[Validé/disparu][Prêtre][H]Godefroi de Grischâteau

Citation :

Nom du compte joueur forum : Godefroi
Nom du compte joueur module : Godefroi_grischateau
Nom du perso : Godefroi de Grischâteau
Race : Humain
Age : 21 ans
Alignement : Loyal bon
Religion : Tyriste
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Prêtre 25 (peut-être une classe de prestiges si l'occasion se présente rp)
Arme de prédilection/domaines/école de magie : Marteau de guerre / Bien et Guerre
Langues : commun
Description physique : a venir


Caractéristiques :
FOR : 10
DEX : 8
CON : 10
INT : 12
SAG : 18
CHA : 14

**On peut lire ces quelques lignes sur quelques pages vieillies et déchirer trainant dans la bourse de Godefroi de Grischâteau**


Il est des expériences dans la vie d'un jeune homme qui forge une vie entière. Ma jeunesse à moi fut des plus heureuse si ce n'était des quelques évènements qui changèrent ma vie à tous jamais. Mais je n'ai aucun regret, car cette vie que je mène à présent me remplie de joie et ne me laisse aucun goût amer. Je sais maintenant que si j'ai perdu bien des choses dans cette jeunesse, ce fut pour nourrir un plus grand dessein, celui de la Justice et du bien en ce monde ou plane sans cesse désolation et tristesse. J'ai la certitude que tout ce qui est arrivé, le fut pour la gloire de mon seigneur et n'est que le destin qu'il a tracé pour moi. C'est pourquoi je n'ai aucune crainte, je me remets lui...


La mort

Je peux considérer ce jour comme le premier de ma vie. Je pourrais considérer ce jour comme une damnation, mais malgré toutes ces pertes et toutes ces douleurs, ce jour m'aura donné une vie.

Il y avait peu de temps que la guerre civile était achevée, la nouvelle capitale du Thétyr commençait tranquillement à reprendre vie. Mon père, sergent dans la garde du roi, revenait tout juste de pacifier une petite région au sud de l'Agis, tout près de la frontière du Calimsham. Pour me récompenser d'avoir été un bon garçon pendant son absence, mon père m'emmena au marché pour voir les dompteurs de serpents de Port-Calim. Comme j'étais fier de me pavaner avec ce grand homme, vêtu de sa plus belle armure pour l'occasion. Je promenais mon regard avec admiration sur le filigrane doré des armoiries du roi Haedrak Errilam Alemander Olosar Lhorik (Alias Lheao, scribe d'Elminster).

Après les dompteurs de serpents, mon père m'emmena dans le quartier des temples pour rencontrer son vieil ami Logham qui célébrait le jour de la justice vigilante accompagner de ses frères de l'ordre du Saint Jugement. C'était la première fois que j'assistais à une cérémonie à la gloire du dieu manchot. Lorsque les prêtres commencèrent leur léthargie, je m'éloignai un peu de mon père pour grimper sur une poutre et ainsi ne rien perdre de la magie qui s'édifiait au centre du temple. De mon point de vue, je remarquai le roi qui prenait part à la cérémonie flanqué de 2 gardes armés et de plusieurs courtisans de la noblesse locale. Le chant des prêtres ce fit de plus en plus fort, l'enceinte du Temple commençait à trembler, puis tout à coup un énorme marteau luminessant apparu et nous aveugla tous. Je fus complètement aveuglé par la lumière, je fermai les yeux et tout à coup j'entendis des cris, puis un mouvement de foule. J'entendis mon père me crier de revenir près de lui mais quand j'ouvris les yeux, je ne voyais que du blanc. Le marteau disparu d'un coup et je pu voir ce qui causait tant d'agitation. Le roi se se trouvait sous ses gardes et mon père courrait derrière un homme armé d'une arbalète. Logham faisait une prière pour soigner les blessures du roi, je regardai le tout avec les yeux impuissant d'un enfant. Lorsque je me retournai pour voir ce qu'il advenait de mon père, je le vis s'écrouler, touché par plusieurs carreaux le transperçant de part en part. Je me mis à courir dans sa direction, mais Logham m'aggripa avant que je n'arrive au près de mon père. Les gens autour de moi étaient pris de panique et courraient dans tous les sens. Je vis l'homme à l'arbalète sortir du temple et regarder derrière lui, c'est là que je vis son visage, il resta gravé dans ma mémoire tel une marque au fer rouge brulant la peau jusqu'à la chair. Je me jurai de retrouver cet homme et de le châtier, c'est en ce moment précis que je perdis mon cœur d'enfant.


