[Refusé][Barde/...]Liothawen

[Note : Si je l'ai mis au mauvais endroit, veuillez m'en excuser ^^' je n'ai pas trouvé de sous forum corespondant]

Citation :

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Quelque part entre l’Anauroch et la Haute-Forêt, niché dans les pics gris, existait un village.

Deux êtres devaient y faire halte. C’était en pleine Nuiteuse, le solstice brumal était proche. Leur errance était longue, et dans les montagnes, il y a peut de lieu où l’on peut trouver un lit et de quoi remplir sa besace.

Deux êtres. Un frère et une sœur.
Djebel la geste et Liothawen la voix.
Tel étaient les noms qu’ils donnaient lorsqu’ils devait se produire sur scène.
Sur scène… Plus couramment, entre deux tables d’Auberge.
La vie de voyageur était leur plaisir, vivant au jour le jour en remplissant leurs bourse, ou plus simplement leur ventre, en proposant leurs talents de barde aux auberges ou se produisant sur les places des lieux qu’ils traversaient.

Ces dernières jours avaient étés pénibles pour eux, ils ne s’étaient pas préparer à devoir faire le triple de la route prévue en passant par ces montagnes. Ce village était une bénédictions de Tymora.

« Dépêche toi Lio. La nuit est déjà bien avancée. Et prions la Vierge de Glace de calmer sa colère et de nous laisser trouver un toit.
- Ne t’inquiète pas mon frère, il suffirait que tu montre ta frimousse à l’une ou l’autre des filles d’ici ; lui lança t’elle, taquine ; et je parierai ton Luth que nous aurons un Repas, et un Toit. Voir même que tu aura un lit bien chauffé !
- Ne raille pas petite sœur, ou c’est ton minois que je vais leurs proposé ; répondis celui ci avec un sourire. »

Sans qu’ils s’en soient rendus compte, leurs pas les avait conduits au centre du hameau. L’obscurité et le vent froid ne jouait pas en faveurs de leur vue. Mais aucune raie de lumière ne s’échappait de la moindre demeure.

« Serrions nous mal tombés petite sœur ? Il semble que la ville soit inhabitée.
- Essayons toujours l’une ou l’autre demeure. Si c’est abandonné nous auront au moins un toit pour la nuit. »

Parlant ainsi, la jeune femme alla frapper à la porte la plus proche. Rien ne vint ouvrir, mais elle avait clairement perçut un bruit sourd venant de l’intérieur. Elle frappa de nouveau.

« Héla ? Il y a quelqu’un ? Ouvrez nous je vous prie ! Nous allons mourir gelés ! »

Il n’y eut d’abord aucune réponse. Puis la porte s’entrouvrit, révélant la lueur étouffée d’une chandelle et la mine mauvaise d’un homme qu’elle aurait put confondre avec un nain tant sa mine était ravagée.

« Partez ! Ne touchez pas à cette porte !
- Mais messire, nous ne pouvons pas partir en pleine nuit. Nous allons mourir de froid dans ce vent, laissez nous passer la nuit cher vous …
- Allez à l’auberge ! Vous aurez un toit pour la pluie et des murs pour le vent !
- Où est elle ? »

L’homme grogna en désignant un vieux bâtiment croulant de l’autre coté de la place.
Djebel arriva à se moment auprès de sa sœur et cala son pied dans la porte qui allait se refermer.

« Nous ne voudrions pas abuser messire. Mais auriez vous un peu de pain ? Nous vous le payons pour une dizaine de cuivres. »

L’homme essaya de refermer la porte, mais ne put pas. Il disparu dans la pièce, emportant sa bougie avec lui. Djebel retira son pied de crainte de ne prendre un coup de gourdin sur ce dernier, et vit revenir avec surprise l’homme avec une bourse de toile.

« Disparaissez ! Vite ! Ne vous approchez pas de cher moi ! »

La porte était déjà fermée et ils entendirent le bruit d’un lourd meuble que l’on pousse, avant qu’elle ne vibre dans un bruit sourd.

« On dirait que mon « minois » ne fait pas effet ici mon frère ; Se plaignit la jeune femme.
- A moins que ce ne soit ma « Frimousse » qui ne lui plaise pas petite sœur ; Ajouta-il en riant.
- Elle a assez plue pour qu’il nous donne ceci ; argumentât-elle en ramassant le sac de toile. »

Concluant la discutions par un rire, il prit rapidement le chemin de l’auberge délabrée en offrant son manteau en protection à sa sœur. La pluie laissait progressivement place à la neige.

Le vieux bâtiment se plaignait sous les assauts du vent, mais il semblait bâtis pour tenir bon. Rien ne laissait penser mis à part la poussière et quelques trous sur la façade extérieure, que ce bâtiments soit laissé à l’abandon.

« L’âtre est vide, mais je ne pense pas que l’on nous blâme si l’on brûle l’un ou l’autre de ces vieux meuble par ce froid petite sœur.
- Occupe t’en, je vais vérifier nos sacs et préparer les paillasses. »

Une lueur éclaira la pièce, la jeune femme venait d’allumer une de ses bougies. Elle chercha les lampes du regard, en trouva une, et l’alluma.

