Drôle de rêve

Eclaireur du flood Nombre de messages : 51

A Padhiver l'ambiance à l'auberge est festive : de nombreux habitants ce sont retrouvés pour fêter le départ de l'escouade Bainite, qui avait pris possession de l'avant post abandonné, non loin de l'ancien village de Port lasth.
Attablé avec un nain qui me contait avec fierté ses aventures, ses voyages et ses combats, je buvais un vin fort ; et harcelé par les paroles rapides et saoulantes du nain, je m'assoupis...Je vis un grand flou lumineux...puis un grand flou noir.

J'étais dans un lieux bien spécial. Une sorte de lieu sacré. Je tounais la tête et je vis des murs de texture sombre avec des vitraux qui depaignaient des scenes religieusement representées. On remarquait un homme a visage scqueletique drapé de rouge et noir, un autre à ses cotés en armure lourde, plus grand, mêmes couleurs, ainsi qu'un moustachu aux cheveux longs qui brandissait une masse d'arme noire. Tous les trois étaient auréolés, et l'aura du moustachu etait plus marquée que celle des deux autres. Des détails de l'Histoire, en somme... Je remarquai que d'autres gens etaient avec moi dans ce temple : Jai, un de ses amis paladin, le conseiller Ruffin, une femme apparemment porteuse de la cape-étoilée de Padhiver, un petit bonhomme habillé de rouge et noir...et d'autres personnes encore. Je trouvais que l'ambiance était lourde. Les paladins et leurs amis devaient surement se sentir oppréssés, surtout dans la maison du Seigneur des Ténèbres.

Un homme en armure anthracite et verte, qui devait être une sorte de Garde-Prétorien, avancait vers une silhouette sombre habillée en noir, aux courbes féminines : les yeux de cette femme irradiaient d'une couleur rouge surnaturelle. Je me souviens avoir entendu des mots comme "Padhiver est sous contrôle...L'Impercepteur a vaincu...Le Seigneur Noir va regner...ces terres..." . La situation paraissait claire : un triomphe historique, une victoire écrasante des Forces de Baine dans cette région.

Jusqu'a ce que le paladin et la jeune Jai se mettent à qualifier la femme de "traitresse". Dans cet endroit bercé par le Mal, ils tentèrent de la re-convertir. Etaient ils fou ? Peut être que...Moi aussi l'etais-je. Je dégainais mon glaive, remarquant une injustice : Le paladin, Jai et moi-même firent front pour tenter de contrer ce garde qui voulait tuer cette servante de Baine. Un autre garde-prétorien du lieu malefique vint, pour aider son frère d'arme à immobiliser la femme aux yeux rougeoyants. Ils allaient la tuer, et elle ne se rebella pas le moins du monde : pire même elle semblait d'accord avec son triste sort. A cause d'on ne sait quelle magie, le Tyriste ne parvenait pas à empoigner les gardes et Jai non plus. Ils essayèrent de convaincre Sylmen de refuser cette mort. Je me deplaçais pour arriver derrière le garde qui tenait une halebarde pour executer la femme, sur l'autel de Baine le Ténébreux.

Pour donner plus de temps aux deux fraternels Je mis mon épée au niveau de la gorge du garde Noir : "vas-y ...essaies de la tuer..."
Rien a faire, le garde frappa lourdement la bainite aux yeux lumineux.
"Une vie pour une vie !" et je tranchais le garde pour venger la femme, que la halebarde venait d'abbattre. Au contact de la lame, il s'évapora aussi rapidement que la femme executée. Dardan apparu en face de l'autel Bainite. Comme d'habitude il fut arrogant à loisir. Mais son arrogance fut reportée à plus tard, car les ténébres m'emportèrent.

~

Je repris conscience : Je me trouvais sur un autre lieu. Les murs me rappellèrent la salle d'audiance de Luskan. Un dragon vert enorme et peu mobile se tenait à notre gauche, pres du siege de l'avocat d'accusation.
Un homme apparu au milieux de la salle du tribunal : il portait une armure noire comme l'ebène et une cape pourpre à capuchon : son allégeance était claire : sur le poitrail, un soleil noir dessiné en évidence. Je ne me souviens que de quelques bribes de cette parodie de proces :

Ruffin fut accusé de détournements de fonds, d'abus divers et variés et autres termes d'accusation.
Un homme tout nu, une arbalete au poing apparu, un masque à tête de mort sur le visage pour tout vêtement: ce dément nudiste hurlait la culpabilité de l'ex-conseiller Ruffin. Je me souviens qu'il courait partout. Ensuite, un Capitaine de la garde de Luskan fut également convoqué en tant que témoin contre "l'écarlate". Puis un ours entra, dans la salle d'audiance : il marchait sur ses apttes anterieures, comme un bi-pède. Il pris place à coté du cyriquiste. Et il incrimina le pauvre Ruffin. Enfin ce fut au tour d'une femme, la femme de Ruffin de témoigner. Elle faisait partie des membres de ce groupe d'infortunés que nous formions.