La noirceur

Il y avait que quelques mois que ma mère avait trépassé que je me retrouvais à pleurer mon père que je venais à peine de retrouver. Je me retrouvais, ironie du sort, dans la même chambre qu'à la mort de ma mère, au temple de Tyr, seule enfant dans ce monde d'adulte. Fidèle au poste, Logham pris soins de moi, il m'éduqua dans les préceptes de Tyr, du moins il essayait. Encore une fois, je n'avais qu'une seule idée en tête, venger mon défunt père. Logham chercha à m'enseigner que la vengeance ne servait à rien et que seul la justice, la vrai, pouvait arriver à punir un crime quel qu'il soit. Il tenta de m'expliquer que la rancœur qui gangrénait mon cœur ne pouvait que servir de vils intérêts, que seule la froide et aveugle justice, faisant abstraction de tout mal, pouvait, un jour me laisser en paix. Mon brave maitre était convainquant, mais mon cœur en peine ne pouvait s'astreindre à tant de raison.

Les jours et les semaines passaient, et ma hargne ne cessait de croitre. Mon cœur d'enfant à jamais perdu, je me surprenais quelquefois à pleurer sur mon sort en demandant aux dieux de me rendre mes parents. Je m'endormais ainsi, les yeux baignant de larmes, seul dans mon lit, sans autre réconfort que le cierge qui brulait sur la balance et le marteau au centre de ma chambre. Je priai quelquefois Hoar pour qu'il me venge, mais à chaque fois j'eux peur de réveiller le courroux de Tyr, il n'était pas prudent de prier ainsi un autre dieu en son temple.

Mon éducation continua, on tenta de me montrer le maniement des armes, auquel je n’excellais guère. Cela me rendait bien mal car je voulais devenir fort pour assouvir ma vengeance. À défaut des armes, j'arrivai relativement facilement à comprendre les cours de théologies, je finis même par être premier de ma classe. Mais cela ne me donnais rien, du moins pour le moment.

J'ignore si le Bg est terminé, mais j'aurais quelques remarques :

J'ai du mal à comprendre l'événement dans le temple de Tyr, peux tu le décrire plus précisément, on comprend qu'un sort est lancé, des carreaux sont tirés et un homme s'enfuit.

Si je comprends bien pour le moment l'âme de ton perso est mu par la vengeance et non la justice encore. Je suppose qu'il y a une suite pour développer cela ?

Dernier point, l'arme de prédilection de Tyr est l'épée longue. Tu as choisi le marteau de guerre. Pourquoi refuser le symbole supplémentaire qui liera ta vie à Tyr ?

Et ben pour commencer le BG n'est pas terminé, je l'écris au travail à temps perdu donc directement sur le forum... c'est pourquoi ça ressemble à ça.

Ensuite, il sagit des souvenirs flous d'un jeune garçon, donc rien n'est clair pour cette période de sa vie, c'est voulu.

Pour l'arme du dieu, Justiciar est en effet son arme de prédilection, mais les balances (ordre de pretre de tyr) utilise le marteau de guerre qui est aussi un symbole Tyrien, le marteau et la balance. Lors de jugements, les balances sont masques et posent sur leur bureau une balance et leur marteau de guerre.

Donc voilà, je n'en suis qu'à l'introduction, donc encore loin d'un BG achevé, il arrivera encore nombre de chose dans l'esprit de mon personnage pour le faire évoluer vers son statut à son arriver ici

Le passage

Le treizième jour de Marpenoth, un an après la mort de mon père, je participai pour la première fois au rituel de l'amputation. Bien que je ne voulais point m'impliquer dans ce genre de chose, Logham insista pour que j'y prenne part, prétextant que cela pourrais m'aider à comprendre ce mal qui rongeait mon âme.