« Ce village est vraiment étrange petite sœur. Regarde ce meuble ! Il est rempli de bouteilles pleines ! Ce n’est pas le genre de chose qui reste longtemps aussi mal caché pourtant.
- Et bien ! Tant mieux pour nous ! Rit-elle. Nous n’aurons pas froid au ventre au moins. »

Ils finissaient paisiblement de s’installer. La lueur de l’âtre filtrait à travers les fenêtres encore intactes du vieux bâtiment. Une silhouette sombre en souriait.

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C’était les premiers jours Eleinte. La chaleur était étouffante. Et pourtant ! Il fallait bien finir de gravir ce maudis rocher. Les divinations avaient montrée qu’il s’agissait de son repaire.

L’homme fit une pause et lissa sa chevelure grisonnante tombant sur son front afin d’en chasser la sueur qui s’y accumulait. Mieux valait arriver de jours là haut. Et en forme. Il passerait la nuit ici. Il consacra le reste de la journée à dissimulée sa présence, aussi bien physiquement, que de toute « créature » que celui qu’il devait voir pouvait contrôler.

La nuit était tombée. L’homme veillait encore. Il en avait repère un qui approchait de son campement. Il avait déjà lancé le sort nécessaire. La chose passa devant lui, le regarda même droit dans les yeux … Et ne vit rien. Il reprit sa traque d’un intrus inexistant.

Le ciel brillait de mille millions d’étoiles, comme ouvert à révéler tout secrets, il était l’heure pour le prêtre d’adresser ses prières à son dieu.

Le jours se levât. Il était temps de finir son ascension.

Ce hameau était une ruine ! Aucune masure ou chaumière n’ayant sa porte défoncée. Chacune des demeures semblait avoir été la scène d’un combat à mort. Des chariots brisés, chargés de meubles, ne s’éloignaient de quelques pas de la place, comme si ceux qui avaient tenté de fuir n’avait eut le temps que franchir les portes du hameau … Et au centre du village, prônait les restes calcinées d’un bâtiment qui aurait plus être une auberge.

Ce n’est pas ici qu’il se cachait, mais c’était bien ici qu’il avait agit. Il fallait qu’il trouve sa demeure … Et ce sentier où l’on pouvait voir des pas multiples devait bien y mener.

Les créatures était bien là, mais encore une fois, aucune ne pouvait le voir. Certaines reniflait bien, mais il doutait même que leurs odorats soit suffisamment développés pour le repérer. Puis il l’aperçut. Cet homme en robe sombre, qui évoluait au milieu des créatures et qui venait vers lui.

« Et bien, qui aurait crus que quelqu’un s’aventurerait jusqu'à moi. Qui êtes vous pour oser vous aventurer ici ?
- Je suis venus renouveler la proposition que mon temple vous à fait ; Le prêtre souleva le bâton qui lui avait servit à marcher entre les pierres jusqu’ici. Acceptez ! Nous somme en pleine expansion, vous ne pourrez qui trouver votre place. Sinon …
- Etes vous fou ?! Vous venez me menacer cher moi ! Je ne courberait pas l’échine devant un culte qui ne sait rien ! »

Le prêtre allait répondre, mais déjà l’homme incantait. Le prêtre planta son bâton à ses cotés, et pria son dieu en serrant entre ses doigts un hexagone noir.

La dissipation de l’homme sombre affecta le prêtre. Son invisibilité envers ses créatures n’était plus, Il donna l’ordre a ces dernières de mettre l’intrus à mort. Le prêtre quand à lui canalisa sa foi à travers le Symbole de son dieu.

Les zombis qui les entouraient s’agitèrent en détectant leur proie. Puis. Certains restèrent immobile. D’autre soudainement, s’éloignaient vivement du prêtre. Le prêtre ordonna à ceux dont il avait pris le contrôle de tuer le nécromants.

Entouré de ses propres morts. Il tenta d’incanter un nouveau sort, mais les premiers coups tombaient déjà sur lui. Cela ne dura pas longtemps. Lorsqu’il ne resta que des morts, le prêtre lança un nouveau sort. L’aura de chacune des créatures du nécromant idiot lui était palpable. Il récupéra son bâton, et se mit en quête de détruire ces non-morts hors de contrôle.

C’était le dernier. Plus aucune aura n’était palpable. Il allait maintenant pouvoir réunir les grimoires et autres résultats intéressant que le nécromant avait plus accumuler. C’était le dernier … Et pourtant … Il entendit une plainte. Il ne fallait pas baisser sa garde. Bien qu’il en douta, le nécromant pouvait avoir autre chose que des morts-vivant à ses ordres.

