[Parti][Bg sans validation][Roublarde][H] Leïra Viconia

Citation :

Nom du compte joueur forum : Evy
Nom du compte joueur module : --Evy--
Nom du perso : Leïra Viconia
Race : Humaine
Sous race : /
Age : 28 ans
Alignement : Neutre Neutre
Religion : Heaum
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Guerrière 14 / Roublarde 11 Roublarde 25
Arme de prédilection/domaines/école de magie : Epée courte et arc court
Langues : Commun, en privé
Familier/Compagnon animal : /
Ennemis jurés : /
Trait de Caractère : Sans cesse sur ses gardes, elle observe et écoute tout ce qui l'entoure. Dans cette même optique, elle veille généralement à avoir un mur ou un pilier dans son dos pour éviter qu'on ne puisse l'attaquer via un angle mort. Elle ne sourit presque jamais et sa mission de sentinelle semble comme la seule lueur qui guide sa vie.

Description physique :
Une panthère.. image assez étrange et pourtant c’est ce qui vous vient à l’esprit lorsque vous regardez cette femme passer.. :
Une silhouette élancée..
Une démarche gracile, presque.. féline..
Une tenue d’un noir de jais qui la recouvre souvent telle une seconde peau..
Une capuche ajustée pour cacher sa chevelure au regard du monde..

Son visage ? Il vous apparaît tout aussi troublant.. Cela n’est pas tant dû à sa peau d’ivoire dont l’éclat évoque une fragilité déconcertante.. Ni à ses lèvres finement dessinées arborant un rouge cardinal presque indécent vu le reste de ses vêtements.. Ni à ses yeux d’un vert absinthe.. Ou plutôt si.. C’est justement cela.. Ses yeux vous apparaissent telles deux pierres précieuses.. deux émeraudes présentées dans leur écrin.. un écrin de velours noir.. Car c’est masquée d’un loup d’ébène que cette femme se promène..

Une fois revenu de votre étonnement, un scintillement attire votre regard un peu plus bas.. Un pendentif au bout d’une fine chaîne en argent. C’est alors que vous découvrez les seules autres touches de couleur qu’elle semble afficher : un symbole représentant un œil ouvert, à la pupille bleue, apposé sur le dessus d’un gantelet gauche de guerre vertical.. (Pour le pendentif, ça dépendra des moments pour le masque aussi d'ailleurs..)

Caractéristiques :
FOR : 14 12
DEX : 15 16
CON : 12
INT : 14
SAG : 10
CHA : 12

BG posté côté scribe

Sinon, trois personnes m'ont déjà fait des remarques sur le choix du nom de famille... Je vous assure que c'était involontaire Je connais rien à Baldur's Gates xD Le nom de Viconia est le résultat d'une discussion msn avec un ami où on a remanié des noms en tous sens pour en trouver un qui me conviendrait. Bref, voilà.

Hop ! Comme pour mes autres perso, vu que je ne la jouerai plus, je poste ici son BG pour les éventuels curieux

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Elle d’vait avoir environ 7 ans quand jl’aperçus avec sa clique, un groupe de gosses qui tentait d’pigeonner le Maurice, un marchand plutôt hargneux. Ils se sont tous faits embarquer par les gardes, enfin tous sauf elle. C’te gamine t’le baratinait si bien qu’il a gobé sa couleuvre l’imbécile. Intrigué, jte l’ai suivie pendant quelques jours. C’tait qu’une gosse, et pourtant déjà un sacré tireur. Puis j’vis le borgne qui louchait sur elle. Lui aussi avait remarqué la ptite. Il la voulait sûrement pour l’ajouter à sa clique, mais pas question. C’te gosse allait être à moi et, par le Maître de tous les voleurs, j’le regrette pas ! C’est qu’elle en avait dans la tête la môme. Plus le temps passait, plus elle avait envie d’apprendre. Et l’plus marrant, c’est qu’elle f’sait ça pour m’plaire. J’ai réussi à t’l’embobiner comme pas deux. Maintenant, elle m’voit comme son « père », s’con qui a abandonné c’te perle parce qu’il avait pas d’quoi lui donner à bouffer. Remarque, tant mieux pour ma bourse ! Non seulement elle a r’joint ma clique, mais en plus elle bossait gratos.

