[Validé][Rodeur][H]Jerrico Grimm

Citation :

Citation:
Nom du compte joueur forum : Wiwii
Nom du compte joueur module : Wiwii
Nom du perso : Jerrico Grimm
Race : Humain
Age : 25 ans
Alignement : Neutre
Religion : Sylvanus.
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Rodeurs 25.
Arme de prédilection/domaines/école de magie : Arc Long/Kukris.
Langues : Commun/Animal
Familier/Compagnon animal : Panthère.
Ennemis jurés : (en privé et à venir)

Trait de Caractère : Surprenant, voila qui pourrait bien le décrire. Il ne se fit pas à tous ce que l'on peu dire ou entendre.. Et ne s'intéressant qu'a la foret qu'il protège moyennant force ou brutalité si il le faut.. Mais : "sagesse et dialogue seront les premiers abordés." Il a tendance, à suivre les préceptes du dogme du Chêne Père, mais aussi de ses parents. Il lui arrive souvent de cité des paroles de l'un ou de l'autre.

Description physique : Un homme d'une stature normal, sa corpulence et sa taille sont celle d'un homme qui ne puise pas forcement sa force, dans un physique incroyable, car ses muscles sont fin et tracés. Des cheveux d'un blanc neige, mais un visage juvénile. La blancheur de ces cheveux semble naturelle, et non pas du à la force de l'age. Une barbe fine accompagne des joues au menton.. Si vous remontez votre regards, vous constaterez des yeux d'un marron lège et un tatouage représentant une feuille de chêne sous l'œil gauche. Le reste du corps, n'a rien d'intéressant, si ce n'est si vous aimez, un corps tatoué de vert et doré. Les cicatrices de longue date, et d'un passé douteux ou marquant une époque de guerre et chaos qu'il pourrait vous racontez autours d'une bonne bière ne sont pas au rendez vous.

Caractéristiques :
FOR : 10
DEX : 16
CON : 14
INT : 14
SAG : 14
CHA :8

Jerrico est née il y a de cela 25 ans environs. Enfant de l’union de deux rodeurs de Sylvanus, il appris dés son plus jeune âge à être en contacte avec la nature..
Cet homme appris les fondements du dogme du Père Chêne grâce à sa mère, qui s’occupa de son éducation et de son apprentissage de la lecture, écritures, religions et cultures des autres peuples.

Son père, le pris en charge vers ses 8 ans, mais seulement afin de lui faire comprendre se que sa mère lui apprenait. Il veillait a ce qu’il ne sache pas seulement par le savoir, mais par la pratique.. Le laissant se promener sous bonne garde dans les bois, afin qu’au contacte des animaux et végétations, il apprenne à crée seul un lien entre lui et la nature. De toute évidence, cela pris du temps.. Les animaux ne se laissèrent approcher que lorsqu’ils furent habitués à sa présence, et lorsque l’enfant compris qu’un geste brusque pouvait éveiller la peur chez eux.

Dés ses 12 ans, il commença a apprendre le maniement de l’arc. Utile lorsqu’on est précis il peut abattre une cible de loin et en une flèche. Il commença par tiré sur des cibles fixes longtemps avant de s’en prendre a une cible mouvante, son père l’aider, afin qu’il ne tue pas inutilement, c’était des cibles comme des petites bottes de foins jeté en l’air, à des vitesses et distances différentes..
Son entrainement était très peu physique, cela dit il s’entrainant au corps a corps, bien que faible, il lui fut choisit des armes courtes, mais tranchantes. Le kukri était une bonne arme, malgré sa forme légèrement courbé, il avait de bien meilleurs avantages qu’une lame courte.

À ses 15 ans, il en était déjà à son apprentissage du pistage et de la furtivité. Car un rodeur qui veille en foret ce doit de savoir se fondre dans le décors afin de surprendre l’ennemie tout autant qu’il se doit d’être au aguets. Ses sens toujours en alerte pour ne pas être surpris mais surprendre. Cela faisait un ans qu’il avait appris à chasser.. Il fut arrivé à un moment, ou c’était lui qui ramené le gibier nécessaire afin de nourrir la famille. « Ne jamais tuer inutilement, ou chasser par plaisir. La nature offre et permet la chasse mais seulement lorsque nécessaire afin de ne pas perturber l’équilibre, il ne devait ni y avoir trop de chasse, ni pas assez pour éviter une surpopulation qui entraineraient un déséquilibre dans la chaine alimentaire.. La nature subit et fait subir ».

À ses 17 ans, alors qu’il faisait sa ronde habituelle, il surpris des orcs, pénétrants dans les bois, traversant hors des sentiers dans un vacarme certain, et découpant à la machette les fougèrent et autre afin de se crée un petit logis. Il était la, observant.. « Agir avec sagesse, en adoptant la patience à l’action prise sur le qui vive » un enseignement de sa mère.
Une fois rentré, il avertie ses parents de ce qu’il avait vue. Le groupe n’avait encore rien fait, mais leurs présence n’étais pas appréciés des parents. Le lendemain, il y retourna.
Ils étaient 6, fortement armés de haches et d’épées longues. Ils parlaient dans leurs langage barbares donc, impossible pour le jeune rodeur de comprendre quoi que ce soit. Sur le feu de camps, grillé un cerf. Rien d’anormale jusqu’ici, il décidait de rentré, pour revenir le lendemain.
Et c’est tôt à l’aube qu’il arriva non loin du petit camps de fortune vide.
Son talent de pisteur allait être mis à l’épreuve. C’était jusqu’ici son père qu’il devait pisté dans les bois alors que celui-ci laissé des traces discrète; il se souvint que cela était difficile, mais la, il n’avait pas affaire à un groupe d’homme discret.
Il s’approcha et fouilla rapidement le petit camps. Plus rien. Il fit le tour, et ramassa une branche. Le bois était encore vert, donc il pouvait les retrouver si il se dépêchait. Touchant la terre, comme pour un rituel, il en pris une poignée, et huma celle-ci.. Il se releva par la suite, et se mis a suivre les traces laissés au sol par le groupe de 6 hommes, mais aussi laissé aux arbres. Car ceux-ci semblaient s’amuser sur les arbres avec leurs armes.