Ce qu’il trouva, enchaînée à une table, il la prit d’abord pour les restes d’une goule, tant son aspect était écœurant. Pourtant, ce qui se tenait sous cette touffe de cheveux couleurs de sang était bien en vie …

« Par l’Elogieux ! »

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Quelques semaines avaient passées. Ce qui se cachait sous la crasse et les haillons c’était avéré être une jeune femme. Des affaires du nécromanciens il n’avait rassemblés que quelques tomes qu’ils pourraient transporter à deux, en effet, il avait mieux que quelques livres aux écrits déments. La jeune femme avait été son « aide » durant l’années qui finissait de s’écouler. Caprice délirant de ce fou que d’avoir à ses cotés un cheveux de Sunie qu’il pouvait humilier à sa guise, ou terrifier à outrance en exigent son assistance lors de ses expériences.

Mieux qu’un témoins, si elle avait put apprendre quoique ce soit aux cotés de cet homme, cela intéresserait sans doute le maître du temple où il devait se rendre à présent.

Et durant ces longs mois de voyages qui s’annonçaient, peut être réussirait il à ramener un peu d’éclat dans la mine de cette étrange jeune femme … Elle était encore fragile. La convertir au Seigneur de la Crypte oubliée serait une première étape.

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[Hrp : Cette première partie est le texte que j'ai réécrit sur la base de ce qui avait été ecrit à la création de mon personnage. (Mais ayant perdus ce premier texte, en voicis la nouvelle version.)

Le bg n'est pas complet à ce stade. Viendra à sa suite le récit de ce qui c'est déroulé durant ses dix ans d'abscence.]

Elle n’avait pas plus d’une vingtaine d’années lorsqu’elle arriva à Lorgol. Seule.

La carte qui l’avait guidée jusque là mentionnait également une crypte. C’est sans hésitations qu’elle traversa la ville noire, et se rendis au cimetière. Des hommes s’y trouvaient.

Quelques paroles furent échangées. Elle fut menée dans la crypte même ; et y rencontra l’archinécromant.

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Elle intrigua premièrement. Mais fut tout de même acceptée en tant qu’initiée de la non-vie. Ses talents n’était pas ceux que l’archinécromant avait l’habitude d’observer.

Son chant avait pour capacités de faire vibrer l’énergie de la toile. Sa voix était capables de prendre des tons glaçant le corps et l’esprit à qui n’y était pas préparé.

Mais cela ne lui permettait pas d’influer sur la non-vie. Elle ne dut son passage au titre d’apprentis qu’à sa volonté d’en apprendre plus sur la non-vie.

Durant les longs mois qui s’écoulèrent dans ce temple de l’Elogieux, elle ne fit qu’étudier les corps mis à sa disposition, tentant de moduler sa voix afin d’influer sur les esclaves non-vivants servant à l’usage du temple, et s’appliquant à comprendre les mécanismes de l’énergie négative sur la non-vie.

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Ses journées se partageait entre la solitude de la crypte, les études qui s’y déroulaient, et entre les soirées qu’elle passait à la taverne bordant le cimetière, où elle avait pris logis.

Il lui arrivait de payer sa chambre au tenancier en chantant le soir pour ceux qui se trouvait là. Cela remplissait quelques tables. Bien peu avaient ne serait-ce que la possibilité de sortir de la ville. Qu’importe la qualité du chant ou son ton lorsqu’il s’agit de son seul loisir ?

Quoi qu’il en soit. Cela lui importait peu. Sa seule volonté était à présent tourné vers la compréhension de la non-vie.

Un événement vint pourtant bouleverser cela. La peste ravageait alors Lorgol. Les prêtres de la crypte dispensait quelques soins aux malades. Elle en était également capable, alors elle parcourait les rues infectées à la recherche d’êtres possédant la force d’y survivre.

C’est lors d’une de ses errances qu’elle rencontra le jeune Jean. Il n’était qu’un enfant, sa vie ne serait pas longue si il restait dans ces quartiers infectés. Elle le recueillit et l’amena à l’auberge où elle logeait après c’être assuré de sa non-infection.

Elle en fit part à son temple, et laissa son or a l’aubergiste afin que le gamin puisse loger quelques temps dans sa chambre et soit nourris.

Quelques jours plus tard, elle était partis.

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[Hrp : Ceci est ce qui c'est déroulait alors qu'elle était sur le module.

Suite à venir.]

Bonjour

Evy a écrit:: Classes du PRC
On vous a posté les fiches concernant les classes du PRC qui seront rajoutées avec celui-ci. Toutefois, il ne s'agit là que d'un avant goût... Ainsi, tant que le staff n'aura pas donné son feu vert, merci de continuer à envoyer des BG uniquement pour les classes validables pour le moment. En effet, nous ne pouvons pas encore valider celles qui seront dans le PRC, ni même valider à "l'avance" un personnage avec cette classe. Chaque chose en son temps Smile

Donc comme tu as pu le lire, et sachant que la classe de prestige de Chante Mort est une classe du prc, nous ne pouvons la traiter pour le moment.

Je te laisse développer ta classe de barde plus en profondeur. Smile

[Hrp : Ca mettra un peu de temps à se finir.

Le temps des études reviennes et j'aurais pas le net jusqu'à nouvel avis. ^^']

Je met pour l'instant ton BG au cimetière, et si tu souhaites le reprendre en main tu n'auras qu'a me demander Smile