Les prêtres invoquèrent une main gantée, entourées de halo de sang écarlate, je regardai tout cela avec un certain ennuie. Le soir venue, je priai Hoar en cachette, de m'aider à venger mon père. Encore une fois, je n'eu aucune réponse du dieu des trois tonnerres. Mais lorsque je m'endormis, je me perdis dans les méandres de mes songes. Au plus profond de mon âme, en plein cœur du rêve, j'aperçus un visage aux yeux bandés, du sang dégoulinant de ceux ci. Le spectre s'adressa à moi en ces mots : "Tu verras mon fils, d'ici peu tu comprendras. Tu devras passer encore au travers de plusieurs épreuves et ensuite tu seras illuminés par la vérité et tu auras trouvé ta voie". Le lendemain matin, quelque peu troublé par mon songe, je demandai conseil auprès de Logham pour savoir ce que pouvait bien vouloir dire un tel songe. Logham m'expliqua que le Juste m'avait fait un signe et que c'était à moi de découvrir ce qu'il en était. Les paroles de Logham me troublèrent. Je me retrouvai entre deux feux, d'un côté je vivais au jour le jour avec cette soif de vengeance et de l'autre, ce rêve qui me dictait peut-être une autre voie. Tout en restant au prise avec ma vengeance, je me mis à étudier plus avant les dogmes du dieu manchot. Je retrouvai un peu de mon père dans ces enseignements, ces idéaux de justice et de bien que mon père défendait et dont il nous faisait part le soir au repas. Je me souvins de ces soirées près du feu lorsqu'il me disait de protéger les faibles, de toujours agir avec justice envers mes pairs et de ne jamais les juger sans avoir en main tous les éléments qui me permettraient de les juger avec clairvoyance. Je retrouvai en ce dieux mon père que j'avais perdu... mais tous ces idéaux de justice, bien qu’ils m'étaient cher ne m'enlevait point cette soif de vengeance qui m'étreignait...


Le choix

J'avais 15 ans, j'étais presque un homme. Il y avait un an que je vivais en dehors du temple chez une sœur de Logham. Tout se passait à merveille, cette famille était relativement aisée, faisant partie de la basse noblesse. Je commençais mon entrainement martial pour entrer dans la garde de la cité, comme mon père. Même si je n'avais que très peu d'intérêt pour les armes, je m'efforçais de m'entrainer plus fort que les autres pour arriver à mes fins. À défaut d'avoir une bonne dextérité, je peux dire que je faisais preuve d'une volonté implacable. Comme j'avais déjà appris un peu le maniement du marteau auprès des prêtres, je continuai dans cette voie et m'y perfectionnai.

Le jour de mes 16 ans en me rendant aux tests nécessaire à mon entrée dans la garde, je fis une rencontre surprenante. Au détour d'une ruelle de la Basse-Ville, je cru voir un village familier, mais je ne sus è ce moment de qui il s’agissait. Je décidai de le suivre, intrigué. Lorsque je le revis au détour d'une fontaine, je reconnu ce visage, un point énorme me serra le cœur, ma respiration cessa, je devins blême. Cet homme, maudit entre tous était celui qui avait assassiné mon père. Dans mon esprit tout se mit à tourner, mon père mort, couché au sol, Logham me dispensant son savoir, mon rêve troublant. Dans se tourbillons d'image qui m'assaillait, le visage de cet homme restait gravé. J'attrapai mon marteau et couru vers lui. Arrivé à lui, je lui balançai un coup dans les genoux par surprise. Il s'effondra au sol, la jambe broyée sur le coup. Il sorti une dague que je prisai d'un coup de marteau dans ma fureur. Je levai mon marteau dans les airs, les gens autour de nous appelaient la garde, on entendait hurler et vociférer les marchands. Je regardai ce visage avec une haine indicible.

Tout à coup, je revis mon père dans mon esprit. Je pensai à cet homme pieux et droit. Mon père ne connaissait point la haine, il tentait de faire le bien en chaque chose comme son ami Logham qu'il respectait tant. Je revis ensuite Logham m'enseignant les dogmes de Tyr, m'enseigner la signification du mot Justice . Qu'était-ce donc que la justice ? Était-ce de tuer cet homme sommairement, ici, en pleine rue ? Méritait-il la justice que les tyristes défendaient si âprement ou méritait-il plutôt la justice sommaire des sauvages du nord ? N’étais-je point plus civiliser que cela ?