Au fil des ans, jpoussais toujours plus loin son entraînement. Et plus j’y allais et plus elle s’en sortait ! Oh, c’n’est plus qu’un simple tireur maintenant. Elle s’ra bientôt un chable, un déboucleur même jsuis sûr. Et puis bon, laisser traîner une oreille où il faut c’pas mal non plus pour préparer l’coup. Mentir sans sourciller, s’cacher sous la cape du Seigneur des Ombres, être au courant de tout c’qui s’passe pour pouvoir faire pression dans les arrangements ou juste pour être l’premier sur la prochaine truanderie à faire. Ouaip ! Une bonne affaire c’te gosse.. si bien qu’la guilde en a entendu parler. Ils ont voulu se mêler d’mes affaires… J’ai pas trop aimé ça. Mais j’dois avouer qu’ils avaient d’bonnes idées. Ils voulaient voir si la môme pouvait apprendre d’autres langues pour pouvoir espionner d’autres caves plus tard. J’ai dit oui. Après tout, c’te gamine n’est loyale qu’envers moi. Faut pas m’prendre pour un con non plus, ça fait belle lurette que j’lui ai appris à s’méfier d’tout l’monde, sauf moi ! C’est comme ça qu’la guilde l’a envoyée chez des mecs pour lui apprendre l’elfique et l’nain. Ces gens là en ont dans leurs coffres, c’est sûr. Des trucs magiques ou fabriqués que par eux qui m’assureront des vieux jours dorés. Après les cours d’base, elle a été envoyée chez l’vieux Albert. C’te magicien s’occupe d’acheter et d’revendre des trucs magiques ainsi qu’des info. Mais il a beau s’croire plus intelligent qu’tout le monde, s’con s’est même pas rendu compte qu’la guilde lui avait donné ce local parce qu’on savait qu’il y avait un couloir entre son mur à lui et celui d’la maison à côté. C’est étroit, mais suffisant pour pouvoir aller j’ter un œil à ce qu’il fait. Elle d’vait donc aller là bas et tenter d’comprendre tout son charabia. Au début, ses prof l’aidaient un peu mais après elle d’vait se démerder (ouai car ils avaient autre chose à foutre aussi). Elle a passé un an là bas. Elle pouvait sortir que pour aller pisser ou c’genre de truc et pour aller truander un peu bien sûr (ouai, car la bouffe elle allait pas arriver toute seule sur ma table non plus). Après, on a espacé ça pendant les 6 mois qui suivirent, et puis quand elle fut prête ben, on l’a envoyée pour un voyage, puis un autre. Plus rien à voir avec les vols chez l’vieux Maurice. Ouai, c’te gosse, c’était mon assurance vie pour ma retraite en or… Mais l’a fallu qu’un connard balance l’info sur son dernier voyage, et la v’là en geôle maintenant !

On me demanda d’urgence. Une pauvre enfant venait de tenter de se suicider après avoir été surprise à tenter de voler un seigneur de la ville. Oh Dieu qui Pleure, ais pitié de cette âme en perdition qui est prête à commettre l’irréparable. Elle était aux portes du plan des Fugues lorsque je commençai à la soigner. Mais grâce à Toi, je parvins à la sauver, enfin… physiquement du moins.. car il existe chez cette enfant des maux plus profonds que des plaies ou du poison. Un mal plus insidieux, tel un serpent qui s’enroulait dans ses iris vert absinthe pour en voiler tout éclat.