Tout au long de ce procès le conseiller de luskan, aux cheveux roux, se défendit bien sur, mais sans grand succes. Pour toute sentence, le dragon qui etait une sorte d'avocat de l'accusation, de mèche avec le juge cyriquiste et l'ours, avala le rouquin d'une bouchée : Ruffin avait disparu. Là encore, comme précedemment, je lancais précisement ma javeline sur le dragon : "Oeil pour oeil !" Rien à faire, l'effet fut sans resultat. Au contact du javelot, le dragon s'évapora. Dautres personnes frappèrent le dragon vert-assassin. Il faut le dire : autant frapper l'air qui nous entourais. Et petit a petit, les membres du petit groupe s'evaporèrent à leur tour, les uns après les autres...

(a suivre, ou pas ? Wink

)

PS : Bien joué l'anime Truc, bien réalisé... Seule critique : ca manquait un peu d'action. Les autres participants, il ne faut pas hésiter à poster à la suite.

un vent de panique courut sur la cité alors qu'on commença a se rendre compte que de nombreuses personnes s'effondraient d'un sommeil sans fin. Partout, de la conseillère à la cape lysandre en passant par les soldats de la fraternités, tous dormaient et pas moyen de les reveiller, rien n'y faisait, ni l'eau glacée, ni la douleur, les coups et blessures
qu'est-ce ? qui nous attaque ? qui doit prendre les décision alors que tous les responsables sont endormis ? L'alerte fut lancée.
un vent de panique secoua les hautes sphères de la ville.. puis , tous de se reveiller... et de rester muet.

Destructeur de Monde Nombre de messages : 1140 Age : 36

Cette nuit, j'ai fait un rêve débile, et j'ai mouillé les draps...
Un type tout nu tout bleu qui nous accueille moi et d'autres, le sifflet à l'air et qui saute dans le vide en délirant. Chacun son truc...
Je tenais le monde dans ma main, et je décidai de le faire tenir sur une tête d'épingle...
Ce matin, je me suis rendu compte que nous avions tous faits le même rêve, nous c'est à dire tous ceux qui étaient présents dans mon rêve, enfin dans notre rêve...
J'aime pas qu'on voit mes rêves alors je dis aux autres:
"J'en ai rien à faire que vous ayez vu le cul d'lulu ou que vous souhaitiez vous taper une chèvre, mais mes rêves, on y touche pas... Il faut choper le type tout nu...".
Moi cette nuit, je dors pas...

A l'auberge de Padhiver, un elfe était monté méditer pour sa rêverie. Paraît-il qu'aucun padhiverien n'a jamais vu d'elfe avec une expression faciale si effrayante le lendemain matin, lorsque celui ci est allé déjeuner. Ouais, ceux qui disent qu'y sanglotait tout seul c'est d'la connerie, ca s'voyait que celui là c'est un tueur. Un type qui trimballe 4 épées peut pas chialer, sur de sur.

Eclaireur du flood Nombre de messages : 51

Je sentais un rayon de soleil, une température douce et un vent leger. Il faisait jour. Les nuages n'etaient pas denses, et peu nombreux. Je reconnu Padhiver et son arene de combat. Nous etions tous à la périphérie, contre les rembardes. Përsonne ne manquait a l'appel. Une seule personne se tenait en bas, au centre : c'était ruffin, qui semblait attendre quelque chose (ou quelqu'un). Les gens l'acclamaient, et lui lancaient des pétales de fleurs, comme si il eut été champion de la ville. Apres plusieurs minutes de "comedie" (car ceci n' etait littéralement qu'une vétitable comedie) un homme entra dans l'arene, pour se battre contre le guerrier aux cheveux roux.