Pendant que ces idées tourbillonnaient dans ma tête, l'homme hurlait à en cracher ses poumons. Il souffrait le martyr, les genoux éclatés, ses jambes disloquées dans une position très peu naturelle. Il me suppliait de lui laisser la vie sauve, qu'il ne méritait pas un tel sort. Il me demandait ce que je pouvais bien lui vouloir. Ces yeux, à ma grande surprise ne semblait pas être ceux d'un homme vil et sans scrupule, il avait peur... il me faisait pitié, à ma grande surprise.

Tout à coup dans ma tête résonnèrent ces mots : "Révèle la vérité, punis le coupable, corrige l’erreur, et sois toujours droit et juste dans tes actions. Aide la loi partout où tu vas et punis ceux qui sont hors la loi. Garde une trace de ce que tu fais, de tes décisions, pour que tu puisses corriger tes erreurs, que ton amour de la loi dans tous les pays fleurisse et que ton habilitée à trouver les hors-la-loi augmente. Sois vigilant dans tes observations et anticipe les méfaits du chaos." Ils résonnaient jusqu'à m'en fissurer le crâne. N'étais-je point en train d'agir à l'opposé de tout cela ? Faisais-je de moi un être chaotique ?

Je regardai l'homme pleurant au sol devant moi et tombai à genoux. Je regardai les gens autour de nous et entendis le sol trembler sous les pas de la garde s'approchant. Je restai au sol et posai mon marteau au sol ainsi que mon bouclier et me mit en position de prière. Pour la première fois de ma vie, je priai avec conviction : " Tyr, Seigneur de Justice et de Bien, pardonnez aujourd'hui à ce fils ingrat qui n'a point compris le sens de vos enseignements. Père qui êtes au près de lui, pardonner à votre fils de vous faire une telle honte. Reposer en paix mon père, que Tyr veille sur votre âme, je m'occuperai maintenant à faire mon devoir."

La garde arriva et je fus cloué au sol. J'expliquai aux gardes que j'étais le jeune Godefrois fils du Sergent de Grischâteau. On me releva et on me demanda ce que j'avais bien pu faire à cet homme. Je leur expliquai que c'était l'assassin de mon père et qu'il devait être jugé au tribunal sou l'égide de Tyr. Je les priai surtout de ne lui faire aucun mal et de bien le soigner d'ici son procès. Comme les gardes connaissaient bien mon père, je fus relâché sans problème. Je retournai ensuite directement au Temple pour entretenir Logham de tout ceci.

Le Jugement

Logham fut très fier de moi et m'expliqua que j'avais très probablement réussi une épreuve que Tyr mettait devant moi. Il m'annonça plus tard qu'il serait le procureur dans cette affaire et qu'il voulait que je sois au procès pour l'assister.