Même si elle semblait comme en dehors du temps, la vie devait suivre son cours… Ainsi elle fut conduite en geôle dans l’attente de son procès et des dispositions furent prises. A ce que j’avais cru comprendre, il s’agissait d’un voleuse et espionne des plus redoutées et le Capitaine craignait que la serrure de sa cellule ne lui résistât pas. Aussi on lui attacha et les mains et les doigts… Par ailleurs, on fit en sorte qu’elle n’ait plus la moindre occasion de pouvoir se suicider. Les jours s’écoulèrent et l’heure de son procès arriva enfin. Si le juge de la cité n’était pas un Tyriste, je ne doutais pas de l’impartialité et du sens de la justice du serviteur de la Sentinelle. Non, ce n’était pas son jugement que nous devions redouter… mais les à côté du procès… Cela se produisit sur le chemin menant au tribunal : une bousculade, une dague empoisonnée, et un coup sournoisement bien placé. Mais son heure n’était toujours pas arrivée… Nathan, un garde heaumite chargé de son escorte, s’interposa juste à temps entre eux. Il lui sauva la vie. Certes, une fois encore, elle semblait comme résignée à son sort : elle n’essaya même pas d’esquiver le coup, alors que je demeure persuadé qu’elle l’avait vu venir… Mais cette fois, oui cette fois, il y eut une légère déchirure dans ce voile. Oh Dieu Brisé, je crois qu’aux travers des épaisses ténèbres qui l’enveloppaient, un rayon de lumière parvint à se frayer un chemin jusqu’à son cœur. Oui, je pense que l’acte de son gardien l’ébranla.

Le verdict fut rendu. Elle fut condamnée à trois ans d’emprisonnement plus des travaux d’intérêts généraux et des rencontres régulières avec moi-même. Je me rendis donc à son côté chaque matin. Mais tout ce qu’elle m’offrit ce fut.. son silence. Petit à petit je commençais à désespérer… quand tu entendis mes prières oh Seigneur. Ainsi, tandis que je ressortais de sa cellule, je croisais Nathan qui entrait pour lui apporter son repas. Et là, de nouveau, je la vis, cette lueur particulière dans ses yeux… ou plutôt la manière… presque gênée qu’elle avait à regarder le sol. Je sortis alors et les regardai quelques minutes discrètement. A n’en pas douter, je tenais là la réponse à mes prières. Plus tard, je m’entretins donc avec Nathan. Je savais qu’il aspirait à bien plus que demeurer dans la garde et que sa foi le poussait vers le paladinat du Vigilant. Cela m’incita d’autant plus à discuter avec lui… et j’eus raison. Il avait bien remarqué qu’elle ne se comportait pas avec lui comme avec les autres gardes. Il aurait voulu l’aider à s’éveiller à une autre vie, mais ne savait trop comment s’y prendre… Alors je lui suggérai de l’aider dans cette entreprise. Après tout, il était mieux placé que moi pour mener à bien l’injonction du juge. Il hésita un instant, puis finit par accepter. Il tenterait donc de se rapprocher d’avantage d’elle, de percer sa carapace et ainsi la sortir des ténèbres peut être un jour... Je me félicitais de cette décision. Mais il était une personne avec qui je devais m’entretenir sans plus tarder de cela : le mentor de Nathan, Messire De Lancevent.

Le Père Thibault est venu me trouver pour me faire part de ses intentions à l’égard de cette prisonnière et de Nathan. La bonté de cet homme est fort louable mais mon écuyer est sur un chemin difficile lui-même. Je pris quelques jours pour y réfléchir et finalement, j’accédais à sa requête. Cet échange avec cette prisonnière… cette maskarite, serait un bon test pour Nathan. Après tout, il a réussi avec succès ses premières épreuves, mais au final, la véritable épreuve est celle de la vie. La corruption n’est pas qu’un terme pour désigner une chose abstraite. Au contraire. Elle peut frapper en tout lieu et en tout temps. Le mal peut prendre bien des visages… D’après le Père Thibault il y aurait de l’espoir pour cette fille. C’est possible… Mais dans tous les cas, la fréquenter permettrait également de vérifier si Nathan a l’étoffe d’accéder un jour au statut de paladin de notre Seigneur.