Une bonne heure de recherche, et le voila retourné prêt des sentiers. Ou les orcs avaient déjà fait leurs crimes. Un groupe de marchant empruntant un sentier éloigné des principales routes de la foret était au sol. Dont un au bras tranché.
« Ceux qui sème le trouble en foret doivent être punis » Soudain, un sifflement, un cris, et un orc à terre transpercé a la gorge par une flèche. Les 5 autres se retournèrent subitement. Jerrico n’étais pas seul en ces bois.. Et il en profita. Voyant les 5 barbares retournés. Il profita de la situation pour tirer une flèche dans la jambe de celui au centre. Il s’écroula, posant le genoux au sol, pour être achevé sur le coup par le second archè embusqué.
Les orcs restèrent au centre, observant les alentours. Jerrico changea de position, cette fois ci, il grimpa à un arbre et tira une seule flèche afin de ne pas être repéré de nouveau.
« A bonne mire, bon tire » et la flèche perça l’orc, mais celui-ci au lieu de gémir de douleur, lâcha un grognement et balança sa hache dans la direction de l’arbre. Elle fut suivit d’une seconde hache lancé au hasard, mais qui toucha la jambe de l'homme des bois, il glissa depuis la branche, pour achever sa chute 2 mètres plus bas.
Le groupe d’orc s’approchait tandis qu’une autre flèche fut tirée, touchant l’œil de celui qui fut déjà touché par la fleche de Jerrico. Celui-ci, s’écroula à terre rageant de douleur. Il se voit achever par une lame dans le crane, celle de son père qui venant de sortir de sa cachette.
Il s’arma de ces cimeterres et avec agilité, évita l’arme de l’un des orcs qui fut le premier à engager le combat.
Le père était rapide, mais il lui était difficile de combattre seul face a 3 orcs. Usant d’agilité face au groupe, il en mis un a terre tranchant au niveau du tendon de la brave grosse brute de 2 mètres puis l‘achevant d‘un coup de cimeterre dans la nuque..
Jerrico, observait, souffrant du coups qu’il avait pris mais malgré cela, il s’arma de son arc, mais n’osa pas tiré, par risque de toucher son père qui étaient toujours en lutte contre deux orcs armés de haches à deux mains.
Et alors qu’il passait à l’offensive, l’un des deux orcs s’arrêta de combattre le père, et se dirigea vers Jerrico. Le jeune lui décocha une flèche dans la cuisse, mais l'orc ne faiblissait pas.
Il avança avant de se prendre un coup de griffe au visage d’une panthère qui avait surgit depuis les ténèbres. Jerrico l’avait reconnu, non pas à la blessure qu’il lui avait autrefois soigné et qui est désormais une cicatrice au flan, mais c’était comme un sentiment, une sensation ou un sens en lui..
Le dernière orc frappait et frappait, usant de sa rage terrible, donnant du tranchant tout comme du pied. Le père chuta poussé brusquement par la force surhumaine de l’orc, qui finit par planté sa hache dans le torse de l’homme, dans un fracassement de bruit d‘os. La cage-thoracique se brisa sous le coups et l‘un des os brisé, transperça le cœur, tuant dans les quelques secondes qui suivirent l’homme cloué à l’arbre.

La vision de la scène bouleversa subitement l’homme, qui dans un cris et larmes de haines et de peines trouva le courage de se lever, et de tirer, visant le visage de l’orc marqué par un sourire carnassier. Il usa de son lien avec la nature, et se fit extraire de la terre, de la graisse, qui s’agglutina au pied de l’orc permettant à Jerrico de mieux visés.. Et il ne fut pas avare de flèches. Il en décocha une bonne dizaine de son carquois, flèches dont la cause d’une telle précision fut la haine en plus de son entrainement.

…

Des années âpres la mort de son père, ce fut le tour de sa mère, qui d’une maladie, finit morte sur son lit de convalescence. Il était fils unique, sans quoi cela aurait été plus dur a vivre, si il avait eu un frère ou un sœur a surveiller. Mais, il décida de continuait de surveiller au moins sa mère, la nature, qui lui laissa tout de même Illir..




(Pas eu le temps de me relire, donc si y a des incohérences (et faute ça c'est certain xD) dsl ! de plus, je vais poster son arrivés vers luskan ect.
Pour le cadre de presentation, je compléterais, pas fait par manque de temps, je fait ça à mon retour ou demain)

Pour l'instant ça me convient, mais il manque le choix des ennemis jurés. Bien que je décèle au moins le premier.

Ca me convient, je valide