourson ne se liit à on pesonnage rein que par la faim, un lien unifiant 2 amis est long à se dévlopper, ça ne se fait pas du jour au lendemain, il ya 10 ans entre cette partie du BG et IG. Ensuite, l'ourse n'étant pas un animal magique, celui ci a 3 d'intelligence, au moment de fait et est tès jeune, es-ce qu'il "comprend" la scène? non, je ne pense pas. Si toi par contre tu me dis qu'il a compris que si sa mère était morte c'est à cause de mon perso et qu'il hait mon perso et pépar un plans diabolique pour le tuer; Soit, je modifie mon BG.
en attendant, les animaux répondent à ma connaissance à deux lois principalement : Le plus fort et la bouffe.

Concernant les femelles ayant mis bas récemment, je ne parle pas ici de dogme malarite, mais de l'éthique rôdeur en général. La façon de débuter le paragraphe ("L'ourson caline sa mère") laissait penser qu'il était encore sous son égide, et donc dépendant. Comme tu me dis que tel n'est pas le cas, ça convient. Précise-le cependant clairement, c'est important pour la classe que tu demandes, et effectivement, je veux bien la suite de leur relation, ce qui permettra sans doute d'éclairer ce lien qui commence plutôt mal.
Pour ce qui est de comprendre la scène, même ayant 3 en intelligence, l'animal a quand même un instinct fort qui lui permet de voir que quelque chose de grave se passe (La preuve, il attaque pour se défendre). Sans davantage de précision de ta part, j'en reste à ce que je lis.

Citation :: Je tien à préciser que je n'ai pas pris la classe de prestige tueur d'enemies.
Pour enchainer, les humains citadins ne sont pas des humains; ou alors Srokarr n'est pas humain, il n'en sait rien et il s'en fous.

Les humains citadins ne sont pas humains? Que sont-ils alors?
Concernant les ennemis jurés, je n'ai rien contre le fait que ton personnage étudie ses ennemis jurés, bien au contraire, c'est normal, mais je te demande d'expliquer ses choix. On parle bien d'ennemi, même si aucun manuel n'a jugé bon de donner la définition de ce mot, ce n'est donc pas de l'indifférence. Si tu trouves les termes haine et tuer trop forts, je reformule :
"Pourquoi ton personnage n'aime-t-il pas les races humanoïdes au point de les étudier pour en venir à bout plus facilement?" (Le but est quand même de les combattre efficacement, et donc de les tuer au final, même si ce n'est pas comme le tueur d'ennemis qui cherchera lui à éradiquer la race choisie).
Si c'est en rapport avec le dogme de Malar, explique-le moi dans ton BG, c'est ce que je demande.
A noter que le rôdeur peut effectivement être considéré comme raciste, mais que parmi les "races" ennemies jurées on ne trouve pas que des races humanoïdes. Je peux aller plus loin : le culte de Malar est raciste envers les elfes.
Concernant le côté relationnel,à partir du moment où une race est considérée comme "ennemie", on ne va pas nouer des liens avec cette race. Donc forcément, ça sera difficile pour ton personnage d'avoir des relations avec eux : je parle évidemment ici de relations amicales/cordiales/sympathiques (sauf si tu juges normal de sympathiser avec tes ennemis).

Citation :: Pour ce qui est de mon lien avec la ville et la façon dont je protège la nature, je t'enverrais ça en privé. Je ne pensait pas avoir besoin de décrire cette aspect et jene l'est pas fait pour la même raison que tu 'as pas crier sur les toits le BG de ton dernier persos.

Pas de soucis pour le MP que j'attends donc. Je ne vois pas le rapport avec le BG de mon personnage par contre, qui est posté intégralement en forum public (A moins que tu ne parles d'Ambrey, mais son BG a été posté en double exemplaire dès le début : le complet est côté scribe).
En fait, tout ce que tu omets est susceptible de t'être demandé si c'est important pour la validation. Le choix pour un rôdeur de faire de la ville son terrain de chasse n'étant pas courant, ni "normal", il convient donc de l'évoquer, que ce soit en public ou en privé.

Citation :: "(A noter que la sournoise ne sert pas vraiment à faire plus mal, ni à étudier les races que l'on attaque)."
l'étude, c'est enemie jurée, et.. un "coup bas" vise éffectivement à faire plus mal, je sais pas si on t'as déjà taper sur un nerf ou entre les jambes... mais je t'assure que c'est le cas. Autrement tu as raison, l'atque sournoise n'est en effet "normalement" pas de la douleur mais un coup pour tuer visant un organe vital, cependant, je le préfère sous l'aspect de douleurs ce que je trouve plus logique, bien que sur ce point je te laisse voire :
Attaqe sournoise, P57 du manuel de joueurs 3.5 de D&D :
Lorsqu'un roubard attaque son adversaire dans une situation ou celui ci est icapable de se défendre éfficassement, il peut effectuer des dégars supplémentaire en touchant un point sensible..[...]
Le personnage doit être capable de voir sa cible et d'atteindre l'organe qu'il vise.
Cependant, c'est en soi incohérent avec :
"Un roublard qui possède ce pouvoir peut porter des attaqes téllément précise que ses attaques handicapes ses adversaire." (attaque handicapante)
Donc, soit on considère que la force perdue vient du fait qu'on a atteint un nerf (donc ça fait mal) et qu'on ne vise pas d'organe vital.
Soit on considère que la perte de force est due à la douleur de l'attaque sournoise et à l'affaiblissement.

Vu comme ça, je suis effectivement d'accord : l'attaque sournoise sert à faire "plus mal", mais comme toute attaque, ça fait mal quoiqu'il en soit. Ceci dit, c'est l'attaque handicapante qui fait perdre des points de force ou de dextérité, l'attaque sournoise ajoute "seulement" des dégâts. L'attaque sournoise fait davantage de dégâts car elle vise des points sensibles, c'est là son but premier : profiter de la position de faiblesse de l'adversaire pour toucher un point qui "fait mal".
Mais, il n'en reste pas moins que le roublard ne se limite pas à l'attaque sournoise, c'était plus un détail qu'autre chose. Les autres aspects de la classe sont à évoquer, et ce choix est directement en lien avec ce passage que tu dois m'envoyer en MP.

Pour finir : la mentalité du personnage ne me pose aucun souci a priori, sinon je l'aurais dit.
Pour la classe rôdeur, je ne te demande pas forcément de me décrire les dons, mais davantage d'évoquer le classe en elle-même sous d'autres aspects que celui de la chasse. La liste que je t'ai donnée était des exemples de points que tu pouvais évoquer.

J'attends donc le MP que tu dois m'envoyer ainsi que les précisions demandées. Toujours dispo en cas de besoin aussi.

Up suite à l'envois du MP

Gourou du flood Nombre de messages : 1077

BG validé, bon jeu avec ce personnage Wink