Les semaines, les mois s’écoulèrent. Je me tenais au courant de l’évolution de cette petite histoire dans cette cellule. Lors de mes entretiens avec Nathan, nous n’abordions pas directement ce sujet-là. Une fois, il voulut me rapporter ce qu’il avait appris sur elle, mais je ne voulais pas savoir. Du moins pas autant qu’il l’aurait souhaité. Il cherchait mon approbation dans ses gestes et ses paroles avec elle. Mes conseils aussi peut-être. Mais je ne pouvais faire cela, je ne pouvais lui donner la solution à l’épreuve à laquelle il était soumis. Ainsi, il devait prendre ses décisions en son âme et conscience. Finalement… cette intrigue se déroula plutôt bien.. Un jour il me dit qu’il souhaitait lui retirer ses liens, persuadé qu’elle ne tenterait pas de s’enfuir. Il en prit donc la responsabilité avec tout ce que cela impliquait. La confiance est un bien précieux… Son analyse de la situation, son jugement, son choix étaient cruciaux. Les jours passèrent, quand une fois on découvrit la serrure de sa cellule déverrouillée… Mais la prisonnière n’avait pas quitté sa geôle… Ainsi donc, il avait véritablement fait un pas vers elle, avec elle.

Le temps suivit son cours, emportant les cœurs et les âmes avec lui dans son voyage. Ainsi des rumeurs courraient au sein de la garde comme quoi une histoire de cœur commençait à se tisser au sein de cette cellule. Là, je décidai de convoquer Nathan. Visiblement, il avait réussi à répondre aux demandes du Père Thibault.. mais peut être trop bien… J’eus donc une discussion en tête à tête avec mon disciple et je le mis en garde contre l’amour. Car si Sunie savait pousser les cœurs vers l’avant, en contrepartie aimer c’était aussi se créer une faiblesse que l’on expose à ses ennemis. De plus, il fallait qu’il se rende compte que pour devenir paladin il fallait que sa foi passât toujours avant un quelconque amour. C’était une chose difficile, mais nécessaire, car en devenant serviteur du Vigilant, nous ne nous appartenons plus vraiment. Nous devenons un rempart de protection pour l’ensemble de la population face à l’ennemi. Il m’écouta posément et je vis dans son attitude qu’il y avait déjà réfléchi. Cela me rassura quelque peu… mais une fois encore, seuls les actes comptent.

Trois années s’écoulèrent et elle fut rendue à la vie civile. Ils décidèrent de se revoir et finirent par emménager ensemble. Etrangement, alors que tout opposait ces deux êtres à la base, ils semblèrent… heureux. Comme dans tous couples, chacun dût faire un bout de chemin vers l’autre. Ainsi ils.. changèrent tous deux.. Je le vis lui apprendre certaines techniques martiales pour parfaire son art du combat au corps à corps et ce tout en jouant sur la meilleure carte de sa compagne : sa dextérité. J’imagine qu’il souhaitait ainsi terminer de la sortir des ombres et d’autres méthodes peu scrupuleuses… et donc pouvoir mieux se défendre en face à face. Quant à elle… je ne suis pas sûr d’apprécier tout ce qu’elle lui apporta… Certes, elle avait l’air de le rendre heureux mais… elle essayait également de le pousser à ne pas porter son armure tout le temps, acte inacceptable chez un serviteur de la Sentinelle ! Nous devons être toujours prêt ! Cela était regrettable, car ce sont ces petits détails qui retardèrent l’accession de Nathan à son rêve de paladinat. Sinon, je sais qu’à plusieurs reprises il lui demanda sa main, mais elle refusait systématiquement. Apparemment elle voyait le mariage comme une cage pour sa liberté… Finalement, elle tomba enceinte et se laissa convaincre. Un mariage… entre un heaumite et une… ancienne maskarite. La voix des dieux est parfois surprenante… Je gardais une certaine réserve vis-à-vis de tout cela, du moins jusqu’à ce qu’elle fît un geste qui me surprit.