Le jour du jugement arriva bien vite. L'accusé, toujours incapable de marché fut trainé par les gardes jusqu'à son box. Je regardai cette homme triste et fut encore surpris de me voir le prendre en pitié, lui qui avait tué mon père. Le procès commença et je fus cité à comparaitre. J'expliquai au juge ce qui s'était passé le jour de la mort de mon père, ce visage que j'avais gravé dans ma mémoire. Lorsque ce fut le tour de l'accusé de se défendre, il éclata en sanglot dès ses premiers mots et avoua avoir tué mon père. Il expliqua ensuite qu'il était autrefois un maitre d'arme d'un village voisin et qu'un jour son fils fut enlevé. On lui demanda de perpétrer plusieurs meurtres en échange de la vie de son fils, ce qu'il fit avec regret. Il nous expliqua par la suite que son fils ne lui avait jamais été rendu et que sa femme en était morte. Il ne restait plus maintenant que lui et ses regrets. Lorsque celui-ci eu terminé, le juge demanda si quelqu'un d'autre avait quelque chose à ajouter. Je demandai la parole et m'exprimai ainsi : " Votre honneur, très honoré membres de cette cour de justice, étant le fils du sergent de Grischâteau, il est de mon devoir de demander justice pour la mort de mon père. Votre honneur, je vous demande de relâcher cet homme. Il est certes coupable de la mort de mon père aux yeux de la loi, mais il a hélas déjà purgé sa peine et il la purgera encore jusqu'à sa mort. Cet homme a agis sous l'effet de la menace, il a agis en bon père en protégeant sa famille. Il fut certes un mauvais sujet aux yeux de la loi mais il n'est coupable que d'avoir eu peur pour son enfant. Comme je vous le disais mes seigneurs, sentence à déjà été rendu par le saint des saints, il nous est inutile en ce jour d'en ajouter d'avantage. Je vous pris d'accéder à mes doléances votre honneur car tel serait le voeu de mon père, paix à son âme" En entendant ces mots, une bonne partie de l’audience émit des murmures de surprise. Le juge-prêtre sembla lui aussi très surpris, il leva la main pour intimer le silence et la salle tomba dans un silence de plomb. Après quelques secondes, le juge s’adressa à moi et me demanda si je comprenais bien la porté de ce que je venais de dire. Je lui expliquai que mon seul but était que justice soit faite et que sentence était déjà rendu. Je lui expliquai, avec franchise, qu’il y a peu de temps je souhaitais ardemment la mort de cet homme mais que depuis lors, Tyr avait guidé mon âme vers une autre voie, celle de la justice. Je ne voulais pas être de ceux qui bafouent les règles qui régissent notre monde par soif de vengeance. Je voulais faire naitre l’ordre autour de moi, par la loi et la justice. De cet ordre ne pourrait naquire que du bien. L’avenir de l’humanité résidait dans cet ordre, dans ces lois, dans cette discipline qui permettrait aux hommes de vivre de façon civilisé. Le juge écouta mon plaidoyer et approuva mes dires d’un sourire. Une fois que j’eus terminé, il prit la parole et annonça qu’il relâchait le prisonnier, que celui-ci avait malheureusement payé sa dette à la société par la perte de sa famille toute entière, sentence trop lourde à plus forte raison que l’accusé avait commis ses crimes sous la menace. Je fus heureux d’un tel jugement, je venais de tourner une page de ma vie.

L’ordination

Une fois sortis de la salle de court, je demandai à Logham s’il ne me reprendrait pas au temple. Je lui expliquai que les récents évènements m’avaient guidé vers le Juste et que je voulais à jamais le servir. Il accepta avec plaisir et me dit qu’il était très fier de l’épreuve que j’avais accompli en ce jour et qu’il croyait que je j’honorerais son ordre.
À l’instar de Logham, comme je n’étais que très peu doué pour le maniement des armes et pour la violence en général, je choisi de devenir Balance de Tyr et ainsi servir la justice à titre de prédicateur et de juge. Je commençai mon instruction au temple à titre d’acolyte, c'est-à-dire à titre de Laïc. Je commençai par la lecture de tous les textes de loi du royaume du Thétyr. Cette activité, que je trouvai fort enrichissante me pris près d’une année entière. Pour réussir à bien comprendre le sens de la loi et pouvoir être critique à son égard, je me devais de bien apprendre chaque alinéa de toutes les lois. Ensuite, je me mis à mon éducation plus cléricale, j’appris toutes les subtilités des dogmes du Juste et de ces alliés. Je fus initié aux différents ordres de la Sainte Triade et à leur fonctionnement. Je terminai par l’apprentissage des différents pouvoirs que le juste accordait à ces dignes serviteurs. Lorsque je fus prêt, Logham m’ordinat abbé et me demanda de partir. Je devais partir voir le monde et parfaire mon éducation sur le terrain. Je devais me rendre dans des contrés sans lois pour apporté à ses habitants un peu d’ordre et de justice. Servir de juge et de plaideur selon le cas. Logham m’expliqua qu’il m’était inutile de revenir, que je serais plus utile si j’arrivais à rependre la parole du juste là ou elle serait plus utile. Je devais me mettre au service des temples du Juste partout sur ma route et ainsi servir, servir, servir….

Je partis vers le nord…


Voilà terminé

Petit up tout gentil

Parfait, ça me convient, je Valide