Cette armure pourpre et noire ne nous était pas inconnue : Face a Ruffin, Armand foulait le sable de l'arene, confiant, l' arme maléfique au clair. Le combat se passa quelques minutes. Les deux hommes etaient tous les deux des vétérans, sinon des experts, mais Armand semblait maladroit ou fatigué, comme si il eut été handicapé. Même si je n'étais pas partisan de cet Armand, j'avais l'impression que Ruffin gagnait trop "facilement", et je pensais avec raison que quelque chose m'echappais.

La fin de la scene de combat fut marqué par deux évenements : le premier par la victoire du guerrier roux sur Armand. Le premier exigea du vaincu qu'il reconnaisse sa défaite. Armand avait la lame de l'épée de Ruffin sous le menton, et il du admettre la victoire de "l'écarlate".
Le deuxieme evenement se deroula comme ci-apres : Surgit de nul part, le dragon vert (encore lui !) fondit sur le roux et le mangea d'un coup de gueule, comme au tribunal de Luskan. Je n'eu pas le temps de sortir ma fronde : le Lézard géant s'en alla à tire d'ailes....et nous nous mimes, les uns apres les autres, à nous évaporer dans l'inconnu.

Au petites heures du matin...

La jeune conseillère avançait vers le quartier nord, l'air misérable.
Elle croisa le Paladin de Sylorar sur le chemin du temple. Des éclats de voix se firent entendre... surtout venant de la conseillère, la paladin gardant son calme habituel.

Tous deux se rendirent au temple.

La conseillère réapparut quelques temps plus tard, l'air de se sentir mieux.

Je me souvenais encore clairement de ces quelques mots.
- "Nous venons de raser Padhiver"
Les sons résonnèrent dans le Temple de mon Seigneur. Un long sourire se dessina sur mes lèvres. Ces quelques syllabes avaient quelque chose de magnifique, et j'aurais presque eu envie d'en rire si cela n'avait été un rêve.
L'effet s'accentua avec la réaction des Padhiveriens. Jaï et Altorn crièrent, refusant d'écouter. Lysandre manqua de s'étouffer. Une folle envie de rire.
- "Vous avez fait des prisonniers, j'ose espérer ?", demandais-je doucement au garde agenouillé devant moi.
- "Grâce à vous.. le royaume du nord a été conquit entièrement. La commandante Jaï a été brûlée vive.. prise dans les flammes dans le palais en feu."
Les serviteurs de la Lumière se rebellèrent à nouveau.
- "Jamais vous m'entendez... ça n'arrivera pas! Jamais je ne laisserai Padhivers Tomber!"
C'était Jaï. Que c'était vain...
- "Le Seigneur Noir régnera, c'est inévitable.", répondis-je laconiquement.
Altorn persista, comme toujours.
- "Vos mots ne sont que tromperie .... La Lumière est notre guide jamais je ne laisserais les Ténèbres envahir ce qui est juste !"
- "Notre sombre Seigneur se rapproche de ses desseins", reprit finalement le garde, interrompant sûrement sans le savoir notre échange. J'opinais doucement à ces mots si doux.

Et puis tout changea. Je pus sentir la différence, ce bref mouvement du ki, ce signe annonciateur de la fin. Les prochains mots du garde vibrèrent en symbiose avec cette perturbation. Et ceux d'après encore.
Je sentis Altorn qui essayait de m'aider. Je sentis même Jaï et quelqu'un d'autre, près de moi. Mais le garde continua à parler. Et, au milieu de toutes ces voix, un mot revenait. Traîtresse.
Une phrase me parvint plus distinctement que les autres, me ramenant à la réalité : "Notre sombre Seigneur ne tolère plus votre présence au sein de notre Clergé".
- "Votre passé fait honte à notre clergé. Vous avez faillit à vos devoirs. Vous serez décapitée et votre corps ornera une pique.. l'extérieur de Baine ne viendra point chercher votre âme.. vous allez être parmi le mur de l'enceinte de la cité du dieu des morts"
Le Mur... Mon regard se fixa sur l'autel devant lequel les gardes m'avaient conduit. Le souvenir des nombreuses heures que j'avais passées ici me revinrent. Et, avec elles, le souvenir de mes prières et des dogmes.
- "..... Si mon Seigneur en a décidé ainsi, alors il sera ainsi."
Les gardes me firent m'agenouiller. Je ne résistais pas, même si je crois que certains tentèrent de m'en empêcher. Altorn... La Lumière...
Le garde leva sa hallebarde.
Et par la mort prouvez votre loyauté.
Les Ténèbres.