Elle vint me trouver pour discuter avant le « grand jour ». Ce fut courageux de sa part, car je savais l’intimider quelque peu. Je demeurais donc là à écouter ce qu’elle avait à me dire. Elle ne baissa jamais les yeux, me fixant et parlant avec ferveur, voire même avec un peu de hargne par moment. Ainsi elle tint à me conter sa vie d’avant dans les grandes lignes, puis ce qui se produisit dans cette cellule, son amour pour son fiancé, tout ce qu’elle avait déjà fait pour lui et tout ce qu’elle était prête à faire encore, car il était, avec cet enfant dans son ventre, sa famille, celle qu’elle avait toujours rêvée d’avoir et qui n’était qu’une illusion auprès de son maître maskarite. Elle dit tout cela d’une seule traite, comme ne pouvant s’arrêter avant d’avoir terminé. Après quoi, elle reprit quelque peu son souffle et sonda mon regard. Elle termina alors en me remerciant.. pour ce que je faisais pour Nathan. Elle m’avoua avoir du mal avec son paladinat et tout ce que cela impliquait mais reconnut également que cela faisait partie de lui, de l’homme qu’il était, de l’homme qu’elle aimait. Ainsi, elle dit religieusement qu’elle ferait désormais son possible pour aider son futur époux dans sa quête personnelle, pour être à la hauteur de l’honneur d’être mariée à un paladin du Vigilant, et peu importaient les sacrifices. Elle était prête à tout, car il lui était tout. Je la regardai un instant, terminant de détailler toutes les émotions qui se lisaient sur son visage. Sa sincérité ne pouvait être remise en question. Aussi… ai-je fini par lui donner ma bénédiction et lui dis qu’elle aussi, elle avait contribué à former l’homme que Nathan était devenu ce jour. Oh Vigilant, puisses-tu préserver ce jeune couple des affres de la vie qui les attend…

Merci à Lex/Eth pour m'avoir refilé l'argot voleur dont j'ai pu m'inspirer (et pour les conseils de rédaction de mon lovi préféré )



Affranchi : Un cambrioleur qui est en bons termes avec la guilde locale de voleur ; un membre de guilde.

Allumeur : Quelqu'un qui a des renseignements a partager avec des cambrioleurs sur de bonnes cibles.

Arrangement : Accord avec des officiels corrompus pour voir des charges criminelles "arrangée" - à savoir abandonnées. Cela nécessitera généralement des pots-de-vins ou des faveurs.

Aviseur : Quelqu'un qui vend des renseignements sur les endroits où des marchandises volées peuvent être vendues.

Balancer : Identifier aux autorités locales un de ses partenaires, en général contre une peine plus légère pour ses propres crimes.

Baron : Quelqu'un qui pousse un cave dans une escroquerie.

Carreur : Un voleur qui opère en remplaçant les objets de valeur (en particulier les bijoux) par d'autres sans valeur.

Cave : Victime d'une escroquerie."Nous avons amené le cave a la Taverne..."

Chable : Un bon cambrioleur professionnel.

Clique : Un groupe de voleurs.

Contrebande : Marchandises illégales (volées ou interdites par la loi locale).

Déboucleur : A strictement parler, un voleur spécialisé dans l'effraction des lieux surs.

Doubler : Ne pas rapporter le butin d'une tâche a ses partenaires.

Escarpe : Assassin ; un "exécuteur" pour des patrons du crime, payé pour tuer leurs ennemis.

Faisan : Escroc,arnaqueur.

Fourguer : Vendre des marchandises volées.

Loup solitaire : Un voleur solitaire et indépendant. Il est probablement autodidacte et n'est pas allié à une guilde.

Pigeon : Victime d'une escroquerie.

Score : Butin d'un vol.

Souscription générale : Argent collecté dans la pègre locale pour libéré un voleur capturé en corrompant des officiels.

Tireur : Voleur a la tire,tire-laine.

Truander : Commettre des crimes.

Truanderie : Toute forme de larcins, du vol à la tire et du cambriolage jusqu'au détournement de fonds.

Voyage : Mission directement donnée par les dirigeants de la guilde.