Mais que de monde au Palais aujourd'hui ! la salle d'audience est ... Oh non ! pas lui !!! il est mort !!! Comment c'est possible qu'Otho soit ici ! j'ai ddécoupé son cadavre puant ! Où est Nemetsk ?!

AH LA GARDE !!!!

Mais personne ne bouge.
Nemetsk ? où es-tu sacripant ?

Un type en noir siège à sa place... çà sent pas bon... et Otho qui me regarde avec ses crocs...

"Ex-Conseiller Ruffin, approchez !" s'exclame le type en noir.

Ex ??? mais où il va rêver lui ? JE vais pas me laisser faire par un guignol aux armes de.... Cyric ! ?? Oh non ! non ! non !!! c'est pas possible !! je pars dix jours et tout fout le camp !

Gardes ! amenez le !

Mais c'est ma tirade çà ! pourquoi il la prononce ! et ces abrutis de gardes qui lui obéissent ! Mais.. mais... c'est Zi !!! là derrière Otho ! lui aussi je l'ai tué !

J'entends des voix, ce n'est pas réel, pn me dit d'être fort, mais ils sont aps accusés eux !

savez vous de quoi vous êtes accusé? tiens comment il sait ce que je pense celui-là ?
non !!! où sont les conseillers ? Où est NEMETSK ??
le capitaine nemesk est mort en passant. et les conseillers.. mmh.. ils doivent être certainement en prison.. mais on ne les a pas nourrit depuis 1 mois.. donc.. *rire gras* Vous êtes accusé d'avoir détourné de l'or
MOI !!! BALIVERNES !!!
vraiment? pourtant votre ours.. dit le contraire..
mon ours ?
Amenez le capitaine bragi !

Voilà Bragi qui entre dans le tribunal, sur deux pattes, en insigne de capitaine de la Garde, il se pose à côté du cycy, débouche un bouteille de gnôle et la siffle, avant de me regarder en se pourlêchant les babines.

Ruffin.. vous êtes un voleur et un traître.
moi ? voleur ?
Mystik et les légionnaires vous accusent également
mais ..... Bragi.... écoute.. depuis le temps..... je sais que j'ai pas passé beaucoup de soirée avec toi.... mais bon.... je suis pas un voleur.... et un traitre ? j'aurais trahi qui ?

Voilà Mystik qui s'avance. Comme elle est belle dans cette robe, comme elle est dési....

Vous avez trahit la légion.. et la cité mon tendre aimé.

Elle ne peut pas dire çà ! ? Pas elle ! non ! une issue ! vite.... y a une voix de Mystik qui braille derrière : c'est doux comme une brise de printemps

mais mais..... et ma voix qui se perd maintenant Princesse !
Je ne suis plus votre princesse. et l'autre voix qui me dit de ne pas l'appeler "Princesse", elle. qu'elle est là. je me retourne et je vois une autre Mystik sur le banc derrière moi. Deux pour le prix d'une hummmmm çà va être intense ce soir... quoi ?? celle qui accuse n'est pas vraie ? Mais non Jai, tu est irréelle... toi et ton ami l'enarmuré de service qui brille-là... on ne brille que dans les rêves.

Des légionnaires sont dans la salle. Ah !!! mes amis !!! Mais pourquoi ils me regardent avec ces yeux accusateurs ? et ces doigts pointés vers moi ! ?

SALE TRAITRE !! A MORT !

Non ! non ! je n'ai pas trahi ! jamais !!

Qu'on le donne à manger au dragon !

NAAAAAAAAAAAAAANNNNNNNN !!!!!!!! PAS LE DRAGOOOOOOOOOOONNN

Tous clâment d'une même voix autour de moi : OTHO OTHO OTHO !
Il faut que je trouve une solution, vite !!!

J'avoue !!!!! J'avoue tout ! La mort de Nemetsk, c'est moi !

trop tard.... les crocs putrides se referment.
AAAAAAAAAHHHHHHHHhhhhhhhhhhh.............

Depuis l'étrange nuit, au théâtre de Luskan....le drôle de service s'évertue a écrire, écrire encore, écrire comme si sa vie en dépendait et déssiner aussi, accomplissant 1001 activités pour se défouler en riant, quelques comédiens l'auront peut être aperçu s'enfermant souvent des heures entières dans le bistrot vide et parler a quelque présence invisible....présence qui lui répondait...

» tiens c'est drole ca^^ Et de 4
» Quand l'impossible est plus facile a trouvé qu'un rêve !